(Minghui.org) J'ai eu la chance d'obtenir Dafa en 1996. Je pourrais remplir plusieurs volumes en racontant les choses merveilleuses que j'ai vécues au cours de ces seize années depuis que je vis heureuse sous le rayonnement de la glorieuse compassion du Bouddha. Bien que j'ai traversé de nombreuses tribulations depuis le début de la persécution le 20 juillet 1999, j'ai perçu plus profondément la grandeur de.... » Avec le Maître et la Loi qu'y a-t-il à craindre « ?...(Conférence à Sydney, traduction non officielle). Maître protège toujours les disciples et Dafa montre toujours son côté merveilleux.
I. Mes maladies disparaissent après avoir commencé à pratiquer
Avant de commencer à pratiquer, je souffrais de plusieurs maladies. Après avoir obtenu la Loi mon corps a été purifié et mon esprit a connu une élévation.
Bien que je n'avais qu'une vingtaine d'années j'avais une très mauvaise santé. Je souffrais de neurasthénie, de migraines nerveuses, d'allergies, d'une rhinite, d'une pharyngite chronique, d'une épaule bloquée, d'ulcères à l'estomac, d'une gastrite, de règles douloureuses, de l'arthrite rhumatoïde, d'un manque de fer, d'anémie etc... Je n'arrivais pas à m'endormir le soir et n'arrivais pas à me lever le matin ce qui fait que j'étais constamment en retard à l'école. Une fois que j'ai obtenu mes diplômes du lycée bien que j'étais déjà bien placée pour avoir une place à l'université j'y ai renoncé à cause de ma santé. J'avais la migraine tout le temps et chaque matin j'avais des vertiges. J'étais totalement incapable d'absorber l'information qu'enseignait l'instructeur. Il est intéressant de noter que la première fois que j'ai assisté à une pratique en groupe de Falun Gong, ma famille a été fort surprise par le fait que je me sois levée à 3h30 le matin. Je n'avais pas vu le lever du soleil depuis plus de dix ans et j'ai pu m'envelopper de la brise matinale ce jour là sur le site de pratique. J'ai pu me joindre aux autres pratiquants pour faire les cinq exercices puis partir ensuite au travail remplie d'énergie et garder cet énergie toute la journée. Je peux à peine décrire le bonheur que j'avais au cœur. Avec la grâce de Dafa je n'étais plus perdue, mon cœur ne manquait plus d'assurance et mes pas n'étaient plus pesants.
II.Toute ma famille reçoit des bénéfices de ma pratique.
1. Le miracle qui s'est produit chez ma belle-mère
Je me suis mariée un an après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa. Comme ma propre maison n'était pas encore terminée, j'ai vécu chez ma belle-mère pendant un an. Auparavant ma belle-mère et mon beau-père n'étaient pas en bonne santé bien qu'ils prenaient tout le temps des médicaments et recevaient des piqûres. Avec mon arrivée chez eux, ils ont commencé à prendre de moins en moins de médicaments et finalement à être en bonne santé en prenant aucun médicament. Un jour ma belle-mère a déclaré tout d'un go : « Comme c'est étrange, depuis ton arrivée chez nous, tout se passe sans heurts. Même nos maladies ont disparu sans avoir suivi de traitement ». Je lui ai répondu : « Oui, mère avec un seul pratiquant tout la famille en bénéficie ». (Enseigner la Loi à la Conférence de Loi en Australie). Quand je pratique tous les jours les personnes autour de moi en bénéficient.
Un soir en rentrant mon mari est allé directement dans la chambre de ses parents où il est resté et il a parlé pendant longtemps. En arrivant dans notre chambre, il arborait un grand sourire et a commencé aussitôt à fouiller dans nos tiroirs. En lui demandant ce qu'il cherchait, il a répondu : « Est-ce que nous avons une photo de Bouddha dans nos tiroirs »? J'ai souri en lui demandant : « Pourquoi est-ce que tu demandes ça ? » ?Il m'a dit que ce jour là, en faisant des courses avec son patron, il avait rencontré quelqu'un qui avait insisté pour lui prédire gratuitement son avenir. Il n'avait pas pu s'échapper donc il est resté et il l'a écouté. Le diseur de bonne aventure lui a déclaré : « Il y a une image de Bouddha dans le premier tiroir du secrétaire qui est face au sud dans votre chambre qui est au nord ». Mon mari s'est dépêché de répondre en disant : « Ce n'est pas possible, mes deux parents sont des anciens du Parti communiste chinois. Ils ne croient pas à tout ça ». Le diseur de bonne aventure lui a aussi dit : « Jeune homme,vous avez une bonne vie parce que vous avez épousé une femme bonne. Heureusement que vous n'avez pas épousé la première fille avec qui vous êtes sorti. Cette femme là n'est pas bonne. Votre femme est bonne et elle apportera des bénédictions à votre famille ». Mon mari a ouvert le tiroir en disant : « Il n'y a pas d'image de Bouddha ici seulement ton livre de Zhuan Falun ». Je lui ai dit : « Oui, si tu ouvres le livre l'image de mon Maître s'y trouve ». Il a écarquillé les yeux et m'a dit : « L'image de Bouddha dont il a parlé est en fait l'image de ton Maître ! Il avait vu tout à fait vu juste, y compris comment ma mère avait autrefois perdu un enfant. Il n'y avait que la partie concernant l'image du Bouddha qui m'a déconcerté, mais maintenant je comprends ».
À partir de ce jour là, mon mari a commencé à lire le livre de Dafa. Quand il a ouvert la couverture, il clignait des yeux sans arrêt et je lui ai demandé quel était le problème. Il a dit : « L'image sur ce livre tourne ». Il pensait avoir une illusion optique mais après avoir encore cligné un peu les yeux :« Elle tourne encore ! Pourquoi est-ce qu'il y a une chose pareille ? Je lui ai répondu : « C'est un bon signe, qui veut dire que tu es prédestiné ». Il a retourné le livre et a regardé le dos du livre en demandant « Pourquoi est-ce qu'il n'y a pas une fleur de lotus épanoui sur le livre, il n'y a qu'un bouton sur le dos du livre et il est penché vers le côté » ? Je n'y ai pas beaucoup réfléchi et j'ai répondu : « Mais n'est-ce pas qu'un bouton épanoui n'est pas encore mieux » ?
Trois ans plus tard, en octobre 2000 un grand nombre de pratiquants venant de tout le pays sont allés à Beijing clarifier la vérité. Une pratiquante m'a invitée chez elle ou nous avons étudié la Loi et partagé nos expériences. Soudain la pratiquante a pensé à quelque chose et a sorti le livre Zhuan Falun et m'a montré le dos du livre. Nous étions frappées de stupeur. Le bouton de lotus s'était totalement épanoui et se tenait droit, plus du tout penché de côté. J'étais plein d'entrain à ce moment là parce que ce déploiment merveilleux nous a redonné confiance. Dès ce jour là, ma foi en Maître est devenu encore plus forte. Je savais que la rectification de la Loi réussirait.
En rentrant chez moi, deux jours plus tard, c'est avec un peu d'appréhension que j'ai feuilleté les deux livres à la maison et la fleur de lotus s'était épanouie sur les deux livres. Bien que cela faisait déjà quatre ans que je pratiquais, à ce moment là, je n'ai pu m'empêcher d'être choquée. Quand mon mari est rentré du travail je lui ai demandé s'il se souvenait comment étaient les fleurs de lotus sur le livre de Dafa et il m'a dit oui. Une fois qu'il avait bien confirmé ce dont il se souvenait, je lui ai montré le livre et je me souviens clairement même encore aujourd'hui de l'expression d'étonnement sur son visage.
2. Mon mari est récompensé.
Plus tard j'ai été arrêtée illégalement par la police et mon mari est allé me voir au centre de détention. À un moment où la police ne regardait pas, il m'a vite dit :« Ils allaient piller la maison et je leur ai dit que ce n'était pas la peine parce que tu n'avais pas de livre. Ils ne m'ont pas cru et je leur ai dit que j'avais déjà cherché moi-même s'il y en avait que que je n'en avais pas trouvé. Je leur ai dis qu'il n'y avait que des documents de clarification de la vérité alors ils m'ont dit de les apporter et comme cela ils ne viendraient plus chez nous. J'ai donc apporté les documents qui exposent les choses faites par Jiang Zemin et j'ai apporté aussi un des livres les plus petits simplement pour le cas ou ils ne me croiraient pas. Je t'ai bien caché le reste alors s’il te plaît ne te fais pas de souci ». Un mois plus tard la police a vu que notre foi était toujours aussi solide, les policiers nous ont donc envoyés dans un centre de lavage de cerveau. Mon mari qui était sans cesse menacé par la police m'a regardée sans espoir en me disant : « Cultive bien. Laisse les pousser. S'ils ne me permettent pas de travailler alors nous utiliserons nos économies. Et pour terminer, je soutiendrai ta cultivation même s'il nous faudra vendre jusqu'à nos casseroles. » Une pratiquante qui se trouvait à côté de moi à ce moment là, a été émue jusqu'aux larmes. Avec des pensées droites, j'ai été libérée dix jours plus tard. Dès que j'ai mis le pied à l'intérieur de la maison, mon mari a apporté livre en disant : « Tiens. Je sais à quoi tu penses ».
Mon mari est chauffeur et il conduit les directeurs de son bureau. Un jour alors qu'il neigeait très fort, il m'a appelée vers 15 ou 16 heures en disant : « C'était tellement dangereux aujourd'hui, peut être que c'est vraiment comme tu le dis et que ton Maître m'a protégé. Les routes étaient glissantes à cause de la neige et en arrivant à un feu rouge, mes freins ne fonctionnaient plus. Je n'arrivais pas à contrôler le volant et à l'intersection le sol était complètement recouvert de verglas. J'ai essayé de reprendre le contrôle de la voiture mais je n'y arrivais pas et tout ce que je pouvais faire c'était de regarder la voiture glisser droit devant. C'était incroyable à quel point tous dans la voiture étaient effrayés, mais juste au moment où nous retenions notre souffle et où on s'arc-que- boutait pour faire face à la collision avec la voiture devant nous, il s'est produit un miracle. Notre voiture s'est soudain arrêtée et une fois après avoir bien vérifié que nous étions arrêtés, j'ai vu qu'il n'y avait pas plus que la largeur d'un poing entre les deux voitures. J'ai cru en vérité que c'était ton Maître qui m'a protégé. Je n'avais aucun moyen d'arrêter la voiture et la voiture n'avait aucun moyen de s'arrêter d'elle même ».
3. La connexion qui existait entre ma petite nièce et moi.
Au cours de la deuxième année de mon mariage ma belle-sœur a donné naissance à une fille. Elle était aimée de toute la famille mais il semblait que c'était moi qu'elle préférait, même si nous n'avions aucun lien de sang. Quand elle avait a peu près deux mois, elle était difficile en présence des autres mais à chaque fois que c'est moi qui était avec elle, elle était toute à fait tranquille. Quand elle a eu un peu plus d'un an elle a eu une grosse fièvre et il a fallu la mettre sous perfusion à l'hôpital. Elle était difficile tout le temps et ni ses parents ni ses grands-parents ne pouvaient la calmer. Elle ne supportait la piqûre que quand tous se promenaient dans la salle. Ils se plaignaient de la fatigue. Le vendredi après le travail mon mari et moi sommes allés la voir à l'hôpital. Dès que ma nièce m'a vue elle a aussitôt tendu ses petites mains vers moi pour que je la serre dans les bras et elle ne voulait pas me lâcher. Je lui ai dit : « Falun Dafa est Bon » à l'oreille. Je lui ai récité Lunyu et elle a écouté avec beaucoup d'attention.
Quand je suis allée faire appel à Beijing, j'ai été absente pendant six ou sept jours. La famille avait peur que je manque trop à ma nièce et ma belle-mère a essayé de la tromper en lui disant que j'étais allée faire une visite dans ma ville natale. Ma nièce, contre toute attente, a secoué la tête en disant : « Non, ma tante est une Falun Gong, elle est allée à la Place Tiananmen ». Toute la famille était surprise. Personne n'avait évoqué cette question devant elle alors comment le savait-elle ? À partir de ce moment là, chaque fois qu'elle entendait quelqu'un frapper à la porte, ma nièce tirait sur la main de ma belle-mère en disant « Grand-mère, grand-mère, ouvre vite la porte, ma tante est là ».
Quand je suis rentrée mon mari m'a dit : « Est-ce que le fait que tu pratiques le Falun Gong peut avoir un rapport avec le fait que l'enfant soit si proche de toi ? » Je lui ai souri.
4. Mon jeune frère échappe au danger
Mon frère aussi pratique le Falun Gong. Quand il est rentré à la maison pour des vacances, ma mère a fait cuire un poulet dans une cocotte-minute mais elle n'a pas fermé le couvercle comme il faut. Mon frère, a appuyé contre la porte de la cuisine qui se trouve à côté de la cuisinière, bavardait avec ma mère. Ma mère lavait les légumes dans l'évier à un mètre de distance de lui. Tout d'un coup le couvercle de la cocotte-minute s'est envolé jusqu'au plafond et est redescendu après avoir cogné contre le mur. Le couvercle a frôlé les cheveux de mon frère en tombant sur le sol derrière lui. À ce même moment, mon père regardait la télévision dans la salle de séjour situé derrière mon frère et en entendant le bruit il s'est mis debout. Quand il s'est aperçu que le couvercle avait failli s'enfoncer dans la tête de mon frère, son corps l'a lâché et il est retombé assis sur le divan. Quand chacun a vu ce qui s'était passé-toute la soupe au poulet sur le plafond et le couvercle en aluminium épais, totalement déformé et dont une partie était tordue - à ce moment là nous avons vraiment eu peur. Tout a été vu par ma mère et mon père mais mon frère ne s'était absolument pas rendu compte que sa vie avait été en danger. Tout ma famille a vu personnellement comment le Maître protège ses disciples.
5. Mon frère aîné n'a eu aucun mal à la suite d'un accident de voiture
Ma mère habite a côté d'un bâtiment municipal et un jour après le travail mon frère aîné, non pratiquant ,est allé chez elle regarder la télévision. Après, il a décidé d'aller faire un tour en vélo mais, à la seconde où il a tourné sur la route à côte de la place du conseil municipal, il a été percuté par une voiture qui est monté sur le trottoir. Comme il a été percuté avec beaucoup de force il a été précipité à plus de dix mètres et il s'est retrouvé par terre avec un grand bruit. La voiture lui a roulé dessus en continuant sa route. Comme cela s'est produit tout à côté de la place où il y a de nombreux piétons, tous étaient sous le choc parce qu'ils pensaient que la personne devait être en mille morceaux après un tel accident mais mon frère s'est levé tout seul. Il y a eu des cris dans la foule parce que certains pensaient qu'un « zombie » était apparu. Qui donc pouvait croire qu'après avoir été percuté de la sorte on pouvait encore être vivant.
Un policier est arrivé, a regardé soigneusement mon frère puis lui a fait des petits coups amicaux sur l'épaule en lui demandant : « Comment est-ce que vous avez pu vous mettre debout ? » Mon frère a répondu : « J'ai perdu connaissance et j'ai pensé que j'allais mourir puis je me suis rendu compte que j'étais toujours capable de bouger alors je me suis levé. Il semblerait qu'il n'y a pas de problème » À ce moment là de nombreux policiers sont arrivés y compris la police de la circulation, des patrouilleurs et la police ordinaire. Il semblerait que la voiture qui avait heurté mon frère s’enfuyait du lieu d'un accident et il avait été encerclé par la police et la patrouille. Le conducteur était ivre et avait percuté une ambulance. Il a refusé de coopérer avec la police et s'est enfui du lieu de l'accident. La police de la circulation avait fermé toutes les intersections et avait en même temps demandé du renfort au patrouilleurs alors que la voiture du fuyard est parti comme une folle par les rues. Enfin, comme la voiture a refusé de s'arrêter même après que les patrouilleurs aient tiré un coup de semonce, la police a tiré dans un des pneus ce qui a fait perdre le contrôle de la voiture qui de ce fait s'est glissé sur le trottoir donnant lieu a l'incident mentionné plus haut.
Après avoir inspecté soigneusement le corps de mon frère et confirmé qu'il n'avait rien, je lui ai diT : « Mon frère, tu n'as souffert aucun mal alors que c'était un si gros accident, tu dois vraiment te rendre compte que c'est le Maître du Falun Dafa qui t'a protégé. Tu dois avoir une idée très claire parce que si tu avais eu de mauvaises pensées quelque chose de terrible serait arrivé à ton corps ». Il m'a répondu : « Je le sais ! »
III. Diffuser la beauté de Dafa à chaque personne
Comme un grand nombre de pratiquants entre 1999 et 2000 ont été arrêtés illégalement, mis dans des centres de détention et camps de travaux forcés, les employés de ces endroits connaissaient bien le Falun Dafa et les pratiquants. Quand il y avait de nouveaux arrivants, les employés étaient capables d'un regard de dire s'il s'agissait d'un pratiquant ou pas. Quand quelqu'un ne faisait pas bien, ils le critiquaient et ils avaient un critère pour reconnaître et juger une bonne personne. En Chine Dafa est déjà allé au plus profond des cœurs des gens, qu'importe le lieu où il se trouve.
Au moment ou j'étais détenue arbitrairement dans un centre de détention nous n'étions pas touché par notre environnement et avons au contraire essayé d'y apporter la beauté de Dafa. Après un certain temps, tous dans mon dortoir avaient l'impression d'être dans un dortoir universitaire. Les gens étaient heureux et calme tous les jours et la personne qui était de garde remplissait sa fonction en étant présente pour sa veille, en allouant la nourriture et en remettant de l'ordre. Ce qu'il y avait de plus précieux c'était que chacun avait retrouvé son humanité et trouvé sa compassion conduite comme ils l'étaient par un pratiquant. Les pratiquants étaient capable de manger la nourriture la plus mauvaise, de faire le plus de corvées, de donner l'eau du bain à la personne qui en avait le plus besoin, ils respectaient les personnes âgées et prenaient soin des enfants. Par le passé (les employés) mal traitaient souvent les nouveaux venus et dans cet endroit la partie la plus dépravé de l'humanité se comportait comme des sauvages. Et maintenant cette unité est devenu l'endroit le plus recherché du centre de détention. Si une détenue avait des relations on pouvaient la transférer vers cette unité ou la police n'avait plus à s'en occuper parce que non seulement personne ne lui ferait du harcèlement mais les gens au contraire en prendraient grand soin lui demandant si elle avait besoin d'emprunter quelque chose et ou on la consolait si elle ne se sentait pas bien. Plus tard des gens dans cette unité s'empressaient de dire qu'ils pensaient tellement souffrir en entrant dans ce service mais en fait ils trouvaient que les personnes de ce service étaient plus gentil que les gens de l'extérieur. Les femmes dans cette unité disaient avec fierté, « Bien sur, nous sommes un dortoir d'universitaires et nous avons des pratiquantes de Falun Dafa chez nous. Même les policiers se disputent le droit d'avoir la charge de ce service et nous arrivons premiers dans toutes les évaluations ». Les pratiquantes leur avaient expliqué les principes de Dafa et leur ont appris à réciter Hong Yin et certaines même pratiquaient les exercices.
Je me souviens d'une femme qui était détenue parce qu'elle était suspectée d'avoir causé intentionnellement des dommages physiques et qui pratiquaient tous le temps avec moi. Alors qu'elle attendait dans la salle de détention, le jour où a débuté son procès, elle s'est soudain mise en position du lotus et a commencé à réciter le Fa. Elle a dit avoir vu un grand Bouddha assis en face d'elle à ce moment précis. Quand elle était de retour elle m'a demandé si c'était le Maître et elle a ajouté que le Bouddha avait fait assez peur aux procureurs et aux membres du tribunal et qu'il avait dit aux policiers au centre de détention de la traiter avec gentillesse. Au bout d'un mois la police du Poste de police local est venue me chercher dans le but de continuer à me persécuter mais avec des pensées droites j'ai pu partir. J'ai téléphoné chez cette dame et je suis même allée chez elle parce qu'elle m'avait demandé qu'au cas ou je pourrais rentrer chez moi je devais aller parler à son père de la beauté de Dafa et lui donner à lire un exemplaire de Zhuan Falun. J'ai respecté ma promesse et sa famille en était très heureuse. J'ai donné la chemise que je portais à sa sœur afin de la lui envoyer au centre de détention. Il semble qu'elle était vraiment enchantée quand elle l'a reçu et qu'elle la portait tous les jours.
Quand nous n'étions pas occupés, je faisais des dessins pour les femmes afin de les mettre sur les murs de l'unité. Un matin une personne remplie d'excitation, racontait à tout le monde : « Cette nuit, j'ai rêvé qu'avec une autre personne, j'avais pris le dessin sur le mur et l'avait apporté dehors où le soleil était très brillant. Nous avons simplement étalé le dessin et l'avons regardé au soleil comme si nous voulions le montrer à tout le monde mais après un moment, le soleil dans le dessin est devenu un avec le soleil dans le ciel ». À une autre occasion, quelqu'un a dit qu'un soir où elle était de permanence, elle a soudain vu le soleil sur le mur briller lumineusement comme un vrai soleil. Ceci m'a rappelé les paroles de Maître :
«[...] Après ce cours, ce que vous emporterez avec vous est le gong véritable, c’est une matière de haute énergie. Quand vous serez rentré chez vous et que vous écrirez quelques mots – peu importe que votre écriture soit belle ou non – ils auront du gong! Alors après ce stage, est-ce que chacun devra être appelé « Maître », est-ce que chacun sera devenu un maître du qigong de la calligraphie ? Je dis qu’il ne faut pas le comprendre de cette façon; car celui qui a vraiment du gong, qui a vraiment de l’énergie, laissera de l’énergie sur tout ce qu’il touchera sans avoir à en émettre intentionnellement, et cela brillera. » (Zhuan Falun)
Les choses qui se produisent lors de la cultivation n'ont pas de fin. Je pratiquerai avec diligence et solidement, j'émettrai des pensées droites ensemble, avec les autres pratiquants autour du monde et je ferai de mon mieux pour clarifier la vérité.
(De l'appel à contribution pour commémorer le vingtième anniversaire de la transmission de Falun Dafa)
Traduit de l'anglais en France