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Aider des policiers à quitter le PCC après mon arrestation

13 septembre 2012 |   Écrit par une pratiquante de la ville de Qiqihar, province du Heilongjiang

(Minghui.org) J'ai presque quatre-vingts ans et je pratique le Falun Dafa. J'aimerais partager comment des compagnons de pratique et moi avons aidé des personnes à quitter le Parti communiste chinois (PCC) en août l'année dernière. Veuillez signaler gentiment toute chose inappropriée dans les paragraphes suivants.

C'était une de ces journées typiques où j'errais dans les rues pour clarifier la vérité et aider les passants à quitter le PCC. Une voiture de police s'est arrêtée devant moi pendant que je parlais à un piéton à un arrêt d'autobus. Un policier est sorti de la voiture et a ordonné : « Montez dans la voiture. » Choquée par son comportement grossier, j'ai répondu : « Non ! Pourquoi voulez-vous m'arrêtez ? » Il n'a même pas répondu tout en me menottant les mains derrière le dos et en me conduisant vers la voiture de police. J'ai regardé par la fenêtre et je me suis rendue compte que les gens à qui je venais de clarifier la vérité m'avaient dénoncée, appelant la police peu après que je leur aie parlé.

J'ai lutté contre la poigne de fer du policier, mais il était très fort. Je me suis rappelée les paroles du Maître :

« ...sinon on ne subirait pas passivement, on doit faire face aux gens pervers en utilisant la pensée droite à tout moment. En aucune circonstance on ne doit s’accorder aux exigences, ni aux ordres, ni aux instigations de la perversité. Si tout le monde agit ainsi, l’environnement ne sera plus comme ça. » (« La pensée droite des disciples de Dafa est puissante » de Points essentiels pour un avancement diligent II)

Ce policier, cependant, m'avait emmenée de force dans sa voiture. Les policiers m'ont étendue sur le dos et un autre policier me surveillait pour m'empêcher de m'asseoir. En route, j'ai dit aux policiers que la participation de la Chine dans la persécution du Falun Dafa était mal. Je leur ai aussi donné d'innombrables exemples de rétribution karmique reçue par ceux qui ont persécuté les pratiquants. Je leur ai dit que le PCC leur cache la vérité et combien j'étais triste pour eux, mais ils n'ont rien dit.

Quand nous sommes arrivés au commissariat, j'ai finalement été autorisée à me lever. Toutefois, peu après, ils ont essayé de m'enchaîner à une chaise en fer. Je ne les ai pas laissés me traiter ainsi, parce que dans mon cœur je me suis souvenue du Fa du Maître. Je leur ai dit calmement : « Les enfants, vous devez arrêter. Il n'y a aucune raison pour que vous m'incarcériez. » L'un d'eux a répondu : « Notre pays ne vous permettra pas de pratiquer le Falun Gong ! » Je lui ai demandé : « En vertu de quelle loi dans ce pays est-il dit qu'on ne peut pas pratiquer le Falun Gong ? Si vous ne pouvez pas répondre à cela, au moins donnez-moi une raison légale pour m’arrêter aujourd'hui ! » Puis, comme s'il s'agissait d'une dernière épreuve de force, ils ont essayé de me pousser sur la chaise de fer. J'ai su alors que je devais demander l'aide du Maître. Lorsque trois grands policiers n'ont pas réussi à me pousser sur la chaise, ils ont appelé deux autres policiers costauds pour les aider. Les cinq ont tenté de me pousser à plusieurs reprises, mais à la fin, leurs efforts étaient vains. Ils ne réussissaient pas à me déplacer. Ils étaient tous très fatigués, mais ils ne savaient pas que c'était à cause de la puissance du Fa divin. J'ai loué la vertu majestueuse de Dafa.

Les policiers ne pouvaient rien faire, ils n'arrivaient pas à me forcer à m'asseoir sur la chaise en fer. Alors je me suis assise dans le fauteuil en cuir à côté d'eux. Une fois de plus je leur ai dit : « Quittez le PCC et vous serez en paix et en sécurité le reste de votre vie. Ne vendez pas votre âme au Parti communiste pervers ! » À ce moment, l'un des policiers a remarqué un dépliant dans ma poche et un DVD de Shen Yun Performing Arts, il a dit : « J'ai déjà vu cela auparavant. » Je lui ai répondu : « Oui, il y en a dans tout le pays, au cœur des plus grandes villes jusque dans les villages les plus isolés. N'est-ce pas incroyable ? Ce spectacle a une popularité énorme. »

Plus tard, le directeur de cette « opération » est venu me rendre visite. D'un geste de la main, il a fait sortir tout le monde de la salle et a commencé à discuter avec moi individuellement. Il a dit : « Chaque famille a ses jeunes et ses personnes âgées... » Je l'ai alors interrompu : « Vous n'avez pas besoin d'en dire plus, car il me semble que vous êtes un homme bon. » J'ai décidé de lui raconter un incident qui m'était arrivé en 2005 et qui montrait ce qui est vraiment bien et mal. Je voulais qu'il sache vraiment ce qu'est la justice. J'ai dit : « Un policier du nom de Jiao a une fois envoyé un groupe de cinq policiers pour m'arrêter. Ils ont dit qu'ils m'avaient prise en vidéo quand je distribuais les Neuf commentaires sur le Parti communiste. Je leur ai parlé d'un ton sévère pour les réprimander : « Au moins, vous devriez accumuler quelques vertus pour vos enfants ! À présent, vous devriez connaître la véritable personnalité des pratiquants de Falun Gong ! » Je savais que mon attitude n'était pas du tout bienveillante. J'ai été arrêtée le soir même. Pendant la première partie de la nuit, j'ai été soumise à la torture d'être suspendue par les bras, et mes mains en sont encore engourdies aujourd'hui. Moins d'un mois après que j'aie été emprisonnée, j'ai entendu dire que l'enfant du directeur du commissariat avait été tué dans des circonstances obscures. J'ai même entendu dire que les policiers avaient demandé la confidentialité pour ce cas. Je lui ai répété : « C'est de ma faute parce que j'ai manqué de bienveillance en lui parlant quand il est venu m'arrêter. Savez-vous que ce que je voulais lui dire était vraiment pour son bien, peut-être que j'aurais pu l'empêcher de commettre de mauvaises actions et peut-être que son enfant n'aurait pas subi une telle catastrophe. Je regrette de ne pas l'avoir traité avec droiture et compassion. Alors aujourd'hui, je veux avoir une bonne conversation avec vous. Vous devez croire dans le fait que Dafa sauve les vies ! Le livre de Falun Dafa, Zhuan Falun, a été traduit en plus de trente langues et vendus dans plus de cent pays. Tous ceux qui ont pratiqué en ont bénéficié d'une manière ou d'une autre. De plus, c'est Jiang Zemin qui a manigancé le coup monté de l'auto-immolation pour que tout le pays déteste Dafa. Jiang Zemin a commis un crime odieux ! »

Le directeur, après avoir entendu cela, a ordonné à un policier de m'enlever les menottes. Puis il a ordonné avec impatience : « Vite ! » Après que mes menottes aient été enlevées, je me suis frottée les mains légèrement meurtries pendant une minute avant de clarifier la vérité au directeur. J'ai dit : « Il n'y a que vous et moi dans cette pièce. Êtes-vous membre du PCC ? » Il a répondu : « Oui, je suis membre. » Je lui ai demandé son nom et s'il souhaitait quitter le PCC. Après avoir obtenu sa réponse, je lui ai donné un pseudonyme qu'il a accepté d'utiliser pour quitter le PCC.

Ensuite, le directeur est sorti chercher les détails de mon arrestation. Un autre homme est entré dans la pièce et je lui ai aussi clarifié la vérité. Je lui ai aussi parlé du coup monté de l'auto-immolation à la place Tiananmen. Je lui ai montré la position du lotus et comment pratiquer le Falun Dafa. J'ai comparé la position du lotus avec la position des jambes croisées de Wang Jindong et j'ai montré comment la position de Wang était complètement fausse. J'ai également souligné combien c'était étrange que, bien que le visage de Wang fusse complètement brûlé, ses cheveux avaient l'air tout à fait normaux. Je lui ai expliqué qu'il était impossible que la bouteille en plastique, soi-disant remplie d'essence, n'ait pas fondu sur ses genoux. Le PCC pensait que tous les spectateurs étaient des gens stupides. Après lui avoir parlé un long moment, il a appris que j'étais institutrice comme lui. Je lui ai parlé des enseignants d'aujourd'hui qui soutiennent le PCC et encouragent ses crimes pervers. Je lui ai parlé de la façon dont les enseignants font chanter les étudiants et s'engagent dans d'autres méfaits. Il a compris et je lui ai demandé de quitter le PCC. Il a dit qu'il était membre du parti, mais il a immédiatement accepté de démissionner. Je lui ai souhaité la paix à l'avenir.

Après un certain temps, un jeune homme est venu pour le faire sortir. Le jeune homme est revenu et a dit : « Vieille dame, tout ce que vous avez dit est vrai ! Il y a tellement de gens qui ont essayé de vous ébranler, mais ils n'ont pas réussi ! » Je lui ai répondu : « L'intervention divine, n'est-ce pas ? J'ai presque quatre-vingt ans, de sorte qu'un seul d'entre vous aurait dû pouvoir me jeter à terre, mais cinq d'entre vous ont essayé ensemble et je n'ai pas bougé. » Je lui ai alors demandé : « Faites-vous partie du PCC ? » Il a dit : « Oui. » J'ai demandé : « Voulez-vous démissionner ? Cela bénira votre sécurité, votre paix et la bonne fortune pour le reste de votre vie. » Il a répondu : « Oui, c'est sûr ! »

En peu de temps, j'ai réussi à sauver trois membres du PCC et à leur clarifier la vérité.

Je suis restée moins d'une heure au commissariat. Mes pensées droites m'ont libérée et bientôt je clarifiais de nouveau la vérité dans la rue.

Traduit de l'anglais au Canada