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Une personne malhonnête devient bonne après avoir suivi les principes de Authenticité- bienveillance- tolérence

27 septembre 2012 |   Écrit par un pratiquant de Chine

(Minghui.org) Avant de pratiquer le Falun Gong, j'étais toujours préoccupé par mes intérêts personnels. Je racontais davantage de mensonges que de vérités et j'aidais seulement les autres quand cela m'arrangeait. Les gens savaient que j'étais rusé, asticieux et sournois. En octobre 1998, j'ai commencé à pratiquer à l'âge de 23 ans.

Lorsque j'ai écouté le vidéo des conférences de Fa du Maître pour la première fois, je me suis endormi et je me suis réveillé lorsque le Maître a terminé la conférence. C'était exactement comme ce que le Maître avait dit :

« Parce qu'ils ont une maladie dans la tête et il faut y remédier. Ces personnes ne supporteraient absolument pas une opération dans la tête, il faut donc les plonger dans un état d'anesthésie sans qu'elle le sache. Pourtant, certains n'ont pas de problème d'ouïe, ils ont beau dormir profondément, pas un seul mot ne leur échappe, ils ont tout retenu; à partir de là ils vont se sentir pleins d'énergie, ils n'auront pas sommeil même après deux jours sans dormir. Ce sont des situations différentes, tout doit être réajusté, votre corps entier doit être complètement

En suivant les principes de Falun Gong, j'ai abandonné la cigarette, les jeux d'argent et les mensonges. Je considérais les autres en premier lorsque je faisais les choses et je les aidais sincèrement. Quand je recevais de la fausse monnaie lors des transactions d'affaires, je la détruisais sans porter attention à sa valeur. Je pensais que si je la laissais circuler, ils continueraient de causer du mal aux autres. Chaque fois que je voyais des roches ou des briques dans la rue, je les ramassais immédiatement pour empêcher que quelqu'un tribuche ou se blesse dans un accident au cours de la nuit.

Le Journal de la police provinciale voulait écrire un article sur moi

Les routes de notre région sont très sauvages et bossées. Un jour d'hiver de l'année 2000, je conduisais ma motocyclette sur l'autoroute provinciale. Lorsque j'ai atteint la périphérie de la ville, j'ai vu plusieurs briques éparpillées au milieu de la route qui étaient tombées des tracteurs et qui auraient pu facilement causer des accidents. Je me suis rangé sur le côté de la route et j'ai commencé à enlever les briques pour qu'elles ne bloquent pas la criculation.

Alors que j'avais presque terminé d'enlever les briques, une voiture de police est passée par là. Elle a alors ralentie, a changé de voie et s'est dirigée vers moi. Cinq personnes sont sorties de la voiture et l'une d'elle a dit qu'ils étaient des journalistes du Journal de la police provinciale. Il croyait que ce que j'avais fait était une très bonne action et ils voulaient que je remette les briques au milieu de la route et qu'ensuite je les remette sur le côté de la route pour qu'ils puissent prendre des photos et écrivent un article à mon sujet. J'ai répondu: « Je suis un pratiquant de Falun Gong. Si je ne pratiquais pas le Falun Gong, je n'aurais pas enlevé ces briques. Il fait si froid maintenant. Quel genre de personnes feraient ce genre de bonne action de nos jours ? » . Ils m'ont dit que si je ne disais pas que je pratiquais le Falun Gong, ils écriraient un article à mon sujet dans leur journal. J'ai répondu : « Si je ne pratiquais pas le Falun Gong, je n'aurais pas fait cela. Je ne peux pas faire cela. » En voyant que j'insistais qu'ils mentionnent le Falun Gong, ils ont abandonné et ont quitté.

« La route de Falun Gong »

Entre octobre et novembre 2000, il semble qu'il a plu constamment. Une route de deux kilomètres, faite de graviers et de terre, relie notre village à la ville et elle n'avait pas été entretenue depuis plusieurs années. Il y a trois usines de papier dans notre ville et quatre dans le village voisin et avec plusieurs camions voyageant aller-retour, des traces de roues étaient profondément ancrées dans la route, ce qui devenait très boueux lorsqu'il pleuvait. J'ai parlé à un pratiquant qui possédait un petit tracteur et à deux autres et nous avons décidé de réparer la route.

Nous avons conduit le tracteur du pratiquant jusqu'à une usine de papier de notre village et nous avons parlé avec le directeur de l'usine. Nous lui avons dit que nous étions des pratiquants de Falun Gong et que nous nous portions volontaires pour réparer la route boueuse. Nous avons ensuite dit que nous aurions besoin qu'ils nous donnent des cendres de charbon, pour lesquels nous allions payer. Le directeur n'arrivait pas à croire que des pratiquants de Falun Gong soient venus et aient demandé de réparer la route gratuitement et il a dit que nous pouvions prendre tout ce que nous voulions. Certains travailleurs nous ont aidé à remplir le tracteur de cendres de charbon. Nous nous sommes ensuite rendus à l'usine suivante et ses directeurs nous ont offert des cendres de charbon et toutes les briques non-utilisées lors de la construction de l'usine.

Six villages utilisaient cette route et des gens passaient constamment par là. Certains se demandaient si les fonctionnaires du village nous avaient demandé de réparer la route et voulaient savoir si nous étions payés. Nous étions capables de parler à tout le monde qui s'arrêtaient pour discuter avec nous au sujet de Falun Gong.

Alors qu'il commençait à faire noir, un soir et que nous étions sur le point de partir, un petit tracteur transportant des fertilisants est passé par là. Puisque des parties de la route qui venaient tout juste d'être pavées avec des cendres de charbon étaient encore fraîches, le tracteur est resté pris. Nous avons tenté d'aider le conducteur à le pousser, mais ce fut sans succès. Nous avons ensuite tenté de remorquer le tracteur en utilisant le tracteur du pratiquant, mais ce fut également sans succès. J'ai alors demandé au pratiquant de conduire jusqu'au terrain d'artillerie le plus près pour leur demander un plus gros camion. Le pratiquant a pensé qu'il demanderait sûrement de l'argent si nous demandions d'emprunter leur camion. J'ai dit : « Dit leur seulement que nous sommes les pratiquants de Falun Gong qui se sont portés volontaires pour réparer la route. S'ils demandent de l'argent, alors paie-les. C'est parce que nous réparons la route que le tracteur est resté pris. » Le pratiquant est donc parti demander un camion.

Le conducteur du tracteur de fertilisants comprenait que nous tentions sincèrement de l'aider et nous a offert ses cigarettes et nous appelait « frères aînés » (une appellation honorable). Nous avons décliné ses cigarettes et avons expliqué que nous sommes des pratiquants de Falun Dafa. Nous lui avons également dit qu'il n'était pas nécessaire de nous appeler « frères aînés ». Après un certain temps, le pratiquant est revenu avec un camion militaire très puissant qui a facilement remorqué le tracteur de l'homme hors de la boue. Le conducteur du tracteur était très touché et voulait nous remettre de l'argent, mais nous avons décliné. Nous avons été en mesure de lui clarifier les faits au sujet de Falun Gong.

Sur le chemin du retour, le pratiquant conduisant le tracteur nous a raconté que le commandant de la troupe d'artillerie voulait initialement 90 yuans pour qu'il emprunte le camion. Toutefois, lorsqu'il lui a dit que nous étions des pratiquants de Falun Gong qui s'étaient portés volontaires pour réparer la route, il a dit qu'il était d'accord que je l'emprunte si j'achetais un petit cadeau au conducteur du véhicule. Le pratiquant a donc dépensé 20 yuans et lui a acheté quelques choses pour le remercier.

Au cours des jours pendant lesquels nous réparions la route, des passants et des gens de notre village et des villages avoisinants ont été capables de connaître les faits au sujet de Falun Gong et les gens de notre région locale ont commencé à appeler la route « La route de Falun Gong ».

L'été de 2005, j'ai pris un taxi et je suis passé sur cette route. J'ai parlé de Falun Gong au conducteur pendant la route. Il m'a alors raconté qu'il avait déjà conduit un tracteur de fertilisants et était resté pris sur cette route. Je ne lui ai pas dit que j'étais un des pratiquants qui l'avait aidé. Mais avant notre arrivée à destination, je l'ai aidé à quitter le Parti communiste chinois et je lui ai appris à réciter « Falun Dafa est bon. Authenticité- Bienveillance- Tolérance est bon ».

Traduit de l’anglais au Canada