Par un pratiquant de Falun Dafa de Beijing
(Minghui.org) Depuis l’incident de Wang Lijun / Bo Xilai, beaucoup de luttes internes ont eu lieu au sein du Parti communiste chinois (PCC), faisant de Pékin le centre d'attention du monde. Ont également été révélés au monde de nombreux détails au sujet de la persécution du Falun Gong. En conséquence, beaucoup de gens ont réalisé la nature perverse du PCC et appris la vérité à propos du Falun Gong. Ils apprécient l’énorme l’effort et la contribution des pratiquants de Falun Gong au cours de la dernière décennie pour soutenir la vérité et la justice et résister au PCC pervers. Des pauvres aux riches, de civils à de hauts fonctionnaires, les gens sont choqués, touchés et stupéfaits. L'un après l'autre, ils quittent le Parti et ses organisations affiliées.
Au sein du système du PCC, le cœur des gens a radicalement changé
Après l'incident Wang / Bo, de nombreuses personnes à l'intérieur du système du PCC ont réalisé que tout le monde est une victime de la persécution et que s’aligner sur le PCC vous rendra redevable envers chacun.
1. Un policier de Pékin partage la raison pour laquelle il quitte le Parti
Après l'incident, un cadre du Département de police de Pékin a déclaré : “Si les histoires internes concernant les prélèvements d'organes sur des pratiquants de Falun Gong sont révélées, le PCC va s'effondrer. Les crimes du système de police ne sont pas des délits mineurs, mais des crimes capitaux. Ces dernières années, ils ont commis des crimes énormes. Si la dette doit être payée, Zhou Yongkang doit être le premier. ”
“Ce que je recherche avant tout est la sécurité de ma famille. Mon ami pratiquant de Falun Gong ne cesse de me dire depuis des années de démissionner du PCC. Aujourd’hui cela semble très agréable à entendre et rend mon esprit clair. Il le faisait pour mon bien. Le bien sera récompensé par le bien et le mal par le mal. Les trois démissions apporteront à ma famille des bénédictions divines.”
2. Un sujet de conversation dans un bureau à Pékin: L'effondrement du PCC
Quand un pratiquant a parlé de l'incident Wang / Bo, certains fonctionnaires de Pékin ont partagé les points de vue suivants sur le sort du PCC. Un directeur a raillé qu’à présent les pétitionnaires devraient apprendre de Wang Lijun et aller à l'ambassade des États-Unis, qui est la seule façon de garantir leur vie. Aucun autre endroit y compris le tribunal ne peut les protéger. Un autre directeur a dit que le PCC va certainement s'effondrer, que c'est juste une question de temps et de forme, et même Wang Lijun a tenté de s'échapper à l'ambassade américaine pour sa sécurité. Qui peut sauver le PCC? Le PCC ne va pas être détruit par d'autres mais par lui-même. Il est pourri jusqu’à la moelle. Il n’a aucun d'espoir de survivre.
3. Un agent de police de Pékin cherche un logiciel de contournement du pare-feu pour démissionner du Parti
Un fonctionnaire de police a beaucoup changé après l’incident de Chongqing. Il a demandé à son ami de lui donner le logiciel de contournement du Grand Pare feu. Le PCC leur bloque l’accès à beaucoup d’information. Il a dit qu’il y a eu d’énormes changements dans la situation politique et que même le chef de la police et le directeur étaient très nerveux. Son esprit était également troublé. Par exemple que se passera-t-il si la politique de persécution du Falun Gong change et que Falun Dafa obtient réparation ? Son ami lui a suggéré de ne pas faire de mauvaises choses pour le compte du PCC. Il a dit : “La prochaine fois qu’on nous demandera d’arrêter des gens (les pratiquants du Falun Gong) durant la nuit, je trouverai une excuse pour ne pas y aller.” L’ami lui a dit que ça n’était pas assez et que ce serait préférable d’informer les pratiquants de Falun Gong à l’avance afin qu’ils évitent d’être arrêtés. Il est resté figé un instant et a dit : “Si quelqu’un dénonce un pratiquant de Falun Gong, je ferai semblant de ne rien savoir.”
Quelques jours plus tard, cet agent de police a appelé son ami et lui a dit qu’il avait démissionné du Parti sur le site de The Epoch Times. Son ami lui a dit de demander à ses parents et amis d’en faire autant. Il a dit qu’il le ferait et que ses parents sont plus motivés que lui pour condamner le PCC. Il a dit qu’ils allaient assurément démissionner.
Ayant compris la vérité, le public s’oppose à la persécution
Il y a eu de fréquents exemples cette année de civils qui ont spontanément protégé des pratiquants de Falun Gong de la police et de la violence. Par exemple 300 villageois du village Zhouguantun (dans la ville de Fuzhen, agglomération de Botou, province du Hebei) ont signé de leur nom et apposé leurs empreintes digitales sur une pétition appelant à la libération du pratiquant du Falun Gong M. Wang Xiaodong. Dans un autre exemple 562 personnes du canton de Tanghai ville de Tangshan ont également signé de leur nom et apposé leur empreinte digitale sur une pétition appelant à la libération du pratiquant du Falun Gong M. Zheng Xiangxing. Dans un troisième exemple 15 000 personnes de la province duHeilongjiang ont signé et apposé leurs empreintes digitales sur une pétition demandant au gouvernement d’enquêter sur la mort soudaine de M. Qin Yueming, un pratiquant de Falun Gong détenu en prison, et de punir l’assassin. Quand la police a arrêté le pratiquant de Falun Gong M. Li Zhen de la ville de Tangshan, province de Hebei plus de 70 personnes ont signé et apposé leurs empreintes digitales sur les lieux pour protéger M. Li. Plus de 700 personnes ont spontanément signé pour secourir le pratiquant de Falun Gong M. Li Lankui. De ces exemples nous pouvons constater que le public chinois se réveille et que les gens de Chine continentale se lèvent pour résister à la persécution. C’est un choc dans les hauts lieux du à Pékin.
1. Les 300 signatures et empreintes digitales ont circulé dans les hautes strates du pouvoir à Pékin
Le domicile du pratiquant du Falun Gong M. Wang Xiaodong dans le village de Zhouguantan (à Fuzhen, ville de Botou province du Hebei) a été fouillé par la Division de sécurité intérieure de Botou. Parce qu’ils ont trouvé des cartons de DVDs dans sa maison ils ont pensé qu’il gravait des DVD du Falun Gong. Après l’arrestation de M. Wang par la police son enfant de 6 ans et sa mère de 70 ans ont été laissés seuls à la maison. Cela a irrité les villageois. Les 300 familles du village ont désigné une personne pour représenter chaque famille et cette personne a signé ou mis son empreinte digitale sur une pétition avec dessus le tampon du comité du village. Ils ont demandé que le Procuratorat de la ville libère M. Wang.
Cette pétition a circulé au sein du bureau politique du comité central du PCC. Beaucoup ont été choqués. Zhou Yongkang s’est secrètement vengé sur les villageois. Après que cet incident ait été révélé sur Internet, la population chinoise était très en colère et a condamné le comité des affaires politiques et légales.
2. Qing Rongqian est allé à Pékin faire appel pour son père
Le pratiquant de Falun Gong Qin Yueming a été emmené à la prison de Jiamusi dans la province du Heilongjiang le 21 février 2011. Six jours plus tard M. Qin, qui était en parfaite santé est soudainement décédé. Sa famille a constaté des ecchymoses noires sur son corps et il y avait une expression de souffrance sur son visage. Après sa mort, en moins de deux semaines, deux autres pratiquants sont morts en prison sans raisons apparentes. Pour éviter que la famille de M. Qin puisse investiguer pour connaitre la vérité le comité des affaires politiques et légal du Heilongjiang et le bureau 610 ont donné l’ordre à des agents du département de police de Shuangcheng d’arrêter l’épouse et la fille de M. Qin. Des policiers du département de police de Harbin ont menotté sa fille ainée Qin Ronqian sur une chaise en fer pendant huit heures. Sans autres alternatives, Qin Rongqian est sortie dans la rue et a demandé aux gens de signer une pétition demandant une enquête sur la mort injustifiée de son père et la libération de sa mère et sa sœur. La persécution subie par son père a énormément choqué les gens. En deux semaines, elle a recueilli plus de 15.000 signatures et empreintes digitales. L'une des signatures était celle d'un gardien de la prison de Jiamusi. Il a dit: “Je travaille pour cette prison et je sais que cela a été fait par le chef de la prison. ”
Pour obtenir justice pour son père, le matin du 5 Juillet 2012 Qin Rongqian et trois avocats sont allés à Pékin pour faire appel aux dirigeants communistes avec une lettre ouverte. Ils sont allés au Procuratorat suprême du peuple, à la Cour suprême et au bureau des appels du Comité permanent du congrès national du peuple. Toutefois, aucun des bureaux n’a accepté l’appel. Alors qu'ils étaient à Pékin, ils ont été harcelés et menacés par des policiers en civil du Heilongjiang.
(À suivre)
Traduit de l'anglais en Europe