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La femme d'un officier rend compte de sa foi déterminée en Falun Dafa au sein de la terrible persécution

18 janvier 2013 |   Écrit par une pratiquante de Chine

(Minghui.org) Un jour, l'éditeur d'un magazine au niveau central m'a dit avec émotion lors d'une conversation : « J'ai souvent donné des épreuves à mes étudiants en maîtrise et en doctorat, j'ai découvert que tous copiaient simplement les réponses à partir du livre ; Ils manquaient de réflexion indépendante. Mais vous êtes différente. Vous réfléchissez par vous-même, clairement et de façon analytique. Comparée à eux, vous êtes de loin supérieure. Cela fait 20 ans que nous ne nous sommes pas vus, mais vous êtes toujours la même personne. »

Mon époux était un officier militaire en service actif. Étant un travailleur acharné, l'armée l'a envoyé obtenir un plus haut diplôme. En raison de la dégénérescence de la société actuelle, la corruption au sein de l'armée était galopante. Depuis le début de notre pratique du Falun Dafa, nous nous sommes toujours conduits selon les principes de Vérité-Compassion-Tolérance. Nous ne soudoyions pas nos supérieurs afin d'obtenir un nouvel appartement. Nous prenions les intérêts matériels avec beaucoup de légèreté. Bien que parfois mon époux et moi avions des conflits dans notre vie quotidienne, nous arrivions toujours à regarder à l'intérieur afin de trouver nos propres insuffisances. Par exemple, dans le passé, j'aimais me plaindre de tout et semblais ne voir que les insuffisances des autres. Aujourd'hui, j'ai appris à examiner mes propres insuffisances et j'ai cessé de me plaindre des choses. J'ai aussi réussi à rectifier mes insuffisances en utilisant les principes de Vérité-Compassion-Tolérance enseignés par le Falun Dafa. Grâce à cela, tous les conflits sont facilement résolus.

Mon époux et moi, nous nous sommes mariés en 1993. Nous avons commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1999. A travers l'étude du Fa, j'en suis venue à comprendre de nombreux principes élevés et le sens de la vie. Je suis devenue déterminée à être une personne bonne, une personne morale. J'étais comptable dans une entreprise. Il y avait un parc en face de notre maison. J'avais l'habitude d'y aller chaque jour pour pratiquer les exercices du Falun Gong avant d'aller travailler. Quand je rentrais de mon travail, soit j'étudiais le Fa ou je pratiquais les exercices. En raison de l'amélioration de mon xinxing, je fus nommée « Meilleure Épouse de Militaire » par l'armée. Pendant six mois, j'ai baigné dans la beauté de la cultivation dans le Falun Dafa.

Le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à brutalement persécuter le Falun Gong en juillet 1999. Tous les pratiquants de Falun Gong ont été soumis depuis lors à divers degrés de persécution. En 2001, j'ai été persécutée et torturée par le bureau 610 et par le bureau local de la sécurité publique, ce qui a résulté en des fractures des extrémités inférieures. Le médecin m'a dit que l'une de mes fractures n'était pas visible sur la radio, et que probablement je devrais utiliser des béquilles toute ma vie. La police du bureau 610 et du bureau local de la sécurité publique m'a continuellement harcelée même quand j'étais alitée. Quand ils n'obtenaient pas ce qu'ils voulaient, ils allaient perquisitionner chez mes parents et les menaçaient : « Votre fille pourrait être condamnée à 10 ans de prison. Si vous voulez réduire sa peine, vous devez coopérer avec nous. » Bien que mes parents âgés n'aient cessé de les prier de leur donner la permission de venir me voir à l'hôpital afin de prendre soin de moi, ils ont refusé. Ils n'ont même pas dit à mes parents où j'étais quand j'étais détenue. À cause de cela, mes parents pleuraient tous les jours. Un jour, le directeur du bureau de la sécurité publique locale à tenté de me faire tomber dans un piège en utilisant l'affection pour ma famille. Il a tout d'abord dit à mes parents de m'écrire plus de 20 lettres. Puis, les lettres en main, il les a utilisées comme monnaie d'échange. Il est entré dans ma chambre après m'avoir donné une de ces lettres à lire, et a dit : « Tu veux savoir ce qui se passe chez toi ? Veux-tu lire toutes les lettres de tes parents ? Alors, dis-moi d'où proviennent ces documents de clarification de la vérité du Falun Gong. Qui sont tes contacts et ceux de ton mari ? » Voyant que son piège ne fonctionnait pas, il est parti. Mes parents étaient extrêmement angoissés en n'ayant plus aucune nouvelles de moi.

Plusieurs jours plus tard, plus d'une dizaine de gens de l'armée, du bureau de la sécurité publique locale, du bureau 610 et de mon unité de travail sont venus à la division de la prison où j'étais détenue, et qui était verrouillée et surveillée 24 heures sur 24 par deux gardiens. Ils ont amené mon époux avec eux. Au début, mon époux attendait que l'armée le renvoie dans sa ville natale à la fin de l'année. Après avoir été blessée, l'armée a envoyé quatre hommes dans la ville natale de mon époux pour le ramener dans l'armée.

Je souffrais alors encore de fractures au bas du dos. J'étais couchée, incapable de bouger. Je n'ai pu retenir mes larmes quand j'ai vu mon mari. Je savais que je n'avais rien fait de mal. Le PCC persécutait de bonnes personnes. La seule personne qui me comprenait était mon mari. Je savais qu'il ne se plaindrait pas de ce que j'endurais. J'espérais juste qu'il ne s’inquiéterait pas trop pour moi, et qu'il ne soit pas persécuté par le PCC. Parce que beaucoup de monde était présent, je n'ai pas pu lui parler. Mon époux et moi, nous nous sommes vus moins de dix minutes, mais nous étions surveillés par plus de 20 personnes. Une telle tragédie ne pouvait se produire que sous le régime du PCC où les droits de l'homme et la dignité ne sont pas pris en compte.

La police du bureau 610 et du bureau local de la sécurité publique sont venus m'inculper plusieurs fois. J'avais acheté un ordinateur en 1997 avant de commencer la pratique du Falun Gong, mais ils ont insisté pour m'accuser d'avoir intentionnellement acheté l'ordinateur dans le but de fabriquer des documents de clarification de la vérité du Falun Gong. Quelques bons amis étaient venus me rendre visite chez moi. Les fonctionnaires m'ont accusé de « rassemblement illégal. » Les assignations à comparaître étaient faites dans le but de me calomnier. Voyant que je ne coopérais pas, ils m'ont menacée en disant que si je ne leur disais pas d'où provenaient les documents, ou à qui ils étaient destinés, ils utiliseraient les livres et les documents de Dafa qu'ils avaient confisqué chez moi pour accuser mon mari de les avoir fabriqués, l'accusant ainsi de « troubler l'ordre social. » Ceci ruinerait son avenir et il ne percevrait plus aucun revenu.

Les forces armées étaient très nerveuses à propos des officiers militaires qui avaient des membres de leur famille pratiquants de Falun Gong. Ils organisaient réunion sur réunion et écrivaient des rapports pour traiter nos cas. Afin de conserver leurs postes, les commissaires politiques de l'armée essayaient de mettre la pression sur mon mari pour qu'il divorce. L'un d'eux l'a menacé : « Si vous ne faites pas une demande de divorce, votre avenir politique sera compromis. Si vous le faites, nous nous en occuperons pour vous. » Un autre a dit : « Aujourd'hui, c'est à la mode de changer de maison, de voiture et de femme. C'est pour vous une opportunité de faire ce changement. » Mon mari leur a dit : « En tant qu'êtres humains, nous devons avoir une conscience et une moralité. Nous ne pouvons pas enfoncer une personne quand elle est dans le puits. » Un des bons amis de mon mari l'a averti : « Ta femme sera condamnée au moins à cinq ans de prison. Le médecin a dit qu'elle restera estropiée. Veux-tu vraiment t'occuper d'elle jusqu'à la fin de ses jours ? Si oui, tu n'auras aucun avenir. » Il n'a pas persuadé mon mari.

Durant ce temps, tout le monde parlait d'acheter un logement secondaire. Afin d'obtenir un nouvel appartement, beaucoup de gens dans l'armée demandaient de faux divorces. Par exemple, si mon mari avait divorcé, on lui aurait assigné un nouvel appartement en plus de celui dans lequel il vivait. De plus, il aurait touché des dizaines de milliers de dollars d'indemnités de logement. Mais mon mari n'a pas été du tout tenté.

Les dirigeants de l'armée ne voulaient toujours pas renoncer à persuader mon mari de divorcer. Ils ont envoyé un chef adjoint dans la ville natale de mon mari, laquelle se trouvait à des milliers de kilomètres, afin de le persuader et de menacer ma belle-mère : « Si votre fils ne divorce pas, je l'enfermerai. » » Ma belle-mère a dit : « La loi autorise la liberté de mariage. Qu'ils veuillent ou non divorcer, c'est leur affaire. J'ai envoyé mon fils servir dans l'armée, si vous l'enfermez simplement parce qu'il ne veut pas divorcer, je ne vous laisserais pas en paix ! »

Mon père était étudiant à l'université. Il a aussi vécu de nombreux changements politiques initiés par le PCC pervers. Craignant que l'avenir de mon mari ne soit compromis à cause de moi, mon père a tenté de le persuader de divorcer de moi : « Ma fille sera en prison pour au moins cinq ans. De plus, elle est estropiée. A présent, elle ne veut toujours pas être transformée. Le bureau 610 et le bureau de la sécurité publique locale ne vont pas l'épargner. Si tu divorces, nous dirons que tu n'as rien fait de mal. » Mon mari a dit : « Elle n'a rien fait de mal. Pourquoi devrais-je divorcer d'elle ? Un homme doit avoir une bonne moralité. »

Mon mari, en tant que pratiquant, a suivi les principes et le critère moral établi par le Falun Dafa. Il n'était pas du tout ébranlé par les intérêts personnels. En représailles, l'armée a maintenu mon mari suspendu pendant trois mois. On lui a accordé une mutation, mais maintenant il a été placé en résidence surveillée.

J'ai été détenue dans un hôpital carcéral. Un des directeurs qui m'a vue là-bas a dit à mes parents que j'avais failli m'évanouir durant sa visite. Mes parents sont allés dans différents bureaux pour obtenir de l'aide pour moi. Trois mois plus tard, j'ai finalement été « libérée sous caution. » Le bureau 610 et le bureau de la sécurité publique local ont demandé à mes parents de collaborer avec eux pour me « transformer. » Ils ont enfermé mon téléphone fixe dans une boîte en métal afin que je ne puisse pas l'utiliser. Ils ne laissaient personne de l'extérieur venir me rendre visite. Je ne pouvais que rester chez mes parents.

Craignant que je ne sois arrêtée par le bureau de la sécurité publique et envoyée en prison pour davantage de torture, et afin de me protéger, mon père a développé une attitude haineuse envers moi. Il a commencé à me battre et à m'insulter dans le but de me « transformer. » J'étais ferme dans Dafa et j'ai refusé d'être « transformée. » Ne voyant aucun résultat, mon père a essayé de forcer mon mari à divorcer, espérant que sans aucun revenu ni soutien de la part de mes êtres chers, j'abandonnerais la pratique de Dafa. Après que mon mari ait refusé de coopérer avec lui, il est devenu furieux. Il a invité tous mes parents proches à venir dans notre maison et leur a dit que c'était pour eux la dernière chance de me voir avant qu'il ne me renvoie en prison.

J'avais été l'enfant préféré de mon père depuis toute petite. Sous la protection de mes parents, j'ai grandi sans aucune inquiétude. Maintenant, face à la persécution du PCC, il avait si peur que je sois à nouveau persécutée. Il utilisait toutes sortes de moyens pour essayer de me faire arrêter la pratique de Dafa. J'ai commencé à me demander : « Pourquoi mon père a-t-il été si irrationnel et incapable de distinguer le bien du mal ? Pourquoi a-t-il si peur du PCC ? Il sait mieux que quiconque que sa fille n'a rien fait de mal, mais qu'elle veut juste cultiver dans Dafa. Pourquoi a-t-il forcé sa fille à dire des mensonges ? Les gens parlaient de l'esprit pervers du communisme. Mon père avait dû être possédé par l'esprit pervers du communisme. Les mouvements du PCC, les uns après les autres, ont effrayé nombre de Chinois comme mon père. Les gens sont victimes de la propagande du PCC. » Battue et disputée par mon père, je pleurais silencieusement. Je savais qu'il était empoisonné par les informations fabriquées par le PCC. Il faisait une mauvaise chose tout en pensant m'aider à échapper à la persécution.

Quand mon mari a appris comment j'étais traitée, il est vite venu chez mes parents et m'a ramenée dans notre maison (en dépit des pressions de toutes parts). Nos livres de Dafa, ordinateur, caméscope, lettres personnelles, montres, disques, etc. avaient été confisqués par le Bureau de la sécurité publique. Bien que cela faisait six mois, et en raison des si horribles choses qui nous étaient arrivées, je ne pouvais pas croire que j'étais de retour dans ma propre maison. Je savais que mon mari avait beaucoup enduré. Le personnel de l'armée a sans cesse essayé de le contraindre de divorcer. Mais maintenant, non seulement il avait refusé mais il m'avait ramenée à la maison pour prendre soin de moi. Après que mon mari m'ait ramenée chez moi, l'armée nous a mis sous surveillance. Ils n'ont donné à mon mari aucun travail spécifique. Durant la journée, il devait faire des rapports à l'armée. Les week-ends, s'il voulait quitter la maison, il devait demander la permission à l'armée et être accompagné d'un superviseur. Maintenant, la sentinelle avait une tâche de plus à accomplir, qui était de nous surveiller. Notre téléphone fixe et l'endroit où nous nous trouvions étaient constamment surveillés.

La police du bureau de la sécurité publique a appelé mon mari et lui a dit de ne pas me garder à la maison. Mon mari a refusé de les écouter. Pendant ce temps, ma mère et un ancien professeur et sa femme (une professeure d'université) sont venus chez nous me persuader d'abandonner la pratique de Dafa. Mon mari, qui était assis près d'eux, a dit : « En tant que professeurs, vous êtes supposés enseigner correctement les élèves, montrer l'exemple, et résoudre les problèmes des élèves. Comment pouvez-vous utiliser les mensonges pour bien enseigner à vos élèves ? » Ils n'ont plus rien trouvé à dire et sont partis.

Même au sein de la persécution, je suis restée ferme dans l'étude du Zhuan Falun et dans la pratique des cinq exercices. Bientôt, j'ai miraculeusement recouvré ma santé. Mon mari a été envoyé dans un camp de travail pour une peine de deux ans, ceci pour ne pas avoir dénoncé à l'armée la présence d'un pratiquant de Falun Gong chez lui. J'ai sans cesse demandé à le voir, sans succès. Voyant que ma santé s'était rétablie aussi rapidement, certains officiers militaires m'ont demandé comment j'avais fait. Je leur ai dit que je pratiquais le Falun Gong. J'ai ensuite répondu à leurs questions, clarifiant ainsi leurs incompréhensions et mauvaises conceptions sur le Falun Gong. Après avoir écouté mes explications, un des hauts fonctionnaires a dit : « La vérité doit être révélée. » Un autre fonctionnaire a fermé la porte afin de m'écouter clarifier les faits au sujet de la mise en scène de l'auto immolation de la Place Tienanmen. Il a dit : « Vos paroles sont comme une bombe atomique. Les cadres dirigeants ici ont réellement peur de vous, et cependant ils ne peuvent vous laisser partir. »

Utilisant toutes sortes d'excuses, l'armée a refusé de me laisser voir mon mari. J'ai écrit une lettre au quartier général militaire à Beijing, mais je n'ai eu aucune réponse. Souvent, je contemplais les nuages dans le ciel et je m'évanouissais, craignant que le PCC pervers ne fasse de mal à mon mari. Je pensais : « En tant qu'épouse, il est certain que j'ai le droit de voir mon mari. » Aussi, je suis allée voir le commissaire politique de l'armée pour lui demander de me donner une réponse claire. Je lui ai dit que j'allais entamer une grève de la faim à partir de cet instant si je ne voyais pas mon mari. Trois jours plus tard, craignant que je ne meurs de faim, mon père est devenu très nerveux et m'a emmenée à l'armée voir les fonctionnaires. Un des chefs de l'armée a rapidement demandé à son supérieur comment traiter l'affaire, mais m'a dit de retourner chez moi afin d'attendre une réponse. J'ai insisté que je n'irais nulle part avant d'avoir vu mon mari, qu'il soit vivant ou mort. Une heure plus tard, ils ont été d'accord d'envoyer une voiture et de m'emmener voir mon mari. Après cela, j'ai pu aller par moi-même voir mon mari là-bas.

Trois mois plus tard, l'armée a voulu me piéger. Ils ont envoyé trois cadres et ont transféré mon mari en avion vers un camp de travail forcé à des milliers de kilomètres.

Après avoir recouvré totalement ma santé, le bureau 610 a une nouvelle fois tenté de m'arrêter. Aussi, j'ai été contrainte de quitter ma maison et de m'établir ailleurs. Le personnel des forces armées m'a cherché frénétiquement. Ils ont suivi mes parents et se sont cachés chez ma sœur. Un jour chez ma sœur, ma mère est allée fermer la fenêtre. Soudain, une tête a jailli de derrière les buissons et a crié à ma mère : « Où est votre fille ? » Il a dit qu'il était caché là depuis plusieurs jours.

Un an plus tard, mon mari a été libéré du camp de travail à la fin de sa peine et a été renvoyé dans l'armée. L'armée n'a pas laissé mon mari retourner à la maison, disant : « Votre femme n'est pas là. Vous n'avez aucune maison où retourner. Restez simplement dans l'armée. » En fait, ils tentaient de le mettre en résidence surveillée. Deux ans auparavant, il était persécuté pour avoir protégé sa femme (seulement parce qu'elle est une pratiquante de Falun Gong) et pressé de divorcer d'elle. Aujourd'hui, il ne pouvait pas rentrer chez lui parce que sa femme n'était pas à la maison.

Après de nombreuses difficultés, j'ai appris la situation difficile de mon mari par mes amis et ma famille. J'ai décidé de retourner chez moi pour le chercher. Quand je suis arrivée à l'armée, le personnel là-bas a été surpris de me voir. J'ai demandé alors à ce que mon mari soit autorisé à rentrer avec moi à la maison. Ils ont essayé de gagner du temps en prétextant qu'ils voulaient m'emmener dîner dehors, alors qu'ils téléphonaient au bureau 610. Quelques moments plus tard, plusieurs voitures du bureau 610 sont arrivées et m'ont emmenée. L'armée a vite appelé mon mari et a dit : « Votre femme ne va pas revenir cette fois. Soyez mentalement préparé. » Cependant, après m'avoir interrogée, le bureau 610 n'a rien pu trouver qu'ils puissent utiliser pour m'impliquer et j'ai été libérée. L'armée avait aussi épuisé toutes ses ruses pour me persécuter. Finalement, après deux ans, mon mari et moi étions à nouveau réunis.

Quelques années plus tard, j'ai rencontré mon ancien professeur et sa femme qui étaient une fois venus me rendre visite. Ils m'ont dit qu'ils avaient fini de regarder les Neuf commentaires sur le Parti communiste. Ils savaient ce que j'avais traversé. Voyant que j'avais complètement recouvré ma santé, et que je paraissais plus jeune qu'avant, ils ont été stupéfaits et ont exprimé leur intérêt pour la pratique du Falun Gong.

C'est le chemin d'épreuves que nous avons parcouru durant ces dernières années. À travers mon expérience, on peut voir la perte totale de rationalité du PCC pervers dans sa persécution frénétique du Falun Dafa. Mon histoire reflète aussi comment des milliers de disciples de Falun Dafa, dont la croyance déterminée en Dafa les a aidés à traverser quantités de tribulations, résistent à la persécution et obtiennent une nouvelle vie.

Traduit de l'anglais en Europe