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Personne ne peut échapper à ses responsabilités pour les mauvaises choses qu’il a faites

1 octobre 2013 |   Écrit par Xinhu

(Minghui.org) Le Parti communiste chinois (PCC) se proclame souvent comme étant vénérable mais ses actions suggèrent quelque chose de bien différent. En particulier, il émet souvent des sentiments pieux, en commettant les actes les plus ignobles. Il est souvent d'usage que le PCC crée un bouc émissaire pour que celui-ci porte tout le blâme qu'il devrait supporter.

Un article intitulé : « Le Comité central des affaires politiques et juridiques : la police, le Parquet et la Cour seront tenus responsables pour la durée de leur vie des résultats des dossiers qu'ils traitent » a été publié sur tous les sites majeurs de la Chine vers le 12 août 2013.

Le message de cet article est similaire à la citation suivante de la « Consultation avec empressement sur la prévention des cas injustes, faux et erronés », récemment publié par le Comité central des affaires politiques et juridiques du PCC :

« Afin d'établir un système responsable et juste de traitement des dossiers, ceux qui occupent des postes d'autorité, tels que les panels collégiaux, les juges, les procureurs et la police, assumeront la responsabilité de leur comportement au cours de leur emploi à l'État pour leur vie entière. Les normes pour les cas injustes, faux et erronés doivent être clarifiées et les procédures juridiques pour gérer une telle corruption doivent être indiquées clairement, avec un système clair de punition pour ceux qui commettent de tels actes. Des actions sévères seront prises contre les activités telles que extorquer des aveux par la torture, le recours à la violence pour obtenir des aveux ou dissimuler ou fabriquer des preuves. »

D'une part, le PCC utilise ses organes de sécurité publique (la police, le Parquet et le tribunal) pour persécuter des personnes innocentes. D'autre part, il met le personnel de ces organes de sécurité publique comme boucs émissaires pour tous les actes criminels conçus par le PCC.

Pendant la persécution des pratiquants de Falun Gong au cours des 14 dernières années, la police du PCC, les bureaux du Parquet et les tribunaux ont été les instigateurs de nombreux cas injustes, faux et erronés.

Aujourd'hui, le PCC est confronté à la difficulté de maintenir son pouvoir. Afin de tromper le public et de maintenir la dernière prise de sa tyrannie despotique, il a maintenant l'intention de se défaire du personnel non essentiel dans les organes de sécurité publique, en les utilisant comme boucs émissaires pour tous ses crimes contre l'humanité.

Depuis octobre 1999, la base juridique sur laquelle les organes de sécurité publique ont condamné les pratiquants de Falun Gong innocents incluait les doctrines suivantes élaborées par le PCC : « Ministère de la publication de la sécurité publique », « Ministère de la publication des affaires civiles », « Interprétations judiciaires » et « Interprétations judiciaires II ».

Cependant, aucune de ces « publications » et « interprétations » ne sont passées par le processus d'approbation juridique de l'Assemblée du Peuple, de sorte qu'ils sont simplement des documents administratifs. Habiliter ces documents administratifs avec la puissance de l'application de la loi est illégal en soi.

Le 9 avril 2005, six ans après le lancement de la persécution du Falun Gong, le Ministère de la sécurité publique a publié « Publication sur les questions liées à l'identification et l'interdiction des organisations religieuses perverses » (document [2005]39). Dans cette publication, le ministère a indiqué que 14 organismes ont été identifiés comme « sectes perverses ». Le Falun Gong n'était pas mentionné.

En fait, aucune loi n'existe en vertu de laquelle la persécution du Falun Gong en Chine pourrait être considérée comme légale.

Le Comité des affaires politiques et juridiques du PCC et le Bureau 610 se spécialisent dans la persécution des pratiquants de Falun Gong, la manipulation des services de police à travers la Chine pour arrêter les pratiquants de Falun Gong et faire pression sur les tribunaux pour condamner illégalement les pratiquants de Falun Gong.

Le système judiciaire du PCC n'est pas indépendant. Quand il s'agit du Falun Gong en particulier, le système judiciaire est plutôt un peu plus qu'un outil employé par le PCC pour persécuter les masses. Les frais et les modalités de sanction sont prédéterminés par le Bureau 610 et le Comité des affaires politiques et juridiques. Le juge n'est qu'un pantin du PCC. Lors de l'audience, la Cour feint la sincérité pour tromper le public.

L’inculpation que les tribunaux utilisent couramment pour condamner les pratiquants de Falun Gong est le soi-disant « 300e article du Code pénal » - à savoir, le « crime de saboter l'application juridique en organisant et en utilisant une religion perverse. »

Le Falun Gong enseigne aux gens la compassion et la tolérance, et les gens sont toujours libres de décider de pratiquer ou non. Cela n'a rien à voir avec une religion perverse. En fait, la liste officielle de la Chine de « religions perverses » ne comprend pas le Falun Gong.

Le PCC persécute des gens innocents et utilise tous les médias d'État pour diffuser une propagande mensongère afin de laver le cerveau du public. Ainsi, le PCC lui-même est une secte dans le sens véritable.

Les tribunaux n'ont jamais souligné que notamment la loi interdit le Falun Gong, ou comment le Falun Gong a « saboté l'application juridique ». La vérité est que le PCC a manipulé les tribunaux pour tordre les lois afin de persécuter des personnes innocentes. C’est donc le PCC qui a saboté le système juridique.

Aujourd'hui, le PCC est au bout du rouleau et ses jours de pouvoir sont comptés. Par conséquent, il essaie maintenant d'attribuer la totalité de ses crimes atroces contre l'humanité au personnel des organismes de sécurité publique, de manière à échapper à toute responsabilité.

C'est la même ruse qu’il a utilisé après la décennie de terreur de la Révolution culturelle (1966-1976). À cette époque, il a été dit que le très populaire Liu Chuanxin, directeur du Service de police de Pékin, se serait « suicidé par crainte de son châtiment ».

Ensuite, 793 policiers et 17 officiers militaires qui avaient été fidèles à la « ligne rouge » du PCC, ont été rassemblés dans la province du Yunnan et exécutés secrètement, alors que leurs familles ont été informées qu'ils étaient morts en fonctions.

Les auteurs de la Révolution culturelle du PCC ont peut-être pensé qu'ils avaient échappé de justesse au blâme à la fin de la Révolution culturelle. Cependant, personne ne peut échapper à la justice universelle. Comme on le dit souvent en Occident : « On récolte ce que l’on sème », et cette maxime est toute aussi vraie pour les scélérats de la Révolution culturelle.

Les atrocités commises par le PCC sont une escalade toujours et encore plus haute, mais aucun ne pourra échapper à la responsabilité ultime de ce qu'ils ont fait.

Pour le personnel de la sécurité publique dont on a profité et qui sera bientôt abandonné par le PCC, la seule chose juste qui leur reste à faire est de se lever pour la justice et divulguer toutes les preuves de la persécution du Falun Gong par le PCC. Ils doivent faire attention à eux-mêmes, car le Parti ne le fera pas pour eux.

Traduit de l’anglais au Canada