(Minghui.org) Ma mère est récemment venue me rendre visite. Influencée par la culture communiste chinoise, mon mari ne la respecte pas du tout. Ma mère n’est ni riche ni d’un haut statut social. Surtout, il craignait que sa pratique du Falun Gong ne lui attire des ennuis. Alors il la traitait toujours sans le moindre égard et ne l’a même pas invitée à rester déjeuner avant qu’elle ne reparte.
Ma mère est retournée chez elle et j’étais très en colère. J’ai dit sérieusement à mon mari : « Ne pas avoir de respect pour les personnes âgées est inapproprié, mais avoir une attitude négative envers les principes d’Authenticité-Bienveillance-Tolérance au cœur du Falun Gong est encore pire ; tes mauvaises actions peuvent t’apporter de mauvaises conséquences. » Il a ri de moi et ne l’a pas cru.
Nous tenons un magasin et vers 8 h, un client est entré. Il était entre deux âges, le crâne rasé, et complètement ivre. Il est venu au comptoir et a hurlé : « Donnez-moi un paquet de cigarettes ! Je vous paierai plus tard. » Mon mari ne le connaissait pas et comme le client ivre semblait chercher les ennuis, il a décidé de le jeter dehors. Cependant, lorsque mon mari s’est avancé vers lui, l’homme a tout à coup commencé à hurler, prétendant que mon mari l’agressait. Puis il a menacé d’appeler d’autres gars pour se battre. Il a aussi attrapé une barre de fer et a menacé d’endommager toute la marchandise dans le magasin. Il a dit qu’il n’avait pas peur de la police, ayant déjà été arrêté plusieurs fois.
Mon mari a alors remarqué des cicatrices longues de dix centimètre sur le crâne de l’homme, ainsi qu'une longue cicatrice dans son dos. Apparemment cet homme était un criminel de longue date. Appeler la police ne servirait à rien, car ils le laisseraient probablement tranquille. Même s’ils l’arrêtaient, l’homme chercherait probablement à se venger une fois relâché.
Mon mari était très nerveux et s’est excusé auprès de l’homme. Ce dernier s’est assis sur une chaise et a demandé des cigarettes et du vin. Il a aussi proféré quelques jurons et a demandé à quel groupe de gangster nous payions des pots-de-vin pour protéger notre magasin. En apprenant que nous ne versions d’argent à personne, il est devenu furieux et a dit : « Comment se fait-il que vous n’ayez versé d’argent à personne toutes ces années. Si vous me payez moi, pour couvrir votre magasin, alors personne n’osera plus vous ennuyer. » Il a aussi forcé mon mari à lui dire son nom, où il travaillait et à lui donner son numéro de téléphone.
Le lendemain matin, l’homme a appelé mon mari, disant qu’il irait sur son autre lieu de travail avec d’autres gangsters pour créer des problèmes. Mon mari était frustré et effrayé : il pourrait non seulement perdre le magasin de détail, mais aussi son autre job. Je lui ai rappelé comment il avait traité ma mère lorsqu’elle était venue en visite. Il l’a reconnu et a décidé de corriger son erreur. Je lui ai dit de réciter sincèrement « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Il a acquiescé.
Quelques jours plus tard, l’homme est revenu avec un autre gangster. Je savais que je devais les sauver en leur disant les faits à propos du Falun Dafa et de la persécution. Je leur ai dit que les Chinois du continent ont vécu pendant tellement d’années sous l’influence du Parti communiste qu’ils ne le réalisent même plus. Les Neuf Commentaires sur le Parti communiste parlent de la culture chinoise traditionnelle. Je lui ai dit que même des gangsters avaient leurs principes. Par exemple, certains avaient gagné le respect et étaient devenus des héros en ciblant de mauvaises personnes ou des fonctionnaires corrompus. D’un autre côté, ces gangsters qui nuisaient aux pauvres ou aux citoyens ordinaires étaient souvent arrêtés et punis. Je lui ai dit : « Vous n’avez peut-être pas peur de la police ou de la détention, mais qu’en est-il de vos femmes et vos enfants ? N’est-ce pas dommage que vous suiviez la direction du Parti communiste et ruiniez votre futur ? »
L’homme était touché par mes mots et ses yeux se sont mouillés de larmes. Il a dit alors : « Ce que vous avez dit est la pure vérité et a touché mon cœur. Que dois-je faire ? »
En regardant ses yeux mouillés de larmes, je lui ai dit : « Faire de bonnes actions change positivement le futur de quelqu’un. Il y en a tellement d’exemples dans l’histoire. Lorsqu’un pauvre marchand a trouvé de l’or perdu, il l’a rendu à son propriétaire. Pour cela, il a non seulement échappé à un désastre imminent, mais est aussi devenu riche. Dans une autre histoire, un haut fonctionnaire a perdu tous ses privilèges, sa fortune et sa vie en commettant de mauvaises actions. Actuellement, le régime communiste a calomnié le Falun Gong et dupé les gens. Si vous pouvez réciter sincèrement « Falun Dafa Hao » (Falun Dafa est bon) et quitter le Parti communiste, vous ferez une très bonne chose qui peut vous aider à rester en sécurité. »
Le gangster continuait à écouter et semblait très intéressé : « Je suis membre du Parti communiste. Comment puis-je le quitter ? » Je lui ai dit : « Vous pouvez écrire votre nom ou un pseudonyme, sur du papier monnaie pour l’annoncer. Je peux vous y aider. » Je lui ai donné un billet de 10 yuans. Il a essayé, mais m’a retourné le billet pour que j’écrive à sa place. J’ai écrit : « Quittez le parti communiste pour votre sécurité future », et le lui ai donné. Dès qu’il a pris le billet, il a crié : « Les pratiquants de Falun Gong sont sur une liste de personnes recherchées, je vais emmener ça à la police et on me donnera mille yuans ! Vous ne pourrez pas nier parce que c’est votre écriture. »
J’étais surprise, mais je n’ai pas paniqué. En pensant à la persécution à laquelle avaient été soumis le Falun Gong et son fondateur, je me suis calmée et je lui ai dit sérieusement : « Je n’ai rien fait de mal. J’ai fait ça parce que je me soucie sincèrement de vous. Si vous l’amenez à la police, c’est la preuve de vos mauvaises actions. Aujourd’hui le Parti communiste persécute le Falun Gong. Si vous le suivez, alors demain vous serez la victime dans sa prochaine campagne politique. Votre famille souffrira comme moi. Pensez-y ! »
En entendant mes mots, il a su qu’il avait tort et a baissé la tête. Je lui ai dit : « Vous pouvez partir à présent. Si vous faites quelque chose de mal, votre famille pourrait avoir à en souffrir . Ce sera bien plus que ce que 1000 yuans peuvent couvrir. Ne faites pas de choses absurdes je vous prie. » Il a hoché la tête et est parti.
Dès qu’il fut parti, j’ai dit à mon mari : « Le Falun Gong ne fait rien de mal. Récitons ensemble "Falun Dafa Hao" et nous serons bénis. » Il a accepté. Non seulement il a récité les mots, mais il les a aussi écrits sur des morceaux de papiers qu’il a affichés à plusieurs endroits.
Un jour a passé, une semaine a passé, un mois a passé. Le gangster ne s’est plus montré, ni la police. C’était le pouvoir de nos actions et pensées droites qui ont vaincu la méchanceté de l’homme et empêché de prendre la mauvaise décision.
De cet incident, mon mari a aussi appris que le Parti communiste ne protège pas les gens ; seul le Falun Gong peut le faire. Il a alors commencé à me soutenir et m’a aidé à faire savoir à d’autres la bonté du Falun Gong.
J’espère que chacun en viendra à savoir et à comprendre la vérité et prendra la juste décision pour son futur.
Traduit de l'anglais en Europe