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Surmonter une épreuve de vie et de mort, chérir encore plus la cultivation pratique

19 octobre 2013 |   Écrit par une pratiquante occidentale d’Australie

(Minghui.org) Salutations au Maître ! Salutations aux compagnons de pratique !


Cette dernière année, j’ai surmonté une épreuve de vie et de mort. Après mûre réflexion, j’ai décidé que je devais partager cette expérience.


Lorsque j’ai commencé la cultivation, c’était vraiment comme si toute ma vie était bouleversée. Je vivais en Europe et travaillais comme mannequin. Lorsque j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa, mon travail a pris fin, une relation de trois ans a pris fin et j’ai dû partir vivre en Australie. Tout ce que je connaissais a pris fin et a changé et j'ai dû m’adapter... Et je l’ai fait. Tant qu’il s’agissait de moi seule, c’était facile de tout abandonner et de vivre juste pour Dafa.


Puis je me suis mariée et j’ai eu des enfants. Au début de ma cultivation, j’étais très concentrée et diligente. Je faisais quantité d’activités pour promouvoir Falun Dafa et éveiller les consciences. J’étudiais et pratiquais les exercices tout le temps. Même lorsque j'étais enceinte de plusieurs mois de mon premier enfant, j’étais activement impliquée dans les activités et les évènements du Falun Dafa. Alors que mon fils n’avait que quatre semaines, je le mettais dans un porte-bébé et allais rencontrer des députés avec d’autres pratiquants. J’étais plongée dans le
Fa. Je trouvais que j’avais été constamment dans un bon état… Jusqu’à ce que j’aie mon deuxième enfant. Pour moi, c’est alors que les choses ont commencé à devenir vraiment difficiles. Il y a eu une nette différence dans ma cultivation après avoir eu mon deuxième enfant. J’avais vraiment du mal à suivre. L’étude du Fa, les exercices et les activités de clarification des faits ont commencé à déraper. Dans mon cœur, je savais que je serais toujours une disciple de Dafa et que je n’abandonnerais jamais la pratique, parce que pour moi, c’était la signification même de la vie. Dafa expliquait tout. C’est la raison pour laquelle je suis vivante. J’ai toujours su cela clairement.


Mais le temps passant, j'ai été de plus en plus prise par mes enfants, de sorte que lentement, je suis devenue moins diligente. Je suis tombée dans un état de faire les choses pour la forme et me sentir comme légèrement engourdie. Je sentais qu’il me manquait quelque chose, comme si j’étais vide. Alors, après un certain temps, le karma de maladie a fait son apparition. Ces quelques dernières années, j’avais des manifestations récurrentes de karma de maladie, habituellement sous la forme d’une infection des poumons. C’était si grave que je toussais pendant des mois d’affilée. Une fois, j’ai tellement toussé que je me suis fêlé une côte. J’ai toujours pensé que c’était un réveil par le bâton m’indiquant d’être plus diligente. Alors pendant un moment, je suis devenue plus concentrée et vraiment plus diligente. Ce qui m'a permis de sortir de cet état de vide quasi dépressif. Je me sentais à nouveau vivante. Mais le temps passant, la vie quotidienne a recommencé à interférer et une fois de plus, je suis progressivement devenue moins diligente. Je suivais apparemment ce schéma répétitif.


Aussi, j’ai toujours lutté pour m’engager dans un projet de clarification de la vérité particulier en raison de mon travail. Je travaille comme hôtesse de l’air, j'ai donc des horaires changeants et je ne travaille jamais le même jour chaque semaine. Ce qui rend impossible de m’engager dans une activité régulière devant être faite un certain jour. Je travaille aussi souvent les week-ends, donc quand j’ai un week-end de libre, je me dois de le passer avec ma famille. Je trouvais à peine le temps d’assister à l’étude de Fa en grand groupe les week-ends. Cela m’a fait me sentir de plus en plus séparée du corps des pratiquants.


Le karma de maladie allant et venant, j’ai commencé à l’accepter et lorsqu'il se manifestait, je me mettais simplement au lit jusqu’à ce que ça passe. Je n’y réfléchissais pas trop et le traitais juste comme un karma à endurer. Je ne le prenais jamais trop au sérieux. Comme je l’ai réalisé par la suite, l’accepter était une erreur ! Une grosse erreur ! En octobre de l’année dernière, j’ai commencé à avoir des maux de gorge. Les deux premiers jours, je me suis simplement mise au lit en espérant que ça allait passer. Ce qui n’a pas été le cas. Cela a empiré jusqu’à ce que le côté droit de ma gorge commence à s'obturer. Je ne pouvais plus parler ni manger normalement. Ma mère a dû venir habiter chez nous pour s’occuper de mes enfants et de moi, mon mari devant aller travailler. Maman a commencé à mouliner ma nourriture pour que je puisse l’avaler. Je perdais du poids rapidement et je n’en avais pas tant que ça à perdre. Je lisais et essayais de faire les exercices, mais rester debout un seul moment était difficile – j’étais vraiment fatiguée. Je faisais donc simplement la version courte des exercices. J’ai commencé à émettre la pensée droite tout le temps, en essayant d’éliminer ce qui arrivait. Mais rien ne semblait marcher. Je ne cessais de penser que peut-être je n’étais pas une pratiquante très diligente et que c’était la raison pour laquelle ça m’était arrivé. J’essayais en vain de trouver ce à quoi je ne m’étais pas éveillée. Je savais que je devais m’éveiller à quelque chose, mais je n’arrivais pas à trouver quoi.


Mon mari et ma mère s’inquiétaient et je m’inquiétais. En plus de ça, chaque jour que je prenais sur mon travail, j'étais obligée d'avoir un certificat disant que je n’étais pas en état de travailler. J’allais donc voir le médecin et obtenais mon certificat et je jetais ensuite la prescription d’antibiotiques.


Ça ne cessait d’empirer. J’ai commencé à devenir larmoyante et pensais que j’avais tout essayé et que rien ne marchait. Je me sentais impuissante. J’ai décidé que je devais demander l’aide des autres pratiquants. J’ai demandé à une amie de venir me voir. Elle a été incroyable ! Elle a organisé qu’un groupe de pratiquants vienne chez moi ce soir-là. Ils ont tous lu et émis la pensée droite avec moi pendant des heures. Je ne vois habituellement pas de choses dans les autres dimensions, mais durant l’émission de la pensée droite ce soir-là, j’ai vu une main ressemblant à une griffe pénétrer dans ma gorge et nous avons pu l’éliminer avec la pensée droite. Elle s’est transformée en cendres. Pendant le temps durant lequel les pratiquants étaient là, ma gorge a commencé à revenir à la normale, je pouvais mieux avaler et ma lecture est devenue de plus en plus claire. J’étais encore vraiment faible, mais tellement mieux. C’était incroyable. Je les ai tant remerciés et pensais que j’étais en voie de guérison. À la fin de la soirée, ma gorge était presque redevenue normale. J’ai pensé que j’avais atteint ma limite et que les choses se renversaient. J’étais folle de joie.


Cependant… Le lendemain matin, l’autre côté de ma gorge a commencé à enfler. Je n’arrivais pas à y croire. Mon amie a offert de revenir et je me suis retrouvée à ne faire qu’attendre son arrivée. Elle est arrivée et a lu avec moi et émis la pensée droite, mais cette fois-ci, je n’arrivais pas à me remettre. J’ai réalisé que j’avais placé mon espoir dans les autres pratiquants et non en moi-même. La semaine qui a suivi, mon état a sérieusement empiré. La semaine précédente, j’avais pensé avoir atteint la limite de ma capacité à endurer, mais je me trompais !


Je souffrais tellement. C’était la pire douleur que j’avais jamais ressentie de toute ma vie. Je veux dire, au moins celle de l’accouchement ne durait qu’une journée. Je ne voulais rien manger. J’étais en larmes juste en essayant d’avaler de la compote. Je ne pouvais pas dormir parce que la petite ouverture restant dans ma gorge se refermait complètement dès que mes muscles se relâchaient. Je me réveillais aussitôt en suffoquant. Personne ne pouvait me comprendre lorsque j’essayais de parler. Ma mère se faisait sévère avec moi et essayais de me faire manger. Je pleurais et elle criait presque : « Que crois-tu que les pratiquants emprisonnés ressentent lorsqu’ils sont torturés ? Tu as juste un mal de gorge, cesse de te plaindre et avale. » J'ai alors avalé un peu de nourriture. Mais mon état a continué à empirer. Je pensais avoir fait tout ce que je devais faire. J’avais constamment émis la pensée droite. J’avais demandé l’aide du Maître, j’avais cherché à l’intérieur en essayant de m’éveiller à ce que je devais comprendre. Mais j’avais encore des difficultés sur la façon dont je devrais émettre la pensée droite. Une partie de moi ne savait pas encore si c’était simplement du karma ou si je devais l’éliminer. J’avais l’impression d’avoir tout essayé et me sentais à bout et finalement désespérée.


À différentes phases, j’ai pensé à utiliser des remèdes naturels et recourir à la médecine naturelle, comme l’argent colloïdal, un antibiotique naturel. J'ai bien vite réalisé que prendre des remèdes naturels était la même chose que prendre les médicaments allopathiques. Je traitais cela comme une maladie d’une personne ordinaire. Ce n’était pas une maladie et ce n’était pas la réponse. Si j’étais claire une minute, je ne l’étais plus la suivante. À un moment donné, lorsque j’étais si fatiguée et que tout ce que je voulais était dormir sans le pouvoir, mon mari a suggéré que je prenne du Voltaren, un anti-inflammatoire. Apparemment, cela est censé résorber l’inflammation. Je l’ai pris. Je me suis endormie, mais pas pour longtemps. Je me suis réveillée dans une telle frayeur. C’était la sensation la plus horrible. Je ne peux même pas décrire cela correctement. Je me suis réveillée trempée de sueur, suffoquant et ne sachant pas ce qui m’arrivait. Dire que je me sentais comme empoisonnée est peu dire. Je me sentais si mal pour avoir fait entrer cette chose dans mon corps. Je me sentais dégoûtante, j’avais l’impression que toutes les bonnes choses étaient parties. J’ai décidé de ne plus jamais, jamais faire entrer dans mon corps aucune forme de médicament.


Comme je n’allais pas mieux, je ne pouvais pas passer de temps avec mes enfants, parce que je n’avais aucune énergie et ne pouvais pas parler. Je me sentais comme une mauvaise mère. J’ai commencé à penser : « Et si je n’arrive pas à m’en sortir ? Qu’arrivera-t-il à mes enfants ? Je ne veux pas mourir. Je ne veux pas que mes enfants perdent leur mère ! » J’ai commencé à penser : « Si je n’étais pas pratiquante, j’irais juste voir le médecin et il arrangerait ça. C’est beaucoup plus facile d’être une personne ordinaire. Peut-être n'ai-je juste pas la carrure d'un pratiquant. » À ce moment, ma gorge était dans un tel état que je ne pouvais même plus avaler de l’eau. Elle ressortait par mon nez… Et j’étais si maigre.

Personne ne me l’a dit à ce moment, mais ma fille avait commencé à se réveiller la nuit en pleurant. Mon mari entrait et elle parlait dans son sommeil. Elle s’asseyait sur le lit et disait « Maman est mourante. » Mon mari était vraiment effrayé. Il m’a dit par la suite qu’il ne cessait de penser que je pouvais mourir. Alors il enlevait vite cette pensée de sa tête.


J’étais arrivée à un stade où je ne pouvais plus rien endurer. Cet après-midi-là, il avait été organisé qu’un petit groupe de pratiquants vienne lire et émettre la pensée droite avec moi. J’ai commencé à penser que ce serait de toute façon inutile. Je devais aussi aller chez le médecin avant qu’ils ne viennent pour obtenir un autre certificat médical pour mon travail. Je savais qu’il voudrait m’envoyer à l’hôpital. Je ne pouvais même plus avaler. Je crachais ma salive dans un mouchoir au lieu de l’avaler.


Lorsque je suis allée chez le médecin, il a déclaré : « Je vais vous faire une piqûre dans la gorge maintenant. » J’ai dit : « Non !!! » La seule idée de médicament me révulsait. Il a dit : « Vous devez aller directement aux urgences. Cette chose ne se résorbera pas toute seule. Ils vous admettront, vous mettront sous perfusion intraveineuse d’antibiotiques et devront vous drainer la gorge. » Il m’a écrit une lettre de référence pour pouvoir être prise sans délai. Nous sommes partis en disant que nous allions y aller immédiatement. Je commençais à accepter l’idée… Je commençais à penser que pour le bien de ma famille, je ne pouvais pas juste les laisser me regarder mourir ici. Je ne pouvais pas faire ça à mes enfants. Je n’en pouvais plus.

Nous sommes rentrés à la maison pour préparer quelques affaires pour l’hôpital. Curieusement, mon mari ne m’y a pas aidée. C’était étrange, parce qu’il m’aide en toute chose. Il est toujours prêt à faire n’importe quoi pour moi. Mais il ne voulait pas m’aider à préparer mes affaires pour l’hôpital. Il a dit : « Ne veux-tu pas attendre et lire d’abord avec les pratiquants ? »


Lorsqu’ils sont arrivés, j’étais dans tous mes états. J’ai juste commencé à pleurer. Ils ont commencé à émettre la pensée droite. J’ai pleuré tout du long. Ils ont à nouveau émis la pensée droite et j’ai également pleuré tout du long. Ils ont commencé une troisième session et je me suis calmée et m’y suis jointe. C’étaient les pensées droites les plus puissantes que j’ai jamais émises. Je me suis vue assise dans l’univers dans la position de FZN et il y avait cet immense mur de poussière et de débris. Cela continuait et continuait éternellement, aussi loin que l’infini dans chaque direction. Cela englobait tout. Cela roulait vers moi et me démolissait. J’ai tout à coup pensé NON ! Je ne veux pas descendre là… Et instantanément, je suis remontée.


Lorsque j’ai eu fini d'émettre la pensée droite, tout mon être semblait avoir changé. Je savais juste au plus profond de moi que j’étais une disciple de la période de rectification de Fa et que rien n’allait interférer avec moi. C’était la pensée pure qui me manquait. C’était la force toute puissante de cette pensée pure et de savoir que j’étais un être puissant et que rien ne pouvait interférer avec moi. J’étais juste si déterminée, je n’avais pas encore terminé mon parcours en tant que mère, épouse et disciple de la période de la rectification de Fa. Je n’avais pas fini de sauver les êtres. C’était ce pourquoi j’étais là, alors comment pouvais-je être persécutée comme cela ? J’étais juste si sûre d’être une disciple de Dafa de la période de la rectification de Fa et je n’allais pas suivre les arrangements des forces anciennes. C’est seulement à ce moment que j’ai réellement compris le pouvoir de mes propres pensées.


Après cela, j’ai fait les quatre premiers exercices entièrement avec les pratiquants et j’ai vraiment progressé hors de quelque chose. Inutile de le dire, je ne suis pas allée à l’hôpital ce soir-là et l’enflure dans ma gorge s’est complètement résorbée. Je suis passée du médecin voulant m’envoyer aux urgences, à la simple résorption de l’inflammation. Mon corps devait encore éliminer certaines choses. Ma mère m’a fait une soupe de poulet, dont j’avais follement envie, mais après l’avoir prise, j’ai tout vomi. Mais je me sentais bien, je savais juste que j’avais franchi quelque chose.


Le lendemain, j’ai demandé à maman de m’emmener à l’étude du Fa en groupe afin d’être dans l’environnement des pratiquants. J’étais si faible mais il faisait bon être là. Je suis allée me coucher ce soir-là et me suis réveillée pour vomir de nouveau. J’ai commencé à vomir du sang, j’en ai vomi beaucoup. Je ne voulais pas le dire à mon mari, mais peut-être devais-je le dire à ma mère. Elle m’a dit de ne pas m’inquiéter et de retourner me coucher. C’était en réalité le début de mon rétablissement.


Je n’aurais jamais pu traverser cela sans le soutien de ma famille, spécialement maman et le groupe de pratiquants. Finalement, j’ai dû m’éveiller à ce à quoi je devais m’éveiller, mais ils m’ont soutenue et ne m’ont pas jugée. Ils ne m’ont pas dit que je devais faire ceci ou cela. Ils ont écouté et aidé à répondre à toutes mes questions. Ils m’ont aidée à explorer toutes les choses sur lesquelles je n’étais pas claire. Ils étaient simplement là pour moi. La puissance droite du Fa, leur droiture m’ont soutenue pour que je m’éveille à ce à quoi j’étais supposée m’éveiller… Et je remercie le Maître de m’avoir réveillée alors que j’étais endormie.


Les quelques jours qui ont suivi, j’ai commencé à étudier pour le Niveau 1 du test Shen Yun. Je me suis jetée dans Dafa et les portes semblaient juste s’ouvrir. J’ai reçu un appel me demandant si je pouvais aider à organiser des présentations de Shen Yun dans des immeubles de haut standing avec de grands foyers. Un petit groupe a donc organisé cela et ça s’est très bien passé. Dans le processus de parler au directeur d’une des compagnies qui gérait ces bâtiments, j’ai pu obtenir un temps d’antenne gratuite sur la chaîne retransmise dans tous les foyers. J’ai aussi pensé à faire de la publicité Facebook pour Shen Yun. J’ai eu la permission et j’ai mis cela en place. C’était une expérience étonnante pour moi et j’ai beaucoup appris. Tout commençait juste à se mettre en place et je faisais ce que j’étais supposée faire pour Shen Yun.


Aussi, quand la vidéo de 8 minutes sur les prélèvements d’organes est sorti, j’ai décidé que les députés fédéraux et nationaux devaient absolument le voir. J’ai compris que le seul moyen pour qu’ils le regardent était de le leur faire regarder avec moi. Donc j’ai pris rendez-vous avons mon représentant parlementaire fédéral. Il a fallu un peu de persuasion pour obtenir le rendez-vous. Je ne prenais tout simplement pas un non pour une réponse et ils ont fini par me donner le rendez-vous. Ça s’est vraiment bien passé et nous avons continué à discuter pendant un bon moment après cela. Mon député était vraiment touché en le visionnant. Puis j’ai fait la même chose avec mon représentant parlementaire national qui a été incroyablement touché.


Récemment avec un autre pratiquant, nous voulions donner le livre Organes de l’État à notre député et à un autre candidat qui venait juste d’annoncer sa campagne. Nous lui avons donné le livre lorsque nous sommes tombés sur lui dans un salon où Dafa tenait un stand. Quelques jours plus tard, nous avons reçu l’information d’un lieu où allait se trouver un autre candidat. J’ai décidé qu'il ne lirait pas le livre à moins de regarder d’abord le clip de 8 minutes sur les prélèvements d’organes. Alors, de nouveau déterminés, nous sommes allés à l’endroit où il faisait campagne et nous sommes présentés comme des pratiquants de Dafa. J’ai dit que j’avais un clip de 8 minutes que je voulais vraiment lui montrer. Il a dit OK.


Alors l’interférence a commencé. Il y avait trop de bruit autour pour qu’il puisse entendre clairement. Je savais que ça n’était pas normal : il devait regarder cela avec toute son attention. J’ai mis sur pause, et j’ai dit que nous devions retourner dans le parking où il n’y avait pas de bruit pour le regarder correctement. C’est alors que tout un tas de gens à qui il devait parler sont apparus. Je ne cessais de dire NON ! J’avais à l’esprit que cela était le plus droit et devait être fait maintenant. J’ai dit : « Il doit regarder cela avec moi et je vais attendre. » Le planificateur a dit qu’il avait un autre rendez-vous et n’aurait pas le temps. J’ai dit « Cela prend 8 minutes et j’attendrai jusqu’à ce qu’il soit prêt. » Alors les gens sont partis et il est venu à l’arrière du parking avec nous et a regardé le clip en entier sans interruption. Nous lui avons alors donné le livre Organes de l’état.


Son épouse est restée à parler un instant avec moi et a dit qu’elle avait enseigné et qu’une de ses étudiantes était médecin en Chine. Elle a dit qu’un jour, elle a dit à ce médecin de ne pas venir car c’était un jour férié. Le médecin a ri et a dit que ce serait le premier jour férié dont elle pourrait profiter parce qu’en Chine un jour férié signifiait que pas mal de prisonniers seraient tués et qu’elle passerait toute la journée à prélever leurs cornées. Alors avec la compassion dans son cœur, elle m’a regardé et a dit : « Je sais donc que tout cela est vrai. » Puis avec les élections en cours, le même pratiquant et moi-même sommes allés voir tous les candidats dans notre électorat. Nous voulions que chacun d’entre eux regarde le clip de 8 minutes sur les prélèvements d’organes. C’était une expérience incroyable de clarification approfondie des faits.


Pour résumer, lorsque nous sommes droits et que nous avons des pensées droites, les portes s’ouvrent. Je remercie le Maître de cette autre chance que vous m’avez donnée avec cette épreuve massive et cet appel à me réveiller, car je ne me serais pas éveillée à tout cela si je n’avais pas traversé cette tribulation et découvert le pouvoir de mes pensées droites. Si j’avais juste suivi ce qui arrivait à mon corps, je ne serais pas ici aujourd’hui et ne serais pas capable de sauver davantage d’êtres vivants.


Ayant dit tout cela, je crois aussi que cette tribulation ne me serait pas arrivée si j’avais été diligente dès le début, si j’avais bien marché sur le chemin que j’étais censée prendre. Je me suis perdue et le Maître m’a donné une autre chance de me rattraper. Je crois à présent que nos chemins deviennent de plus en plus étroits. Je dois continuer à me rappeler à moi-même tout ceci, car il est toujours facile que la vie quotidienne s’insinue si je l’y autorise. Nous sommes tous de puissants et droits disciples de la période de la rectification de Fa. Je pense vraiment que nous ne devons pas oublier qui nous sommes et que nous devons comprendre la puissance de ce que nous faisons et ce pourquoi nous sommes venus ici.


Merci Maître !


Merci à chacun !


(Présenté lors de la Conférence australienne 2013 d’échange d'expériences de cultivation du Falun Dafa)

Traduit de l'anglais en Europe