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Cultiver et pratiquer dans Dafa avec l'attention bienveillante du Maître

10 novembre 2013 |   Écrit par une pratiquante aux États-Unis

(Minghui.org) Bonjour Maître bienveillant ! Bonjour compagnons de pratique !

J'ai obtenu le Fa en septembre 1997 lorsque j'avais 60 ans. Seize ans ont maintenant passé et j'ai 76 ans. Sans le salut bienveillant du Maître, je ne serais pas en vie aujourd'hui.

En 1995, ma belle-sœur est venue de Pékin et m'a apporté le livre Zhuan Falun. Bien que je n'en aie lu qu'une partie, j'étais impressionnée par les trois mots : Authenticité-Bienveillance-Tolérance. C'est pourquoi, j'ai emporté le livre avec moi lorsque je suis allée aux États-Unis pour rendre visite à mon fils en 1997.

En 1997, lorsque j'avais 60 ans, ma vie se terminait presque. Je n'arrivais pas à m'endormir ni la nuit ni le jour. Il me semblait avoir perdu la faculté à dormir et je suis allée voir de nombreux médecins pour guérir. Je ne comprenais pas les conséquences des autres méthodes que j'essayais pour me soulager. J'ai pratiqué quelque chose de malfaisant et j'ai attiré la possession par un animal. Pour empirer les choses, l'animal sapait chaque jour mon essence.

À ce moment critique, j'ai soudainement pensé : « Je veux pratiquer le Falun Dafa. Je veux faire des choses basées sur Authenticité-Bienveillance-Tolérance et je veux retourner à mon origine première, à mon authenticité première. » Le lendemain, j'ai commencé à lire le Zhuan Falun. Une semaine plus tard, j'ai décidé de retourner en Chine et de cultiver et pratiquer.

Après être arrivée à Pékin, je suis allée dans un point de pratique de Falun Gong près de chez ma sœur pour apprendre les exercices. Environ dix jours plus tard, je suis retournée dans mon village natal dans la province du Hubei et j'ai trouvé un point de pratique. Une semaine plus tard, le Maître a commencé à nettoyer mon corps. Deux semaines plus tard, le Maître m'a aidée à éliminer mon karma des pensées et j'ai vu son image en tant que Bouddha. Toutes les conceptions athées en moi étaient parties et j'ai fermement décidé de cultiver et pratiquer. Après avoir cultivé et pratiqué pendant un mois, le Maître a éliminé la possession par un animal. J'ai personnellement fait l'expérience de toutes ces choses extraordinaires. Je savais que ce n'était pas un rêve, mais que c'était ce que mon esprit originel principal voyait dans un autre espace. Trois mois plus tard, je pouvais m'endormir et je n'avais plus besoin de m'inquiéter pour le sommeil.

J'ai été en Chine de septembre 1997 à juillet 1999 et je suis ensuite retournée aux États-Unis. Au cours de ces deux années en Chine, j'ai fait les exercices avec les compagnons de pratique le matin et le soir. Nous sortions pour propager le Fa et nous partagions nos expériences. Mon xinxing s'est rapidement élevé. Avec l'aide des anciens pratiquants, j'avais une compréhension claire des raisons pour lesquelles il fallait étudier le Fa. Pendant mes deux années en Chine, j'ai lu le Zhuan Falun presque 100 fois et j'ai transcrit le livre à deux reprises. J'ai jeté des fondations relativement bonnes pour la cultivation personnelle et pour la cultivation à venir dans la rectification de Fa.

Le 3 juillet 1999, je suis retournée aux États-Unis. Le 20 juillet, le Parti communiste chinois a commencé à persécuter le Falun Gong. Lorsque j'ai entendu la nouvelle, j'ai éclaté en sanglot et je me suis agenouillée devant la photographie du Maître. J'ai dit : « Maître, je vais vous suivre. Authenticité-Bienveillance-Tolérance, le Dafa universel, ne peut être miné par qui que ce soit. » Plus tard, l'Association du Falun Dafa en Amérique du Nord a envoyé un message disant que les compagnons de pratique devaient aller à DC pour valider le Fa. Je suis donc allée à DC avec les compagnons de pratique. Avec des pratiquants de partout dans le monde, nous avons clarifié la vérité aux membres du Congrès des États-Unis et aux médias sur le fait que « le Falun Dafa est droit ! Il est injuste que le Parti communiste chinois persécute Dafa! - c'est contre la Constitution. Cela viole les droits de l'homme. La vérité prévaudra et la perversité sera vaincue ! »

Depuis, mes compagnons de pratique et moi marchons sur le chemin de la rectification de Fa. Nous sommes allés dans différentes villes (Taipei, Genève, etc.) pour assister à des conférences de Fa et clarifier la vérité. En 2001, j'ai participé à l'activité SOS pour secourir des pratiquants de Falun Gong en Chine. Nous avons marché de Seattle à San Francisco et avons clarifié la vérité en chemin.

En mars 2002, j'ai pris le téléphone et j'ai commencé à appeler les Chinois en Chine pour clarifier la vérité. Je le fais depuis 11 ans. Les Neuf commentaires sur le Parti communiste ont été publiés en 2002 et je trouvais qu'il était bien écrit, parce qu'il expliquait entièrement la nature perverse du PCC. Je voulais propager l'information en Chine. Le jour, j'envoyais des exemplaires des Neuf commentaires aux gens par télécopieur. Le soir, j'appelais en Chine pour clarifier la vérité afin que davantage de Chinois puissent apprendre à quel point le PCC est pervers et qu'ils puissent démissionner du Parti. Depuis mai 2005, j'ai convaincu plus de 49 000 personnes à démissionner du PCC. Appeler en Chine au cours des 11 dernières années est la façon dont j'ai validé le Fa et cultivé. Chaque pas est fait avec l'attention bienveillante du Maître.

Je me souviens qu'en appelant en Chine la première fois, j'avais peur de téléphoner de chez moi, parce que je craignais que la perversité me trouve avec mon numéro de téléphone. J'ai pris l'autobus jusqu'à la gare de transit et j'ai utilisé un téléphone public pour appeler. Le premier numéro de téléphone était le Bureau de la persécution du Falun Gong à Pékin. Personne n'a répondu et le répondeur s'est ensuite mis en marche. J'ai lu un texte que j'avais préparé à l'avance. Je condamnais le PCC de persécuter le Falun Gong. Je leur disais que le Falun Gong était bon et qu'il ne faisait aucun tort à la Chine et à son peuple. Je les condamnais de persécuter de bonnes personnes. J'exigeais qu'ils déposent les armes et libèrent tous les pratiquants de Falun Gong. Le deuxième appel était au ministre de la Sécurité publique. Sa secrétaire a répondu au téléphone. Je lui ai demandé de transmettre le message au ministre de la Sécurité publique : « Cessez de persécuter le Falun Gong ». Et j'ai de nouveau lu le texte. Elle a demandé de quel endroit j'appelais et j'ai répondu des États-Unis.

J'étais très contente après avoir lu le texte. Je pensais qu'il était très bon d'effrayer la perversité. En raison de mon attachement à l'exaltation, j'ai pris l'autobus allant dans la direction opposée. Lorsque je suis descendue de l'autobus, j'ai réalisé que j'étais dans un parc dans lequel je n'étais jamais allée. On m'a informé que je devais attendre une heure pour le prochain autobus. J'ai alors réalisé que j'avais l'attachement à l'exaltation.

Ma première expérience d'appeler en Chine est encore très nette dans mon esprit, même 11 ans plus tard. J'ai plus tard réalisé que je ne pouvais continuer de sortir chaque jour pour appeler. Je devais le faire chez moi. J'appelais à travers une entreprise de carte d'appels, il n'y avait donc aucune raison de craindre quoi que ce soit.

Afin de ne pas ennuyer les membres de ma famille, je m'asseyais chaque nuit dans la salle de bain pour appeler. En faisant de plus en plus d'appels, j'ai réalisé que lire le même texte ne fonctionnait pas dans toutes les situations et avec toutes les personnes. J'ai donc commencé à leur parler. Au tout début, en raison de la peur, je ne savais pas quoi dire. Plus tard, je parlais de façon hésitante. Finalement, j'ai été capable de parler calmement et rationnellement.

Il m'a fallu une longue période de cultivation pour abandonner l'attachement à la peur et l'esprit de compétition et de ne pas rétorquer lorsque les autres m'injuriaient. C'est facile à dire, mais difficile à faire. Je me suis souvenue que le Maître a dit :

« C’est difficile à faire, mais vous pouvez le faire, c’est difficile à endurer, mais vous pouvez l’endurer. » (« Enseignement du Fa et questions-réponses à Guangzhou », Zhuan Falun Fajie)

J'ai pu y arriver petit à petit. Un jour, après qu'une jeune femme chinoise ait écouté mon explication des faits, elle m'a posé de nombreuses questions. J'ai répondu à chacune d'entre elles. Elle était très contente et a dit : « Merci beaucoup. Vous avez tout expliqué très bien. » Je savais que le Maître m'encourageait par l'entremise de ses mots.

De mars 2002 à fin 2004, je me suis concentrée sur la clarification de la vérité sur le Falun Dafa. De fin 2004 à la première moitié 2005, je me suis concentrée sur les Neuf commentaires. De la deuxième moitié 2005 à aujourd'hui, je clarifie la vérité et j'aide les Chinois à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.

J'obtiens les numéros de téléphone sur Internet. Chaque nuit, je passe quatre heures à téléphoner. J'ai maintenant aidé plus de 49 000 Chinois à démissionner des organisations du PCC. En fait, c'est le Maître qui fait tout. Le Maître sauve les gens. J'ai seulement le souhait d'aider.

Dans la seconde moitié 2012, j'ai lu la conférence du Maître « Vingt ans d'enseignement du Fa » et j'ai senti l'urgence :

« Vous avez tous vu que la perversité n'a déjà plus suffisamment de force. L'environnement pervers que les forces anciennes utilisent pour tester les disciples de Dafa et l'environnement du salut des êtres sous la pression de la perversité sont en train de disparaître progressivement, puisque la perversité n’est plus suffisante... Mais nous faisons simplement notre maximum pour en sauver le plus possible, pour les sauver rapidement, sauver davantage de vies avant que le moment n'arrive. »

Le Maître nous a enseigné :

« Une fois que quelqu’un a déclaré sa démission du PCC pervers, il n’est plus sous le contrôle des éléments pervers du PCC pervers ou de divinités dans l’univers dont la rectification par la Loi ne s’est pas encore occupée. Il devient un être qui a pris position. Une telle personne appartient au futur, les divinités jouant un rôle positif s’en occuperont. » (« Enseignement de la Loi donné à la conférence de Loi marquant le dixième anniversaire de la création du site Internet Minghui »)

Cependant, beaucoup de mes parents, amis, collègues et élèves n'avaient pas démissionné du PCC. Ils avaient tous une affinité prédestinée avec moi, je ne devais donc pas les oublier. J'ai récolté leurs numéros de téléphone, y compris le numéro de téléphone des amis et élèves de mon mari, ainsi que les amis de mon fils. J'ai passé un mois à les appeler avec de très bons résultats.

L'école dans laquelle je travaillais autrefois en Chine est célèbre localement et emploie de nombreuses personnes. J'ai d'abord appelé un directeur à la retraite. Je lui avais déjà clarifié la vérité. J'ai dit : « Je suis vraiment désolée d'être entrée en conflit avec vous lorsque je travaillais dans l'école. Maintenant, j'ai honte de moi et je veux vous présenter mes excuses. Veuillez me pardonner. » Il était très ému et a dit : « Je vous ai également fait du mal. » J'ai répondu : « C'est bon. C'est du passé. Je pratique maintenant le Falun Dafa et je fais les choses en respectant Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je ne ferais jamais rien pour blesser qui que ce soit. » Je lui ai demandé comment allaient son fils et son petit-fils. Il était très content de parler de son petit-fils. J'ai saisi l'occasion de lui parler de démissionner du PCC pour se sauver la vie et pour s'assurer un merveilleux avenir. Je l'ai aidé à choisir un pseudonyme pour annoncer sa démission du PCC.

La seconde directrice avait changé pour une autre organisation. Elle a reçu mon appel lorsqu'elle est revenue de Pékin. Elle a dit : « Je n'attendais pas votre appel. Je n'ai pas entendu votre voix depuis tant d'années. Je suis tellement contente d'avoir de vos nouvelles. » J'ai commencé à parler du passé lorsque nous étions jeunes. Finalement, je lui ai dit que je pratiquais maintenant le Falun Gong et que malgré mes 75 ans, j'étais encore en bonne santé. Elle était envieuse. Je lui ai alors parlé de se protéger en démissionnant du PCC. Elle a dit en avoir entendu parlé à Pékin. Je lui ai trouvé un nom et je l'ai aidé à démissionner.

La troisième directrice était retraitée du domaine de l'éducation et travaillait quelque part d'autre. Je l'ai tout d'abord remerciée d'avoir attesté que j'étais toujours en vie. En Chine, il y a une clause dans les banques qui déclare que le directeur d'une organisation doit attester que la personne est toujours en vie avant que la pension de retraite puisse être transférée au parent de cette personne. Chaque année, lorsque la période des vacances approchait, je lui écrivais une lettre ou l'appelais pour lui faire part de ma reconnaissance. Cette fois, j'ai dit : « Je vous remercie beaucoup pour ce que vous avez fait pour moi. Comment puis-je vous remercier ? J'espère que votre famille entière pourra avoir un avenir hors de danger. » Ensuite, j'ai expliqué le mouvement de démissionner du PCC et de la façon dont certaines personnes ont survécu au tremblement de terre qui a frappé la province du Sichuan. Elle a dit croire ce que je disais. Je l'ai aidée à démissionner du PCC avec son mari.

Il y a 57 ans, j'ai obtenu mon diplôme dans une université d'enseignement. Mon professeur de politique avait 94 ans. Au cours des années, nous nous étions vues à plusieurs reprises. Je la contactais toujours par téléphone. Au cours des dernières années, je lui avais clarifié la vérité sur le Falun Gong et les Neuf commentaires, mais elle commençait à avoir peur lorsque je le faisais. Chaque fois, elle disait : « Ne parle pas de cela. Ne parle pas de cela. » Mais lorsque je l'ai appelée la fois suivante, elle a encore répondu au téléphone. Peut-être était-ce en raison de sa bonne prédisposition.

Cette fois, lorsque je l'ai appelée, je me suis demandé si elle était toujours en vie, car elle avait déjà 94 ans, et si elle serait capable d'entendre. J'ai émis la pensée droite et je l'ai ensuite appelée. Elle a répondu au téléphone d'une voix âgée, mais vigoureuse. Elle était toujours en vie et attendait mon appel. Je lui ai dit que j'étais contente qu'elle pouvait toujours entendre. Ensuite, je lui ai parlé de démissionner du PCC. Comme je lui avais déjà clarifié la vérité à maintes reprises auparavant, cette fois elle a immédiatement accepté de démissionner.

Sa vie durant, elle avait été membre du Parti, avait enseigné la politique et promu le PCC. Mais, elle avait aussi fait l'expérience des souffrances qu'il causait. Autrefois, son mari avait rejoint le Parti Kuomintang. C'est pourquoi il était visé par chaque mouvement politique. Il avait passé sa vie à être déprimé et était décédé très jeune. Elle et son mari s'entendaient bien et son décès l'avait profondément attristée. Son fils aîné avait été forcé d'aller à la campagne et de travailler dans une mine, où un glissement de terrain s'était produit en raison de la surexploitation. Son fils et sa famille entière, ainsi que le village entier, avaient été enterrés par le glissement de terrain. Seul son petit-fils avait survécu, parce qu'il n'était pas chez lui à l'époque. Elle ne s'était jamais remise de ce chagrin. Après avoir écouté les Neuf commentaires et la vérité sur le Falun Gong, pourquoi ne pas démissionner du PCC qui lui avait occasionné tant de souffrances ? J'étais très heureuse ce jour-là.

J'avais un élève qui avait fait son doctorat à Pékin. Il y a plusieurs années, je l'avais appelé pour lui clarifier la vérité sur le Falun Gong et lui parler des Neuf commentaires, mais il n'avait pas démissionné. J'ai trouvé son numéro de téléphone et je l'ai appelé. La personne qui a répondu au téléphone m'était inconnue. Je lui ai demandé s'il connaissait la personne qui possédait ce numéro auparavant. Il a dit qu'il ne savait pas, parce qu'il avait obtenu le numéro à travers une compagnie de téléphone. J'ai dit que ce n'était pas grave et je lui ai ensuite clarifié la vérité. J'ai commencé par la façon dont le Falun Dafa enseigne aux gens à être bons en respectant Authenticité-Bienveillance-Tolérance et qu'il s'était propagé dans plus de 100 pays, qu'il n'y avait rien de mal à enseigner aux gens à être bons, que seul le PCC persécute les bonnes personnes et diffame le Fa et que dans la province du Guizhou, il y a une grosse pierre sur laquelle se trouvent six idéogrammes chinois qui disent : « Le Parti communiste chinois périt. » De nombreux scientifiques y sont allés pour faire des recherches et ont découvert que les idéogrammes étaient formés naturellement et qu'ils n'étaient pas taillés à la main. C'est donc la volonté du Ciel et personne ne peut l'empêcher. C'est seulement si l'on respecte la volonté du Ciel et démissionne du PCC que l'on peut être hors de danger. L'homme a accepté. Lui, son épouse et ses deux enfants ont démissionné du PCC et ont promis de se rappeler que le Falun Dafa est bon.

J'ai continué de chercher mon élève. J'ai téléphoné au numéro de téléphone du dortoir dans lequel il vivait auparavant. La personne qui a répondu a dit que l'élève que je cherchais était leur collègue plus âgé et qu'il était maintenant professeur associé. Il m'a donné le numéro de téléphone de mon élève et m'a ensuite demandé de quel endroit j'appelais et pour quelles raisons. J'ai dit que j'avais été son enseignante et que j'étais aux États-Unis. Il était intéressé et m'a demandé ce que j'enseignais. Je savais qu'il voulait peut-être trouver des façons de se rendre aux États-Unis. Je lui ai dit que j'étais son enseignante du primaire. Il était très surpris que je puisse encore me souvenir d'un élève d'école primaire. J'ai dit que son visage me venait très souvent à l'esprit, tout comme ceux de mes autres élèves. Je me souvenais toujours d'eux et j'espérais qu'ils soient hors de danger. C'est pourquoi j'avais téléphoné. Il a demandé de quelle façon il pouvait aussi être hors de danger. Il m'a dit qu'il y avait six doctorants qui vivaient dans cette chambre, j'ai donc commencé à parler des Neuf commentaires et du fait qu'aimer son pays n'est pas la même chose qu'aimer le PCC. J'ai expliqué que démissionner peut nous sauver la vie. Ils ont écouté en silence. À la fin, je les ai tous aidés à démissionner.

Alors que je cherchais mon élève, j'ai sauvé six doctorants ! C'était tout arrangé par le Maître. Finalement, j'ai trouvé mon élève et je l'ai aidé à démissionner. J'ai eu des expériences similaires en aidant mes autres élèves à démissionner du PCC, mais je ne donnerai pas tous les détails ici.

Je peux continuer à sauver les gens seulement grâce à l'attention bienveillante du Maître. Par exemple, à la Fête des Mères en 2008, ma nièce est venue me chercher pour dîner dans le quartier chinois. Je faisais bouillir de l'eau sur une cuisinière électrique. Il n'y avait pas beaucoup d'eau dans la bouilloire, seulement environ un 2,5 cm. Ma nièce m'a demandé de venir, alors je suis partie, mais j'ai oublié que la cuisinière était toujours allumée.

Trois heures plus tard, je suis revenue et j'ai vu que le brûleur était toujours allumé. Cependant, lorsque j'ai touché le manche de la bouilloire, ce n'était pas chaud ! J'ai soulevé le couvercle et il n'y avait pas d'eau à l'intérieur. La base de la bouilloire n'était pas endommagée. J'ai mis davantage d'eau dans la bouilloire et elle ne fuyait pas. Je me suis agenouillée devant l'image de Fa du Maître. Si le Maître n'était pas intervenu, les conséquences auraient pu être désastreuses. Car si la bouilloire était devenue trop chaude, le manche aurait brûlé. Ensuite, le torchon suspendu près de là aurait pris feu. Puis le tapis aurait brûlé et peut-être la maison entière ! Nous n'avions acheté la maison que quelques mois auparavant. À ce moment-là, mon mari était en Chine. Avant de partir, il m'a rappelé les risques d'incendie à maintes reprises. Sans l'attention bienveillante du Maître, la maison aurait brûlé. Comment aurais-je pu expliquer cela à mon mari ? Comment aurais-je pu ensuite lui valider le Fa ?

Il n'est pas surprenant que les personnes ordinaires tombent malade lorsqu'elles vieillissent. Une fois, j'ai semblé avoir un problème cardiaque. Après avoir monté une côte ou même sur une route plate, je sentais que ma gorge était brûlante et serrée. C'était comme après une longue course. Je ne pouvais pas respirer et mon cœur me faisait mal. C'était comme si j'allais perdre connaissance. Plus tard, ça s'est empiré et j'avais les symptômes même après avoir marché dans la maison. Si j'admettais que c'était une maladie, alors cela se serait empiré. Je l'ai donc complètement nié. Je suis une pratiquante, le Maître s'occupe de moi. Je suis assimilée dans Authenticité-Bienveillance-Tolérance et la mort n'a rien à voir avec moi. Je savais que le problème cardiaque était héréditaire, car mon père était décédé en raison d'une maladie cardiaque avant d'avoir 60 ans. Mon grand frère est décédé à cause de cela à l'âge de 63 ans et mes deux autres frères ont eu des pontages coronariens. Mais ce n'est pas valable pour un pratiquant. Je n'avais pas peur de la mort. J'ai continué de faire ce que je devais faire : clarifier la vérité, faire les exercices et appeler les Chinois la nuit. Quelques mois plus tard, tous les symptômes ont disparu et je suis revenue à la normale.

À l'hiver 2010, nous avons eu le spectacle Shen Yun. Je faisais partie de l'équipe émettant la pensée droite. Chaque jour, je prenais l'autobus jusqu'à un certain endroit pour émettre la pensée droite avec des compagnons de pratique, ce qui me prenait environ sept heures quotidiennement en comptant le temps de parcours. De retour chez moi, je devais encore étudier le Fa et appeler les Chinois la nuit. Je ne pouvais dormir que trois heures chaque jour. Un matin en me levant, j'ai été prise de vertiges. Je me suis immédiatement assise et j'ai émis la pensée droite : « Je nie complètement les interférences de la perversité. Je serai capable de faire ce que je dois faire. »

Après avoir émis la pensée droite, je suis allée marcher dehors et je me suis sentie revigorée. J'ai pris l'autobus pour émettre la pensée droite. Ce soir-là, en me levant pour appeler, j'étais vraiment prise de vertiges et j'entendais du bourdonnement dans mes oreilles. Je voulais vomir. J'ai perdu le contrôle de mes jambes. J'ai fait quelques pas et je me suis assise pour émettre la pensée droite. Appeler les Chinois pour les aider à démissionner du PCC vise à sauver les gens et les forces anciennes n'étaient pas dignes d'interférer avec moi. Alors, j'ai pris le téléphone et j'ai passer des coups de fils. Après avoir fait vingt appels, j'ai soudainement senti que mes oreilles étaient claires et que le bruit avait cessé. J'avais aussi l'esprit clair. J'ai continué d'appeler jusqu'à l'aube. J'ai passé le test du karma de maladie. Le Maître a empêché les forces anciennes de me persécuter et a souffert tant de karma pour moi. J'ai réalisé ce que le Maître a dit :

« Si les disciples sont emplis de pensées droites,

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel »

(« La grâce entre Maître et disciples » de Hong Yin II)

En faisant les trois choses, le Maître m'a éveillé au fait que je dois abandonner de nombreux attachements, dont l'attachement à l'exaltation, le désir de se faire valoir, l'esprit de compétition, la rancune, etc. Je dois abandonner tous ces attachements égoïstes. C'est seulement en abandonnant complètement cet égoïsme que je peux avoir la bonté et la bienveillance altruiste, ainsi que sauver davantage d'êtres. Ces jours-ci, lorsque j'appelle les Chinois, les résultats ne sont pas aussi bons qu'avant. De nombreuses personnes ne répondent pas au téléphone, ne m'écoutent pas et ne démissionnent pas du PCC. C'est parce que je n'ai pas cultivé à ce niveau. Afin de sauver plus d'êtres, je dois étudier le Fa et émettre la pensée droite d'une meilleure façon. Je dois abandonner mes attachements pour que je puisse remplir les critères de ce niveau et que je puisse ensuite sauver les gens de ce niveau.

Le Maître a dit :

« Par conséquent, étudier Fa est la chose la plus importante, vraiment la plus importante, c’est la garantie radicale de tout ce que vous allez faire. Si vous n’êtes pas diligents dans l’étude de Fa, tout sera perdu. » (« Les disciples de Dafa doivent impérativement étudier Fa »)

Je remercie le Maître pour son salut bienveillant. Je dois bien marcher les derniers pas sur mon chemin, bien étudier le Fa et bien émettre la pensée droite. Je sauverai davantage d'êtres afin d'accomplir mes vœux préhistoriques. Je dois être à la hauteur du salut bienveillant du Maître et atteindre la plénitude parfaite afin de rentrer avec le Maître.

(Présenté à la Conférence de Fa de l'Ouest des États-Unis 2013)

Traduit de l'anglais au Canada