(Minghui.org) Salutations, vénérable Maître ! Salutations, compagnons de pratique !

Je suis une pratiquante née dans les années 80. Avant de commencer à pratiquer dans Dafa, je vivais une vie dénuée de sens et j'avais de nombreuses mauvaises habitudes. Après m'être fiancée, j'ai appris que mes beaux-parents étaient des pratiquants de Falun Dafa. J'ai pensé que j'allais les faire abandonner le Falun Dafa. Cependant, cela s'est avéré être tout le contraire. Mes beaux-parents sont optimistes dans la vie et pensent toujours aux autres d'abord. Ils respectent les principes Authenticité-Bienveillance-Tolérance et sont tout simplement le contraire de ce que dit la télévision contrôlée par le Parti. Nous nous entendons très bien depuis que j'ai épousé leur fils il y a 6 ans. J'ai commencé à pratiquer dans Dafa il y a 5 ans.

Je sais que j'ai beaucoup d'insuffisances et que je suis loin des critères du Fa, mais j'aimerais participer à cette occasion de partage d'expériences et partager mes expériences de cultivation avec le Maître et les compagnons de pratique.

Ne pas être perturbée par les émotions humaines

J'ai peur de mon père depuis que je suis toute petite même si j'étais sa fille préférée. Lorsqu'il était en colère, il avait mauvais caractère et lançait des choses partout. J'avais encore peur de lui après m'être mariée, je ne lui ai donc pas dit que j'avais commencé à pratiquer dans Dafa. Cependant, j'ai réalisé que j'avais la responsabilité de lui clarifier la vérité sur la pratique et de le sauver, car il était prédestiné étant de ma famille.

J'ai progressivement clarifié la vérité sur le Falun Dafa à mes parents. Ils savaient que mes beaux-parents étaient des pratiquants et étaient positifs quant à la pratique, mais ils avaient peur en raison de la persécution en cours. Je n'ai pas osé mentionner que je pratiquais dans Dafa.

Lors du Nouvel An chinois dernier, mes parents nous ont invités, y compris mes beaux-parents, à venir chez eux pour célébrer. Deux jours avant la veille du Nouvel An, nous sommes arrivés chez mes parents. Lorsque les voisins nous ont vus, ils ont été surpris que mes parents et mes beaux-parents s'entendent aussi bien. Mes parents étaient heureux lorsqu'ils ont entendu les compliments.

Mes beaux-parents étaient des pratiquants de longue date diligents et ils planifiaient utiliser cette occasion pour sauver les êtres. Ils ont apporté beaucoup de documents clarifiant la vérité sur le Falun Dafa pour les distribuer dans le village de mes parents. La veille du Nouvel An, je suis sortie avec mon beau-père pour distribuer les documents pendant que ma belle-mère tenait compagnie à mes parents. En chemin, j'ai vu de nombreuses caméras de la CCTV et je me suis mise à être un peu nerveuse. Mon beau-père m'a dit fermement que les choses allaient bien. Je me sentais mal à l'aise, mais j'ai tout de même terminé.

Quelques jours plus tard, mon père m'a dit de venir le voir. On pouvait me voir sur les caméras de la CCTV, mais il était parvenu à faire effacer les séquences. Mon beau-père était ferme à ce moment-là et n'apparaissait pas sur les enregistrements.

Lorsque mon mari et moi étions sur le point d'arriver chez mon père, j'ai eu une crise d'anxiété, je pouvais à peine respirer et j'étais réellement prise de vertiges. C'était comme si quelqu'un m'étouffait. Je n'arrêtais pas d'émettre la pensée droite et j'ai demandé le soutien du Maître. Je me suis rapidement senti mieux.

Lorsque mon père m'a vue, sa première phrase a été : « Je vais rompre mes liens avec toi si tu insistes pour pratiquer le Falun Dafa. » Je lui ai souri et j'ai dit : « Père, je ne t'ai pas coupé de ma vie parce que tu buvais toujours et que tu lançais des choses partout lorsque tu étais en colère. Comment pourrais-tu me faire cela juste parce que je cultive pour devenir une meilleure personne ? » Mon père a dit qu'il me paierait et que je pouvais choisir le montant, tant que j'acceptais d'abandonner la pratique. Il m'a implorée avec des larmes aux yeux.

Mon cœur n'a pas été ébranlé. J'avais confiance que le Maître m'aiderait à traverser ce test de qing. Je l'ai réconforté : « Je serai une fille obéissante tout en cultivant pour être une meilleure personne. Je n'ai pas besoin d'argent. Pourquoi me demandes-tu d'abandonner une chose aussi bonne ? Veux-tu que je redevienne une fille ayant une vie dénuée de sens ? M'aimais-tu comme ça ? »

Ensuite, il m'a demandé de divorcer de mon mari. Je lui ai demandé : « Fais-tu une bonne action ou une mauvaise action ? Pourquoi voudrais-tu briser une famille heureuse ? » Il a dit ne pas savoir quoi dire. J'ai senti que le champ spatial était plus paisible. J'ai compris qu'il réagissait ainsi parce qu'il s'inquiétait pour moi. Je lui ai dit que je voulais faire appel à la justice pour le Falun Dafa. Avec les médias du gouvernement répandant des mensonges, les pratiquants ne pouvaient pas faire autrement que de distribuer, afficher et poster aux gens des documents clarifiant la vérité sur la pratique. Il m'a dit savoir à quel point le Parti communiste chinois (PCC) était cruel et il m'a demandé de ne pas revenir chez eux pendant un certain temps.

Au lieu de cela, je suis retournée chez mon père plus souvent. Je savais qu'il était content de me voir. Il a lu les brochures clarifiant la vérité et me comprenait davantage. J'espère qu'il pratiquera Dafa un jour, car il arrive à très bien s'asseoir dans la position complète du lotus, beaucoup mieux que moi. Depuis ce changement, j'ai réalisé l'importance de croire dans le Maître et Dafa. C'était exactement comme le Maître a dit :

« Si les disciples sont emplis de pensées droites

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel »

(« La grâce entre Maître et disciples » de Hong Yin II)

Cultiver pour sauver les êtres

Je suis la gérante d'un restaurant de fondue. Lorsque j'ai été engagée, j'ai parlé du Falun Dafa au propriétaire et je lui ai clarifié la vérité sur la pratique. Il a cru ce que je disais, mais n'a pas voulu démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.

Je faisais tout mon possible pour faire du bon travail. Même en étant gérante, j'aidais à tout faire, y compris laver les légumes, laver les bols, etc... J'ai gagné la confiance du propriétaire et il m'a donné toutes les clés. Sa recette de sauce à fondue était un secret qu'il avait obtenu en payant beaucoup d'argent. Il n'avait jamais permis à quiconque d'entrer dans la pièce où il faisait la sauce, mais je suis plus tard devenue l'exception.

Une nouvelle serveuse a été engagée et elle jurait beaucoup. Un jour, elle a été très grossière. Je me sentais très triste qu'une serveuse injurie le gérant. Je savais que j'avais l'attachement à ne pas perdre la face. Même si je l'ai supporté avec des larmes, mon cœur a été ébranlé. Je savais que je n'avais pas vraiment passé le test et j'ai décidé de faire mieux la fois suivante.

Lorsque je suis arrivée chez moi, mon mari m'a injuriée encore plus. Je ne me suis pas éveillée, mais je me sentais si injustement traitée. J'ai crié : « Pourquoi ma cultivation est-elle si difficile ? » Mais mon mari a ri : « La cultivation des autres est peut-être difficile, mais la tienne est facile. Tu n'étudies pas beaucoup le Fa et tu ne fais pas les exercices. Où sont tes épreuves ? »

C'était vrai. Je n'étais pas une vraie pratiquante. J'étais perturbée par les actions des personnes ordinaires. Le Maître nous a dit : « ...un cœur imperturbable domine dix mille agitations » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi au Canada 2005 »). Après cela, mon cœur n'était jamais ébranlé, peu importe à quel point la serveuse m'injuriait. Je lui versais un verre d'eau et je la remerciais avec un sourire.

Quelques jours plus tard, elle m'a approchée et a demandé mon aide. Un gros bouton blanc poussait sur une de ses paupières. Je lui ai dit de réciter : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Je lui ai clarifié la vérité et je lui ai demandé de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Peu de temps après notre conversation, le bouton a disparu. Elle était si contente qu'elle m'a serrée dans ses bras.

Elle a fait la promesse qu'elle ne m'injurierait plus jamais. Elle devrait payer 50 yuan chaque fois qu'elle le ferait de nouveau. Lorsque les autres l'ont injuriée et ont tenté de la faire payer, elle n'a pas répondu en retour. Elle m'a dit après une semaine que la sensation de n'injurier personne était vraiment bonne.

Mon patron, le propriétaire du restaurant, avait un ami qui travaillait dans un Bureau 610. Il a emmené mon patron à un des camps de travaux forcés. Il pensait que les pratiquants étaient anormaux et ne comprenait pas ce que nous faisions. C'était la raison pour laquelle il n'avait pas démissionné du PCC.

Lorsque je voyais des problèmes dans la cuisine, comme des employés volant des fruits de mer chers, je leur parlais gentiment. Je parlais aussi des problèmes à mon patron. Un jour, après m'avoir remercié de ma sincérité, il a finalement décidé de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.

Je sais que je suis loin des critères du Fa et que j'ai de nombreux attachements en dépit de cinq années de cultivation. Aussi loin que j'aie à aller sur mon chemin de cultivation, j'y marcherai avec détermination et je vais retourner à mon foyer d'origine avec le Maître.

Merci Maître !

Traduit de l'anglais au Canada