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Fahui de Minghui | Cultiver mon cœur et mon esprit en permanence

27 décembre 2013 |   Écrit par une pratiquante de la province du Liaoning

(Minghui.org) Récemment j'ai rêvé que le Maître me donnait un très grand crayon. Je savais que le Maître voulait que j'écrive un article sur mes expériences de cultivation.

Je suis professeur à l'école primaire et j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996. J'ai traversé des tribulations innombrables au cours de mes 17 années de cultivation. Mais j'ai été capable de les dépasser et de persévérer dans ma cultivation grâce aux enseignements du Maître et à sa protection.

Le Maître nous a enseigné :

« Ici au milieu du monde profane, avancer avec droiture sur le chemin et sortir des gens ordinaires en étant immergés dans cet environnement complexe dépend entièrement de vous. Tout ce que les gens ordinaires recherchent, tout ce que les gens ordinaires veulent obtenir, tout ce que les gens ordinaires font, tout ce qu'ils disent et comment ils se comportent tout cela est pour vous ce qui doit être éliminé en vous cultivant. » (« Enseignement de la Loi donné à Manhattan » 2006)

Après des années de cultivation, j'ai finalement compris que quand on est menacé par la perte possible d’intérêt matériel, de réputation et de l'amour des autres, face à la douleur et aux difficultés, on doit toujours se souvenir d'agir en accord avec les exigences d'un pratiquant et de maintenir sa nature du cœur et d'esprit, ou xinxing. C'est extrêmement important de ne pas être affecté par les sentiments humains dans de telle situations.

Au cours de mes dix dernières années de cultivation, j'ai été de nombreuses fois capable de me comporter comme une pratiquante. Je vais partager quelques exemples qui témoignent de la magnificence de Dafa.

Maintenir mon xinxing au cours des tests de renommée, d'intérêt et d'émotion

Il est vraiment difficile d'abandonner les attachements à la renommée, à l'intérêt et aux émotions dans ce monde profane. J'ai compris que, puisque je veux cultiver et pratiquer, je dois vraiment me cultiver moi-même. Quelle qu'en soit la difficulté, je dois éliminer mes attachements. Le Maître a dit que « c’est difficile à endurer, endurez-le quand même ; lorsque cela vous paraît impossible à faire, ou si on dit que c’est difficile à faire, essayez donc pour voir si c’est vraiment impossible. » (« Neuvième leçon dans le Zhuan Falun) Au cours de ma cultivation, j'ai découvert que les mots du Maître sont vraiment corrects.

Abandonner l'égoïsme et avoir de la considération pour autrui

La recherche de la renommée nous suit comme une ombre. C'est particulièrement vrai dans mon univers de travail une école. Au cours de l'année, il y a plusieurs concours pour estimer les niveaux de performance des professeurs. Cela est étroitement lié à la réputation et à l'intérêt personnel des professeurs. C'est devenu tellement naturel pour moi de tomber dans la renommée que je ne peux pas facilement la détecter. Chaque fois qu'un concours avait lieu, j'étais très joyeuse. Si mon rang était inférieur, j'étais déçue. Après être devenue pratiquante, je travaillais toujours dur, mais je ne me battais plus pour la reconnaissance ou le gain personnel. Graduellement, j'ai appris à prendre la renommée et le gain avec légèreté et j'étais capable de me conduire moi-même en accord avec les critères d'un pratiquant.

Je m'inquiétais beaucoup de ce que les autres pensaient de moi et je n'aimais pas être critiquée. Après avoir commencé à cultiver, j'ai travaillé dur pour éliminer cet attachement. Parfois je ne faisais pas bien et je trébuchais dans les tribulations. Alors je récitais le Fa. J'ai appris à abandonner cet attachement petit à petit. Maintenant, je peux faire face à la critique le cœur léger.

Une pratiquante m'a une fois accusée d'avoir pris 10 000 yuans du site de production de documents. Ma réponse immédiate a été : « Qui a dit ça ? C'est un mensonge. » J'ai réalisé que j'étais énervée. Je suis une pratiquante et je ne devrais pas être affectée par de tels commentaires. Je me suis calmée et j'ai cherché mes insuffisances. Pourquoi avais-je entendu ces mots ? J'ai compris en un éclair dans mon cœur que je devais savoir plus pardonner et que je devais élever mon xinxing. J'ai souri à la pratiquante et je lui ai dit : « Très bien, ne parlons plus de cela. Nous devrions nous concentrer pour sauver les êtres. » J'ai balayé la fausse accusation.

Dès que j'ai dit cela, j'ai senti que le ciel s'était élargi. J'ai regardé en haut et j'ai vu qu'il y avait des lumières colorées dans les nuages sombres. Quand j'ai regardé encore de plus près, j'étais étonnée. Une immense fée céleste me souriait. Ses vêtements et son écharpe émettaient de belles lumières. C'était la première fois que je voyais de mes propres yeux une déité céleste volante.

Je savais que c'était un encouragement du Maître parce que j'avais maintenu mon xinxing quand j'avais été accusée de quelque chose que je n'avais pas fait. J'ai remercié cette pratiquante de m'avoir donné une opportunité d'élever mon xinxing. J'étais encore plus reconnaissante envers le Maître pour sa compassion et son orientation permanente.

J'ai aidé plus de 10 000 personnes à renoncer au Parti au cours de ces trois dernières années. En général je suis capable de rester calme et d'agir comme une pratiquante quand je fais face à toutes sortes de gens. Cela n'a pas été facile et a été un long processus de cultivation pour moi.

Quand j'ai commencé à clarifier la vérité aux gens directement face à face, j'ai rencontré deux jeunes hommes conduisant un cyclomoteur. J'ai sorti un DVD et avant même que j'ouvre la bouche, l'un deux m'a dit sévèrement : « Pousse-toi. » Je n'ai pas bougé parce que je voulais leur parler du DVD. L'autre a dit : « Va-t-en, ne donne pas des choses aux gens. » Ils sont partis et quelques mètres plus loin, je pouvais les entendre dire que j'étais folle. Il y a avait une petite ruelle là-devant et je m'y suis vite cachée. Je ne pouvais pas stopper mes larmes de ressentiment.

Je me suis demandé : « Ai-je fait quelque chose de mal ? Pourquoi est-ce que cela m'arrive ? » J'étais traitée comme si j'avais volé quelque chose. J'ai regardé à l'intérieur et j'ai trouvé le problème. J'avais peur de perdre la face et je n'aimais pas être critiquée par les autres. En d'autres mots, je recherchais la renommée. J'ai émis la pensée droite pour éliminer cet attachement. Je ne les ai pas blâmés de m'avoir insulter. C'était le résultat de la propagande répandue par le régime communiste. Je devais exposer ces mensonges et sauver ceux qui ont été trompés par le lui.

Je me suis calmée et j'ai marché hors de l'allée. Les jeune hommes étaient partis. J'ai continué à marcher et j'ai vu trois jeunes hommes marcher dans la rue. Je suis allée calmement vers eux et j'ai entamé la conversation : « Je voudrais vous donner un DVD d'un spectacle de danse incroyable. Avez-vous un lecteur DVD à la maison ? » L'un d'eux a demandé : « Quel spectacle ? » Je leur ai brièvement introduit Shen Yun.

Je leur ai donné à chacun un DVD et l'un d'eux a commenté : « Je suppose que ceci est au sujet du Falun Gong. » Je leur ai dit que de nombreux artistes dans le spectacle sont des pratiquants de Falun Gong et que le programme met en avant la culture divine de la Chine. Je leur ai aussi expliqué ce qu'est le Falun Gong, pourquoi le PCC persécute les pratiquants et pourquoi les pratiquants risquent leurs vies pour dire la vérité au sujet de la persécution. Je leur ai demandé s'ils étaient membres du Parti et de ses organisations affiliées. Je les ai encouragés à démissionner afin d'avoir un bon futur.

Un jeune a montré du doigt son compagnon : « Il est directeur d'entreprise et membre du Parti. S'il vous plaît, aidez-le en premier à démissionner. » J'ai regardé le directeur d'entreprise et je lui ai demandé : «  Est-ce vrai ? » Il a répondu : « Oui et je souhaite renoncer à mon adhésion au parti. Le gouvernement ne fait pas de bonnes choses pour ses citoyens et je souhaite prendre de la distance. Mon entreprise n'est pas loin d'ici. Vous pouvez m'envoyer de l'information au sujet du Falun Gong. Je voudrais la lire. Si je ne suis pas là, vous pouvez la remettre à mes employés et leur dire que c'est pour moi. » Les deux autres hommes ont dit avec enthousiasme vouloir aussi démissionner du Parti. Je leur ai donné des pseudonymes et les ai aidés à démissionner du Parti communiste. Je leur ai aussi demandé de se souvenir que Falun Dafa est bon, Authenticité.-Bienveillance-Tolérance est bon.

Le directeur de l'usine a dressé le pouce en l'air et a dit : « Vous êtes remarquable. Vous n'avez pas peur de dire aux gens la vérité sur le Falun Gong malgré la persécution. » J'ai répondu honnêtement : « Je ne suis pas remarquable. C'est le Falun Dafa et mon Maître qui sont extraordinaires. »

Je sais que c'est la façon du Maître de m'encourager. Il a pavé le chemin pour moi. Je suis progressivement devenue meilleure dans ma façon d'expliquer aux gens en face à face. Je ne tombais pas dans la plainte personnelle quand j'étais ridiculisée. Je n'argumentais pas non plus autrui quand on me posait des questions, ni ne m'énervais quand j'étais réprimandée. Je ne jubilais pas quand les gens me faisaient des compliments. Je clarifiais la vérité aux gens avec gentillesse et je sauvais les êtres avec compassion.

Un soir de mon retour du travail à la maison, j'ai rencontré un couple qui attendait le bus à l'extérieur de l'hôpital. Je suis allée les voir et je leur ai demandé s'ils avaient un lecteur DVD à la maison. L'homme a commencé à me réprimander. Sa voix était très forte et ses injures allaient en s'intensifiant. Sa femme a fait de même et beaucoup de passants s'arrêtaient pour regarder l'agitation.

Je ne savais que dire et j'ai émis la pensée droite pour éliminer les facteurs pervers les empêchant d'être sauvés. En même temps, j'ai examiné mes pensées et j'ai réalisé que j'étais devenue exaltée à cause de mes efforts précédents qui s'étaient bien passés. Après un moment, ils ont diminué leurs voix et j'ai saisi l'opportunité pour leur clarifier la vérité. Tout le monde m'écoutait doucement.

Le bus est venu et j'ai conclu en disant : « Tout le monde, s'il vous plaît lisez vite les brochures de Falun Gong. Démissionnez vite du Parti Communiste. » D'habitude les gens se battaient pour monter en premier dans le bus, mais cette fois il n'y avait pas d'agitation et personne n'a fait de bruit. Tout le monde était dans de profondes réflexions et je savais que mes paroles les avaient affectés.

Le bus est parti et j'ai émis la pensée droite pour désintégrer complètement tout élément pervers qui pourrait empêcher que les gens dans le bus soient sauvés. Bien que ces gens n'aient pas eu le temps de démissionner directement du Parti, notre brève rencontre amènerait une fondation et ainsi ils pourraient démissionner du Parti dans le futur.

Quand je pratiquais la méditation assise la nuit, j'ai vu plusieurs démons tourner autour de moi. J'ai crié de vive voix la formule de la rectification de Fa. D'innombrables roues de Falun sont apparues et ont détruit les démons. Puis, quelques démons immenses sont apparus. Ils ne m'ont pas attaquée, mais me regardaient avec colère et haine. Un par un, ils sont repartis. J'ai pensé, « Les démons sont fâchés. Cela doit être une bonne chose. » J'ai vu le Maître rire avec joie et cela m'a donné une très grande confiance.

Abandonner le gain matériel

J'avais un fort attachement au gain matériel avant de devenir pratiquante. Mais en tant que pratiquante, je dois suivre les exigences de Dafa. J'ai traversé un processus de cultivation ardu pour éliminer cet attachement.

Mon mari était conducteur de train. Avant de devenir une pratiquante, nous n'avons jamais payé pour des tickets de train. Mais après avoir commencé à pratiquer, je devais suivre les exigences requises pour un pratiquant. Je devais payer pour mes tickets quand je prenais le train. J'étais un peu réticente à ceci au début. Le Maître m'a donné des indices. Dans mes rêves, j'achetais les tickets pour un demi-trajet afin d'économiser de l'argent. Quand je suis montée dans le train, je tenais le ticket dans une main et dans l'autre main, j'avais une note IOU et le montant écrit dessus était le prix du ticket pour l'autre moitié du trajet. Je me suis réveillée et j'ai compris que l'argent sur lequel je lésinais était enregistré dans d'autres dimensions. Après cela je ne me sentais plus malheureuse du tout quand je devais payer pour un ticket de train.

Lors d'une occasion, j'ai acheté un fruit qui coûtait 1,5 yuans. J'ai donné au vendeur un billet de cinq dollar qui avait un message de clarification de la vérité dessus. Il a pensé que je lui avait donné un billet de 10 dollar et il m'a rendu 8,5 en retour. Je lui ai rendu l'argent en trop. Il était très reconnaissant et a insisté pour me donner un fruit supplémentaire. J'ai poliment refusé son offre et je lui ai clarifié la vérité. Il n'a cessé de réciter « Falun Dafa est bon ! » De tels incidents arrivent souvent.

Le Maître a dit :

« Elle ne prend plus rien à cœur, elle ne prend absolument plus à cœur les affaires des gens ordinaires, elle est toujours de bonne humeur, peu importe qu’elle perde beaucoup, elle reste de bonne humeur et s’en moque. » (Neuvième leçon dans le Zhuan Falun)

Mon voisin a pris le bout de terrain derrière mon hangar. Au début, je ne l'ai pas réalisé. Quand quelqu'un m'en a parlé plus tard, j'étais un peu énervée. Mais je me suis souvenue que pour un pratiquant, tout arrive avec raison.

Dans « Enseignement de la Loi donné à Manhattan », le Maître a dit :

« Quand un pratiquant souffre vraiment une forme de perte, il en rit simplement. C'est l'état que vous devriez avoir et c'est ce que vous devez atteindre, car vous n'êtes pas des personnes ordinaires et vous devez sortir de l'homme ordinaire. »

Me rappelant les enseignements du Maître, je savais clairement dans mon cœur comment je devais traiter cette situation. Est-ce qu'un pratiquant n'est pas supposé prendre les pertes matérielles avec légèreté ? J'ai chassé le souci de la perte de ma propriété personnelle comme si rien n'était arrivé et je l'ai abandonné paisiblement.

Depuis que j'ai commencé la cultivation, j'ai gentiment retourné toutes sortes de cadeaux reçus par les parents des élèves. Je saisissais l'opportunité pour leur clarifier la vérité et souvent les résultats étaient très positifs. Un parent m'a acheté un t-shirt en soie pour la journée des professeurs. J'ai demandé à l'élève de le rendre et le lendemain matin, l'enfant l'a remporté. Je l'ai persuadé de le ramener à la maison. Sa mère est venue le lendemain matin à l'école et je lui ai de nouveau poliment retourné. Je lui ai dit les faits du Falun Gong et elle a été d'accord pour démissionner du PCC.

Des professeurs aidaient des commerces à faire la promotion de leurs produits aux élèves pour une rémunération. Je refusais de telles offres et mes collègues disaient que j'avais beaucoup changé.

Comme pratiquante, être capable de maintenir son xinxing quand on est tenté par les intérêts matériels et se séparer volontairement des pertes est reflété dans tous les aspects. Mon beau-père est décédé cette année. C'est une habitude pour les collègues au travail de quelqu'un de collecter de l'argent pour un cadeau de consolation. Mon directeur m'a donné le cadeau et je l'ai rendu. Cette nuit-là j'ai fait un rêve. Depuis un chemin étroit, je marchais en direction d'une route peinte de 200 mètres de large. J'étais occupée à sauver les gens et je me dépêchais le long du chemin.

Mon corps et mon esprit étaient bien et détendus après que j'aie abandonné mon attachement aux gains matériels.

Abandonner la sentimentalité envers les membres de ma famille

Pour moi, abandonner la renommée est difficile ainsi que d'abandonner les gains matériels. Mais abandonner les sentiments est le plus dur de tous.

Quand ma mère était en vie, elle dépendait de moi et j'étais très liée à elle. Elle est décédée avant que je ne devienne pratiquante. J'ai tellement pleuré après sa mort que j'en suis devenue malade. Elle me faisait souvent du mal dans mes rêves et je ne comprenais pas pourquoi.

Une fois, j'ai rêvé que je croisais ma mère sur la route et j'ai crié « Maman ! » Elle a marché vers moi et a soudainement tendu ses deux mains pour m'étrangler. Elle s'est transformée en un démon hideux. J'ai crié très fort « Falun Dafa est bon ! » et elle a disparu en un instant. Je me suis réveillée et j'ai réalisé que je devais abandonner cet attachement à la sentimentalité du fait que j'étais devenue une pratiquante.

Une autre fois, ma mère pleurait dans mes rêves. Elle me demandait d'aller rendre visite à ma troisième sœur aînée qui était possédée par un esprit et qui était devenue délirante. Ma mère criait et m'enlaçait, me disant à quel point ma troisième sœur était pitoyable. Elle me disait que je devais aller la voir. J'ai aussi beaucoup pleuré, et quand je me suis réveillée, mon oreiller était mouillé.

Je me suis souvenue des enseignements du Maître :

« L’interférence de parents défunts ; vous les voyez venir en larmes vous supplier de faire ceci ou cela, tout peut arriver. Pourrez-vous rester le cœur impassible ? Vous gâtiez votre enfant, vous aimiez vos parents. Vos parents sont morts et les démons vous disent de faire telle ou telle chose... des choses que justement vous ne devez pas faire, ce serait désastreux si vous les faisiez. » (Sixième leçon dans le Zhuan Falun )

« Si vous êtes capable de vous libérer des émotions, plus personne ne pourra vous toucher, la mentalité des gens ordinaires ne parviendra plus à vous émouvoir, c’est la compassion qui prendra leur place, c’est quelque chose de beaucoup plus noble. » (Quatrième leçon dans le Zhuan Falun)

Bien sûr, je suis une pratiquante et je dois écouter les mots du Maître. Je dois maintenir mon xinxing et ne pas vaciller à cause des attachements humains.

J'ai rêvé que je dormais aux côtés de ma mère à une autre occasion. Elle me disait : « Dans une vie passée, j'ai été assignée au tribunal par un officier de haut rang du tribunal. Pourtant la position t'a été donnée à la fin. » Elle essayait ensuite de m'empoisonner avec une aiguille empoisonnée. J'ai attrapé l'aiguille et je l'ai cassé. Le poison s'en est écoulé.

Je me suis réveillée et j'ai réfléchi à mon rêve. Ma mère me causait sans cesse des perturbations parce que je n'avais pas abandonné complètement mon attachement à la sentimentalité envers elle. J'ai émis la pensée droite pour régler notre passé amer avec des solutions bienveillantes. J'ai dit à ma mère : « Je ne sais pas quelle affinité prédestinée nous avions. Malgré tout ce qui est arrivé dans le passé, ne me cause pas de trouble. Je fais maintenant la chose la plus droite dans l'univers et toute personne qui interfère commet un péché. Peu importe ce que je te dois, je te donnerai le meilleur règlement quand j'atteindrai la plénitude parfaite. »

Je lui ai aussi lu les enseignements du Maître sur les solutions bienveillantes :

« Vous pouvez émettre cette pensée : « Pendant la rectification de Fa de l'Univers, je peux faire un arrangement raisonnable pour ceux d'entre vous qui n'interfèrent pas avec ma validation de Fa, je peux vous faire devenir des êtres du futur ; que ceux qui cherchent une solution bienveillante me quittent et attendent dans les environs ; si vous ne pouvez vraiment pas me quitter, vous ne devez en tout cas jouer aucun rôle pour me perturber, dans le futur je pourrai atteindre la plénitude parfaite et je vous offrirai une solution bienveillante ; pour ceux qui sont totalement mauvais, qui interfèrent toujours avec moi et qui ne peuvent pas rester selon le critère, je ne peux que les éliminer, même si je ne vous élimine pas, le Fa de l'Univers ne peut pas vous garder. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi internationale à New York »)

Depuis lors, elle n'est jamais revenue me déranger et j'ai profondément dépasser la sentimentalité envers ma mère.

Mon mari est décédé il y a quatre ans passés. Après sa mort, je ne suis pas allé travailler pendant six mois. J'ai lu le Fa et j'ai pratiqué les exercices. Je pleurais constamment et j'étais profondément émue. Ma fille m'a emmenée jusqu'au portrait du Maître et m'a dit : « Mère, tu devrais être diligente dans ta cultivation et ne pas avoir de regrets plus tard. » Le Maître s'inquiétait encore d'avantage pour moi. Une fois , j'ai entendu sa voix me dire :

« Inconscient du danger imminent »

(« Une volonté de diamant » dans Hong Yin II)

Je suis devenue beaucoup plus sérieuse. Je ne pouvais pas laisser le Maître s'inquiéter pour moi.

J'ai vu un autre moi dans un rêve un jour. Ce moi était avec mon mari décédé et lui demandait de l'emmener. Mon mari l'a tirée et est parti. Je lui ai crié fortement : « Laisse-la partir ! » Puis j'ai crié à ce moi : « Tu ne peux pas partir avec lui ! » Mon mari a poussé ce moi par terre et est parti.

Avant cela, j'avais souvent rêvé d'être avec mon mari et je ne portais pas beaucoup d'attention à ces rêves. Cependant ce jour-là, j'ai senti la gravité du problème. Le Maître a dit :

« Si vous ne vous détachez pas des émotions, vous ne pourrez pas cultiver et pratiquer. » (Quatrième leçon dans le Zhuan Falun)

Maintenant j'ai pu abandonner cette sentimentalité. J'ai passé beaucoup de temps à lire le Fa et à comprendre d'avantage la raison pour laquelle je suis venue dans ce monde : pour assister le Maître dans la rectification de Fa et pour sauver les êtres.

J'ai arrêté d'être assise à la maison, et je suis sortie pour clarifier la vérité et sauver les gens. J'ai clarifié la vérité à des connaissances de longue date et elles ont démissionné du Parti. Leur belle-fille est rentrée du travail quelques minutes après. Je lui ai dit les faits de la persécution et elle aussi a quitté les organisations affiliées. J'ai éclairé quelques unes de ses questions et toute la famille a compris la vérité.

Depuis lors, même quand il pleut beaucoup, je ne manque jamais un jour pour clarifier la vérité et sauver les gens.

Ma fille est mon seul enfant et ma dévotion envers elle m'a apporté beaucoup de soucis. J'avais particulièrement peur qu'elle ne soit pas diligente et qu'elle soit laissée de côté dans la rectification de Fa. Je savais que je devais aussi abandonné cette sentimentalité. Le Maître m'a de nouveau envoyé des signes. J'ai rêvé que j'étais avec ma fille. Je lui disais : « Je veux abandonner mon affection envers toi, mais je ne sais pas comment. » Ma fille a souri et a répondu : « C'est facile. Ne pense à rien. »

J'ai tout de suite compris que tout ce quoi on pense tout le temps est un attachement. Si tu te n'en inquiètes plus, tu abandonnes l'attachement. Chaque fois que je m'inquiétais de ma fille ou que je développais un attachement, j'allais étudier le Fa. À travers les enseignements du Maître, ma sentimentalité a diminuée et progressivement j'ai pu abandonner l'attachement.

Une fois, un démon m'a dit vivement dans mes rêves que quelque chose allait arriver à ma fille. J'ai pleuré de tout mon cœur. Quand je me suis réveillée, je savais que c'était une illusion transformée par les forces anciennes dans une tentative de nous faire du mal. Les enseignements du Maître me sont venus à l'esprit :

« ...un cœur sans agitation, peut dominer dix mille agitations. » (« Éliminer le dernier attachement » dans Points essentiels pour un avancement diligent II)

J'ai maintenu mon xinxing et je n'ai pas vacillé. J'ai persévéré dans la lecture de Fa, dans la pratique des exercices, dans l'émission de la pensées droite et pour sauver les gens. Je ne pensais à rien d'autre et mon esprit était très ferme.

Dans la cultivation, j'ai vraiment fait l'expérience de ce que le Maître nous a enseigné :

« La cultivation et la pratique s’effectuent justement dans les épreuves dues aux démons, c’est pour voir si vous pouvez couper avec les sept émotions et les six désirs et les prendre avec légèreté. Si vous tenez toujours à ces choses, vous ne réussirez pas votre cultivation. » (Quatrième leçon dans le Zhuan Falun)

Élever son xinxing

(1) Prendre la souffrance comme de la joie et prendre du plaisir à cultiver et pratiquer

Endurer la douleur au cours de la méditation assise

Le premier jour que je suis allée au site de pratique, j'ai essayé la méditation assise en position du double lotus. Je pouvais plier mes deux jambes facilement mais elle commençaient à me faire mal après avoir pris la posture. J'ai serré les dents et j'ai enduré la douleur pendant longtemps. J'ai regardé ma montre mais seulement cinq minutes étaient passées. Chaque fois que je faisais la méditation, j'endurais la douleur et je terminais l'exercice en comptant les minutes. Le premier jour j'ai pu rester assise pendant une demi-heure. La douleur dans mes jambes a petit à petit diminué. Un mois et demi plus tard, je pouvais être assise pendant 45 minutes et six mois plus tard j'ai allongé mon temps à une heure. J'ai traversé de nombreuse difficultés. Pour être assise les deux jambes fléchies pendant plus de 50 minutes, j'ai enduré la douleur et tenu en comptant les secondes. Je me suis donné une règle à moi-même : le temps que je tiens en méditation assise doit augmenter chaque jour. Je ne peux pas rester en position moins longtemps que le jour d'avant.

Après une année, je pouvais m'asseoir pendant 100 minutes. Au site de pratique, parfois je restais seule à poursuivre la méditation assise alors que les autres s'en allaient. Plus tard quand je pratiquais la méditation assise à la maison, je le faisais en général pendant une heure et demi. Mes jambes commençaient à me faire mal après 75 minutes. Je continuais pendant 15 minutes supplémentaires.

Une fois j'ai dit à mon mari en plaisantant : « Tu prends l'argent et la prospérité à la légère. Je ne peux pas comparer avec toi. Mais je peux mieux supporter la souffrance que toi. » J'ai souffert pendant longtemps à cause de mes remarques irréfléchies. Cette nuit-là, mes jambes ont commencé à faire mal après 45 minutes. J'ai compris tout de suite que c'était à cause de mes remarques désinvoltes. Je n'avais pas cultivé la parole. La douleur était insupportable, juste comme la première fois où j'avais pratiqué la méditation assise. C'était comme si mon corps avait des spasmes et que je m'effritais en sueur froide. Je voulais vraiment abandonner. J'ai continué à penser : « Je dois persévérer. C'est ma faute de ne pas avoir cultivé la parole. Je le mérite. »

Une heure plus tard, mon corps et mes jambes fourmillaient de douleur. J'ai continué à réciter la phrase de la neuvième leçon du Zhuan Falun :

« C’est difficile à endurer, endurez-le quand même ; lorsque cela vous paraît impossible à faire, ou si on dit que c’est difficile à faire, essayez donc pour voir si c’est vraiment impossible. »

J'ai poursuivi pendant une demi-heure, puis j'ai lentement décroisé mes jambes. Mon visage était couvert de sueur et de larmes.

Cette expérience m'a appris que la cultivation est une affaire sérieuse et je suis devenue plus stricte avec moi-même. Je m'assoirai en double lotus chaque fois que je lirai le Fa.

En 2011, je pouvais m'asseoir dans cette posture pendant quatre heures. Mes jambes étaient molles et flexibles. Je pouvais les mettre en position sans utiliser mes mains et m'asseoir pendant quatre à cinq heures et elle ne me faisaient pas très mal. Au travail, quand il n'y avait personne autour, j'étudiais les enseignements dans cette posture.

J'ai étendu le temps de méditation avec les deux jambes relevées pendant plusieurs jours cette année. Un jour, je me suis assise pendant neuf heures et demi. Après cinq heures, les plantes de mes pied sont devenues froides et émettaient de mauvaises substances. Huit heures plus tard, la sensation de froid a disparu et mes jambes ont commencé à devenir très chaudes. Des courants chauds circulaient dans mon corps et je me sentais très bien. Je voulais rester assise plus longtemps dans cette position. À contre-coeur, j'ai décroisé mes jambes après neuf heures et demi quand je n'en pouvais plus. J'ai bougé pendant une ou deux minutes et mes jambes se sentaient de nouveau normales. Je me suis assise pendant huit heures à quelques occasions, et à chaque fois, cela devenait de plus en plus agréables quand le temps passait. Mon record été douze heures, et à la fin, je devais arrêter parce que je n'avais pas le temps de continuer. Je n'avais jamais senti que je pouvais endurer la position assise comme ça. Pendant ce temps, je n'ai pas mangé ni bu mais je n'avais ni faim ni soif. Les pouvoirs magiques de Dafa sont inconcevables.

(2) Dépasser la fatigue

Je souffrais d'insomnie sévère avant de commencer la pratique et je n'arrivais pas à m'endormir avant 2 heures du matin. Pendant la journée j'étais apathique. Après avoir obtenu le Fa, je devenais somnolente chaque fois que je lisais le Fa et je ne pouvais pas me souvenir de ce que je lisais. Mais je n'ai pas abandonné et je lisais les enseignements du Maître chaque fois que j'avais le temps.

Je faisais les exercices deux fois par jour, le matin et la nuit à cause de ma mauvaise santé. Le Maître dit que faire les exercices est la meilleure forme de repos. Comme ma qualité de sommeil était mauvaise, j'ai pensé que je devrais faire les exercices plus souvent. Et oui, après avoir fait les exercices, tout mon corps se sentait relaxé. Ma santé s'est encore plus améliorée après avoir étudié le Fa. Mon esprit est devenu plus clair. Je voulais passer plus de temps à lire le Fa et à faire les exercices, mais comment pouvais-je trouver le temps ? Je n'avais pas d'autre choix que de dormir moins.

J'allais souvent me coucher autour de 21 h. Après avoir commencé la pratique, je restais debout jusqu'après 22 h, mais ma qualité de sommeil était excellente. J'étais plus alerte dans la journée. Bien que je dorme moins, j'avais plus d'énergie. Combien Dafa est extraordinaire. Comme j'ai continué à apprendre le Fa et à faire les exercices, le Maître a nettoyé mon corps. Je souffrais de nombreuses maladies telles que maladie du cœur, rhumatisme, attaques de panique, etc. J'ai retrouvé la santé.

Nous devons étudier le Fa, faire les exercices et clarifier la vérité aux gens après que la persécution a commencé. Alors j'ai changé ma routine et je faisais les exercices le matin. Je faisais les activités de validation de Fa la nuit sans faute tous les jours. Quand le Maître nous a demandé d'émettre la pensée droite en 2001, les premiers jours, je n'entendais pas le réveil. Je pensais : ce n'est pas possible. Je ne peux pas échouer dans ce le Maître nous demande de faire.

J'ai décidé d'aller dormir après minuit pour être sûre de ne pas rater l'émission de la pensée droite à minuit. Mon sommeil était réduit à moins de quatre heures par jour en conséquence. Au début, j'étais si somnolente que je pouvais à peine garder les yeux ouverts et que je ne pouvais pas bien étudier le Fa. Je me lavais le visage quand j'étais submergée de fatigue, mais tout ça ce sont des méthodes humaines. Parfois ça marche, parfois ça ne marche pas.

Ensuite, j'ai décidé d'aller distribuer des documents de clarification de la vérité quand j'étais prise de sommeil. C'était très efficace, alors j'ai ajusté ma routine. Après avoir émis la pensée droite à 18 h, j'étudiais d'abord les enseignements, puis j'allais distribuer des documents. Je rentrais à 23 h 30, j'émettais la pensée droite et ne me sentais pas du tout fatiguée. J'allais travailler le matin et j'étais pleine d'énergie comme auparavant.

Le Maître nous a enseigné dans « Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 » :

« C’est pourquoi on dit qu’en continuant à cultiver et pratiquer comme au début, on parviendra assurément au fruit juste. »

Comme le Maître veut que nous cultivions et pratiquions de la même façon qu'au début et que faire les exercices est la meilleure forme de repos qui soit, je devrais faire les cinq exercices deux fois par jour. Alors, depuis le début de 2009, j'ai commencé à faire les exercices deux fois par jour. J'ai graduellement allongé mon temps de lecture du Fa de une à deux puis trois leçons par jour. J'ai aussi augmenté mon temps d'émission de la pensée droite. Chaque jour, j'émettais la pensée droite pendant 70 minutes la nuit et à peu près une demi-heure les autres fois. Je lisais une conférence au groupe d'étude de Fa à 7 h 30. Dans la journée, je passais plus de temps à clarifier la vérité en face à face. Le soir, après l'émission de la pensée droite, plusieurs pratiquants venaient chez moi et nous étudiions une conférence ensemble. Je lisais une leçon de plus quand les pratiquants partaient, suivi des exercices, écrivant ou lisant d'autres documents durant toute la nuit, sans dormir.

Je travaillais seulement pendant les vacances publiques ce qui équivaut à la retraite. Le Maître m'a indiqué que je devrais plus étudier le Fa. Quand pouvais-je trouver le temps pour cela ? Je me suis tenue face au portrait du Maître en implorant son aide pour cette difficulté. Une pensée m'est venue à l'esprit. Pourquoi est-ce que je ne lis pas une conférence de plus après l'émission de la pensée droite de minuit ? J'ai vu les yeux du Maître dans le portrait s'éclairer et émettre deux rayons de lumière blanche. Sa bouche a fait un sourire. Je savais que j'avais trouvé la bonne solution. Depuis lors, après l'émission de la pensée droite à minuit, j'offrais un encens au Maître puis j'étudiais le Fa devant son portrait.

J'ai de nouveau ajusté mon temps de sommeil à la fin de l'année passée. J'allais au lit à 19 h 30 et je me levais à 21 h 50 pour faire les exercices. Après cela je ne dormais plus du tout. J'étudiais les enseignements de 00 h 30 à 3 h 40. Je dormais environ deux heures par jour. Inspirée par le Maître, je savais que je pourrais progresser à l'état de divinité depuis un être humain.

Plus tard, je dormais moins de deux heures par jour et il y avait de plus en plus de jours où je restais éveillée la nuit. Ces dernières années, je dormais sans changer mes vêtements. J'ai arrêté d'utiliser des couverture, des draps et des oreillers sur mon lit les six derniers mois. Quand je suis fatiguée, je fais juste un petit somme. Si je suis trop confortable, cela sera dur pour moi de me lever.

Le Maître a dit :

« N’avez-vous jamais réfléchi au fait que cultiver et pratiquer était la meilleure forme de repos ? Vous pouvez obtenir la sorte de repos qui ne peut pas être obtenue par le sommeil. Personne ne dirait : « Ces exercices me rendent si fatigué que je n’arrive à rien faire aujourd’hui. » On pourrait seulement dire : « Les exercices rendent mon corps léger. Je ne me sens pas fatigué après une nuit sans sommeil. Je me sens plein d’énergie. » » (« Enseignement de Fa à la première conférence de Fa en Amérique du Nord »)

Je fais les exercices pendant quatre heures par jour et je dors environ une heure. Cela m'est suffisant pour être pleinement reposée. J'ai vraiment traversé des difficultés dans le processus de surmonter la douleur au cours de la méditation assise et la fatigue.

Je me souviens toujours des mots de Maître :

« Dans ce cas, je vous dis qu'endurer la souffrance n’est pas une mauvaise chose. Les êtres humains sont les seuls qui pensent qu'endurer la souffrance est une mauvaise chose, qu'une vie de souffrance n’est pas le bonheur. Pour un pratiquant, endurer la souffrance n’élimine pas seulement le karma, mais élève aussi son niveau et mène à la plénitude parfaite. » (« Premier enseignement de Fa donné aux États-Unis » - 1996)

Je me conduis en accord avec les exigences de Dafa et je maintiens strictement mon xinxing au cours de la cultivation. J'ai vraiment fait l'expérience du plaisir abondant qui vient de regarder la souffrance comme une bonne chose et d'avoir de la joie en surmontant les difficultés.

Accueillir les tribulations avec légèreté et passer les tests avec l'aide du Maître

J'ai eu beaucoup de tribulations tout au long de mon parcours de cultivation. Toutes ont été résolues avec la pensée droite et la protection du Maître. Quand je regarde en arrière, ce nombre d'adversités n'étaient rien. Bien qu'elles aient tempéré mon xinxing et ma volonté. J'ai compris que chaque phrase dans les enseignements du Maître transmet le pouvoir divin du Fa de Bouddha. C'est à nous de choisir de croire et de savoir comment utiliser ce pouvoir. C'est aussi un test de notre foi dans le Fa.

(1) Voir au-delà de la tromperie

Les forces anciennes ont transformé beaucoup de faux signes de karma de maladie. Je me suis débarrassée des moins sévères avec la pensée droite. Par exemple, mes jambes me faisaient soudainement mal, parfois j'avais des douleurs à l'estomac, j'avais un mal de tête ou ma gorge devenait enflammée, etc. Je me suis vite remise de tous ces petit inconforts en émettant la pensée droite. J'ai réussi à dépasser les illusions les plus sévères après avoir émis la pensée droite pendant longtemps.

Je me suis relâchée et j'ai joué au poker avec des amis sur un rassemblement de mon travail pour le Nouvel An chinois 2006. Quand je me suis assise, un courant froid a parcouru mon corps. Je n'y ai pas prêté attention mais j'ai commencé à tousser quand je suis rentrée à la maison. J'ai regardé à l'intérieur et j'ai réalisé que je n'aurai pas dû jouer au poker. Les forces anciennes ont profité de cette faille et j'ai donc émis la pensée droite pour les éliminer. Mais cela n'a pas eu d'effet et le rhume a duré et s'est empiré chaque jour pendant un mois. Je ne pouvais pas du tout clarifier la vérité aux gens et quand j'ouvrais la bouche pour parler je toussais.

Je sentais que cela ne pouvait pas continuer parce que ma clarification de la vérité était affectée. J'ai décidé d'émettre la pensée droite plus longtemps un soir à 1 h. J'ai demandé l'aide du Maître. J'étais déterminée à émettre la pensée droite de façon continue si mon rhume ne cessait pas. Auparavant quand j'émettais la pensée droite, je toussais plus intensément. Cette fois j'ai ignoré la toux incessante et j'ai continué à émettre la pensée droite dans mon cœur. La toux s'est empirée. Après avoir émis la pensée droite pendant 40 minutes, j'étais un peu essoufflée et tout mon corps s'est mis à transpirer. Chaque minute était une bataille, mais j'ai continué de façon obstinée et cinq minutes après, la perversité a complètement disparu. Je ne toussais plus si fort désormais et j'étais capable de reprendre ma respiration. J'ai persisté pendant cinq minutes supplémentaires et je me suis complètement rétablie. J'ai émis la pensée droite pendant cinq minutes de plus et ainsi après une heure d'émission de la pensée droite j'étais de nouveau tout à fait bien. Je suis allée travailler le jour suivant et tout le monde était étonné de ma guérison rapide.

Une fois la perversité m'a donné les symptômes d'une hémorragie cérébrale. La moitié gauche de mon corps est devenue engourdie, le côté gauche de ma nuque était tendu, mes lèvre perdaient leur agilité mais je pouvais toujours bouger. J'ai commencé à émettre la pensée droite et l'air froid est sorti de mes paumes et de mes plantes de pied. L'émission de froid s'est arrêtée après une heure et demi et j'ai complètement récupéré. Les mêmes symptômes sont apparus une autre fois mais de façon plus sévère. J'ai émis la pensée droite pendant deux heures avant de me sentir mieux. En conclusion, plus nous émettons la pensée droite longtemps, plus c'est efficace.

Je ne me sentais pas bien un jour d'avril cette année après l'émission de la pensée droite de minuit. C'est d'abord mon estomac qui m'a fait mal puis la douleur s'est répandue dans tout mon corps. Je n'avais pas de force dans mes membres. Je voulais émettre la pensée droite mais je ne pouvais pas m'asseoir. Avec beaucoup de mal, j'ai pris mon lecteur MP3 et j'ai écouté les conférences du Maître. Je ne pouvais même plus bouger la main.

Je n'avais pas peur du tout. J'ai écouté les conférences pendant la moitié de la nuit. Quand il était temps de faire les exercices, je ne pouvais pas me lever et j'ai continué à écouter le Fa. J'ai maintenu mon xinxing et j'avais complètement foi en Maître et en Dafa. J'ai regardé à l'intérieur pour tout attachement. Je ne reconnaîtrais pas les arrangements des forces anciennes que j'ai des insuffisances ou non. J'ai continué d'écouter mon lecteur MP3 avec une pensée à l'esprit : « ...Avec le Maître et le Fa, qu'y a-t-il à craindre ? » J'ai écouté l'enregistrement jusqu'à 2 h du matin et je me sentais un peu mieux. Je pouvais me lever. J'ai fait les exercices, tous les cinq, en une fois et je suis revenue normale. Mon karma de maladie avait été éliminé en écoutant le Fa et avec la pensée droite.

J'ai entendu une voix dire : « Son père est mort comme ça et sa mère aussi » un jour de l'hiver dernier. Il m'a été montré une vision du corps de mon mari tout gonflé. J'ai souri et j'ai dit à l'illusion : « Vos mots n'ont aucune importance. Mon Maître décide de tout. Il nous a enseigné : « Parce que les disciples de Dafa sont mes disciples, personne n’est digne de s’en occuper. » (« Enseignement de la Loi à la réunion avec les élèves de la région d’Asie-Pacifique »)

Un matin deux jours plus tard, je me suis réveillée sentant que quelque chose n'allait pas bien. Mon corps se sentait raide et mon estomac a soudainement gonflé. Je l'ai montré à ma fille et elle était choquée. Elle s'est calmée et a dit : « Maman, n'aie pas peur. » J'ai ri : « Pourquoi devrais-je avoir peur ? » J'ai continué avec ce que je planifiais de faire. Je suis allée dehors sur mon vélo pour clarifier la vérité aux gens. À la fin de la journée, je suis rentrée à la maison et j'allais bien.

Les mêmes symptômes sont apparus le jour suivant. J'ai poursuivi de façon normale, étudiant le Fa et allant à l'extérieur pour dire aux gens les faits de la persécution. De nouveau j'allais bien à la fin de la journée. De tels symptômes n'ont jamais réapparu.

Les forces anciennes ont changé leurs tactiques et m'ont dit : « Nous allons te faire souffrir. » J'ai ri et leur ai dit : « Je nie tous vos arrangements. Ils n'ont pas d'importance. » J'étais prête à distribuer les prospectus après l'émission de la pensée droite de 18 h ce soir-là. Je me suis levée et mes jambes faisaient mal comme si elles étaient piquées par des aiguilles. Je me suis rappelée des enseignements du Maître au sujet de comment il glace les forces anciennes. Je leur ai dit : « Vous sentirez de la douleur de la même façon que vous m'en causez. Je refuse d'accepter vos arrangements. Vous avez peur que je sorte à l'extérieur pour donner des prospectus et sauver les gens. Vous ne pourrez pas m'arrêter un seul instant. » J'ai pris les documents et je suis sortie. Mes jambes ne faisaient plus aussi mal. Ça allait tout à fait bien quand je suis rentrée chez moi.

C'est en août 2008 que l'illusion du karma de maladie transformée par les forces anciennes a duré le plus longtemps. Un jour, après l'émission de la pensée droite pour aider un compagnon de pratique, une petite ampoule est apparue sur mon majeur. Elle a grossi, la peau s'est ouverte et du pus en est sorti. Plus tard, tout mon bras était infecté et le pus sortait de chaque doigt. Cela me démangeait énormément. Les forces anciennes ont dit : « Nous t'avons fait une injection toxique. » Je leur ai dit : « Je suis disciple de Li Hongzhi, je refuse tous les autres arrangements, je n’en reconnais aucun. » (« Expliquer la Loi lors de la Conférence de Loi de l’Ouest des États-Unis au moment de la Fête de la lanterne de l’an 2003 »)

Malgré le fait d'avoir continuellement cherché tous les attachements que j'avais encore et émis la pensée droite, la situation s'est détériorée. Cela s'est étendu jusqu'à mes poignets. Le 1er octobre 2010, cela faisait plus de deux ans que mon bras était rouge et suppurant. Je me suis souvenue d'un paragraphe dans les enseignements du Maître où un disciple dit que son corps resterait assis ici même si sa tête était coupée. Bien sûr, j'avais déjà obtenu le Fa alors de quoi devais-je avoir peur ? J'ai décidé de ne pas être affectée par cela et de laisser le Maître s'occuper de tout, alors j'ai arrêté de penser à ça quand j'ai émis la pensée droite. C'était comme si rien ne s'était passé. Le troisième jour, les démangeaisons ont cessé. Mon bras était lisse et libre de souillures le quatrième jour. C'était comme avant. Le bras qui avait suppuré pendant deux ans était redevenu normal en quatre jours.

Cette expérience m'a appris que le Maître va nous aider quand nous abandonnons véritablement nos attachements. Les mots ne peuvent pas décrire comment je me sentais.

La perversité est intervenue avec de tests de vie ou de mort pour moi, à plusieurs reprises. J'ai passé ces haies avec le pouvoir donné par le Maître et la pensée droite. Deux grandes photos en noir et blanc sont apparues en face de mes yeux un jour. Elles ressemblaient à des portraits du décès de ma mort proche. Un démon m'a dit vicieusement : « Tu es morte deux fois déjà. » J'ai pensé : « J'ai passé les tests de la vie et de la mort deux fois déjà. Je vais bien. » Cette simple pensée qui n'était pas dans le Fa m'a causé de grands problèmes. La perversité m'a montré d'autres photos en noir et blanc de moi. J'ai difficilement traversé deux autres tests de vie ou de mort. À travers l'étude du Fa, j'ai réalisé que je m'étais engagée sur le chemin arrangé par les forces anciennes.

En récitant le Fa un jour, j'ai fait face à une interférence particulièrement grande et j'ai dû arrêté de réciter. J'ai commencé à étudier les enseignements après l'émission de la pensée droite la nuit. J'avais terriblement mal à la tête, mais j'ai refusé de reconnaître les arrangements de la perversité. J'ai renforcé ma foi dans le Maître et Dafa, et j'ai continué à lire une autre leçon. Le mal de tête a diminué un peu et j'ai vu des tâches rouges dans le livre. Des rayons lumineux violets et bleus sortaient de mon œil céleste et j'ai vu un ange immense. Ma tête ne me faisait plus mal et j'ai entendu une voix de petit garçon dire : « Elle revient à la vie. » Le son était fort et clair. Peut-être que la perversité dans les autres dimensions voulaient me tuer, mais le Maître avait déjoué leurs plans.

Un jour, j'ai vu une grande montagne quand je suis allée au lit après l'émission de la pensée droite à minuit. La montagne était très haute et il y avait deux anneaux juste comme la lentille d'une caméra à son sommet qui me visaient. Je me suis tout de suite levée et j'ai émis la pensée droite. De la fumée noire épaisse sortait des deux appareils se dirigeant vers moi. J'ai crié : « Maître aide-moi. » La fumée a immédiatement disparu et la montagne s'est effondrée couche après couche, se dissolvant en eau trouble. Toute la montagne avait été réduite à rien en très peu de temps.

La perversité est revenue se battre directement avec moi. Elle me poussait pendant l'émission de la pensée droite ou la méditation assise. Je me levais tout de suite et émettait la pensée droite pour l'éliminer. Parfois quand je sentais que je n'avais pas assez de force, je demandais l'aide du Maître. Aussi longtemps que je maintenais mon xinxing de pratiquant, je pouvais éliminer la perversité en un clin d’œil.

J'ai marché jusqu'au portrait du Maître et je me suis préparée à émettre la pensée droite un matin à 5 h 50. Ayant atteint un état de tranquillité, un démon énorme est apparu à ma gauche et m'a poussée. J'ai dit à voix haute : « Le Fa rectifie l'univers, la perversité est complètement éliminée. Maître s'il vous plaît sauvez-moi », et le démon a disparu en un instant. J'ai tenu ma paume dressée et un démon géant est apparu à ma droite brandissant un grand bâton. Il a touché ma tête avec et j'ai crié les mêmes mots. Le démon a aussi disparu.

J'ai retrouvé ma tranquillité et commencé à émettre la pensée droite. Un démon tenant une chose ronde ressemblant à un couvercle est venu empressé vers moi. J'ai crié à l'aide une fois de plus et ce démon s'en est aussi allé.

J'étais assise bien droite et j'ai continué à émettre la pensée droite. J'ai relâché mes jambes une heure plus tard et j'ai regardé la photo du Maître. Le Maître me souriait ! J'ai pleuré de gratitude. Une fois encore j'avais fait l'expérience du bonheur et de la gloire de baigner dans la compassion que le Maître m'a témoigné.

Le Maître m'a sorti de situations dangereuses. Un jour je suis allée au lit à 3 h après l'émission de la pensée droite et la lecture de deux conférences. Quand je me suis couchée, de la fumée noire a commencé à m'entourer. Juste quand j'allais émettre la pensée droite, j'ai vu le Maître apparaître dans l'air. Il a tendu une main immense et toute la fumée s'est rassemblée dans sa paume. Sa main a absorbé toute la fumée instantanément et la terre s'est éclaircie. Je suis reconnaissante envers le Maître d'avoir résolu cette grande tribulation. Qui sait quelles grandes souffrances il a supporté pour moi.

Le Maître a dit :

« En particulier durant ces années de persécution, peu importe ce à quoi vous avez fait face tandis que vous validiez la Loi, je vous l’ai déjà dit, tout cela est une bonne chose, car ces choses sont survenues spécifiquement parce que vous cultivez. Ces épreuves dues au démon et la souffrance aussi grandes ou brutales quelles vous paraissent sont de bonnes choses car elles surviennent seulement du fait de votre cultivation et pratique. On peut éliminer le karma et rejeter les attachements humains en traversant des épreuves dues au démon, et à travers ces épreuves vous pouvez vous élever. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de New York, 2008 »)

Je suis redevable de la grâce infinie du Maître

Le Maître m'a guidée et m'a protégée avec compassion pendant toutes ces années. Un jour, j'ai fini d'émettre la pensée droite à 12 h 30 et j'étais juste avec l'intention de me coucher et de me reposer un instant, un grand caractère « étudier » est apparu sur mon plafond. Je me suis tout de suite levée et j'ai étudié le Fa.

Deux grands caractère « Dafa » sont apparus sur mon plafond le jour suivant au même moment. Le Maître me rappelait de ne pas être fainéante et d'étudier le Fa. Le Maître est toujours à côté de moi pour me protéger et me guider.

Une fois, j'ai fait face à des tests les uns après les autres et j'étais sous pression. Quand j'ai émis la pensée droite cette nuit-là, j'ai vu un arbre immense dans une autre dimension. Une grande pie se tenait sur l'arbre et je savais que c'était un signe me disant que les tribulations que j'avais étaient une bonne chose. Elles étaient pour moi des opportunités pour m'améliorer et m'élever.

De nombreux miracles sont aussi apparus dans mon corps. Par exemple mon corps aurait été lancé en haut dans plusieurs grandes histoires parfois ou été réduit à la taille d'une graine de sésame. Quand je faisais les exercices, un rayon de lumières colorées émanaient de ma poitrine. Une fois, deux fleurs de prunier sont apparues sur mes jambes brillant d'une lumière argentée. Parfois je voyais des divinités en train de voler, ou bien des Falun quand je lisais le Fa. Les caractères du livres devenaient grands et larges. D'autres fois, le livre se transformait en un morceau de lumière de jade verte et chaque caractère était gravé dans du jade. Un jour quand je faisais le deuxième exercice, j'ai vu que mon corps était à l'intérieur d'un Boddhisattva géant.

J'émettais la pensée droite le 30 août de cette année au matin quand j'ai entendu la voix du Maître résonner dans l'air : « Tu dois faire le sprint final. » Bien sûr, si je ne me dépêche pas et ne suis pas diligente dans ma pratique maintenant, il n'y aura plus d'opportunité dans le futur. Cette opportunité rare et précieuse sera partie en un instant !

Dans mes 18 années de cultivation, j'ai changé une conception. Je voyais la cultivation comme une partie de ma vie. Ma priorité était ma vie quotidienne. Maintenant je traite les activités de tous les jours comme une petite portion de mon existence. Je vais au travail, je mange et dors simplement pour satisfaire les critères d'une personne ordinaire qui mène une vie normale. Cela me fournit un environnement de cultivation. Mon vrai but dans le monde humain est d'assister le Maître dans la rectification de Fa et de sauver les êtres. Je devrais m'immerger complètement dans le fait de faire les trois choses que le Maître nous demande de faire. Cela doit être le plus important alors que les autres choses sont justes complémentaires.

« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (« Première leçon dans le Zhuan Falun) Nous vivons dans la grande cuve de teinture des gens ordinaires et nous devrions toujours nous rappeler que nous sommes des pratiquants. Nous ne recherchons pas la renommée, l'intérêt matériel ou les sentiments. Nous nous assimilons à Authenticité-Bienveillance-Tolérance et nous voyons la souffrance comme une bonne chose. Comme pratiquants, c'est l'état que nous devrions avoir.

Ce que je sens de plus profond après 18 ans de cultivation et pratique est : la grâce du Maître est infinie et ne peut pas être remboursée. Comme disciple tout ce que je peux faire pour la lui rendre est d'être plus diligente dans ma cultivation.

Je me prosterne devant le Maître et je remercie les compagnons de pratique !

(Dixième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais en Belgique