(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître ! Bonjour compagnons de pratique !
Je suis une personne timide et peureuse depuis que je suis jeune. J'avais de forts soupçons sur presque tout. C'était mon plus grand attachement, dont j'avais besoin de me débarrasser au cours de ma cultivation.
Le Maître a dit dans son commentaire d'après l'article d'un élève :
« Mais pour les pratiquants, la peur ou le manque de peur prouve l'humanité ou la divinité d'un être, c'est ce qui différencie les pratiquants des gens ordinaires. » (Li Hongzhi, 20 juillet 2005, « Étudiez bien la Loi, il ne sera pas difficile d'enlever les attachements humains »)
Afin de me débarrasser de mon attachement à la peur, j'ai renforcé mes pensées droites (le Maître me demande de sauver les êtres, mais pas de souffrir la persécution) et j'ai rejeté toutes les pensées déviées.
Une fois, je me suis rendu à un marché pour clarifier la vérité aux gens, à propos du Falun Dafa. Sur le chemin du retour, j'ai vu un vieil homme assis sur le bord de la route. J'ai mis mon dernier exemplaire des Neuf commentaires sur le Parti communiste (Neuf commentaires) dans le panier de sa bicyclette et je lui ai dit : « Laissez-moi vous donner un livre à lire. Il s'agit d'un chef-d'œuvre. » Il a pris le livre recouvert des deux mots « Neuf commentaires » et il m'a montré les mots « Le Parti communiste » et il m'a dit : « Vous savez, je suis cela. » Il voulait dire qu'il était un membre du Parti communiste chinois (PCC). Je lui ai calmement dit : « Beaucoup de membres du PCC au Comité central du Parti ont lu ce livre. Quiconque le lit en bénéficiera. Tout y est vrai. Les gens doivent connaître la vérité. »
Il marchait devant moi et il m'a dit : « Je veux en savoir plus sur vous, les gens du Falun Gong. De quel village venez-vous ? » Pour des raisons de sécurité, je lui ai dit : « Cela n'a pas d'importance de quel village je viens. La chose la plus importante est que tout ce que je vous dis est vrai. De nos jours, il y a tellement de catastrophes naturelles. Être en sécurité est très important. » Il m'a demandé : « Avez-vous peur que je puisse prendre des mesures (contre vous) ? »
Je me suis calmé et je lui ai dit sincèrement : « Je pense que vous pouvez sentir que je fait ceci pour votre bien. Sinon, pourquoi devrais-je vous dire ceci ? Les gens trompent les autres pour de la nourriture, des boissons ou de l'argent. Avez-vous vu des gens tromper les autres pour des raisons de sécurité et risquer d'être arrêtés ou battus ? Sans une raison importante derrière cela, pourquoi feraient-ils cela ? » Je lui ai tendu un DVD du spectacle de Shen Yun et je lui ai dit : « Veuillez le regarder à la maison. C'est le spectacle mondial numéro un, c'est très beau. » Il a maintes fois demandé mon adresse. Parce que j'avais peur, je ne la lui ai pas dite et il m'a dit que je n'étais pas ouvert avec lui.
Quand j'étais à la maison, j'ai continué à avoir des pensées suspectes à propos de ce vieil homme. « Il ne ressemble pas à une personne ordinaire. Il pourrait être un fonctionnaire du gouvernement. Il dispose également d'un ordinateur à la maison. Est-il un membre du PCC qui surveille les pratiquants de Falun Gong ? Est-ce qu'il travaille au département de police ? Peut-il me faire quelque chose ? » La suspicion et la peur continuaient d'affluer dans mon esprit. Je sentais que ce n'était pas correct. « N'est-ce pas ce soupçon qui saura également m'apporter des ennuis ? Ces mauvaises pensées ne sont pas les miennes. Elles interfèrent et me persécutent. »
Puis, je me suis assis et j'ai émis la pensée droite pour nettoyer mon champ et désintégrer les éléments pervers dans les autres dimensions. Je me suis dit : « Le Maître me demande de sauver les êtres, non pas de souffrir de la persécution. Même les êtres divins ne sont pas censés me tester, les êtres humains encore moins. Celui qui veut me persécuter commettrait un grand crime. » J'ai utilisé ces pensées droites pour rejeter ces notions inadéquates, puis je me suis calmé.
Quand je suis retourné au marché, j'ai rencontré un de mes anciens collègues. Je lui ai dit les faits, je l'ai aidé à quitter le PCC, et j'ai aussi bavardé au sujet de certaines autres choses. Par la suite, j'ai vu ce vieil homme assis dans une cordonnerie. Il m'a dit : « Les scènes du DVD sont bien réelles. Maintenant, je sais d'où vous êtes. » Je lui ai dit : « J'espère que vous serez en sécurité » et je suis parti.
De retour à la maison, je n'ai pas eu les énormes soupçons et la peur de la fois précédente, j'ai quand même eu quelques mauvaises pensées. J'ai continué à réciter des poèmes du Maître « Qu'y a-t-il à craindre ? » et « La grâce entre Maître et disciples » (Hong Yin Volume II). Je me suis dit :
« Avec le Maître, vous pouvez faire n'importe quoi, qu'est-ce qui peut vous faire peur ? »
Le lendemain, au marché, j'ai vu le vieillard assis dans la cordonnerie. Je lui ai parlé ainsi qu'à quelques autres vieillards : « Le Falun Gong enseigne aux gens les principes Authenticité - Bienveillance - Tolérance et à être de bonnes personnes. Pourquoi est-ce que tant de pays étrangers lui ont décerné des prix ? Pourquoi le soutiennent-ils et n'ont-ils pas peur que le Falun Gong puisse prendre leur pouvoir ? Si c'est en fait une mauvaise chose, pourquoi le PCC ne permet-il pas aux gens de lire des livres du Falun Gong, afin qu'ils puissent voir par eux-mêmes si c'est mauvais ? Au lieu de cela, le PCC interdit aux gens de lire ces livres et raconte aux gens une histoire unilatérale. De plus, notre Maître nous a dit de penser d'abord aux autres et d'être des bonnes personnes partout. Il nous a dit qu'une personne qui travaille plus obtiendra plus de récompenses. Quiconque travaille moins recevra moins de récompenses, et celui qui ne fait rien n'aura rien. Nous ne pouvons pas présumer obtenir quelque chose sans faire de contributions. Dans le cas contraire, nous devons renoncer à notre vertu en échange. Aussi les disciples de Falun Gong ne veulent pas des choses qui ne leur appartiennent pas. N'est-ce pas une bonne philosophie pour les êtres humains ? »
Ce vieil homme a dit : « J'assiste à des réunions du parti du PCC depuis vingt ans, mais ils n'ont jamais expliqué les choses aussi bien que vous venez de le faire. » J'ai continué : « Quand une personne tue quelqu'un, il doit rembourser cette mauvaise action avec sa vie, alors, est-ce que le Parti peut tuer des gens à volonté ? Un mouvement politique en a remplacé un autre en Chine. Y a-t-il jamais un mouvement politique qui ait été bénéfique pour le peuple ? En outre, le PCC prélève les organes des pratiquants de Falun Gong encore vivants et les vend dans un but lucratif. Peut-on échapper à la punition quand on commet d'aussi gros crimes sous le couvert du maintien de la paix ? Même si les gens ne les punissent pas, le Ciel le fera. Le PCC a dit qu'il savoure sa lutte contre le Ciel. Maintenant, le Ciel va utiliser des catastrophes naturelles afin de désintégrer le PCC. Vous faites partie de celui-ci. Tout comme un arbre qui a trois branches (le PCC, la Ligue de la jeunesse communiste et des Jeunes Pionniers), si l'arbre est déraciné, est-ce que les branches vont survivre ? S'il vous plaît quitter le PCC. Utilisons « longévité » comme pseudo pour vous. » Il été d'accord : « OK. » Ainsi, une autre vie a été sauvée. Plus tard, il a regardé tous les DVD et a lu les documents de clarification de la vérité que je lui avais donnés, et il a compris que le Falun Dafa est bon.
On m'a dit à deux reprises que le PCC avait prévu de prendre des mesures contre moi. Je savais que cela se produirait car je n'avais pas bien étudié le Fa et je n'avais pas assez émis la pensée droite, étant occupé aux travaux des champs. Ce test a ciblé mon attachement à la peur. Le Maître a utilisé la bouche d'une personne ordinaire pour me demander : « Que craignez-vous ? Il n'y a rien à craindre. » Par la suite, j'ai étudié le Fa et j'ai émis plus souvent des pensées droites. Ainsi, j'ai pu rejeter les arrangements pervers et rien ne s'est passé.
Grâce à la protection bienveillante et aux conseils donnés par le Maître, j'ai pu passer un test après l'autre. Le Maître ne m'a pas abandonné, même si je n'étais pas très assidu. Le Maître m'a aidé à enlever les mauvaises substances que je portais, et il me protégeait. Je sens que je suis encore loin de remplir les exigences que le Maître me demande. J'ai encore beaucoup d'attachements humains dont j'ai besoin de me débarrasser. J'ai été une fois pessimiste quant à ma pratique, mais le Fa du Maître m'a aidé à retrouver ma confiance. Notre Maître est vraiment formidable et je n'ai aucune raison de ne pas faire preuve de diligence. Je tiens à saisir cette occasion pour remercier le Maître pour sa miséricorde.
Traduit de l'anglais au Canada