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Fahui de Minghui | Les pensées spontanées ont des conséquences complètement différentes, si elles sont droites ou pas droites

26 février 2013 |   Écrit par Aoxue, une pratiquante en Chine

(Minghui.org)

Bonjour, vénérable Maître ! Bonjour, compagnons de pratique !

Malgré la date buttoir qui arrivait très rapidement pour soumettre des articles pour le 9e Fahui de Minghui de Chine, je m'agrippais toujours à des attachements humains et je n'arrivais absolument pas à trouver un sujet qui convenait. Je me faisais des reproches, j'avais honte en pensant que je n'avais tout simplement pas cultivé avec diligence. Dès que je commençais à écrire un article, mon esprit devenait vide. J'étais dans un état d’anxiété et j'ai réfléchi, puisque le Falun Dafa ouvre la sagesse du pratiquant, alors pourquoi est-ce que j'étais incapable d'écrire un article ? J'ai regardé en moi afin de trouver mes attachements humains.

Soudain, j'ai compris qu'en fait j'avais un complexe d'infériorité qui me faisait des interférences. J'avais peur qu'on n'accepte pas mon article. N'est-ce pas l'attachement aux résultats ? N'est-ce pas que l'attachement aux résultats est celui de chercher des récompenses ? N'est-ce pas que chercher des récompenses est la recherche de la renommée et des gains et la validation de soi ? Je dois renoncer à ces attachements. Je me suis dit qu'il me fallait écrire un article et l'écrire d'un cœur pur.

Me rappeler mes expériences de cultivation

En me rappelant mes expériences de cultivation au cours des 14 dernières années, je me suis souvenue d'un grand nombre d'histoires et j'en partagerai quelques-unes. Il est impossible de décrire la magnificence de la cultivation du Falun Dafa. Il n'existe pas de mots capables d'exprimer ma gratitude pour le salut compatissant du Maître. Le poème suivant exprime mes sentiments :

« La grâce du Bouddha est sans limites et me comble d'occasions divines,

Je dois cultiver avec diligence, atteindre une compréhension juste et propager la grâce du Maître.

Le Fa rectifie le cosmos et élimine la perversité,

Le Maître me protège sur ma route vers le Ciel. »

À mesure que je devenais plus mûre dans ma cultivation et que mon xinxing s'élevait, je commençais à comprendre le sens plus profond du Fa du Maître. Le Maître a dit :

« Nous disons que le bien ou le mal surgit d’une seule pensée, une différence dans la pensée provoque un résultat différent. » (Zhuan Falun)

La grâce immense du Maître m'a protégée des blessures

Un jour au mois de juin, je préparais un repas chez mes parents qui vivent à la campagne. Ils font encore leur cuisine sur un poêle à bois. Dans une pièce à côté, à peu près huit personnes jouaient aux cartes. Je tenais une bouilloire pleine d'eau bouillante que j’essayais avec beaucoup de maladresse de verser dans un thermos. L'eau bouillante s'est renversée sur ma jambe droite. J'ai aussitôt ressenti une douleur extrême. Au même moment j'ai crié : « Maître , Maître Li Hongzhi, sauvez votre disciple s’il vous plaît ! . Dès que j'ai crié le nom du Maître, j'ai continué en ignorant la douleur. Je disais dans ma tête : « Un disciple de Dafa est contrôlé par son côté divin. Je vais marcher et j'endurer la douleur. » J'ai continué à marcher et à peu près une heure plus tard, la douleur avait régressé. J'ai regardé ma jambe et vu qu'à part quelques ampoules sur le pied et la jambe, il n'y avait qu'un peu de rougeur là où l'eau bouillante m'avait touchée.

Même si la douleur avait diminué, elle était plus forte que ce qu'une personne moyenne peut supporter. J'ai serré les dents et continué à faire ce que j'avais projeté de faire. J'ai cuisiné un bon repas pour nos invités, j'ai fait la vaisselle et préparé le thé. Ensuite je suis allée dans ma chambre, je me suis assise pour faire la méditation et émettre la pensée droite pendant un long moment. Le soir j'ai pratiqué les exercices avec les pratiquants. Je n'avais plus autant mal à Ma jambe et mon pied n'étaient plus aussi douloureux.

Dafa a des pouvoirs miraculeux. Il n'y avait aucune inflammation. Le lendemain, je suis sortie pour clarifier la vérité sur le Falun Dafa. Le troisième jour, je suis partie en vélo pour un village situé à une vingtaine de kilomètres afin de clarifier la vérité sur le Falun Dafa. Le cinquième jour, les ampoules étaient devenues noires et molles. Je les ai percées avec une aiguille tout en racontant à ma famille et aux voisins comment j'avais été ébouillantée.

Tous ont été surpris et abasourdis par le miracle. Ils ont dit : « Falun Dafa est bon ! ». J'étais reconnaissante envers le Maître. Le Maître me protégeait à tout moment et il m'a permis de voir encore et encore le pouvoir supranormal de Falun Dafa.

S'échapper d'un poste de police moins de trois heures après l'arrestation

Au début de 2012 vers 16 h, alors que je racontais aux gens les faits sur le Falun Dafa, deux policiers m'ont arrêtée et emmenée dans un poste de police. J'étais très attristée, car ils n'avaient qu'une vingtaine d'années. À mes yeux, ce n'était que des enfants, mais ils faisaient du mal aux pratiquants parce qu'ils ne connaissaient pas les faits concernant le Falun Dafa. Dans ma tête je disais : « Je ne permettrai pas que les forces anciennes les manipulent pour commettre des crimes contre le Falun Dafa de sorte qu'ils perdront l'occasion d'être sauvés. » Je me suis ressaisie et j'ai crié les neuf mots dont la perversité a le plus peur : « Falun Dafa est bon  Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon !». J'ai subi un interrogatoire et j'ai refusé de coopérer, mais je clarifiais les faits sur le Falun Dafa sans arrêt.

À peu près deux heures plus tard, un autre policier est arrivé. Il a essayé de me mettre les menottes, mais j'arrivais facilement à en sortir en faisant glisser les mains. J'ai dressé ma paume droite et commencé à émettre la pensée droite afin d'éliminer tous les éléments pervers qui manipulent la police. Je n'ai pas permis que les forces anciennes me persécutent en utilisant n'importe quelle excuse. J'ai dit dans ma tête : « Vous devez me relâcher sans condition ! Maître, s’il vous plaît donnez-moi de la force ! ».

Le policier qui m'avait mis les menottes a vu ma paume dressée. Il a ordonné : « Mettez-lui les menottes et mettez-la dans une autre cellule ! Prenons chacun notre tour pour la surveiller ! » Pendant qu'on me déplaçait vers une autre cellule, j'ai crié : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Le policier m'a giflée à plusieurs reprises puis il m'a mis un morceau de tissu dans la bouche. Je lui ai parlé avec compassion : « Je ne vous blâme pas de me traiter de cette façon parce que vous ne connaissez pas les faits sur le Falun Dafa. Vous avez été trompé par la propagande mensongère. Vous ne savez pas que les pratiquants sont les meilleures personnes au monde et le seul espoir pour que les êtres soient sauvés. Bien que vous ne soyez pas mon fils, j'ai le même amour et compassion pour vous éveiller que j'ai pour mon fils. Si vous traitez les pratiquants avec bonté, c'est pareil comme chérir votre propre vie. Puis j'ai repris les cris : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Petit à petit les policiers qui m'ont arrêtée ont changé d'attitude et commencé à sourire. Quand à celui qui m'avait mis les menottes, il regardait les porte-bonheur.

J'avais le souhait que ces policiers soient sauvés à travers la compréhension des faits concernant le Falun Dafa. J'ai récité « Lunyu », l'introduction du livre Zhuan Falun trois fois. Vers 19 h, un autre policier est arrivé. C'est un homme à qui j'avais déjà par le passé expliqué les faits sur le Falun Dafa et je l'avais aidé à quitter le Parti communiste chinois (PCC) et ses organisations affiliées. Il était très calme et a dit aux autres : « Que deux d'entre vous viennent avec moi chercher des preuves ». J'ai pensé : « Maintenant il fait nuit. Où trouveraient-ils des preuves ? C'est le Maître qui me dit de m'échapper ? »

Qu'on ait une pensée droite ou pas a deux conséquences bien différentes. J'ai dit au Maître du profond de mon cœur : « Maître, il est l'heure pour votre disciple de rentrer à la maison. » J'ai parlé au policier qui m'avait écoutée attentivement réciter « Lunyu » : « Voulez-vous s'il vous plaît ouvrir les menottes pour que je puisse aller aux toilettes. » Il n'a pas hésité et m'a libérée tout de suite. Il manquait un barreau en acier sur une des fenêtres des toilettes, donc je pouvais m'échapper par cette fenêtre. Je suis rentrée chez moi à peu près trois heures après mon arrestation.

À mon domicile, j'ai émis la pensée droite afin de nier totalement l'arrangement des forces anciennes et j'ai demandé au Maître de me soutenir dans mes efforts.

Le lendemain, en me remémorant l'arrestation de la veille, je me suis demandé : « Dois-je rester à la maison ou partir sans domicile fixe ? » J'en ai discuté avec mon mari qui est également pratiquant. Et j'ai décidé : « Je ne partirai pas. J'étudierai le Fa et émettrai la pensée droite ! Personne n'osera me faire du mal. »

Le Maître a dit :

« Face à de grandes tribulations, il faut rester ferme

La volonté d’avancer diligemment ne doit pas être altérée » (« Ferme », Hong Yin II)

« Si les disciples sont emplis de pensées droites

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel. »

(« La grâce entre Maître et disciples », Hong Yin II)

Face au danger, si un pratiquant peut demeurer inébranlable et faire confiance au Maître, il verra, sans l'ombre d'un doute, le pouvoir grandiose du Falun Dafa !

Cinq jours plus tard, j'ai recommencé à faire les trois choses et à coopérer avec les pratiquants comme si je n'avais jamais été arrêtée.

Clarifier les faits auprès de la police et des officiels du PCC

Je voudrais partager avec les compagnons de pratique comment je m'y prends pour clarifier les faits sur le Falun Dafa auprès de la police et des officiels du Comité politique et judiciaire.

Quand j'explique la vérité, je me sers rarement de son titre en m'adressant à un officiel. Je pense que ceci diminue toute arrogance et contentement de soi qu'ils pourraient avoir à cause de leur position. Je leur parle avec gentillesse et j'écoute ce qu'ils ont à dire. À la fin, j'arrive à les convaincre de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées à l'aide de seulement quelques phrases. La plupart d'entre eux vont sur internet tous les jours et ils ont lu les faits sur le Falun Dafa et les « trois démissions », donc c'est plus facile de les convaincre.

Une fois, un instructeur de la police est venu piller mon domicile. J'étais calme et dans mon cœur j'ai parlé ainsi au Maître : « Maître, votre disciple veut les sauver. Renforcez-moi s'il vous plaît. » J'ai convié l'instructeur à s'asseoir et lui ai offert une tasse de thé. De façon très simple, je lui ai demandé comment il s’appelait et je l'ai traité avec bonté.

Je lui ai parlé ainsi : « Xiao X, Comment allez-vous ? Je suis si heureuse de votre visite. » Puis j'ai désigné les trois autres policiers venus piller chez moi en lui disant : « Bien que ce genre de visite soit un peu fâcheuse, je sens malgré tout que nous avons une relation prédestinée. Je sens comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Avez-vous le même sentiment? » En même temps je répétais dans ma tête les paroles suivantes : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et j'ai émis la pensée droite. Il a ensuite acquiescé et souri et je savais que c'était le moment de lui donner des porte-bonheur en lui disant : « Ces porte-bonheur sont pour vous, votre parenté et vos amis. Mais il vous faut vous souvenir que le Falun Dafa est bon, et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Il a acquiescé encore et encore, puis a mis les porte-bonheur dans son sac.

À ce moment-là, les trois policiers ont arrêté de piller mon domicile et se sont approchés de lui. Il a déclaré : « Rentrons. » Nous nous sommes serré la main pour nous dire au revoir. Le lendemain, je lui ai rendu visite dans son bureau en lui disant : « Hier, je ne vous ai pas parlé de l'importance de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées en vous servant d'un nom d'emprunt ». Il a été d'accord pour le faire et une autre vie a été sauvée.

À une autre occasion, je me suis trouvée dans le même bus que quatre officiels du Comité politique et judiciaire. Pendant le voyage de plus de trois heures, je leur ai clarifié les faits sur le Falun Dafa y compris pourquoi le régime communiste a commencé la persécution cruelle du Falun Dafa, pourquoi des pratiquants risquent leur vie pour informer les gens sur le Falun Dafa, pourquoi le ciel anéantit le PCC et comment survivre en démissionnant du PCC et de ses organisations affiliées. Ils ont posé des questions et avant la fin du voyage, l'un d'entre eux a demandé : « Aidez-nous s'il vous plaît à quitter le PCC ! »

Une fois, j'ai pris le même bus qu'une personne d'une autre province qui allait à la capitale de la province. Je lui ai clarifié les faits pendant plus de deux heures. Il n'a pas dit un seul mot, mais a écouté attentivement. Enfin quand nous étions tout près de notre destination, il m'a dit : « Saviez-vous que je suis le directeur du Bureau 610 de la province xx ? Merci de m'avoir donné toute ces informations. Aidez-moi s'il vous plaît à démissionner du PCC en utilisant un nom d'emprunt. Il m'a aussi donné son nom de famille.

J'ai clarifié les faits sur le Falun Dafa auprès des agents qui m'ont persécutée ainsi que d'autres pratiquants, y compris des agents du Bureau 610, du poste de police, du centre de détention et du camp de travail. À l'aide de quelques phrases dites au bon moment, j'ai réussi à les convaincre de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Non seulement ils ont arrêté de persécuter le Falun Dafa, mais ils ont quitté leurs emplois. Certains d'entre eux ont déclaré aux gens : « Falun Dafa est bon. Les disciples du Falun Dafa sont bons. » D'autres encore ont aidé et protégé des pratiquants sans se faire remarquer. Les choix qu'ils ont faits m'ont grandement inspirée à devenir plus diligente dans ma cultivation.

La plupart des agents de police chinois sont profondément empoisonnés par la culture du PCC et l'éducation, surtout ceux qui travaillent dans les Bureaux 610, les Divisions de la sécurité intérieure, les Comités politiques et judiciaires, les poste de police, les camps de travail et les prisons. Le régime communiste les a manipulés pour persécuter les pratiquants et à l'occasion, ils deviennent eux-mêmes selon les besoins des bouc émissaires. Comment pourrions-nous haïr ces vies innocentes ? Comment pourrions-nous les ignorer alors que leurs vies sont en danger ?

Il nous faut aller au devant des gens, utiliser notre compassion véritable, avoir de l'estime pour leurs vies, les voir comme des personnes ordinaires et des amis et les guider vers le chemin juste à travers les nobles qualités des pratiquants. En même temps, on devrait leur permettre de voir les valeurs morales, l'altruisme et la persévérance des pratiquants. Nous devons toucher leur cœur, leur faire sentir la compassion des pratiquants, les mettre en garde et les faire comprendre les faits afin qu'ils soient capables de faire le bon choix pour enfin démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.

Merci Maître de m'avoir guidée. Je continuerai absolument à sauver davantage de personnes.

(Neuvième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais en France