(Minghui.org) Le 1er mai 1966, j’avais 11 ans et vivais dans la ville de Liaoyang, province du Liaoning. Pour la fête du travail du 1er mai, mon école a organisé une visite à la Montagne Qianshan dans le voisinage de la ville de Liaoyang. Lorsque je suis allée dans un monastère bouddhiste, j’ai tourné autour d'une échoppe pour admirer les souvenirs à vendre et mes camarades de classe ont continué sans moi. Je suis entrée dans le monastère seule. Un vieux moine assis dans la cour m'a arrêtée, disant qu'il m’attendait et que je devais rester là et devenir une nonne bouddhiste.
Ses paroles m'ont déconcertée car j’étais si jeune et n'avais jamais entendu parler de telles choses auparavant. Je lui ai répondu : « Mais ma mère va me manquer. » Il a alors essayé de m’éclairer : « As-tu déjà entendu parler des divinités avant? » Je lui ai alors parlé de plusieurs divinités que je connaissais. Il a demandé : « Comment trouves-tu l’idée de devenir l'une d'elles ? » J'ai répondu : « J’aimerais bien, mais ma mère va me manquer. Si je ne rentre pas, elle sera très inquiète pour moi. » Il a dit : « Ne t’inquiète pas, elle sera informée. Le pouvoir divin du Fa de Bouddha est omnipotent. Seulement quelques jours après ta réincarnation, tu as déjà oublié qui tu es. Si tu pouvais te rappeler qui tu es vraiment, tu serais tombée à genoux en me demandant de te prendre comme disciple. » J'ai dit : « Je veux me mettre à genoux devant vous et je veux cultiver pour devenir une divinité, mais je n’arrive pas à me résoudre à quitter ma mère. Vous auriez dû m’emmener comme votre disciple quand j'étais jeune et innocente. Maintenant, je suis déjà assez âgée pour être réticente à quitter ma mère et pour être honnête, je veux aller à l'université quand je serai grande. »
Il a rétorqué : « Tu ne pourras jamais aller à l'université. Un mouvement politique va déferler sur cette terre très bientôt. Il durera longtemps, une dizaine d'années. Toutes les personnes y seront impliquées et il n'y aura aucune chance pour toi d'aller dans une université quelle qu’elle soit. » Il a poursuivi : « Si tu ne veux pas rester avec moi, tu auras quand même une chance de cultiver, mais tu devras attendre 30 ans. À cette époque, un grand Fa appelé Falun Gong sera propagé dans ce monde et beaucoup de gens le pratiqueront. L'homme qui propagera ce Fa est déjà descendu dans ce monde. Tu pourras devenir son disciple plus tard, mais tu devras attendre 30 ans. On arrive dans ce bas monde, on s’attache à sa vie terrestre, mais finalement il ne vous reste rien dans les mains à la fin. » J'ai dit : « Je cultiverai dans 30 ans. Si j'oublie, veuillez me le rappeler. »
Mes camarades de classe sont revenus près de moi après avoir fait un tour et m'ont dit de venir avec eux. Avant que nous partions, le vieux moine a demandé à un jeune moine bouddhiste en soutane de m'arrêter. Il m’a séparé d'eux en disant : « Vous autres, partez, mais elle va rester ici. » Ne sachant pas de quoi il retournait, ils m'ont tirée par les mains et nous sommes précipitamment redescendus de la montagne. Nous nous sommes arrêtés à mi-chemin de la montagne, où se trouvaient de nombreuses échoppes vendant des souvenirs. Avant que je puisse m'arrêter pour reprendre mon souffle, j'ai vu le vieux moine qui était déjà là. J'ai été étonnée : « Pourquoi? Comment se fait-il que vous soyez déjà là, devant nous ? Je ne vous ai pas vu descendre de la colline pendant que nous courrions. » Il a dit : « Tu me vois ici, mais tu ne m’as pas vu dévaler la montagne comme vous l'avez fait, tu devrais déjà savoir qui je suis. » J'ai alors compris qu’il était peut-être une divinité. Le voyant sur mon chemin, mes camarades de classe m'ont de nouveau tirée par la main et ont couru vers bas de la colline. Quand nous sommes arrivés à la sortie, nous l'avons vu de nouveau. Il m'a dit : « Je suggère que tu ne retournes pas dans le monde profane où tu n'obtiendras rien d’autre que de la misère. » Mes camarades m'ont entourée comme des gardes du corps protégeant une personnalité. Je suis montée dans le bus et j'ai fait signe au vieux moine pour lui dire au revoir. Cette histoire s'est passée le 1 mai 1966. Un mois plus tard, le 5 juin, la « Grande révolution culturelle » qui a été sans précédent dans l'histoire humaine a déferlé sur la Chine. Le mouvement a duré dix ans et je n'ai jamais eu la chance d'aller à l'université.
S’embarquer pour cultiver dans Dafa
Aussi amère que ait été ma vie, j’ai quand même pu trouver un emploi bien rémunéré et respectable. Beaucoup de gens voulaient le poste, mais en 1992, j’étais indifférente à ma chance et impatiente de devenir une pratiquante. Le 1er mai 1992, j'ai décidé que je commencerais la cultivation. J'ai pris la décision que je libérerais du temps pour la méditation chaque jour à partir de ce jour-là. Je n'arrêterai jamais de faire cela jusqu'à ce que je trouve la voie juste, quand ma véritable cultivation commencerait. Quand je finissais de travailler, j’allais méditer seule dans un endroit où il était très peu probable d'être vu par d'autres. Je m’asseyais sur une dalle de béton laissée lors d’un projet de construction de mon employeur et cachée à la vue des gens par de hautes herbes poussant autour.
J’ai continué comme ça jusqu’à l’automne 1995 où j’ai trouvé le livre Zhuan Falun. Quand j’ai commencé à le lire, j’ai été complètement absorbée. J’ai su que j’avais trouvé ce que j’avais cherché toute ma vie. Quand j’ai eu fini de le lire pour la première fois, je l’ai rangé respectueusement et je me suis agenouillée et j’ai promis au fondateur du Falun Gong que dorénavant je serai une pratiquante du Falun Gong. La vérité intégrée dans Dafa a nourri mon esprit comme l'eau nourrit un homme assoiffé, si inspirant que je ne pouvais le mettre de côté une fois que j'ai eu commencé à le lire. J'ai passé tout mon temps libre à étudier le Fa, sauf pour m'occuper de ma mère âgée. En janvier 1996, elle est décédée et j'ai pu passer tout mon temps à cultiver dans Dafa. Ainsi, la prophétie du moine âgé s'est réalisée pendant que je parcourais le chemin abrupt et broussailleux de la cultivation jusque aujourd'hui.
Forger mon esprit et purger le karma
Le Maître a purifié mon corps quand j’ai commencé à pratiquer le Falun Gong. Dans ma vie ordinaire, j’avais poursuivi la gloire et le profit personnel au détriment de ma santé. Je souffrais de maux de tête aigus qui étaient intolérables. Quand le Maître nettoyait les maladies pour moi, il le faisait toujours à minuit, quand j'étais profondément endormie. Très souvent, j’étais réveillée dans la nuit par un mal de tête aigu, mais je le supportais simplement sans recourir à aucun médicament. Je savais que c’était un signe que le Maître éliminait le karma que j’avais accumulé depuis le début de ma vie. Je souffrais également de maux de dents qui parfois, étaient si graves que j'étais incapable de manger quoi que ce soit. La douleur a disparu après une période de temps et n'est jamais revenue. Je souffrais également d’un asthme sévère. Pendant de nombreuses années, j'ai eu du mal à respirer avec une respiration sifflante comme si j’allais mourir d’un manque de souffle. Le Maître a aussi éliminé le karma qui alimentait la maladie. Après deux mois, l'asthme a disparu. Cela a été un processus difficile, mais une fois passé, cela n'est jamais revenu.
L'asthme est une affection très fréquente et est considéré comme incurable par la communauté médicale. Seuls les patients eux-mêmes perçoivent le malaise indicible dont ils souffrent. Mes symptômes étaient bien pires que ceux de la plupart des personnes qui en souffrent. Je n'aurais jamais guéri sans l’aide du Maître. Maintenant, je n’ai plus aucune maladie, je ne prends aucun médicament, tout cela grâce au Maître qui a purifié mon corps.
Quand j’ai pratiqué le Falun Gong pour la première fois, j’étais comme un enfant boiteux ne sachant pas jusqu’où je pouvais aller dans la cultivation. J’examinais tout ce que je faisais en mesurant mes actions avec le Fa. Un jour, je suis allée acheter une carte. Le vendeur m’a rendu par erreur 50 yuans de trop, mais je ne l’ai réalisé qu’une fois arrivée à la maison. Quand je suis retournée au magasin, j'ai vu le couple se disputer au sujet d’une perte d'argent. Ils étaient très heureux de me voir. Je leur ai rendu l'argent et leur ai dit : « Je suis une pratiquante de Falun Gong et je ne vous laisserai pas perdre d'argent, mais je n'aurais pas agi ainsi si je ne pratiquais pas le Falun Gong. »
Voici une autre histoire. Un jour, un caissier a oublié de me faire payer alors que j'avais acheté beaucoup de choses dans un supermarché. En sortant, je suis allée faire des courses dans un autre magasin. En payant, j'ai réalisé que le caissier précédent ne m’avait pas fait payer. J’ai pensé que le caissier devait être très inquiet à cause de l'erreur. Je me suis précipitée là-bas et j’ai expliqué ce dont je m’étais rendu compte, Il a expliqué : « Juste après que vous soyez partie, j'ai réalisé que je vous avais laissé partir sans vous faire payer. J'ai essayé de courir derrière vous, mais il était déjà trop tard. J'ai parlé à mes collègues de ma malchance mais je ne pouvais rien y faire. » En me voyant revenir pour rendre l'argent, ses collègues lui ont dit. Vous avez vraiment de la chance de rencontrer une si bonne personne. Il est difficile de croire qu'une telle chose puisse arriver de nos jours. » Je leur ai expliqué que je suis une pratiquante de Falun Go,g qui ne tire pqs profit de la perte d'autrui. Ils ont répondu : « Grâce à vous, nous pouvons voir que les pratiquant s de Falun Gong sont de bonnes personnes, bien que les autorités n'aiment pas cela et l'interdisent en utilisant de gros moyens. Nous avons vu une autre personne revenir parce qu'il n'avait pas payé assez. Il a aussi dit qu'il était un pratiquant de Falun Gong. »
Aider le Maître dans la rectification de Fa et sauver les êtres par la clarification de la vérité
Très peu de gens arrivent à reconnaître les mensonges de la propagande du Parti communiste chinois (PCC) sur le Falun Gong, constamment débités par ses médias officiels, même pas mon mari. Il s’est rendu au poste de police local pour demander ma libération en 2000, lorsque j'ai été arrêtée. Quand je suis rentrée à la maison, il m'a empêchée de pratiquer les exercices du Falun Gong et essayé de me forcer à y renoncer. Ayant un cœur de révérence et de gratitude envers le Maître, comment pouvais-je me résoudre à y renoncer ? En se rendant compte qu'il ne pouvait pas me faire changer d'avis, il a décidé de divorcer. Il est ensuite allé travailler dans une autre ville, nous abandonnant, notre enfant et moi. Très vite, il a trouvé une autre femme et a construit un nouveau foyer avec tous ses revenus, malgré le fait que mon fils, qui était à l’époque étudiant à l'université, avait un besoin urgent d'argent pour financer ses études. Parce que le poste de police local et le comité des affaires politiques et juridiques me gardaient sous étroite surveillance, je ne pouvais pas me déplacer librement librement et j’ai dû quitter ma ville pour trouver du travail. C'était une vie difficile, mais je pouvais au moins gagner un peu d'argent pour soutenir mon fils et éviter la surveillance des autorités.
Dans leur empressement à obtenir la propriété de ma maison, mon mari et sa nouvelle maîtresse ont essayé de me faire arrêter à nouveau en faisant courir le bruit que j'étais une pratiquante de Falun Gong qui avait déjà été arrêtée. Ils se sont même rendus à la police pour leur dire que j'étais pratiquante de Falun Gong et gardais de nombreux documents de Falun Gong dans ma maison, espérant que je sois arrêtée rapidement afin de s’approprier ma maison. Cependant, grâce à la protection du Maître, leur plan a échoué. Ils ont alors eu recours à un complot encore pire pour me piéger dans la plus désespérée des situations, mais ils ont à nouveau échoué grâce à ma noblesse de pratiquante de Dafa. Avec l'avancement de la rectification de Fa, les éléments pervers dans les autres dimensions ont été en grande partie éliminés et mon environnement de cultivation s’est par conséquent amélioré. Mon mari s’est bientôt séparé de cette femme et est revenu vers moi en disant : « Le Falun Gong n'est pas mauvais, après tout. Tu peux le pratiquer, je te laisserai tranquille. » Mais j’avais gardé de la rancune envers lui, surtout quand je pensais à toutes les mauvaises choses qu'il avait faites contre moi avec cette femme. Quoi qu'il en soit, il m’avait fait tellement de mal que j’avais du mal à lui pardonner. J’ai alors pensé à étudier Dafa, ce qui peut résoudre n'importe quel problème.
Ces tribulations et ces souffrances n’étaient-elles pas la meilleure chance d'élever mon xinxing ? Ne devais-je pas éliminer tous mes attachements à la renommée, l'intérêt personnel et les émotions des gens ordinaires ? N'est-ce pas la cultivation quand j’élimine ces attachements humains ? En gardant cela à l’esprit, j’ai lâché ma rancune envers lui. Je lui ai clarifié les faits au sujet du Falun Gong et lui ai fait faire les trois démissions. Je lui ai dit : « Tu dois éliminer ton ressentiment envers le Falun Gong et seulement alors tu seras sauvé. »
Avec les autres pratiquants locaux, je me suis consacrée à la clarification de la vérité, faisant faire les trois démissions et sauvant les êtres en accomplissant les serments faits à l'époque préhistorique. Un jour, je me suis rendu sur un site touristique avec mon mari. Alors que je soutenais mon mari pour redescendre de la montagne, une femme m'a dit : « Contrairement à vous, Je ne pourrais pas bouger sans le soutien de mon mari. » J'ai vu qu'elle descendait difficilement avec l'aide de son mari. J'ai dit : « J'étais comme vous avant et j’avais besoin du soutien de mon mari pour me déplacer. » Elle a demandé : « Qu’avez-vous fait pour aller mieux ? Vous semblez en si bonne santé à présent. » J'ai répondu : « J'ai retrouvé la santé après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong. Vous voyez, je peux maintenant parcourir la montagne sans effort et sans aucune assistance. » Elle a dit : « Je veux aussi pratiquer le Falun Gong. » J'ai alors fait les trois démissions pour elle.
Un jour, j'ai essayé de demander à un homme âgé de faire les trois démissions, mais il a refusé en affirmant que le Falun Gong essayait de s’emparer du pouvoir du PCC. Je lui ai expliqué : « En tant que pratiquants, nous ne nous intéressons pas au pouvoir politique. Je vous demande de faire les trois démissions uniquement pour votre propre bien. J'espère que vous allez échapper à la catastrophe imminente et sauver votre vie future. Vous l’avez sans doute remarqué, de nos jours, les catastrophes, qu'elles soient naturelles ou causées par l’homme, se succèdent. Elles arrivent si vite ! Les cieux vont bientôt détruire le PCC, qui est si désespérément corrompu. Ce n’est qu’en démissionnant que vous pourrez sauver votre vie. » En fin de compte, il a accepté de démissionner.
Un jour, j'ai demandé à un officier militaire à la retraite de faire les trois démissions, mais il a répondu : « Je n'ai pas payé ma cotisation au PCC ni ne me suis impliqué dans ses activités depuis de nombreuses années. Cela signifie que j’en ai démissionné automatiquement. » J'ai rencontré beaucoup de gens qui disaient la même chose. Je lui ai expliqué : « Vous avez juré de donner votre vie au PCC face devant son drapeau rouge sang, vous devez renoncer à cet engagement de manière explicite. Sinon, vous serez enterré avec lui. » Il a alors accepté de démissionner.
Un ouvrier à la retraite a répondu à ma demande de faire les trois démissions : « Je suis reconnaissant envers le PCC. Si votre Maître devient l'empereur de Chine, quels postes et avantages pourra-t-il me proposer ? Pourquoi s'est-il enfui à l'étranger ? » J'ai expliqué : « Il est allé à l'étranger pour propager le grand Falun Dafa dans le monde. Maintenant, Dafa s'est propagé dans plus de 100 pays. Empereur ? Nous les pratiquants, nous ne sommes pas intéressés par cela. Comme vous pouvez le voir, la seule chose dont le PCC se soucie est de faire de l'argent pour eux-mêmes par la corruption. Personne ne se soucie du peuple chinois. Sa corruption est irréversible. Ce n’est qu’en démissionnant que vous pourrez vous sauver vous-même. » Il a souri et a répondu : « Je vous remercie. Veuillez le faire pour moi. » Ces dernières années, d'innombrables personnes ont fait les trois démissions grâces à ma persuasion.
Un jour, je suis allée sur un marché ouvert pour acheter des légumes, quand j'ai vu une femme âgée qui passait. Elle avait l'air très faible et marchait difficilement. Elle m'a demandé : « Y a-t-il des moyens miraculeux dans ce monde pour guérir une personne de toutes ses souffrances une fois pour toute ? » J'ai répondu aussitôt : « Il existe une telle voie. Si vous récitez de tout cœur « Falun Dafa est bon » et Authenticité-Compassion-Tolérance est bon » vous allez retrouver votre santé rapidement. Elle m’a été très reconnaissante et a fait les trois démissions.
Quand j'ai fait les trois démissions pour un vieil homme, il a dit avec pessimisme : « Je suis déjà si vieux. Quelle différence cela peut-il faire que je démissionne ou pas ? » Tout en faisant ses exercices, il a dit tristement : « Je vais mourir bientôt. » J'ai répondu : « L'âme d'un homme ne meurt pas après qu'il décède. Quand il quitte ce monde, il abandonne tout simplement la chair qui s'est développée grâce à la nourriture qu'il a consommée, mais sa vraie vie ne périt pas et continuera à exister pour toujours. Mais vous devez faire les trois retraits. Sinon, il n'y aura pas de garantie pour l'immortalité de votre âme. » Dans sa gratitude, il a accepté de faire les trois démissions.
Tant d'histoires se sont produites ces dernières années et je ne vais pas les énumérer toutes. Maître, puisque les mots humains sont insuffisants pour décrire le chemin que j'ai parcouru, je ne peux pas vous présenter toutes les histoires que j'ai vécues. Toutefois, j’espère que mes histoires pourront convaincre le Maître que je mérite d’être son disciple, mais il reste encore beaucoup à faire sur mon chemin de cultivation. »
Traduit de l'anglais en Europe