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Lao Ge, un homme bon

22 mars 2013 |   Écrit par Ziling du canton de Dan, province du Shandong, Chine

(Minghui.org) Lao Ge est reconnu pour être une bonne personne. Ceux qui le connaissent ont été touchés par sa gentillesse, sa nature laborieuse et son honnêteté.


J’ai rencontré Lao Ge plusieurs fois ces dernières années. Il approchait alors de ses 60 ans. Pour diverses raisons, je ne l’ai plus revu depuis. Cependant son expression et sa voix me restent en mémoire. Je souhaite partager quelques -unes de ses bonnes actions.

Le promoteur : « Lao Ge travaille plus dur que nous tous le faisons pour notre propre compte. »

Lao Ge vivait dans la région rurale du canton de Dan, province du Shandong. Il travaillait dans une équipe de construction pour le compte d’un promoteur immobilier, et construisait des maisons pour les villageois à longueur d’année. Chacun choisissait les tâches les plus faciles et travaillait le moins possible, mais Lao Ge était différent, il prenait toujours les tâches les plus pénibles et travaillait plus longtemps que n’importe qui d’autre. Quand les autres se reposaient, lui continuait à travailler.


Parce que cette équipe n’avait pas de grue, les hommes devaient empiler les briques à la main. C’était considéré comme le travail le plus dur. C’était si fatigant qu’après 2 heures à faire ce travail, la personne n’avait même plus envie de manger. Personne ne voulait le faire. Lao Ge était toujours celui qui prenait ce travail. Il devait empiler les briques jusqu’à environ 20 pieds de haut. Bien qu’approchant de ses 60 ans, il paraissait beaucoup plus jeune. Lao Ge s’est acquitté de ce travail pour chaque maison qu’ils construisaient. Tout le monde le respectait, le promoteur l’aimait beaucoup. Le promoteur avait l’habitude d’offrir un paquet de cigarettes aux ouvriers chaque jour. Mais Lao Ge n’a jamais accepté. Le promoteur pensait qu’il était différent, vraiment bon et honnête.

Quand il faisait chaud, Lao Ge travaillait quand tous les autres prenaient une pause. Sachant qu’il n’est pas facile pour le promoteur de construire une maison, il ne voulait pas gaspiller une seule brique. Dehors, sous le soleil brûlant, il déterrait les briques enfouies sous les déchets. Voyant qu’il transpirait, le promoteur lui demandait d’aller se reposer. Lao Ge disait : « Je pratique le Falun Dafa. Notre Maître nous demande d’être bons et de toujours penser aux autres. Les briques vont être jetées si je ne les récupère pas. » Le promoteur en était très ému. Il a vu à quel point ce pratiquant de Falun Gong était diligent et a dit aux autres : « Ce pratiquant de Falun Gong travaille plus dur que nous le faisons pour notre propre compte. »

Un jeune homme s’écrie : « Longue vie au Falun Gong ! »

Une fois, alors que Lao Ge était allé dans un village pour construire des maisons, il a clarifié la vérité à propos du Falun Gong à un jeune homme. Influencé par la propagande du PCC (Parti communiste chinois), le jeune homme n’a pas voulu l’écouter et ne voulait pas croire que les pratiquants de Falun Gong étaient de bonnes personnes.


Bien que ne croyant pas ce que Lao Ge lui disait, il s’est souvent rendu au chantier de construction pour observer Lao Ge. Et là, il a vu que Lao Ge n’acceptait jamais le paquet de cigarettes quotidien, et que Lao Ge choisissait toujours les tâches les plus dures. Travaillant comme trois, il prenait rarement une pause. Quand le promoteur gâtait les ouvriers avec un bon repas, Lao Ge ne s’asseyait jamais pour boire. Au lieu de cela, il prenait une nourriture frugale et deux pains cuits à la vapeur, et les mangeait dans un coin.


Ce jeune homme a été convaincu par ce qu’il a vu. Il a réalisé que la propagande diffusée à la télévision n’était que calomnie, et que le PCC diffamait le Falun Gong. Un jour, le jeune homme a aperçu Lao Ge en ville, il a alors lancé : « Falun Dafa est bon ! Longue vie au Falun Gong ! » Et en arrivant près de lui, il a demandé à Lao Ge de l’aider à démissionner du PCC et de ses organisations.

Un fonctionnaire du tribunal : « Je regrette vraiment de ne pas vous avoir engagé plus tôt. »

Un fonctionnaire du tribunal possédait un lopin de terre dans sa ville natale dans une région rurale. Une année, il y a planté de l’igname. Quand le temps de la récolte est venu, il a eu besoin de quelqu’un pour l’aider. Les villageois lui ont conseillé d’engager des pratiquants de Falun Gong. L’homme savait que tous les pratiquants de Falun Gong étaient de bonnes personnes. Néanmoins, il n’a pas osé les embaucher, vu qu’ils étaient persécutés par le PCC. Plus tard, on a entrepris d’installer un câble électrique dans ce village. Les habitants devaient creuser eux-mêmes les trous pour les poteaux. Et cet homme a eu besoin de quelqu’un pour faire ce travail à sa place. Quelqu’un lui a conseillé d’engager Lao Ge, et ils se sont mis d’accord sur le prix. Quand le fonctionnaire a rencontré Lao Ge, il lui a tendu un paquet de cigarettes. Lao Ge a refusé de le prendre. Après que Lao Ge ait fini de creuser, l’homme était extrêmement satisfait de son travail. Alors Lao Ge lui a clarifié la vérité. L’homme a été très ému et dit : « Je sais que vous êtes tous de bonnes personnes. Je regrette vraiment de ne pas vous avoir engagé avant. Je n’étais pas satisfait du travail des autres. »


Les bonnes actions de Lao Ge ne s’arrêtent pas là. Ce sont juste quelques exemples que je connais.

Traduit de l'anglais