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Une patiente avec un cancer du cerveau est guérie après avoir pratiqué le Falun Dafa

2 avril 2013 |   Écrit par Xi Yuan, une pratiquante de la province du Heilongjiang

(Minghui.org) En avril 1999, j'ai rendu ma première visite à un point de pratique du Falun Dafa. Je portais un lourd manteau d'hiver, un chapeau, des gants et un foulard. Mon visage avait un teint cireux et je marchais avec le dos penché comme une vieille femme. Après avoir pratiqué le Falun Dafa à ce point de pratique pendant un mois, mon dos s'est redressé, mon visage avait un teint rosé et je marchais d'un pas léger. Quand j'ai enlevé mon foulard et mon chapeau, les gens ont été surpris et ont dit : « Vous êtes si jeune et si belle ! »

On pose un diagnostic de cancer du cerveau

En 1996, on m'a diagnostiqué une tumeur au cerveau. J'ai été traitée aux rayons gamma à l'Hôpital Huashan de Shanghai. Avant l'opération, j'ai dû faire évaluer mon état de santé pendant plusieurs mois. J'étais occupée à aller dans plusieurs hôpitaux différents afin de déterminer ce qui n'allait pas ; finalement, l'hôpital provincial m'a diagnostiqué une tumeur au cerveau.

Avant qu'on trouve ma tumeur au cerveau, on m'avait diagnostiqué à tort une sclérose en plaques qui ne pouvait être traitée. Les patients avec la sclérose en plaques peuvent vivre seulement quelques années en sachant que la mort est certaine. Ce pronostic de mort m'a accablée lourdement pendant trois mois. Après avoir su que j'avais une tumeur au cerveau, je sentais réellement que la mort venait à moi et que mon parcours de vie se dirigeait vers sa destination finale. Je me sentais désespérée à cette époque, mais je gardais toujours le léger espoir de pouvoir vivre.

Avec un fort sentiment de solennité, je suis montée à bord du train pour Shanghai accompagnée de mon mari. Je n'oublierai jamais la scène de mes proches et amis me regardant partir. De leur expression, je savais que mon voyage serait peut-être un allé simple. J'avais également le sentiment que je marchais vers la fin de mon parcours de vie. Cette scène de départ était comme s'ils me disaient au revoir pour la dernière fois. J'avais seulement 37 ans à cette époque.

D'autres problèmes de santé se manifestent

Après l'opération, j'ai retrouvé l'assurance de vivre et j'espérais pouvoir m'en remettre rapidement. Je me suis efforcée d'avoir recours à la psychothérapie pour me remonter le moral et retrouver un état mental normal, mais cela n'a eu aucun effet positif. Les symptômes sont progressivement revenus et j'ai été prise de vertiges, de sifflements dans les oreilles, de surdité dans mon oreille gauche et un côté de ma tête était comme une coquille vide. Un côté de mon visage était rigide et n'avait aucune sensation. En marchant, je perdais souvent l'équilibre et mes yeux et ma tête ne pouvaient pas bouger librement. Je me sentais malade et je vomissais beaucoup. Mon système immunitaire était compromis et je me sentais souvent malade. En même temps, je souffrais de rhumatisme, d'une maladie cardiaque, d'hypothermie et d'autres maladies graves. À ce moment-là, je sentais réellement que sans une bonne santé, notre travail et notre vie ne veulent plus rien dire.

Ma maladie et la douleur plaçaient également un lourd fardeau sur les membres de ma famille, à la fois sur le plan émotionnel et économique. Ma famille n'est pas fortunée et nous avions maintenant beaucoup de dettes. Nous devions payer des factures médicales de plus de 30 000 yuans. Pendant cette période, je souffrais de maladies graves et je me sentais torturée spirituellement. J'étais à nouveau désespérée. Je sentais que vivre était pire que mourir, mais j'avais pitié pour mon enfant qui avait besoin de mon amour. S'il perdait sa mère, il serait dans une très mauvaise situation. J'ai tellement pleuré pour mon fils ; jusqu'à ce que je sois à bout de larmes. J'ai perdu ma propre mère lorsque j'étais très jeune, alors j'avais l'amertume d'avoir perdu l'amour de ma mère. En tant que mère, je devais donner beaucoup d'amour à mon enfant. Je devais endurer la douleur.

Les tourments d'une maladie en phase terminale

Cependant, en raison de ma maladie en phase terminale, mon caractère a empiré avec le temps. Je me disputais souvent avec mon mari. Je perdais patience avec mon fils et parfois je finissais par le frapper et par l'insulter. Mon mauvais comportement causait une grave détresse mentale à mon fils et à mon mari. Un an et demi plus tard, j'ai eu un examen médical et on a découvert que la tumeur au cerveau avait seulement un petit peu diminué. Je me suis sentie une fois de plus complètement désespérée. Ma maladie n'était pas guérie et elle était toujours présente. La chose la plus terrible était que ma maladie cardiaque empirait. Je devais prendre des médicaments tous les jours. La quantité de médicaments que je prenais était plus importante que la nourriture que je mangeais. Je pouvais seulement m'occuper de moi-même et mon mari devais s'occuper de notre fils et des tâches ménagères. Je pouvais seulement travailler pendant la moitié de la journée et chaque jour après le travail, je devais rester couchée au lit. À l'exception de prendre des repas, je devais tout le temps rester couchée au lit, y compris quand je me lavais le visage et me brossait les dents. J'avais de la difficulté à monter les escaliers. J'enviais les jeunes enfants, car ils peuvent bouger librement et jouer. Moi, d'un autre côté, je devais souffrir de maladie et de douleur. Chaque jour était aussi long qu'une année et je sentais parfois que je préférerais mourir.

Je commence à pratiquer dans Dafa

En 1996, j'ai lu le Zhuan Falun. À ce moment-là, je savais seulement que le Falun Dafa était pour enseigner aux gens à être bons et qu'il permettait aux gens d'acquérir une vision plus large et une meilleure personnalité. Comme j'étais éduquée depuis l'enfance comme une athée, je croyais seulement à la science contemporaine. Je refusais de croire que le qigong pouvait guérir mes maladies. Beaucoup de gens me disaient de pratiquer le qigong, mais je n'étais pas convaincue. Je travaillais dans le domaine médical et je savais que mon mauvais caractère pouvait affecter négativement ma maladie cardiaque. Je pensais que si je continuais à me conduire ainsi, ce serait dangereux pour moi. Ainsi, en juin 1998, j'ai décidé de commencer à cultiver dans le Falun Dafa. J'ai appris à faire les exercices et j'avais le livre Zhuan Falun chez moi. À ce moment-là, j'étudiais rarement le Fa. Pratiquer les exercices était une activité occasionnelle comme aller pêcher pendant trois jours et faire sécher les filets de poisson au cours des deux autres jours. Pratiquer ainsi n'a pas amélioré mon mauvais caractère, mais mon corps a connu des améliorations progressives. J'ai rapidement oublié à quel moment j'avais eu besoin de médication pour la dernière fois !

Cultiver réellement dans Dafa

Un jour d'avril 1999, je suis accidentellement tombée sur un point de pratique près de chez moi. De plus en plus de gens rejoignaient les points de pratique chaque jour et le nombre se multipliait. À ce moment-là, j'avais encore des maux de tête et je me sentais malade, alors quand je suis allée au point de pratique, j'y suis seulement restée pour étudier le Fa pendant une demi-heure et ensuite je suis allée chez moi. Après être arrivée chez moi, j'ai commencé à me sentir tellement mieux. Les maux de tête et le sentiment d'être malade avaient disparu. J'ai acquis assez d'assurance pour rejoindre le groupe de pratique des exercices et étudier le Fa chaque jour. Je savais que je devais me comparer avec les principes d'Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je devais être un bonne personne. J'ai tenté d'être stricte avec moi-même à toute occasion. J'ai cessé de me disputer avec mon mari. Quand il s'emportait contre moi et m'insultait, le Fa du Maître apparaissait dans mon esprit. Ainsi, je pouvais me réguler et je ne me disputais pas avec mon mari. Je pouvais également le calmer. Après un certain temps, il y a eu une atmosphère plus harmonieuse entre les membres de ma famille et notre vie familiale était heureuse.

Finalement, toutes mes maladies ont complètement disparu. Je sentais que mon corps était si léger. Cet heureux et plaisant sentiment était au-delà de toute description. J'avais dès lors entièrement confiance en la vie et en l'avenir. Depuis que je pratique le Falun Dafa, j'ai retrouvé la santé et je peux m'occuper de toutes les tâches ménagères. Je semble avoir de l'énergie à n'en plus finir ! Mon mari dit que je suis une personne très énergique. Mon fils dit maintenant : « Ma mère me traite trop bien. Elle ne crie pas après moi et ne me frappe pas. Au lieu de cela, elle s'occupe très bien de moi. »

Inébranlable et heureuse malgré la persécution

Je cultive maintenant le Falun Dafa depuis 13 ans. En 1999, j'ai été illégalement détenue par les autorités et j'ai subi à plusieurs occasions du harcèlement et d'autres persécutions par le Parti communiste chinois (PCC). Cependant, j'ai toujours un corps en bonne santé et j'ai l'esprit ensoleillé.

Traduit de l'anglais au Canada