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Un jeune pratiquant de Falun Dafa valide le Fa

31 mai 2013 |   Écrit par un jeune pratiquant de Falun Dafa de la région de Huabei (transcrit par un adulte)

(Minghui.org) J'ai neuf ans et j'ai eu la chance de devenir un pratiquant de Dafa. Quand j'avais quatre ans, j'ai dit à ma mère : « Moi aussi je vais étudier le Fa ». Ma mère a demandé : « Comment ? Tu n'es pas encore allé à l'école et tu ne connais pas les idéogrammes. Peut-être quand tu seras plus âgé. » J'ai tenu le livre et j'ai pleuré très fort, puis j'ai crié : « Maître, aidez-moi. Je veux étudier le Fa ». J'étais tellement anxieux que j'ai mordu mon pouce et il a commencé à saigner. Ma mère était émue aux larmes et a dit : « C'est la faute de ta mère. Elle n'est pas bienveillante. Viens, nous allons étudier ensemble. » Alors, elle m'a appris un idéogramme après l'autre en commençant par Lunyu dans le Zhuan Falun :

« La « Loi de Bouddha » est ce qu'il y a de plus subtil et de plus profond, elle est la science la plus mystérieuse et la plus extraordinaire de tous les systèmes de connaissance du monde. »

Après avoir vu un idéogramme une fois, je le mémorisais et s'il apparaissait de nouveau, je savais ce que c'était. Juste comme cela, j'ai appris à lire le Zhuan Falun très rapidement.

Copier le Fa

Un jour, j'ai demandé à ma mère : « Copier le Fa, est-ce également étudier le Fa ? » Elle a répondu que oui, j'ai donc dit : « Alors, je vais commencer à le faire ». Bien qu'elle n'ait rien dit, elle pensait probablement : « Tu ne sais pas encore comment écrire des idéogrammes ».

Ce jour-là, j'ai commencé à copier les poèmes de Hong Yin. J'écrivais un seul trait à la fois. Si je voyais une ligne horizontale, je traçais une ligne horizontale et si je voyais une ligne verticale, je traçais une ligne verticale. Il me fallait un certain temps pour écrire un seul poème. Même si je n'ai pas terminé le livre en entier, j'ai copié de nombreux poèmes.

Je suis entré en première année alors que j'avais six ans. L'école demandait à tous les nouveaux élèves de devenir membre des Jeunes pionniers du Parti communiste chinois. J'avais peur et j'en ai parlé à ma mère. Je ne pouvais absolument pas adhérer, parce que si je le faisais, j'en ferais partie. Je voulais que ma mère aille parler à l'enseignant. Ma mère m'a aidé à chercher à l'intérieur et j'ai trouvé beaucoup de mes attachements, dont la peur et le désir de compter sur les autres. J'ai envoyé la pensée droite pour les éliminer. Ma mère m'a dit : « Tu dois marcher sur ton propre chemin. Je vais rester à la maison pour envoyer la pensée droite pour toi et tu le feras toi-même. Si ton enseignant te demande : « Veux-tu devenir membre ? » n'est-ce pas la même chose que si la perversité te demandait : « Veux-tu aller en enfer ? » Le mal ne tente-t-il pas de persécuter le professeur et les êtres ? Nous ne pouvons pas permettre à la perversité de persécuter le professeur. Surveillons le champ de l'enseignant et ne lui permettons pas de te poser cette question. Personne ne devrait te poser cette question. »

Sur le chemin de l'école, j'étais encore un peu nerveux, j'ai alors commencé à émettre la pensée droite. Quand le professeur a ramassé l'argent, il y avait un autre camarade de classe près de moi qui ne l'avait pas apporté. Cela a témoigné de la bienveillance du Maître—il y avait quelqu'un d'autre à côté de moi qui n'adhérait pas. L'enseignant a appelé mon nom et m'a dit : « Tu ne deviens pas membre ? » J'ai dit : « C'est exact ! » L'enseignant n'a rien dit d'autre. C'était aussi simple que cela.

Le 1er juin, la « Journée des enfants » du PCC, lorsque mes camarades de classe sont tous montés sur scène pour s'engager envers le PCC, je me suis assis en bas de la scène pour émettre la pensée droite afin de ne pas permettre à la perversité de faire une marque sur mes camarades de classe. Après la classe, le secrétaire du PCC de l'école m'a demandé : « Hé, viens ici. Pourquoi ne deviens-tu pas membre des Jeunes pionniers ? » J'ai dit que je ne voulais pas le faire. Il m'a demandé pourquoi. J'ai répondu : « C'est une mauvaise chose ». Il a ri et m'a dit de rentrer à la maison.

Il s'agit simplement de quelques-unes de mes expériences de valider le Fa. J'espère que je m'élèverai avec les autres jeunes compagnons de pratique, que nous ferons bien les trois choses ensemble et que nous retournons à notre origine première.

Traduit de l'anglais au Canada