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Wang Kun, un agent de police du Hebei, se vante d'avoir utilisé toutes les méthodes de torture publiées sur le site Minghui (photos)

4 juin 2013 |   Écrit par un correspondant de Minghui de la province du Hebei

(Minghui.org) Les agents de police Cheng Xing et Wang Kun de l'équipe de la sécurité intérieure du canton de Yongnian, province du Hebei sont connus pour leur brutalité dans la persécution des pratiquants de Falun Dafa. En 2012, Wang Kun se vantait alors qu'il battait des pratiquants : « J'ai utilisé toutes les méthodes de torture publiées sur le site Minghui. N'hésitez pas à me poursuivre en justice. »

En raison du blocus de l'information par le régime communiste chinois, nous n'avons été en mesure de rapporter qu'un petit nombre de cas de persécution perpétrés dans le comté de Yongnian. Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des cas de torture commis par les policiers du canton de Yongnian contre les pratiquants locaux.

1. M. Gai Xinzhong décède suite au gavage brutal

盖新忠
M. Gai Xinzhong

Le 2 mars 2005, Chen Jushan de la Division de la sécurité politique de la police du canton de Yongnian et le capitaine Yang Qingshe du premier escadron, avec plus de cinquante officiers de police dont le capitaine Hu Junan du cinquième escadron et le chef Cui Weiguo du poste de police Jiehedian, ont arrêté sans mandat M. Gai Xinzhong et son épouse, deux pratiquants de Falun Gong. Ils ont ensuite procédé à la confiscation des effets personnels de la famille.

M. Gai Xinzhong a été battu et privé de sommeil pendant six jours.

M. Gai a protesté contre la torture en faisant une grève de la faim. La police a ordonné au médecin Zong Ailan et à plusieurs policiers de maintenir M. Gai au sol et de le gaver à l'aide d'un tube gastrique, lui causant une douleur atroce.

酷刑演示:野蛮灌食
Reconstitution de la torture : gavage forcé brutal

Le 25 mars 2005, Hao Yuming, le directeur du centre de détention, a ordonné à Zong Ailan de gaver M. Gai. Ils ont inséré le tube gastrique de force à l'intérieur de M. Gai et ont perforé ses organes internes dans le processus. En conséquence, M. Gai a vomi une grande quantité de sang. Compte tenu de l'hémorragie interne, M. Gai est mort de suffocation. En seulement 24 jours, une personne gentille et en bonne santé a été brutalement tuée. Après sa mort, les policiers du canton de Yongnian ont couvert l'assassinat et ont enterré le corps de M. Gai sans en avertir la famille ni fournir un certificat de décès.

2. Torturer M. Cheng Fengxiang

Dans la nuit du 28 janvier 2004, afin d'enquêter sur la diffusion télévisée de vidéos de clarification de la vérité sur le Falun Dafa dans les villes de Shahe et de Xingtai, l'officier de police Chen Jushan de l'équipe de la sécurité intérieure du canton de Yongnian, des fonctionnaires du Parti communiste chinois (PCC) de la ville de Handan et certains policiers ont arrêté le pratiquant M. Cheng Fengxiang sans mandat. Les autorités ont détenu M. Cheng au sous-sol du premier escadron du canton de Yongnian. Le capitaine Yang Qingshe a inséré de minces tiges de bambou sous les ongles de M. Cheng lors de l'interrogatoire dans une tentative d'obtenir des informations sur la diffusion.


Illustration de torture : tiges de bambou insérées sous les ongles (dessin)

Liu Boying, capitaine adjoint du premier escadron, a battu M. Cheng Fengxiang avec une matraque en bois jusqu'à ce qu'elle se brise. M. Cheng s'est évanoui à plusieurs reprises et porte encore des cicatrices visibles. L'officier de police Wang Ailin du deuxième escadron a utilisé un sac en plastique pour couvrir la tête de M. Cheng, l'a menotté et l'a suspendu avec les mains grandes ouvertes et les pieds en l'air, puis il a battu M. Cheng de façon inhumaine.


Méthode de torture : la chaise de fer

Le policier de la ville de Handan Xu Zhaoliang a battu M. Cheng, cassant sa 11e côte. Il n'a pas reçu les soins médicaux appropriés. Xu a forcé M. Cheng à s'asseoir sur une chaise de fer pendant huit jours. Pendant ce temps, Xu a mis un bâton en bois sur ses jambes et a fait en sorte que deux personnes marchent dessus et le fassent rouler d'avant en arrière. M. Cheng a perdu connaissance à maintes reprises et ses mains sont devenues engourdies et froides. Il a encore des difficultés à utiliser ses mains.

À l'époque, M. Cheng avait 1 000 yuan dans ses poches. Le chef de la police les confisqués devant des témoins et a crié : « Je m'appelle Wang Baoshi, le chef de la police. Je n'ai besoin d'obéir à aucune loi quand je m'occupe de vous, les pratiquants. Ne vous gênez pas, poursuivez-moi en justice ».

M. Cheng Fengxiang a également enduré la privation de sommeil pendant 14 jours et 14 nuits, a eu de l'eau bouillante versée sur sa tête et des substances inconnues lui ont été injectées.

3. Des policiers ont frappé la poitrine et les organes génitaux de pratiquantes avec des matraques électriques

L'après-midi du 30 mai 2008, Cheng Jushan de l'équipe de la sécurité intérieure et des policiers du poste de police de Dabeiwang ont arrêté la pratiquante Mme Zhang Chunping et l'ont détenue au premier escadron. Les policiers la torturaient chaque jour à minuit. L'agent Zhang Chunping la menottait et menottait ses pieds. Ensuite, deux officiers se tenaient debout sur ses jambes et lui fouettaient la plante des pieds avec des bâtons en aluminium. Ils ont également frappé son visage, ses aisselles, sa poitrine et ses organes génitaux à l'aide de matraques électriques. Les policiers l'ont menacée d'utiliser des méthodes de torture encore pire si elle ne coopérait pas lors de l'interrogatoire. Le capitaine de l'équipe de la sécurité intérieure Chen Jushan observait pendant tout ce temps.


Illustration de torture : menottée avec les mains derrière le dos, frappée à coups de matraques électriques, battue avec un bâton et rouée de coups de pieds.

4. Zhang Xiangling est gavée jusqu'au seuil de la mort

Avant la 16e conférence nationale du PCC, la pratiquante Mme Zhang Xiangling a été arrêtée par la police du bourg de Qumo dans le canton de Yongnian. Elle a entamé une grève de la faim pendant plus de quarante jours. Pendant la grève de la faim, les policiers l'ont gavée d'eau de mer tous les deux jours. Mme Zhang a refusé de coopérer avec la police. La policière Shi Yinghua l'a frappée, blessant son corps. Le directeur du centre de détention, Hao Yuming, a menacé de la gaver de force tous les jours. Les pieds de Mme Zhang étaient enflés. Le tube gastrique utilisé pour le gavage était couvert de sang lorsqu'il était retiré. Mme Zhang a été torturée par du gavage forcé brutal jusqu'au seuil de la mort.

5. Mme Jin Guihua est torturée

Dans la soirée du 3 février 2004, les policiers du canton de Yongnian ont arrêté la pratiquante Mme Jin Guihua. Lors de l'interrogatoire, le capitaine de la police de la ville de Handan a frappé le ventre de Mme Jin très fort. Ensuite, il a menotté Mme Jin au cadre en fer d'un lit et a continué de lui donner des coups de pied aux jambes tout en criant : « Je vais te battre à mort. Ensuite, je vais creuser un trou et t'y enterrer ».

À midi, le lendemain, les autorités ont couvert la tête de Mme Jin avec trois couches de sacs en plastique noir et l'ont poussée contre le sol, causant des problèmes respiratoires. Ensuite, les policiers l'ont maintenue au sol et lui ont frappé la plante des pieds avec un marteau. Plus tard, ils lui ont frappé la plante des pieds avec une planche de bois recouverte de clous.

Mme Jin s'est évanouie à maintes reprises, mais était réanimée avec de l'eau froide. Ensuite, ils la menottaient à nouveau au cadre de fer d'un lit.

Résumé

D'innombrables méfaits ont été et sont commis par les fonctionnaires du canton de Yongnian dans cette persécution en cours de bons et innocents pratiquants de Falun Gong. Par exemple, Liu Chaobin, l'instructeur politique de la police du canton de Yongnian, et Wang Shiqian ont illégalement condamné 21 pratiquants aux travaux forcés et ont détenu 113 pratiquants sans verdict du tribunal. Chen Jushan, capitaine de l'équipe de la sécurité intérieure, a fréquemment poussé des policiers à piller les domiciles des pratiquants sans mandat. Un jour, il a ordonné aux gardes de battre une pratiquante de 19 ans au centre de détention.

Combien de méthodes de torture sont utilisées dans la persécution des pratiquants par le PCC ? Le site Minghui en a dévoilé plus d'une centaine. Ce qui est décrit dans ce rapport n'est que la pointe de l'iceberg.

À ceux qui torturent les pratiquants, prenez garde ! Peu importe combien de temps sera nécessaire, ou le lieu où vous tentez de vous cacher, tous les méfaits seront finalement exposés. Tout ceux qui commettent des atrocités contre les pratiquants seront traduits en justice.

Traduit de l'anglais au Canada