Falun Dafa Minghui.org www.minghui.org IMPRIMER

Un jeune disciple de Dafa : j'ai été témoin de la bonté du Falun Dafa

7 juin 2013 |   Écrit par un jeune pratiquant de Chine (le texte a été préparé avec l'aide des parents.)

(Minghui.org) Je suis un disciple de Dafa âgé de 12 ans. Mes parents m'ont dit qu'après être né et avoir été ramené de l'hôpital, j'avais seulement 7 jours et pourtant, j'ai ri quand ma grand-mère m'a montré le portrait du Maître.

Je savais très peu de choses sur la cultivation quand j'étais jeune, mais ma maman et mon papa m'ont dit que le Falun Dafa est bon et je les ai crus. En fait, j'ai vraiment senti la bonté de Dafa.

Une fois, quand j'étais malade, j'ai été en mesure de parler pour exprimer mon malaise. Ma mère a observé ma souffrance et m’a rappelé de répéter : « Falun Dafa est bon ! Zhen-Shan-Ren est bon ! » Alors je l'ai fait. Le lendemain matin, j'avais entièrement récupéré.

Au cours de l'enfance, il devrait y avoir de la joie et du bonheur. Mais pour moi, ce n'a pas été vraiment tout bonheur parce que le PCC a commencé à persécuter le Falun Gong quand j'allais commencer l'école primaire.

Un vendredi, il était tard et mon père n'était pas encore rentré à la maison. Ma mère nous a demandés de commencer à dîner. Comme nous étions sur le point de manger, nous avons entendu un coup très fort à la porte. Ma mère s’est levée et l'a ouverte. Trois ou quatre policiers sont entrés et l'un d'eux a dit : « Votre mari est un pratiquant de Falun Gong et nous l'avons arrêté parce qu'il utilisait un site web du Falun Gong. Vous devez venir avec nous, afin que vous puissiez le voir au poste de police. » Ainsi ma mère et moi sommes allés, mais nous n'avons pas vu mon père. Alors, nous avons su qu'ils nous avaient mentis.

J'ai dormi au poste de police cette nuit-là. Lorsque je me suis réveillé le lendemain matin, ma mère était assise à côté de moi et plusieurs policiers étaient avec nous dans la petite salle. Ils ne nous ont pas laissés partir. J'ai mangé un peu, mais ma mère non. Je me sentais essoufflé et j'ai commencé à pleurer bruyamment et fort, ce qui a été quelque chose que je n'aurais pas fait à la maison. Je voulais sortir de là, mais la police a refusé. Ma mère a essayé de me calmer. Elle était en larmes et avait le cœur brisé à me regarder souffrir comme ça. La police a demandé à ma maman de me gronder. Mais au contraire, elle les a réprimandés.

Je me suis obstiné pour tenter de sortir de la salle toute la matinée et enfin ils m'ont permis de faire un tour dans le couloir. Ils nous ont emmenés à la maison plus tard et nous ont surveillés pendant plus de deux jours. Nous ne pouvions pas sortir de la maison et je savais que quelque chose n'allait pas, puisque mon père n'était pas rentré à la maison. J'ai essayé d'être aussi bon que possible. J'ai fait mes devoirs seul et même joué aux échecs avec une policière. Je n'ai plus demandé à ma mère de me lire des livres de contes et je suis allé à l'école tout seul. Plus tard, ma mère était occupée à essayer de faire libérer mon père. J'étais en première année (CP) et je n’ai pas permis que ma mère se fasse du souci pour mes études. Mes notes étaient bonnes et j'ai été premier de ma classe à l'examen final. Un an plus tard, mon père est rentré.

Comme élève de première année, je pouvais lire le Zhuan Falun, puisque ma mère m'avait appris tous les mots dans le livre. J'avais lu des livres de Dafa avec des adultes et parfois mon troisième œil s'ouvrait et je pouvais voir des choses d'autres dimensions.

En sixième année (6e), la police est venue un jour et a emmené ma maman et mon papa. Je suis rentré chez moi après l'école et j'ai vu que notre maison avait été mise sans dessus dessous et que personne n'était à la maison. J'ai verrouillé la porte et je suis allé chez ma tante et mon oncle qui étaient également des pratiquants. Durant les jours suivants, mon oncle, ma grand-mère, mon grand-père et les tantes ont essayé d’aider à libérer mes parents. J'étais très confiant qu'ils reviendraient à la maison bientôt. Bien sûr, un mois plus tard, ils sont revenus. Dafa nous a protégés.

Après cet incident, mes parents m'ont demandé si j'avais eu peur de ne plus les revoir. Je ne semblais pas avoir peur du tout et ni n'avais eu de regrets, parce que je crois vraiment en Dafa et je crois que le Maître nous protégera.

Traduit de l’anglais au Canada