(Minghui.org) « Plus d’une décennie après la chute de l’ancienne Union Soviétique et des régimes communistes de l’Europe de l’Est, le mouvement communiste international a été rejeté dans le monde entier. La chute du Parti communiste chinois (PCC) n’est qu’une affaire de temps. »-- extrait des Neuf Commentaires sur le Parti communiste.
Pourquoi le communisme est-il si peu apprécié dans le monde ? Les Neuf Commentaires indiquent très clairement que la tromperie et la violence du régime communiste en Chine le conduiront inévitablement à sa chute. En fait, de nombreuses personnes ayant croisé sur leur chemin le Parti communiste ont depuis longtemps reconnu qu’il est foncièrement pervers et prédit son effondrement final. En voici quatre exemples.
Chiang Kai-chek, dirigeant du Parti d'opposition
Chiang Kai-shek, fondateur du Kuomingtang, était si fasciné par le « Parti communiste Pan Russe » (Bolshevik, c’est-à-dire « Parti communiste de l’Union Soviétique ») qu’il a conduit une « Délégation Dr Sun Yat Sen » et entrepris en août 1923 une visite de trois mois dans l’ancienne Union Soviétique.
Cependant, la visite a totalement bouleversé la perspective de Chiang sur le communisme. Dans son livre, Le Parti communiste de l’Union Soviétique en Chine, il a exprimé les idées suivantes (paraphrasées et non des citations directes).
« Avant que je me rende en Union Soviétique, j’avais confiance dans le fait que le Parti communiste de l’Union Soviétique nous soutenait avec équité et sincérité, sans aucune mauvaise intention. Cependant, ma visite dans le pays a eu raison de ma fascination et de ma confiance dans le communisme. J’en ai conclu que la stratégie d’alliance avec le Parti communiste de l’Union Soviétique pourrait aider à repousser pour un moment le colonialisme occidental, mais ne pourrait jamais assurer notre indépendance. J’ai aussi senti que la révolution mondiale promue par le Parti communiste de l’Union Soviétique était même encore plus dangereuse que le colonialisme et le nationalisme. »
Comme l’a vu Chiang, le Parti communiste de l’Union Soviétique dépendait de deux stratégies pour mener sa révolution. Une était de s’engager dans une lutte sans fin contre les ennemis de classe et l’autre d’utiliser la violence pour instiller la terreur dans le cœur des gens. Lors de la révolution Russe, il a divisé la société toute entière en différentes classes et les a fait lutter les unes contre les autres. La révolution serait considérée comme réussie seulement lorsque le prolétariat vaincrait les autres classes sociales. De plus, dans le but d’obtenir le soutien du peuple, le Parti communisme a commis toutes sortes de mauvaises choses pour terroriser les gens en même temps qu'il les appâtait avec des intérêts mesquins.
En fait, le PCC a fait exactement ce que Chiang a déclaré qu’avait fait le Parti communiste de l’Union Soviétique. Il n’est pas étonnant qu’il se soit battu bec et ongles contre le PCC, lors de la guerre civile.
Georgi Valentinovich Plekhanov, père du marxisme en Russie
Georgi Valentinovich Plekhanov était considéré comme le père du marxisme en Russie et le mentor de Vladimir Lénine.
En mai 1918, moins de six mois après la Révolution russe de 1917, il a écrit un testament, qui, plus tard, a été déposé à la BNP Paribas, une banque internationale. En triant les documents en novembre 1999, la banque a trouvé le testament et l’a rendu à la Russie, suivant les instructions laissées par Plekhanov.
Le document de Plekhanov a choqué tout le monde, parce ce que tout y est prédit avec précision sur l’ancien développement et la chute de l’Union Soviétique.
« D’abord, alors que la productivité s’accroît, il y aura plus d’intellectuels que de prolétaires et les premiers assureront un rôle de premier plan dans le développement de la productivité. La théorie de la dictature du prolétariat deviendra obsolète.
« Ensuite, la dictature du prolétariat des bolcheviques deviendra rapidement une dictature de parti unique, puis une dictature dirigeante. Une société construite sur la tromperie et la violence a fabriqué une bombe à retardement qui explosera une fois que la vérité sera connue.
« Troisièmement, les bolcheviques expérimenteront quatre crises dans l’ordre suivant : la famine, l’idéologie, l’économie et la chute. Ceci prendra plusieurs décennies, mais le résultat est inévitable.
« Enfin, la grandeur d’un pays ne réside pas dans la vastitude de sa terre ou la richesse de histoire, mais dans ses traditions démocratiques et son critère de vie. Tant que son peuple continue à vivre dans la pauvreté et ne bénéficie pas de la démocratie, il est difficile de garantir qu’il n’y aura pas de crises ou d’effondrement éventuel. »
Chu Anping, rédacteur en chef d'un quotidien
Chu Anping, autrefois, rédacteur en chef du Guangming Daily, a été par la suite étiqueté comme l’un des trois principaux « droitiers » lors du mouvement anti-droitier du Parti communiste chinois.
Dans un article publié le 2 juin 1957, à la fois dans le People's Daily et le Guangming Daily, Chu a déchiré le voile du PCC. Intitulé « Quelques suggestions au Président Mao et au Premier ministre Zhou », cet article au ton tranchant soulignait que la gouvernance du PCC en Chine était de fait une dictature à parti unique. On a dit qu’après avoir lu cet article, Mao n’a pas pu bien dormir de plusieurs jours.
En 1947, alors que la guerre civile entre le Communisme et le Kuomingtang venait juste de commencer, Chu a clairement vu que la démocratie que promouvait le PCC était, en réalité, totalitaire, parce qu’il ne permettait aucunes opinions divergentes. Il a prédit que si le Kuomingtang l’emportait, les gens feraient face à la question de savoir combien de liberté serait autorisée, mais que si les communistes arrivaient au pouvoir, il n’y aurait plus du tout de liberté.
Prés de 50 ans ont passés depuis la mort de Chu Anping. Regardant en arrière, son évaluation du PCC est exacte.
Hu Shi, célèbre intellectuel
Hu Shi était président de l’Université de Pékin et président de l’Institut central de recherche dans les années 1940. Même Mao Zedong se considérait, les premiers temps, comme un élève de Hu Shi.
Lorsque l’armée communiste a entouré Pékin en décembre 1948, ils ont diffusé un appel à Hu Shi sur leurs programmes radio, promettant qu’il pourrait garder son poste à l’Université de Pékin s’il restait dans cette ville. Ils ont aussi envoyé des espions pour tenter de l'amener à travailler avec le Parti communiste.
Cependant, Hu Shi, a quitté Pékin sans aucune hésitation. Il a aussi averti son fils, Hu Sidu, de partir avec lui, mais le jeune Hu a refusé parce qu’il pensait que le Parti communiste ne lui ferait aucun mal.
Pourquoi est-ce que Hu Shi a refusé de devenir un fonctionnaire du PCC? Un article qu’il a publié le 9 janvier 1950, établissait clairement qu’il ne pensait pas qu’il y aurait une quelconque liberté sous la gouvernance du Parti Communiste.
Hu Sidu, d’un autre côté, n'a pas tardé à subir un lavage de cerveau par le PCC et a trahi son propre père. Non seulement, il a donné tout ce que Hu Shi lui avait laissé, mais il a aussi écrit un article pour critiquer et désavouer son père.
Hu Shi n’a pas été surpris par ce que son fils a fait. Après tout, il savait qu’il n’y avait pas de liberté d’expression dans un pays communiste. Il constatait à présent que son fils n’avait même pas le droit de se taire.
Bien que Hu Sidu ait dédié sa vie au PCC, il a finalement été abandonné après qu’il n’ait plus eu de valeur. Il a été catalogué comme droitier lors du mouvement anti-droitier et s’est suicidé le 21 septembre 1957.
Il n’y a pas de doutes que Hu Shi a été sage de quitter la Chine continentale, sans cela, il n’aurait eu que deux choix : la mort comme son fils ou devenir une marionnette du PCC.
D'érudits au dirigeant du parti d'opposition et au fondateur d’un pays communiste, ces hommes avaient une compréhension vraiment très profonde de la perversité inhérente au communisme. Il n’est pas étonnant que les pays communistes dans le monde soient en déclin depuis le siècle dernier. C’est juste une question de temps avant que le PCC ne s’effondre.
Traduit de l'anglais en Europe