(Minghui.org) Salutations au vénérable Maître, salutations aux compagnons de pratique !

J'ai été détenue pendant 3 ans dans un camp de travaux forcés. À l'intérieur du camp de travail forcé, je n'ai eu aucune peur du mal et j'ai validé le Fa avec des pensées et des actions droites. Je veux partager mon expérience à l'intérieur du camp avec les autres pratiquants et la rapporter au Maître.

Une matraque électrique qui n'a pas d'effet

Un événement a choqué les gardiens et les prisonniers du camp de travail forcé et les a amenés à faire preuve de respect envers moi. Une fois, trente à quarante pratiquants de Dafa dans le camp de travaux forcés ont refusé de porter l'uniforme de la prison, de réciter leur numéro de prison, ou de faire un travail d'esclave. Nous avons aussi commencé une grève de la faim pour protester contre le fait que certains pratiquants étaient torturés .

Un gardien a dit : « Celui qui n'a pas obéi aux règles du camp de travail forcé doit servir d'exemple. Voyons voir qui peut survivre à ma torture de la corde. » Une douzaine de pratiquants se sont immédiatement levés en signe de protestation. Les gardes les ont attachés avec des cordes, un par un. J'ai crié fort : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » Pendant ce temps, j'ai récité les versets de la rectification par la Loi. Ma voix était très forte et a été entendue dans tout le camp.

Plusieurs gardiens sont venus m'arrêter. J'ai couru en m'éloignant d'eux tout en criant. Après, un gardien m'a attrapée, deux autres m'ont tordu les bras, un autre a enlevé mes chaussettes et un autre gardien a utilisé des menottes pour m'écarter les dents de force et tenter de fermer ma bouche avec les chaussettes. J'ai utilisé toutes mes forces pour garder ma bouche fermée et n'ai pas coopéré avec les gardiens. Ces gardiens n'ont pas pu mettre quoi que ce soit dans ma bouche. Ensuite, ils ont essayé de tirer mes bras derrière mon dos et de me menotter. J'ai écarté mes bras et ne les ai pas laisser me rapprocher les mains ensemble. Les gardiens ont eu peur de perdre la face devant les prisonniers. Deux gardes m'ont tenu les bras et m'ont poussée dans la cour.

Dans une salle qui donnait sur l'arrière-cour, les gardiens m'ont dit de m'agenouiller. Je leur ai dit que je ne m'agenouille que devant mon Maître. Un gardien m'a frappé les jambes et le dos à plusieurs reprises pendant longtemps. J'ai levé la tête et lui ai dit : « Je ne veux pas me mettre à genoux. Je n'ai rien fait de mal. » Trois gardiens sont venus. Deux d'entre eux m'ont tordu les bras et les ont tirés en arrière. L'un d'entre eux a mis une corde autour de mon cou et puis l'a attachée à mes bras. J'ai tiré brusquement ma tête et les trois gardiens ont été repoussés de quelques pas. Ils sont revenus pour essayer de m'attacher. J'ai retiré ma tête brusquement et ils ont été repoussés à nouveau. Cela s'est produit plusieurs fois. Les gardiens étaient épuisés. Un gardien a dit : « Pourquoi a-t-elle une telle force ? Elle est très petite. » Enfin, les gardes sont venus tous à la fois et ont réussi à attacher mes bras à mon cou, tirant ma tête vers le bas. Mais je ne sentais pas de douleur.

Les gardiens ont serré la corde jusqu'à ce que mes doigts soient devenus violets. Ensuite, ils ont relâché un peu, puis ont resserré à nouveau. Ils ont répété cela une douzaine de fois. Mais ils ne pouvaient toujours pas me contrôler. Un gardien a dit qu'ils devraient attacher mon cou à mes jambes. Ensuite, les gardiens ont vraiment attaché mes jambes ensemble, puis les ont attachées à mon cou. Mon corps était plié à 90 degrés. Habituellement, lorsque les gardiens utilisaient cette méthode pour torturer les pratiquants, les pratiquants ne pouvaient pas supporter cela plus de dix minutes. Alors je me suis assise sur le sol et les ai ignorés. Les gardes ont attrapé la corde sur mon dos, m'ont soulevée du sol, et m'ont fracassée brutalement contre le sol encore et encore. Mais je n'ai ressenti aucune douleur.

Les gardiens ne pouvaient toujours pas me contrôler. Un grand gardien a sorti une matraque électrique et voulait me frapper. Il a appuyé sur le bouton et j'ai vu des étincelles bleues sortir de la baguette. J'ai eu un peu peur. Mais je me suis immédiatement rappelée ce que le Maître a dit :

« Vie (et) mort ne sont pas des vantardises

Capable de faire (ou) incapable de faire on verra la vraie image (« Le cœur naturellement clair » Points essentiels pour un avancement assidu II)

J'ai immédiatement senti mon corps être très grand et je n'avais peur de rien. La matraque électrique ressemblait juste à un jouet et j'ai aussi senti que le gardien pervers était très petit. Le gardien a frappé mes pieds avec la matraque électrique. Je n'ai eu aucune réaction. Il a frappé mon visage, je n'ai eu encore aucune réaction. Puis il a frappé mes bras. Je sentais comme si des fourmis rampaient sur mes bras. Le grand gardien a dit aux autres : « Elle est protégée de la décharge électrique. Elle n'a eu aucune réaction. » Je leur ai dit : « C'est un pouvoir surnaturel. »

Après, ils ont essayé de me torturer durant toute la matinée et l'après-midi, ils m'ont surveillée chacun leur tour toute la nuit. Mais ensuite, ils ont cessé de me torturer, ils ont juste attaché mes bras souplement avec des cordes. J'ai commencé à clarifier la vérité aux gardiens. Pas mal de gardes sont venus pour comprendre la vérité. Pendant les changements de quart, le gardien au départ disait souvent à celui qui prenait son service : « Elle est vraiment super ! C'est vraiment quelqu'un. »

Le lendemain, je suis retournée à la salle de la prison, presque tous les prisonniers sont venus. Le prisonnier qui était en charge de tous les prisonniers ma dit : « Ma sœur, tu as vraiment beaucoup souffert. Nous t'admirons tous et te respectons vraiment. Nous avons tous eu très peur de la torture de la corde. Mais tu es si courageuse. Tu n'as pas peur d'eux. Les gardiens ont peur de vous, pratiquants de Falun Gong ! »

« Tu es la 'grande sœur' à partir de maintenant »

Les prisonniers admiraient tous les gens qui pouvaient résister aux gardiens et ne pas se compromettre. Je défendais le Falun Gong. Ils estimaient que j'étais très fidèle et tous ont dit qu'ils voulaient être mes amis.

Quand je pratiquais les exercices, les prisonniers surveillaient tous volontairement pour moi s'il y avait des gardiens. Quand j'émettais les pensées droites tout en étant assise sur mon lit, tous les prisonniers me laissaient seule. Une fois, j'étais en train de pratiquer la méditation sur le lit. La capitaine des gardiens de la prison est entrée et m'a vue. Elle m'a appelée à son bureau. Dès que je suis entrée dans le bureau, elle m'a ordonné en criant de m'accroupir par terre. J'ai dit : « Je ne veux pas. Je ne suis pas une prisonnière. Pourquoi devrais-je à m'accroupir ? » Elle a dit : « Je vais te torturer vraiment brutalement. » J'ai dit : « Est-ce que c'est ce que vous appelez chaque jour 'éducation, influence et salut' ? Ce sont tous des mots hypocrites. » Je la fixais sans cligner des yeux. Elle s'est mise en colère et ne pouvait plus dire un mot pendant un certain temps. Enfin, elle a dit : « Tu peux y aller. »

Les deux prisonniers qui m'avaient amenée au bureau avaient peur. Après notre retour, les prisonniers ont dit aux autres ce qui s'était passé dans le bureau de la capitaine. Tous les prisonniers m'ont dit : « Grande sœur, tu as vraiment un esprit fort. »

Au camp de travail forcé, certains prisonniers étaient très méchants envers les pratiquants. Ils les grondaient souvent et même, les battaient. Quand j'étais là, je ne permettais pas que cela se produise. Une fois une prisonnière a brutalement battu une pratiquante. Elle a déclaré que la pratiquante avait donné des articles de Dafa à d'autres pratiquantes et que les gardiens l'avaient découvert. Je suis venue pour éloigner la prisonnière. Une autre prisonnière a dit : « Grande sœur, nous te respectons tous. Tu devrais nous laisser seules. » J'ai dit : « Nous sommes tous des pratiquants de Dafa. Son truc c'est mon truc. Vous devez arrêter de la battre. » Le prisonnier qui était en charge de tous les prisonniers est alors venu et a dit : « La grande sœur t'a déjà demandé d'arrêter. Pourquoi n'arrêtes-tu pas ? »

Une fois un pratiquant d'une autre équipe de la prison est mort à la suite de la torture. Afin de ne pas ébruiter la chose, le camp de travaux forcés a convoqué les prisonniers qui surveillaient les pratiquants de Dafa pour une réunion. Les gardiens ont critiqué les pratiquants et ont demandé aux prisonniers de nous surveiller d'encore plus près. Après cela, j'ai parlé avec un autre pratiquant, comme d'habitude avant d'aller dormir. La prisonnière qui a été envoyée pour me surveiller est venue immédiatement pour me prendre par les cheveux et me faire tomber du lit. Puis elle a commencé à me battre. J'ai essayé de la repousser avec mes mains. Elle m'a alors frappée comme une folle. J'ai attrapé ses cheveux et l'ai balancée de côté. Juste au moment où elle était sur le point de se lever et de me battre à nouveau, la personne en charge de tous les prisonniers est venue, lui a saisi les cheveux et l'a giflée de gauche à droite. Puis elle lui a donné un coup de pied en grondant : « Tu connais les règles ici ? Comment oses-tu battre notre grande sœur ? Et tu veux quand même survivre ici ?

« Je n'irai nulle part , je parle ici »

Une fois par an, au moment de ce que le parti pervers appelle la « journée nationale », le camp de travaux forcés permettait une pause d'une demi-journée. Les pratiquants ont décidé d'émettre les pensées droites directement sous le drapeau sanglant du parti pervers. À 10 heures, tous les pratiquants sont sortis de leur chambre de la prison et se sont rassemblés au milieu de la cour. Ils ont commencé à émettre des pensées droites, assis dans la position de méditation avec la paume dressée en face de la poitrine.

Quelques minutes plus tard, les gardiens ont vu cela et ont eu peur. Ils ont immédiatement demandé aux prisonniers qui avaient été envoyés pour nous surveiller de ramener les pratiquants à l'intérieur. Certains prisonniers ont saisi cette occasion pour battre les pratiquants. Les pratiquants ont alors entamé une grève de la faim pour protester et ont refusé d'aller déjeuner. Les gardiens ont demandé aux détenus de nous traîner à la cafétéria. Quand c'était le temps pour le travail forcé, ils ont également demandé aux détenus de nous traîner à l'atelier. Les pantalons de nombreux pratiquants ont été endommagés. Beaucoup de pratiquants et moi avons commencé à crier haut et fort : « Falun Dafa est bon ! » Nous avons récité ça pendant tout le trajet vers l'atelier. La capitaine m'a dit: « Il faut que tu viennes dans cette salle pour crier. Ensuite, je te laisserai crier autant que tu veux. » J'ai dit : « Je ne vais nulle part, je veux parler ici. » Je me tenais au milieu de l'atelier et j'ai continué à crier : « Falun Dafa est bon ! Restaurez la réputation de Dafa et du Maître ! »

À ce moment-là, mon esprit était vide. Je sentais des Faluns tourner autour de mon visage. Quelques dizaines de pratiquants ont cessé de travailler et ont commencé à émettre des pensées droites. L'atelier est devenu calme et les gardiens étaient choqués. Après avoir fini de réciter, j'ai commencé à pratiquer les exercices. D'autres pratiquants ont vu et se sont tenus au milieu de l'atelier pour pratiquer les exercices. La plupart des prisonniers ont cessé de travailler et nous ont juste regardés pratiquer les exercices .

« Le discours de la 'grande sœur' est excellent »

Une fois, l'équipe de la prison dans laquelle j'étais a accepté des commandes pour faire des housses de couettes pour les nouveaux élèves d'une école. Certains pratiquants ont suggéré que nous devrions écrire des lettres pour dénoncer la persécution et les mettre dans les housses. De cette façon, les élèves les trouveraient quand ils mettraient leurs couettes dans les housses. Tous les pratiquants ont commencé à aider. J'ai trouvé un peu de papier et copié le nouvel article du Maître : « Mes quelques réflexions. » Ensuite, j'ai plié les lettres, noté « béni avec la chance » sur l'extérieur, et les ai mises dans les housses.

Deux à trois semaines plus tard, l'école a signalé les lettres des housses de couette au camp de travail forcé. Le chef du camp de travail forcé s'est vraiment mis en colère. Des gardiens ont été envoyés pour enquêter secrètement. Ils ont posé beaucoup de questions aux prisonniers qui surveillaient les pratiquants, mais n'ont pas pu trouver le moindre indice.

Un jour après 17h, les gardiens ont rassemblé tous les prisonniers pour une réunion. Ils ont dit : « La réunion d'aujourd'hui concerne les documents de Falun Gong trouvés dans les housses de couette faites par notre camp de travail. Celui qui a fait cela devrait sortir du rang et le reconnaître. Si personne ne sort, alors personne ne peut dîner ou aller dormir ce soir. Nous n'arrêterons pas jusqu'à ce que nous trouvions qui a fait cela. » Les gardiens ont dit aussi aux prisonniers : « La direction ne veut pas que tous les gens d'ici aient à en souffrir. Pourquoi les pratiquants de Falun Gong ont peur de prendre la responsabilité de ce qu'ils ont fait ? »

Je pensais : « Si personne ne se lève, tout le monde devra rester ici et être raillé par les gardiens. Cela mènera également les détenus à avoir de mauvaises pensées au sujet du Falun Gong. » À ce moment-là, certains prisonniers avaient déjà commencé à se plaindre du Falun Gong .

Je me suis levée et j'ai dit : « S'il vous plaît arrêter de vous plaindre. S'il vous plaît arrêtez d'écouter les insinuations. J'ai écrit les lettres et je les ai mises à l'intérieur des housses de couette. Que voulez-vous faire ? »

Les autres ont vu que j'admettais cela et ont tous arrêté de parler. Les gardiens ont vu que j'avais tout admis. L'un d'eux a dit « Ok. Vous êtes tous congédiés. Voyons comment les dirigeants gèrent cette affaire. »

Le lendemain, des gardiens m'ont emmenée au bureau. Dès que je suis entrée dans le bureau, la capitaine m'a dit de m'asseoir sur un petit banc. J'ai dit : « Je ne vais pas m'asseoir sur le petit banc. C'est pour les prisonniers. Je ne suis pas une prisonnière. J'ai besoin de m'asseoir sur une chaise ordinaire. » Alors, une gardienne a demandé à un prisonnier d'apporter une chaise. Puis je me suis assise. Elle a dit : « En ce qui concerne les lettres que vous avez mises dans les housses, le chef du camp de travail a dit que vous l'avez reconnu vous-même et que votre attitude est bonne. Après avoir discuté, nous avons décidé de vous laisser écrire une lettre pour reconnaître vos erreurs. C'est ainsi que nous pouvons donner une bonne explication à l'école. »

J'ai dit : « Je ne peux pas écrire une telle lettre. Je n'ai rien fait de mal. Le régime de Jiang Zemin a utilisé la machine de propagande de l’État pour tromper les gens du monde. Pourquoi ne puis-je pas dire aux gens la vérité au sujet du Falun Gong ? Quel genre de monde est-ce ? Les mauvaises personnes persécutent les bonnes personnes. Et les méchants sont toujours aussi arrogants. Je ne veux pas écrire la lettre, même si vous me tuez. » Elle a dit : « Que diriez- vous d'en parler simplement devant tous les prisonniers avant le déjeuner ? On peut les rassembler vingt minutes avant le déjeuner. » J'ai été d'accord.

J'ai pensé : « Vous m'avez demandé de parler. Mais ce n'est pas vous qui pouvez décider ce que je vais dire. » Avant le déjeuner, tous les prisonniers se sont mis en rang et un gardien m'a demandé de parler. Je me tenais paisiblement devant les gens et j'ai dit : « Bonjour tout le monde. Je suis une pratiquante de Falun Gong. J'ai été condamnée aux travaux forcés simplement parce que je suis allée à Pékin faire appel pour le Falun Dafa. Je voulais juste dire que le Falun Dafa est bon et je vous demande de restaurer Dafa et la réputation de Maître Li. Je n'ai rien fait de mal. Je suis une citoyenne chinoise. La Constitution me donne le droit d'adresser une pétition. Le Falun Gong n'essaye pas de nuire à l’État et a été brutalement persécuté. J'ai le droit d'exprimer mes convictions. C'est le droit le plus fondamental. »

J'ai également expliqué : « Pourquoi dis-je que le Falun Dafa est bon ? Parce que le Falun Dafa est la Loi de Bouddha. Le Falun Dafa nous enseigne à être une bonne personne, à être désintéressé, à penser d'abord aux autres, et finalement à devenir une personne qui peut vivre pour les autres. Le Falun Gong m'a appris non seulement à être une bonne personne, mais aussi à guérir mes maladies. Une fois, j'ai dépensé des dizaines de milliers de yuans dans les hôpitaux pour traiter mes nombreuses maladies. Mais mon état ne s'est pas amélioré. Après avoir pratiqué le Falun Gong pendant neuf jours, toutes mes maladies ont disparu. Dites-moi si le Falun Gong est bon ou pas ! Pourquoi ai-je écrit les lettres aux élèves de l'école ? Parce que le Falun Dafa est venu pour sauver tous les êtres. Les gens qui pensent que le Falun Dafa n'est pas bon seront en grand danger à l'avenir. Donc, nous les pratiquants de Dafa risquons nos vies et notre sécurité en essayant de dire au public la vérité sur le Falun Gong. Nous voulons que les gens sachent que le Falun Dafa est bon, afin qu'ils puissent avoir un bel avenir. »

Quelques gardiennes allaient et venaient. Je ne savais pas si elles avaient compris ce que j'avais dit, ou si elles craignaient que si elles s'opposaient à ce que j'avais dit, elles ne pourraient pas terminer leur tâche qui était de me faire admettre d'avoir mis les lettres à l'intérieur des housses.

Un chef d'équipe a demandé, « Tu as reconnu ce que tu as fait. Que feras-tu à l'avenir ? »

J'ai dit : « Je vais faire mieux à l'avenir. Et je suis vraiment désolée pour ceux qui ne comprennent pas la vérité au sujet du Falun Gong. J'ai vraiment de la peine pour les gens qui aident encore la perversité à persécuter les pratiquants de Dafa. Merci à tous. J'ai terminé. Je ne vais pas retarder le déjeuner de tout le monde. »

Dès que j'ai eu fini, tout le monde a commencé à applaudir. Ils ont tous dit : « Son discours est excellent. Nous n'avions vraiment pas réalisé qu'elle était une si bonne personne. » Au déjeuner, un prisonnier m'a dit : « Grande sœur, tu as très bien parlé. Le seul problème était que c'était trop court et nous aurions souhaité en entendre plus. »

« Les pratiquants de Falun Gong ne sont vraiment pas des gens ordinaires »

Beaucoup de prisonniers aimaient me parler. Quand ils avaient des conflits avec quelqu'un, ils venaient me parler. Certains étaient mal compris par les autres. Ils venaient me parler. Quand la famille de certains prisonniers leur envoyait de la bonne nourriture, ils voulaient la partager avec moi. Je leur ai clarifié la vérité sur le Falun Dafa et leur ai parlé de mon amélioration personnelle après avoir pratiqué le Falun Dafa. Je leur ai aussi appris à regarder à l'intérieur et à apprendre à tolérer les autres.

Une prisonnière a été envoyée au camp de travaux forcés après avoir été reconnue coupable de prostitution. Personne ne l'aimait. Elle s'est rendu compte qu'elle était impopulaire. Une fois elle est tombée malade et a dû rester au lit pendant quelques jours. Je suis allée quelques fois prendre soin d'elle. Elle en a été très touchée. Je lui ai dit de réciter « Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Elle a hoché la tête sincèrement. Quelqu'un m'a donné des bonbons. Je les lui ai donnés. Elle a pleuré : « Ma sœur, je ne sais pas comment te remercier. » J'ai dit : « Tu devrais remercier Maître Li. Il m'a appris à penser d'abord aux autres. »

Une femme âgée de soixante ans a été détenue pour avoir revendu des billets de train. Une fois, elle a glissé, est tombée à la cafétéria et s'est cassé le bras. Elle ne pouvait pas manger, ni laver ses vêtements, prendre une douche ou aller aux toilettes. Personne d'autre n'a pris soin d'elle, alors je suis allée vers elle pour lui laver ses vêtements. C'était pendant un été torride, donc je l'ai également aidée à prendre une douche tous les jours. J'ai cuit des nouilles instantanées et les lui ai données. Elle a été très touchée et a dit qu'elle devrait apprendre le Falun Gong une fois libérée parce que les pratiquants de Falun Gong étaient très gentils avec les gens. D'autres prisonnières m'ont dit : « Tu n'es pas de sa famille. Mais tu la traites si bien. Tu dois très bien traiter ta belle-mère à la maison. » Un autre a dit : « Celle qui t'a comme belle-fille doit être très heureuse. »

Enfin, les trois ans de travail forcé illégal qui m'avaient été imposés étaient sur le point de prendre fin. Pendant les quelques jours avant ma libération, presque toutes les prisonnières sont venues me dire au revoir. Elles ont dit que je devrais vraiment faire attention à ma sécurité et pratiquer le Falun Gong à la maison. Elles ont dit qu'elles me chercheraient après leur libération et m'ont laissé leurs coordonnées et numéros de téléphone. Je leur ai aussi donné mes coordonnées et mon numéro de téléphone.

Le jour où j'ai été libérée, le couloir de la prison était plein de gens. Tout le monde était là pour me dire au revoir. Le respect sincère que ces gens avaient pour Dafa après avoir appris la vérité était vraiment touchant. Voyant cela, un gardien a dit : « Les pratiquants de Falun Gong ne sont vraiment pas des gens ordinaires. »

(Dixième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais en Suisse