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Fahui de Minghui | Des gens sont venus à mon magasin pour démissionner du PCC

20 novembre 2014 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa de la province du Hubei

(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour compagnons de pratique !

J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996. J'avais 50 ans à ce moment-là et gérait une épicerie avec mon mari.

Lorsque le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Gong, j'ai réalisé que les pratiquants devraient sauvegarder le Fa. La police est venue chez moi me demandant de rendre les livres de Dafa. Je venais d'avoir une dizaine d'impressions de l'histoire « Je me lève! » (L’histoire sur comment une femme du village qui avait été paralysée pendant 16 ans en raison d'une blessure au dos s'est levée après avoir pratiqué le Falun Dafa. Cette histoire avait été publiée dans le journal China Economic Times en juillet 1998.) Je les ai apportées au poste de police et j'ai demandé à chaque policier de lire l'article.

Certaines personnes des autorités régionales sont venues dans notre faubourg quelques jours plus tard. L'instructeur politique du poste de police local les a accompagnées jusqu'à mon magasin. Ils m'ont demandé de calomnier Dafa à la télévision. Sans hésitation, je leur ai dit : « J'ai obtenu beaucoup d'avantages par la pratique du Falun Dafa. Dafa est bon. Comment pouvez-vous me demander de dire que c'est mauvais ? Je pratique Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je dois être honnête. »

Le visage de l'instructeur politique est devenu rouge : « Tais-toi ! Je vais vous arrêter si je vous vois pratiquer. » Je lui ai souri. En se rendant compte que je ne voulais pas collaborer, le personnel des autorités régionales est parti.

Un policier m'a demandé plus tard si je pratiquais encore le Falun Dafa. J'ai répondu : « Voulez-vous que je vous dise la vérité ? »

Il a dit : « Bien sûr. »

Je lui ai dit : « La vérité est que je pratique encore. » Il est parti, sans voix.

La police a exercé des pressions sur mon fils aîné qui travaillait dans les bureaux des autorités du canton local : « Tous les autres pratiquants, sauf votre mère ont déclaré qu'ils ne pratiqueraient plus le Falun Dafa. Dites-lui de le dire tout simplement — qu'elle peut encore le pratiquer chez elle, mais de cette façon elle ne t'impliquera plus avec tes frères et sœurs. »

Mon fils est venu chez moi le jour suivant. Je l'ai arrêté après quelques mots : « La cultivation est une bonne chose. Si quelque chose est bon, je vais le faire même si les autres ne le font pas ; si quelque chose est mal, je ne le ferai pas même si les autres le font. »

J'ai montré du doigt la vieille maison devant nous : « Quand une maison est pourrie, elle a besoin de réparation ; quand une personne devient mauvaise, elle a besoin de la cultivation. Les gens se dirigent vers les catastrophes, car ils deviennent mauvais. Je pratique pour être une bonne personne en respectant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Vous en bénéficiez tous. La vertu de l'ancienne génération peut être transmise à la jeune génération. Si vous me soutenez dans la cultivation, vous serez protégés. »

Mon fils a dit : « D'accord, je vais rester en dehors de cela. »

« Le Falun Dafa doit être bon »

Je parle aux gens de la vraie histoire du Falun Dafa et de la persécution du PCC à mon magasin tous les jours. Un jour, un vieil homme est venu : « Je passe par votre magasin tous les jours et je vous entends toujours parler de Dafa. Je sais que votre Fa est bon. Comme le dit un vieil adage : 'Un seul juste terrasse cent mauvais'. Puisque vous en parlez tous les jours et que vous n'avez pas rencontré d'ennui, je sais que le Falun Dafa est bon ! » Je savais que le Maître m'encourageait par ses paroles.

La veille de l'anniversaire du Maître, je suis allée dans une autre ville pour ramasser des documents pour informer les gens sur la persécution du Falun Dafa. La police est venue à mon magasin trois fois. Ils sont aussi allés à l'arrêt d'autobus local pour m'attendre. Mais, lorsque je suis descendue de l'autobus et que je marchais vers eux, ils ne m'ont pas vu. Je suis allée déposer les documents chez moi et suis allée au magasin.

La police m'a trouvé au magasin : « Êtes-vous allé célébrer l'anniversaire de votre Maître ? »

« Oh, vous vous souvenez toujours de l'anniversaire de mon Maître ? » J'ai répondu :« Merci ! »

Je suis retournée chez moi préparer les paquets de documents à livrer aux magasins locaux le soir même. J'avais planifié de les distribuer après avoir émis la pensée droite à minuit.

Peu après 22 h, certains policiers locaux sont venus chez moi. « Certains policiers du canton sont venus. Ils voulaient saccager votre maison. Nous leur avons dit d'attendre au poste de police et que nous le ferions à leur place. Nous ne voulons pas créer de problèmes. Veuillez nous donner quelque chose à leur ramener. » Je leur ai dit : « Je n'ai rien. »

Mon mari a dit : « Veuillez vous occuper de vos fonctions officielles. Laissez-moi lui parler. » Leur directeur a dit : « D'accord, nous irons chez un autre pratiquant et nous reviendrons plus tard. »

Quand ils sont revenus, mon mari leur a donné une vidéo inutile. Ils sont partis, pensant qu'ils m'avaient fait suffisamment peur.

Je suis allée comme prévu après l'émission de la pensée droite de minuit. J'ai apporté les paquets à la moitié des magasins de notre faubourg et suis allée dans les magasins restant le lendemain.

Avoir une pensée pour les autres

Un soir en 2008, sept policiers de l'équipe de la sécurité intérieure du canton du département de police, du Bureau 610 et du poste de police local sont venus saccager le domicile de plusieurs pratiquants. Ils m'ont arrêtée avec trois autres pratiquants et nous ont amenés au poste de police.

Je ne suis pas montée dans la voiture de police avec eux, mais à la place, j'ai marché jusqu'au poste de police. En chemin, je continuais de réciter le poème du Maître : « Encercler et exterminer » de Hong Yin Vol. II :

Le Ciel et la Terre s’inversent

Combien pervers sont les démons à peau humaine

Trompant le monde avec d’énormes mensonges

Les vents sinistres sont violents

Les disciples de Dafa clarifient la vérité

La puissance de la Loi dans les pensées droites

Détruit les tanières des démons

Quand je suis arrivée, j'ai érigé ma paume droite pour émettre la pensée droite afin d'éliminer la perversité. Un policier m'a demandé si je faisais les exercices. Je l'ai ignoré.

Ils ont commencé à m'interroger. J'ai suivi les enseignements du Maître en leur parlant de la vérité sur le Falun Dafa et en refusant de coopérer avec eux. Après plus d'une heure, l'agent de la sécurité intérieure est intervenu. Le directeur adjoint a dit : « Elle n'a que quatre mots : 'Je ne sais pas'. »

J'ai demandé de rentrer chez moi. Ils ont dit qu'ils allaient bientôt nous trouver une voiture. Ils nous ont mis dans la voiture et nous ont amenés au centre de détention local. Le centre de détention nous a dit de payer des frais de 100 yuan. J'ai refusé et leur ait dit que nous avions été trompés avant que l'on nous amène là.

Je faisais les exercices chaque fois que le garde sortait. Je parlais aux gens du Falun Gong chaque fois qu'une personne était ramenée à la cellule.

Quelques jours plus tard, une garde m'a appelée à son bureau. Elle m’a dit qu'elle connaissait mon fils qui travaillait aux autorités du comté. Elle m'a demandé son numéro pour qu'elle puisse lui dire comment aller à l'équipe de la sécurité intérieure pour demander ma libération. « Je sais que vous les pratiquants de Falun Dafa êtes de bonnes personnes. La police a appris que vous avez fait les exercices à l'extérieur et que vous avez parlé aux gens de Dafa. Ils veulent vous charger d'un crime. Sentez-vous quelque chose qui ne va pas dans votre corps ? Dites-moi. Je peux dire à l'équipe de la sécurité intérieure que vous êtes malade. Vous êtes en surpoids - peut-être avez-vous une pression artérielle élevée ? »

Je savais qu'elle voulait m'aider. Alors je lui ai donné le numéro de mon fils. Le lendemain, la police de l'équipe de la sécurité intérieure est venue au centre de détention, me demandant d'aller avec eux pour faire un bilan de santé. Je leur ai dit : « Je peux aller avec vous, mais je ne veux prendre aucun médicament. Je veux rentrer chez moi pour faire les exercices de Dafa – ce qui va prendre soin de ma santé ».

Mon fils et ma belle-fille ont attendu à l'extérieur du centre de détention. Nous sommes allés à l'hôpital. Après avoir pris ma tension artérielle le docteur a dit : « Elle a besoin de rester à l'hôpital. Sa pression artérielle est trop élevée ce qui pourrait lui causer un accident vasculaire cérébral à tout moment. »

Le médecin et la police ont dit à ma belle-fille de m'acheter des médicaments. J'ai jeté les médicaments dans une poubelle. « Je n'avais eu aucun problème chez moi alors que je faisais les exercices tous les jours. »

Ma belle-fille a fait écho : « Auparavant, ma mère avait l'habitude de nous demander de se procurer ses médicaments. Maintenant qu'elle pratique le Falun Dafa, elle a cessé de prendre des médicaments. Et elle va bien. » La police a dit : « Ramène ta mère chez toi. »

Je n'ai pas pensé à moi après l'arrestation. Tout ce à quoi je pensais était aux compagnons de pratique : les pratiquants dans le centre de détention avaient besoin de notre aide. Il était nécessaire pour les pratiquants de notre groupe local d'avoir accès au site Minghui pour obtenir des documents sur le Falun Dafa. J'étais la personne de contact, donc mon arrestation les aurait isolés... Probablement que le Maître a vu mes pensées pour les autres et m'a aidé à rentrer chez moi.

Chez moi, j'ai cherché à l'intérieur. J'ai trouvé que j'avais trop d'autosatisfaction quand je faisais bien. Je m'étais relâché dans mon étude du Fa. Je ne le disais pas aux autres pratiquants quand je voyais que leur compréhension n'était pas fondée sur le Fa. J'avais également l'attachement à l'égoïsme et à la jalousie. Après m'être calmée et concentrée sur l'étude du Fa, j'ai été en mesure de m'élever.

Les gens viennent à mon magasin pour démissionner du PCC

Beaucoup de gens des villages environnants savent que je pratique le Falun Dafa. Certains viennent même à mon magasin pour me demander de les aider pour mettre en ligne leur démission du PCC et de ses organisations affiliées. Ils me font confiance.

Je donne aussi aux gens des DVD de Shen Yun Performing Arts. Un homme âgé dans la cinquantaine est venu à mon magasin après avoir regardé le DVD et a dit : « Les paroles de Shen Yun sont vraiment touchantes. Je me sens mal à l'aise de prendre un si bon DVD gratuitement. »

Un représentant du Parti de niveau intermédiaire qui vit dans un canton voisin a démissionné du PCC. Il vient à mon magasin chaque année pour ramasser des documents sur la vérité et plusieurs copies du dernier DVD de Shen Yun. Il les prend pour ses parents et amis. « Cette représentation est vraiment bonne. Votre Maître peut former un tel groupe d'artistes excellents — il n'est pas une personne ordinaire. »

(Onzième conférence de partage d'expérience par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa en Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada