(Minghui.org) À la mi-octobre 2014, trois pratiquants de Falun Gong âgés sont sortis pour clarifier les faits sur le Falun Gong en collant des affiches, distribuant des CD et exhortant les gens à quitter le Parti communiste chinois (PCC) et ses organisations affiliées.
Il est possible qu'ils aient été dénoncés aux autorités par quelqu'un qui ne connaissait pas les faits sur le Falun Gong, parce qu'une voiture de police s’est arrêtée devant eux et les policiers sont sortis pour les arrêter. Ils ont résisté à l’arrestation et ont continué à clarifier les faits sur le Falun Gong aux passants et aux policiers. Ils ont exhorté les policiers à arrêter de persécuter de bonnes personnes et les laisser rentrer chez eux. Ils ont été poussés dans la voiture de police.
Au poste de police, les policiers les ont fouillés, les ont pris en photo et ont fait des déclarations écrites. Plusieurs policiers sont entrés, l’un après l'autre, dans la salle d'interrogatoire ; certains d'entre eux ont insulté le Falun Gong. Plusieurs résidents des communautés voisines ont été appelés pour identifier les pratiquants.
Les pratiquants ont refusé de répondre aux questions et ont patiemment continué à clarifier les faits. Ils ont mentionné les crimes commis par Zhou Yongkang et son arrestation. Pour montrer que d'être associé au PCC pourrait être désastreux, ils ont rappelé aux policiers des soldats qui avaient tué d'innocents étudiants pendant le massacre de la place Tiananmen et comment ils avaient été exécutés quand ils n’étaient plus d'aucune utilité pour le PCC. Ils ont demandé aux policiers d’arrêter de faire ce qu'ils faisaient et de se procurer un moyen d’en sortir lorsque le PCC n’aura plus besoin d'eux. Les trois pratiquants se sont relayés pour émettre la pensée droite et clarifier les faits.
Les policiers ont commencé à se décourager. L'un d'eux les a pris en photo à plusieurs reprises, mais aucune d'entre elles n’a été réussie. Il a trouvé cela très étrange et a dit : « Je n’ai jamais eu de problèmes avant de prendre des photos. »
À midi, les pratiquants se sont assis dans la position du lotus et ont émis la pensée droite. Un policier a dit : « Vous êtes bons tous les trois – vous ressemblez à des immortels. »
Dans l'après-midi, on leur a dit : « Il serait mieux de nous donner vos noms, sinon vous ne serez pas autorisés à rentrer chez vous. » À 16 h, un policier a dit : « Vous pouvez partir maintenant et ne revenez pas pour afficher des choses sur le Falun Gong. »
Quand ils partaient, les pratiquants ont montré du doigt les documents de clarifications que les policiers avaient confisqués et ont dit : « Gardez-les bien. Ils sont très bienfaisants pour vous. Ne les détruisez pas. »
Les trois pratiquants sont rentrés chez eux en toute sécurité.
Très probablement, la personne qui les a libérés était le chef du poste de police. C’est déjà la troisième fois qu'il libère des pratiquants. Nous lui souhaitons un avenir radieux grâce à sa bonne attitude envers les pratiquants.
Traduit de l’anglais en Suisse