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Fahui de Minghui | Mon épouse et mon fils sont aussi des êtres

27 novembre 2014 |   Écrit par un disciple de Dafa de Mongolie intérieure

(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître ! Bonjour compagnons de pratique !

Le Falun Dafa a sauvé ma famille autrefois dévastée et l'a rendue joyeuse et harmonieuse.

Les jours anciens

Nous vivons dans une petite commune de Mongolie intérieure. J'ai un bon emploi qui me rapporte un revenu acceptable. Cependant, ma personnalité et celle de mon épouse sont complètement opposées. Nous nous disputions très souvent.

Mon épouse était dure et bornée. Je n'étais pas très généreux non plus. Nous brisions souvent des assiettes et des bols lorsque nous nous disputions. Je me sentais déprimé pendant quelques jours après chaque dispute. Je bouillonnais de rage, assis sur le lit. Nos disputes sont devenues de plus en plus intenses.

En grandissant, mon fils a commencé à manquer l'école. Il était aussi très dépendant des jeux informatiques. Il y jouait régulièrement pendant des jours dans les cybercafés et ne rentrait pas à la maison. Mon épouse le cherchait après le travail dans tous les cybercafés de la ville.

Lorsqu'elle trouvait notre fils, elle le grondait. Si elle n'arrivait pas à le trouver, elle rentrait à la maison et me faisait passer un mauvais quart d'heure. Parfois, elle s'asseyait simplement sur le bord de la route et pleurait. Nous nous sommes battus de nombreuses fois au sujet de notre fils. Ses paroles dures ont laissé des cicatrices dans mon cœur.

Comme si cela n'était pas suffisant, nous avons découvert que notre fils volait de l'argent à la maison. Après lui avoir donné une bonne fessée, nous avons appris que ce n'était pas la première fois. Lors d'occasions passées, il avait volé de petites sommes ainsi que des plus grandes. Je me suis laissé tomber sur le divan et j'ai pleuré : N'ai-je pas élevé un voleur ?

J'avais l'impression que la vie était misérable et je me suis demandé : pourquoi la vie est-elle si remplie de souffrances ? À quoi bon vivre avec une épouse aussi déplaisante et un fils voleur ?

Après nous être disputés, mon épouse et moi criions généralement en même temps : « Le divorce ! Absolument ! » Mais à chaque fois, nous étions convaincus par nos proches et amis : « Pourquoi voulez-vous mettre fin à votre mariage ? Votre fils est maintenant assez grand. Voulez-vous trouver un nouveau partenaire après avoir divorcé ? Chaque famille avance ainsi. Endurez simplement et les choses s'amélioreront lorsque vous serez plus âgés. »

Nous n'avons pas divorcé, mais j'avais préparé mes propres projets : j'ai commencé à épargner mon propre argent. Je pensais : « Je ne peux pas être sans le sou après le divorce. Je dois garder de l'argent. Lorsque j'aurai assez d'argent, je la quitterai. »

Mon épouse a deviné mes projets et a commencé à se préparer elle-même : elle a caché notre livret de banque et a éloigné tous les biens de valeurs dans la maison.

Notre niveau de vie a rapidement décliné. Nous nous attendions chacun à ce que l'autre fasse les tâches ménagères : personne ne cuisinait. Nous mangions tous deux les restes amèrement. J'ai développé divers problèmes de santé comme des difficultés à respirer, des maux de tête et des douleurs d'estomac. Je n'avais même pas encore trente ans.

Je pesais moins de 50 kilos. Je ne pouvais pas mourir, mais je n'arrivais pas à vivre non plus. Je ne savais pas comment mener ma vie.

Le Maître m'a mis sur le bon chemin

J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa l'été 1996. J'étais si heureux ! Même lorsque je roulais en vélo ou marchais dans la rue, j'avais envie de crier : « Maintenant, j'ai de l'espoir ! » J'ai étudié le Fa et pratiqué les exercices. Ma vie était joyeuse et remplie de sens.

En étudiant le Fa, j'ai appris comment améliorer mon tempérament et j'ai commencé à changer pour le mieux. Mon épouse me critiquait toujours et me faisait vivre des moments difficiles, mais je faisais de mon mieux pour la rendre heureuse.

Pendant un certain temps, chaque fois que je rentrais à la maison après le travail, elle recommençait : « Nous travaillons tous les deux et nous sommes tous les deux fatigués. Pourquoi devrais-je cuisiner ? » Je répondais : « Oui, repose-toi maintenant. Je vais faire à manger. » Ensuite, elle m'accusait après que j'avais fini de cuisiner : « Regarde comme tu as sali la cuisine ! Es-tu un porc ? »

Je me suis éveillé au fait que ce n'était pas parce que je n'avais pas bien cuisiné. C'était parce que je ne pouvais pas accepter la critique. J'étais une personne avec un fort esprit de compétition avant de commencer la cultivation. Aussi longtemps que j'avais un certain attachement, elle cherchait à le provoquer. N'est-ce pas bon pour ma cultivation ?

Cependant, j'endurais dans la souffrance. Je ne pouvais pas atteindre le niveau plus élevé de tolérance requis par le Fa. Les tribulations de ma famille ne cessaient pas.

Un jour, j'avais acheté du porc braisé dans la sauce soja, un plat que j'apprécie beaucoup. À l'heure du dîner, cependant, je ne le trouvais nulle part. J'ai demandé : « Où est mon porc ? » Mon épouse a répondu : « Du porc ? Tu ne veux rien d'autre ? » J'ai fini par trouver le porc à la poubelle.

J'ai protesté : « C'était cher. Comment as-tu pu le jeter simplement comme ça ? »

« Quelle sorte de personne distinguée mange cela ! Tu n'es qu'un villageois ! » a rétorqué mon épouse.

Je savais qu'elle ne le pensait pas, elle voulait simplement me faire passer un mauvais moment. J'ai pensé : « Je dois bien passer cette épreuve. » J'ai souri. Lorsque les tribulations arrivent, elles viennent souvent comme un glissement de terrain. Les premières secondes sont les plus difficiles, vraiment insupportables, ensuite la tribulation ne semble plus m'affecter autant.

Au début, j'étais assez attaché aux mets raffinés, une chose au sujet de laquelle mon épouse me faisait souvent passer un mauvais moment. Elle cuisinait des plats très simples et me donnait souvent les restes.

Je plaisantais à moitié : « Tu me traites comme un âne. Tant qu'il y a de l'herbe, l'âne ne meurt pas. »

Elle a répondu : « Et tu te considères toujours comme un pratiquant ? »

J'ai compris que tout ce dont j'avais besoin était suffisamment de nourriture pour pouvoir poursuivre ma cultivation. Je me rappelais à chaque repas : prends juste assez pour remplir mon estomac.

Ayant grandi dans une famille pauvre, j'attendais toujours et adorais les festivités du Nouvel An chinois. Les célébrations et la bonne chère m'enthousiasmaient. Pourtant, mon épouse faisait tourner chaque Nouvel An à l'aigre.

Mon père s'est joint à nous une fois pour le Nouvel An chinois. J'étais tellement content : j'ai lavé le sol, fait la vaisselle et aidé à préparer les légumes… J'ai dit à mon épouse : « Ne nous disputons pas cette fois. Je veux que mon père passe un bon Nouvel An chinois ! »

Elle a dit : « C'est toi qui a causé des problèmes chaque année ! »

J'ai répondu contre ma volonté : « Tu as raison. »

Mais très rapidement, elle s'est mis en colère. Elle a jeté des plats et a refusé de préparer le dîner de Nouvel An. Elle s'est assise sur le lit et a commencé à regarder la télévision.

Mon père était en larmes : « Est-ce parce que je suis ici cette année qu'elle n'est pas contente ? »

J'ai répondu : « Non, non, ce n'est pas cela. Son caractère est comme ça. »

J'ai pensé : « Si je n'avais pas pratiqué le Falun Dafa, tout aurait pu arriver en conséquence de cela. » Je savais que cela se produisait en conséquence de mon attachement à célébrer le Nouvel An. C'était difficile à abandonner ! J'ai fini par abandonner cet attachement après de nombreuses années.

À la maison, je rencontrais souvent la situation suivante : j'avais la paix à la maison si je n'étudias pas le Fa ou ne pratiquais pas les exercices. Cependant, dès que je commençais à étudier ou à pratiquer, mon épouse arrivait et m'ordonnait de faire ceci ou cela. Elle n'arrêtait pas tant que je ne perdais pas patience.

Par exemple, je brûlais de l'encens pour le Maître ; elle disait que je noircissais la maison. Je m'inclinais devant la photo du Maître ; elle murmurait « superstition ». Elle m'a même botté les fesses plusieurs fois alors que je m'inclinais.

Je plaçais des fruit en signe de respect devant la photo du Maître ; elle en attrapait immédiatement un et le mordait : « Qui a vu le Bouddha ? Les fruits doivent être mangés par les gens ! »

Je lui racontais des histoires de cultivation et de réincarnation ; elle me regardait fixement : « Arrête ! Tais-toi. Même si les autres peuvent réussir leur cultivation, tu ne le pourras pas ! »

« Pourquoi ? » ai-je demandé.

« En raison de ta forte nature de démon. Ton état est instable. »

« Mais c'est passé, non ? »

« Tu ne t'es pas beaucoup amélioré. »

J'ai réalisé que le Maître utilisait sa bouche pour me donner des indices : je devais faire de mon mieux pour m'élever et abandonner l'esprit humain.

Mon fils n'était pas plus facile que mon épouse. Il était adolescent à l'époque, mais il avait une petite amie après l'autre. Il rentrait à la maison souvent après minuit et dormait jusqu'à passé 11 h du matin. Il se levait, mangeait un peu et repartait ensuite au cybercafé. Il détournait la tête chaque fois qu'il me voyait. Il ne me saluait même pas. Il était rare que nous soyons tous les trois présents lors des dîners en famille.

Une nuit, il bruinait et notre fils était toujours dehors après 21 h. Mon épouse était de nouveau frustrée : « Pourquoi lis-tu simplement ton livre ? Tu ne sors même pas chercher notre fils. » J'ai répondu : « Si je le trouve, et alors ? Il va très vite encore repartir. »

« Te comportes-tu comme un père ? Qu'as-tu fait pour ton fils ? De quoi t'es-tu occupé dans la maison ? »

J'ai pensé : « Suis-je égoïste ? Je dois m'élever. »

Je n'ai pas répondu à mon épouse. J'ai quitté la maison pour aller chercher mon fils.

Il n'y avait presque personne dans la rue faiblement éclairée. J'ai traversé la rue et entendu un bruit derrière moi. Avant que je puisse me retourner pour voir ce qui se passait, j'ai été projeté dans les airs.

J'ai réalisé : « Je viens d'être percuté par une voiture. »

J'ai ensuite pensé : « Je vais bien. Tout va bien aller ! »

Une douleur aiguë dans la jambe est arrivée jusqu'à mon cerveau. J'avais l'impression d'avoir des os brisés et que je saignais. J'ai renforcé mes pensées positives : « Je vais bien m'en sortir ! » Je me suis levé, je n'ai pas regardé mes jambes mais j'ai simplement marché vers la moto qui se trouvait environ 10 mètres plus loin.

Le conducteur était accroupi et se tenait la tête. Je lui ai demandé : « Vous allez bien ? »

Il a dit : « J'ai une très grosse migraine. » (Il faisait visiblement semblant, en espérant ne pas être tenu responsable.

Je lui ai dit : « Vous pouvez partir, je suis un pratiquant de Falun Dafa. »

Il s'est immédiatement levé : « Allez-vous vraiment bien ? »

« Bien sûr ! Si je ne pratiquais pas le Falun Dafa, je serais couché par terre là-bas et je refuserais de me lever. Je resterais dans un hôpital et refuserais de partir. Rappelez-vous, Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Le conducteur a dit : « Oui, oui. J'ai rencontré une bonne personne aujourd'hui. »

Avant que nous nous disions au revoir, il s'est agenouillé et a dit : « Laissez-moi m'incliner devant vous. »

Je l'ai arrêté : « Inutile de vous incliner devant moi. Dites simplement à votre famille et à vos amis de se souvenir que Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Il a répondu avec reconnaissance : « Oui, je m'en souviendrai. » Il a ensuite crié : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! »

J'ai regardé ma jambe gauche et j'ai vu qu'elle était noire et bleue. Mon pantalon et mon haut étaient également déchirés. Mon fils m'a vu et ne s'est pas montré compréhensif : « Qui t'a dit de sortir me chercher ? Tu penses que je ne savais pas comment rentrer tout seul à la maison ? »

Mon épouse regardait la télévision. Elle m'a également blâmé : « Comment, tu as été renversé par une voiture ? Tu n'es compétent en rien ! »

Je savais ce qui s'était passé. Je me suis immédiatement assis pour méditer. J'ai joint les paumes de mes mains et remercié le Maître de m'avoir sauvé la vie. J'étais immergé de reconnaissance et de joie.

Aider mon épouse et mon fils à penser positivement à Dafa

Mon épouse m'a mis en garde après que la persécution a commencé en juillet 1999 : « Reste simplement à la maison pour pratiquer ! Ne me cause pas de problèmes. » Elle mettait tous les pratiquants à la porte si elle en trouvait à la maison.

Un jour, elle a appris que je clarifiais la vérité à d'autres personnes. Elle s'est mise en colère. Elle a jeté mes livres de Dafa et mes cassettes d'exercices par terre. Je me suis aussi mis en colère : « Ne sais-tu pas que Dafa est bon ? Même si d'autres ne le savent pas, tu devrais le savoir ! Si tu veux divorcer, allons-y ! Si tu veux que j'arrête de pratiquer, ce n'est pas possible ! »

Mes paroles décidées l'ont secouée. Elle est restée sans rien dire, juste en me regardant. Elle ne s'est plus jamais occupée de ma cultivation et pratique après cela et n'a plus jamais renvoyé de pratiquants lorsqu'ils venaient rendre visite.

Il est très facile pour les forces anciennes de causer du tort aux gens à travers leurs familles. Nous recevrions de gros coups et subirions de grosses défaites si nous n'agissions pas avec la puissance du Fa et les pensées droites et les actions droites.

Même au cours des moments les plus difficiles, je croyais fermement : c'est moi qui te change, pas toi qui me changes. Je tiens le premier rôle dans ma famille. Mon épouse peut prendre des décisions concernant l'argent. Elle peut être responsable de tout le reste, mais je guide la famille pour qu'elle s'aligne avec le Fa.

Je ne permettrais pas aux forces anciennes de contrôler les membres de ma famille et de me placer dans une situation d'impuissance. Le Maître ne nous a pas demandé de cultiver comme cela. Les disciples de Dafa sont de bonnes personnes et sont tolérantes. Mais les bonnes personnes ne devraient pas être malmenées, elles doivent vivre dans la dignité.

Chaque fois que j'émettais la pensée droite, je pensais : « Nier complètement les arrangements des forces anciennes ! Éliminer toutes les substances déformées dans les dimensions de mon épouse et de mon fils. Dissoudre les facteurs pervers qui les contrôlent. Leurs vies sont venues pour le Fa. Ils devraient avoir un bon avenir. Les membres de ma famille sont prédestinés pour être avec moi. Je réussirai à les changer et les sauver. »

Je maintenais mon xinxing en même temps et ne prétextais aucune excuse pour ne pas m'élever. Le Fa est un bon guide.

Je me suis rappelé du Fa du Maître dans « Enseignement de Fa à la Conférence de Fa de Midwest des États-Unis » :

« Nous devons tous préserver notre xinxing. Les autres personnes peuvent mal faire, mais pas nous. Si nous pouvons préserver notre xinxing, ces choses vont passer au bout d'un temps, elles ne dureront pas longtemps, à la fin, il changera certainement en raison de notre percée dans les niveaux de xiulian, ce sera sûr et certain ! »

Je pensais que la situation de ma famille allait certainement changer. Je pensais même qu'ils pourraient obtenir le Fa à l'avenir.

Mais durant ces années, je m'inquiétais de trouver comment aider mon épouse et mon fils à voir à travers les mensonges du Parti communiste chinois (PCC) et voir Dafa d'un point de vue positif. Quoi que je leur dise, ils me répondaient juste avec la propagande du PCC.

Je pensais : « Si je ne peux même pas sauver les membres de ma propre famille, comment puis-je sauver les autres ? Comment puis-je valider la beauté et la puissance de Dafa ? »

Le Maître nous a enseigné dans Points essentiels pour un avancement diligent :

« Cultiver l'intérieur pacifie l'extérieur »

Je pensais que mon champ, mon attitude et mon caractère droits influencent et guident tout autour de moi. Le point essentiel est : je devrais comprendre le Fa à un niveau rationnel et m'élever sur la base du Fa. Plus je comprenais, plus j'abandonnais d'attachements et plus rapidement je m'élevais.

Nous sommes attachés à nos familles par des liens émotionnels qui sont tirés ici et là. Les émotions suffisent à rendre folle une personne ordinaire. Un pratiquant sans fortes pensées droites pourrait même s'épuiser et rencontrer des difficultés pour avancer dans sa cultivation.

J'étais fortement attaché aux émotions avant de commencer à cultiver et pratiquer. Plus tard, j'ai aussi été profondément blessé. Pendant un long moment, je me plaignais : j'ai été si bon envers mon épouse et mon fils. Pourtant, pourquoi me traitent-ils encore si mal ? J'ai tant donné pour la famille, mais ils me rendent toujours les choses si difficiles. Je ressentais de l'injustice.

Le Maître a enseigné dans « Enseignement du Fa à la Conférence de Fa de Houston » :

« Que vous veniez dans un foyer ou dans le monde, c'est comme un séjour à l'hôtel : vous y passez une nuit, puis vous vous dépêcher d'en repartir. Qui reconnaît qui dans la vie prochaine ? Parmi ceux qui se trouvent autour de vous se trouvent les maris que vous avez aimés affectueusement dans vos vies précédentes et d'autres membres de la famille. Les reconnaissez-vous ? Vous reconnaissent-ils ? »

J'ai lu le paragraphe ci-dessus de très nombreuses fois. Je pensais que c'était un secret céleste. Je me suis éveillé que même si cela ressemblait à de l'amour, de la haine, des émotions et de la revanche, les êtres sont venus simplement pour rembourser des dettes karmiques. S'ils ne pouvaient pas sortir des Trois Mondes, il n'y aurait qu'une issue : la réincarnation jusqu'à la destruction.

Le monde humain n'est rien d'autre qu'une plate-forme pour rembourser ses dettes karmiques. Si le Maître n'avait pas révélé ce secret céleste, si je n'avais pas rencontré Dafa, comment aurais-je pu survivre ? Je me suis détendu après m'être éveillé à ce qui précède. C'est devenu plus facile de gérer les problèmes et les relations familiales.

J'ai compris que moins j'étais attaché à mon fils, plus des changements se produisaient en lui. Je ne devrais pas me concentrer sur ses points faibles, mais au contraire sur ses points forts. C'était aussi un être. Qui sera-t-il dans la vie suivante ? Qui était-il dans sa vie précédente ? Je ne peux pas prendre de décisions pour lui, mais je peux lui apporter une influence positive. Seul le Bouddha peut l'aider à la fin.

Je suis devenu plus bienveillant envers mon fils après avoir élevé ma compréhension. J'étais plus prévenant envers lui. Par exemple, je lavais son linge pour lui. Je lui rappelais de se couvrir quand il faisait froid.

Un jour, il a été mécontent en nous voyant manger du congee (porridge de riz), car il préférait le riz. Mon épouse lui a dit : « Maman va te cuire du riz. »

Cela m'a tout d'abord énervé : « Les enfants devraient être obéissants – cela a toujours été le cas dans notre famille. Comment cette règle peut-elle être inversée ? »

Mon épouse a pris le parti de mon fils : « Et tu te considères comme un pratiquant ? Il est rare que notre fils mange à la maison. Qu'est-ce que cela peut te faire ? Tu as déjà mangé. »

J'ai insisté : « Nous ne pouvons pas permettre à notre fils de se comporter comme cela. Qui est le père ici ? »

Mon fils a vu que mon épouse et moi étions prêts à nous disputer. Il a alors commencé à partir de la maison. Après que notre fils a quitté la maison, elle a déversé toute sa colère sur moi. Elle a jeté les baguettes sur la table – le repas était fini.

Avais-je eu tort ? En quoi avais-je tort ? Je me suis inspecté pour voir si j'avais une insuffisance et j'ai réalisé : j'avais tort.

Le Maître nous a enseigné dans le Zhuan Falun :

« Vous avez toujours de la compassion et vous agissez avec bienveillance envers autrui; quoi que vous fassiez, vous vous préoccupez des autres et chaque fois que vous avez un problème, vous vous demandez si les autres peuvent le supporter et si cela peut leur causer du tort; alors dans ce cas, il n’y aura aucun problème. »

J'ai compris que je ne devrais pas avoir de conceptions aussi rigides. Ce n'était qu'un repas. Si je me changeais, je serais en harmonie avec mon fils. N'était-ce pas le cas ?

Le jour où nous avons de nouveau mangé du congee, j'ai dit à mon fils : « Je vais te faire frire du riz. Attends un moment. » Mon fils a d'abord accepté mon offre et s'est assis en attendant que je lui prépare à manger.

Après que j'ai cuisiné quelques plats pour lui, il a changé : « Papa, ne te dérange pas. Je vais manger ce que vous mangez. »

J'ai souri : « Tu es sûr ? Ne laissons pas notre cher fils mourir de faim. »

Mon épouse a commenté : « Ça, c'est un pratiquant. »

J'apportais souvent un air de printemps à ma famille : je chantais des airs composés par des disciples de Dafa, je leur parlais davantage du Falun Dafa et je leur racontais des histoires de réincarnation.

Ils ont arrêté de s'opposer à moi et de se moquer de moi pour m'écouter respectueusement. Ensuite, ils ont commencé à se joindre aux discussions et à présenter leurs pensées. Je savais qu'ils changeaient. Le plus important est que j'ai changé. J'étais de plus en plus proche des critères divins.

Le changement le plus visible chez mon fils était qu'il pouvait discuter de ses problèmes avec moi. Un jour, sa petite amie l'a quitté. Il refusait de manger et de boire, mais restait simplement au lit et il a même pleuré. Mon épouse était très inquiète. Elle m'a demandé : « Que pouvons-nous y faire ? »

En voyant la souffrance de mon fils, je lui ai dit : « Mon fils, tu as été si bon avec elle et elle t'a laissé tomber. Qu'est-ce que cela nous montre ? Nous ne pouvons pas nous reposer sur les émotions. » Je lui ai parlé du Fa du Maître et comment être un être humain et comment bien gérer de tels problèmes. Il s'est senti beaucoup mieux, est sorti du lit et a mangé son repas.

Cela m'a pris beaucoup de temps pour trouver une façon efficace d'éduquer mon fils. Si j'étais dur, il était encore plus dur. S j'étais en colère, il était encore plus en colère.

Le Maître nous a enseigné dans le Zhuan Falun :

« Certains s’énervent aussi quand ils éduquent leurs enfants, ils crient et font toute une scène. Mais ce n’est pas la peine d’être comme ça quand vous élevez votre enfant, vous ne devriez vraiment pas vous fâcher ; vous devez éduquer les enfants avec la raison, c’est seulement ainsi que vous pourrez vraiment bien les éduquer. Vous ne pouvez même pas surmonter ces petites choses, vous vous énervez et vous voudriez encore que votre gong augmente ? »

Le Maître nous a enseigné comment éduquer nos enfants avec la raison. Qu'est-ce que la raison ? J'ai compris que je n'insistais pas sur combien j'avais bien éduqué mon fils, mais comment était mon fils maintenant.

Le processus d'éduquer mon fils demandait de la raison et de la sagesse. J'aurais dû me placer plus haut en éduquant mon fils. Je devrais avoir un état d'esprit paisible. Je devrais discuter les choses avec lui dans le respect. Je devrais me mettre à sa place. De cette façon, mes paroles porteraient la puissance de la bienveillance. Je ne l'ennuierais pas car il sentirait ma bonté.

Une fois, mon fils n'est pas rentré à la maison pendant deux jours. Il ne répondait pas aux appels de mon épouse non plus. Mon épouse a commencé à m'insulter. Je lui ai dit : « Ne sois pas fâchée. Laisse-moi te montrer. »

J'ai eu une forte pensée : « Tous les facteurs pervers qui contrôlent ceci seront désintégrés ! Mon fils est un être bon ! Il doit répondre à mon appel et rentrer immédiatement. Je le guiderai. Il ne devrait pas m'affecter. »

Mon fils a répondu à mon appel. J'ai demandé : « Mon fils, tu n'es pas rentré à la maison depuis deux jours. Veux-tu que je t'envoie de la nourriture ? » Mon fils a immédiatement répondu : « Non, non. »

J'ai poursuivi : « Tu manques à ton père. Rentre à la maison et prends un bon repas, ensuite tu pourras continuer tes jeux. Ça marche ? »

« Je veux jouer encore un peu. »

« Devrais-je appeler un taxi pour toi ? Tu devrais penser à ce que tes parents ressentent. »

« Oui, oui. »

Après qu'il est rentré, je lui ai demandé : « Si ton futur fils agit de cette façon avec toi – rester dans les cybercafés toute la journée – comment te sentiras-tu ? Ce n'est pas la bonne façon pour une jeune personne de mener sa vie, n'est-ce pas ? »

Mon fils a répondu : « C'est vrai. »

Un ami a entendu par hasard notre conversation et a été surpris : « Comment se fait-il que tu sois si poli envers ton fils ? Si j'étais toi, je l'aurais giflé il y a déjà longtemps. »

J'ai répondu : « Mon Maître nous a enseigné à être bon envers chaque personne, y compris nos enfants. »

Tous les êtres sont égaux, mon fils ne fait pas exception. Indépendamment de la personne, les lois de l'Univers évaluent chacun de la même façon. Un jour, j'avais sermonné mon fils pendant un long moment et il n'était pas rentré à la maison pendant une journée entière.

Je l'ai appelé et lui ai demandé : « Mon fils, pourquoi est-ce que je continue à faire toujours la même erreur ? »

Il a dit : « Quoi ? »

« Pourquoi est-ce que je rends toujours mon fils fou ? »

Il a ri et a dit : « Tu me désapprouves depuis plusieurs jours. Puis tu as dit que j'avais tort. »

« Ton père a eu tort. Il n'a pas bien cultivé. »

Après qu'il est rentré à la maison, je lui ai parlé calmement : « Mon fils, pensais-tu que je m'excusais auprès de toi au téléphone ? Mon Maître a dit :

« Si un fils manque de respect à ses parents, ils échangeront leur place la prochaine fois, c’est ainsi que les rôles s’inversent sans cesse. » (Zhuan Falun)

Tes enfants te traiteront de la même façon que tu me traites. On récolte ce qu'on sème. C'est un principe céleste. Comprends-tu ? »

Il m'a regardé et n'a rien dit. Mais je sais que mes paroles avaient eu un impact sur lui.

Pendant de nombreuses années, mon épouse avait essayé de m'empêcher de clarifier la vérité. Elle essayait à la fois le bâton et la carotte. « C'est effrayant de vivre avec toi. Dois-tu parler aux gens du Falun Gong ? Si la police découvre cela, notre famille ne sera-t-elle pas détruite ? »

J'ai répondu : « Je sais que cela comporte des risques. Mais il y aura une élimination dans le futur. Comment puis-je ne pas aider les autres ? Prenons par exemple les amis de ton cercle, n'est-ce pas simplement trop triste s'ils sont victimes lorsqu'arrivera le désastre ? Seule la vérité peut les sauver. »

Elle savait qu'elle ne pouvait pas m'arrêter. Elle a alors dit : « Alors à partir de maintenant, je vais t'aider. Voyons voir qui osera t'arrêter ? » Elle a commencé à m'aider à distribuer des documents. Elle a aussi aidé à convaincre des gens de démissionner du PCC en disant : « Démissionnez ! Démissionnez ! Le PCC n'est pas bon du tout... »

Le Maître nous a enseigné :

« Il ne faut pas regarder le mauvais côté chez les autres, il faut toujours voir le bon côté chez les autres. » (« Enseignement de la Loi au moment de la Fête de la lanterne de l’an 2003 »)

Je me suis concentré sur le côté positif de mon épouse et de mon fils et je n'ai pas discuté des principes humains avec eux. Après tout, il n'y a pas grand-chose à discuter au sujet des tâches ménagères et je me suis retenu de les critiquer.

J'ai découvert que lorsque mes pensées droites sont fortes, je pouvais vraiment changer mon environnement. Lorsque je souriais, l'environnement était rempli de lumière du soleil. Lorsque je n'étais pas heureux, mon environnement était nuageux. Si mon champ était droit, tout changeait. Notre existence est l'espoir des êtres d'obtenir le salut.

Pendant un certain temps, je chantais « Pourquoi la vie humaine » de Hong Yin III en cuisinant :

« Une centaine d’années de vie humaine, pour qui si affairés

Renom, gain et sentiments pour les proches déchirent les entrailles

Lorsque la musique s’arrête et que la pièce est finie, qui suis-je

Le Ciel se tait, tous deux confus et perplexes

Dafa se transmet largement autour de vous

Apprendre la vérité pour guider le cap qui a été perdu

Réveillant les êtres pour qu’ils puissent discerner la bonté et la méchanceté

Retrouver le vrai moi et retourner au paradis »

Mon épouse a dit : « Les paroles sont si bien écrites. Je te prie de m'en donner une copie. Je veux chanter cela aussi. » J'ai copié les paroles et les ai collées sur le mur de notre cuisine. Elle les a mémorisées.

Un jour en faisant les courses, elle a dit à la vendeuse : « Laissez-moi vous offrir un poème » :

« Une centaine d’années de vie humaine, pour qui si affairés

Renom, gain et sentiments pour les proches déchirent les entrailles

Lorsque la musique s’arrête et que la pièce est finie, qui suis-je

Le Ciel se tait, tous deux confus et perplexes »

La femme était très surprise : « Avez-vous écrit cela ? »

J'ai répondu : « Ce sont des paroles de Dafa ? Ne sont-elles pas belles ? »

« Si, très belles », a répondu la femme.

« Alors, veuillez vous souvenir que Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », ai-je dit.

« Je m'en souviendrai », a répondu la femme.

Mon épouse a continué de réciter le poème du Maître :

« Dafa se transmet largement autour de vous

Apprendre la vérité pour guider le cap qui a été perdu

Réveillant les êtres pour qu’ils puissent discerner la bonté et la méchanceté

Retrouver le vrai moi et retourner au paradis »

La femme a dit : « Vous êtes un couple si heureux ! » Nous l'avons aidée à démissionner des organisations du PCC. Nous sommes ensuite rentrés à la maison après avoir fait les courses.

Avant chaque voyage d'affaires, mon épouse brûlait de l'encens pour le Maître et murmurait pour elle-même. J'ai demandé : « Que dis-tu ? » Elle a répondu : « Je demande à Maître Li de me bénir pour que je puisse voyager saine et sauve et pour recevoir plus d'argent pour notre famille. »

J'ai dit : « Le Bouddha ne s'occupe pas de la richesse des gens. »

Elle a dit : « Les bouddhas sont responsables de tout. Regarde-toi. Qui aurait pu s'occuper de toi ? Seul Maître Li le peut. »

J'ai demandé : « Que penses-tu ? Vais-je réussir ma cultivation ? »

« Bien sûr que oui ! » Ensuite, elle est devenue un peu triste : « Donc, si tu réussis ta cultivation, que vais-je faire ? »

« Tu peux cultiver aussi ! » l'ai-je encouragée. « Les gens viennent tous dans ce monde pour la cultivation. C'est un secret céleste. »

Elle a paru un peu inquiète : « Mais je ne sais pas croiser les jambes. »

J'ai dit : « Ce n'est pas un problème. Étudie le Fa et maintiens ton xinxing. C'est plus important. »

J'ai aussi dit à mon fils : « Tu devrais dire à tous tes amis : 'Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.' S'ils croient cela, ils seront sauvés. »

Mon fils a acquiescé.

J'ai offert : « Si tu ne peux pas l'expliquer clairement, amène-les à la maison et je leur expliquerai. »

Après cela, j'ai un jour appelé mon fils pour lui demander de rentrer à la maison. Il a dit : « Je ne rentre pas maintenant. » Je lui ai demandé ce qu'il faisait. Il a répondu : « Je suis avec des amis et je leur explique que 'tel et tel' est bon et 'tel et tel' est bon. » Je savais qu'il faisait référence aux paroles que je lui avais transmises : « Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Je savais que quelle que soit la manière dont il a expliqué la vérité, ce qui se passait dans les autres dimensions devait être émouvant.

Post scriptum

Ma famille a connu des changements drastiques avant et après que j'ai commencé la cultivation. Sans le Maître, je n'aurais jamais pu apporter l'harmonie et la joie dans ma famille.

Chacun de mes pas et chacune de mes améliorations sont dus à la bonté et au sacrifice du Maître. Chaque nouvelle compréhension provient de l'aide du Maître. Il n'y a pas de mot pour décrire combien le Maître est bienveillant.

Merci, Maître ! Merci, compagnons de pratique.

(Onzième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais en Belgique