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Souvenirs de notre vénérable Maître disséminant le Fa dans la ville de Dalian il y a 12 ans (2e partie)

25 décembre 2014

Note de l'éditeur : Cet article a été rédigé et publié pour la première fois en avril 2006.

(Minghui.org) (1re partie)

III. L'inquiétude et l'attention du Maître

De leurs expériences personnelles, les pratiquants de Dalian savent beaucoup de choses de l'attention et de l'inquiétude que nous montre à tous le Maître.

1. Le Maître connaît la situation de ma famille

Un disciple a dit :

Lorsque le Maître est venu à Dalian pour enseigner la deuxième fois, je travaillais comme coordinateur. Un jour, pendant la pause, le Maître m'a demandé gentiment : « Comment tout se passe-t-il ? Avez-vous des difficultés dans la vie ? » J'étais si surpris et je me suis demandé : « Comment le Maître connaît-il ma situation économique ? » J'ai répondu : « Non. » Le Maître a ensuite dit : « Vraiment ? Tout va bien ? » J'ai dit : « Tout va bien. » À ce moment, mes yeux étaient remplis de larmes. Le Maître a dit quelque chose qui m'a profondément marqué. Il a dit : « Si vous avez assez d'argent pour la nourriture et les besoins de tous les jours, cela ira. » Je comprends que notre Maître n'était pas seulement inquiet pour moi, mais qu'il m'avait aussi enseigné un principe de cultivation important. Le Maître me disait : un pratiquant ne doit pas vivre dans le but d'être une personne ordinaire. À la fin, un pratiquant deviendra un être éveillé grâce à la cultivation, il sortira du monde humain et retournera à son origine première. Nous ne sommes venus dans ce monde que pour quelques jours, nous ne devrions donc nous attacher à rien ici. « Si vous avez assez d'argent pour la nourriture et les besoins de tous les jours, cela ira. » J'ai toujours cette phrase à l'esprit. D'un côté, je ne montre jamais de faiblesse face aux difficultés et je suis toujours optimiste. Je ne fais que continuer de cultiver diligemment et d'abandonner mes attachements.

« Vivre sans rien rechercher

Mourir sans regrets ni nostalgie

Balayer toutes les pensées illusoires

La cultivation de bouddha n'est pas difficile »

(« Rien ne reste », Hong Yin)

Cet important principe me guide toujours sur le chemin de devenir une divinité. Dans mes souvenirs des jours avec notre Maître, le Maître souriait toujours. Quoi qu'Il fasse, il pensait toujours d'abord à Ses disciples. Les paroles de notre Maître touchaient toujours le cœur de chacun et Il parlait toujours doucement et gentiment. Lorsque j'étais en présence du Maître, je ressentais de la miséricorde, de la chance et de la chaleur.

2. Notre Maître s'est inquiété pour un disciple souffrant du mal de voiture

Un disciple nous a raconté des événements qui se sont produits lors de la session à Chengdu en juin 1994 :

Un jour, notre Maître est venu nous rendre visite à l'endroit où plusieurs disciples vivaient. Pendant qu'Il parlait, Il a placé ses mains derrière la tête et les a ensuite séparées de chaque côté. Puis, Il a demandé : « Que venez-vous de voir ? » Nous avons répondu que nous avions vu un rayon de lumière rouge. Le Maître nous a dit : « Cultivez bien lorsque vous serez rentrés chez vous. Vos enfants immortels sont déjà grands. Assurez-vous de cultiver diligemment. » Un jour, nous sommes sortis avec le Maître en voiture. Il pleuvait. La route était très boueuse et la voiture était sale. Lorsque la voiture s'est arrêtée, nous avons vu que le Maître était le premier à en sortir. Il a raclé l'eau boueuse du pare-brise et de la voiture tout seul. Après la fin des cours à Chengdu, nous étions tous peu disposés à nous séparer de notre Maître. Le Maître nous a apporté un peu d'eau à boire. Lorsqu'il a entendu qu'un disciple souffrait du mal de voiture, il a tourné un Falun devant la voiture avant que le disciple parte et a purifié son corps. Notre Maître considère ses disciples comme ses enfants et se soucie de nous dans chaque détail. Nous avons été profondément ému par chaque petit événement exprimant toute la miséricorde de notre Maître et son amour envers les êtres.

3. Je n'ai pas eu d'autre attaque cardiaque

Un élève s'est rappelé : « Lorsque le Maître a commencé son premier cours à Dalian, j'ai parlé au Maître de mon état de santé. J'ai dit : 'Aucune partie de mon corps ne se sent bien, je me sens malade partout. J'ai une maladie du cœur, etc. Je suis même mort plusieurs fois.' Le Maître n'a rien dit. Au bout d'un moment, Il s'est levé et est passé derrière moi. Il a fait le geste d'attraper l'air au-dessus de ma tête et est parti. Lorsqu'il es revenu, le Maître m'a demandé : 'Que sens-tu maintenant ?' J'ai répondu : 'Rien, seulement mes jambes sont un peu chaudes.' Après cet incident, je n'ai plus jamais eu de problème cardiaque. Et je n'ai plus eu besoin de prendre de médicaments. Lors d'un cours ultérieur en juin, Il m'a de nouveau demandé : 'Comment te sens-tu maintenant ? Tout va bien ?' J'ai répondu avec beaucoup de gratitude : 'Oui, je suis totalement guéri.' Notre Maître m'a encouragé : 'Ta qualité d'éveil est très bonne.' Une après-midi pendant les cours de Chengdu, alors que le Maître enseignait les mouvements devant l'assemblée, j'ai entendu 'pa' et quelqu'un m'a donné une tape dans le cou. J'ai regardé derrière, mais personne n'était là. J'ai immédiatement compris que c'était le Fashen du Maître. Il purifiait mon corps. Depuis ce jour, je n'ai plus jamais eu de problème de dos. Autrefois, je me sentais inconfortable dans tout le corps, mais maintenant je suis libre de toute maladie. Tout cela est grâce à la bienveillance et la purification du Maître. Je ressens véritablement la joie que la grâce du Bouddha m'a apportée et la beauté que Dafa m'a apportée.

4. Le Maître m'a aidé à abandonner mon attachement à ne pas manger de viande

Un élève a dit : « Lorsque j'étais très jeune, je ne mangeais pas de viande. C'était comme une habitude, une idée qu'il n'est pas correct de manger de la viande. Pendant longtemps, je n'ai pas pris conscience que c'était aussi une idée humaine ordinaire. Un jour à Pékin, le Maître nous a invités à manger du canard de Pékin. J'étais assis là et je pensais : 'Ce n'est pas correct.' Le Maître savait à quoi je pensais. Afin d'éliminer mon cœur humain, le Maître a enroulé un morceau de viande de canard avec une crêpe et me l'a donné. Il a dit : 'C'est pour toi.' Je ne pouvais pas refuser quelque chose que le Maître me donnait. Je l'ai donc mangé. Après cela, j'ai pu manger de la viande, mais je n'y ai développé aucun attachement. En réalité, en tant que pratiquant, nous ne devrions pas avoir d'idée fixée ni d'attachement envers quoi que ce soit dans ce monde. Lorsque nous avons faim, nous devrions manger tout ce que nous avons. Dans le passé, je pensais que c'était un attachement de manger de la viande, je n'aimais donc pas la viande et je n'y touchais jamais. Mais en réalité, mon attitude était aussi un attachement. Ne pas avoir d'idée humaine, suivre le cours de la nature, tel est le véritable chemin d'un pratiquant.

IV. Un enfant chanceux

1. Le Maître a purifié le corps d'un enfant en France

En juillet 1994, lors du second cours à Dalian, j'ai vu une chose miraculeuse. Le Maître a purifié le corps d'un enfant en France. Cet enfant avait été frappé par une étrange maladie qui le rendait incapable de bouger ou de parler. Il restait alité chaque jour dans un état végétatif. Afin de le soigner, toute la famille avait cherché partout le bon médecin et le bon traitement, mais tous leurs efforts étaient restés vains. Ils avaient prié pour recevoir de l'aide mais rien ne s'est passé. Un pratiquant de qigong a dit qu'une pratique appelée Falun Gong, enseignée en Chine, pourrait guérir l'enfant. Ainsi, le grand-père et le père de l'enfant ont parcouru en avion des milliers de kilomètres jusqu'à Pékin et ont cherché le Falun Gong partout où ils allaient. Quelqu'un leur a dit que le Maître du Falun Gong, Li Hongzhi, se trouvait à Dalian où il enseignait le Fa. Ainsi, ils ont voyagé jusqu'à Dalian et y ont trouvé le Maître.

D'abord, ils ont parlé à Maître Li de la maladie et ensuite des symptômes. Le Maître leur a demandé s'ils avaient apporté une photo de l'enfant. Alors qu'ils réfléchissaient, le Maître a immédiatement su à quoi l'enfant ressemblait. Le Maître a ensuite dessiné dans l'air à côté de son bureau une image d'un enfant. Après cela, Il a commencé à faire des mouvements comme s'Il tirait des cordes hors du corps de l'enfant. Chaque fois qu'Il tirait une corde, Il la brisait en morceaux avec ses mains. Au bout d'un moment, le Maître s'est arrêté et a dit aux deux hommes français : « L'enfant va bien maintenant. » Comme il n'y avait pas de téléphone portable à disposition, il était impossible de contacter immédiatement la famille en France. Lorsqu'ils sont rentrés à l'hôtel, ils ont appelé leur famille. La famille a dit : « Pourquoi vous a-t-il fallu autant de temps pour nous appeler ? Vers 8 h ce matin, une lumière dorée éclatante est venue de l'extérieur et a illuminé le corps de notre enfant. Au bout d'un moment, il a dit : 'Maman, que s'est-il passé ?' Ensuite, il a pu bouger et sortir du lit. Il peut marcher maintenant. » La mère de l'enfant était très heureuse. Entendant que leur enfant était rétabli, les deux hommes français étaient également extrêmement heureux. Ils n'ont pas cessé de remercier le Maître et ont demandé une photo avec Lui. Alors qu'ils prenaient la photo, la divinité en laquelle ils croyaient a aussi exposé son image sur le mur. Cela m'a permis de reconnaître et ressentir la compassion et la grande puissance de notre Maître qui peut tout faire.

2. Un enfant retardé se rétablit immédiatement

Un disciple nous a parlé de quelque chose qui s'était produit avant le départ du Maître après le troisième cours à Dalian. Il a expliqué que le 30 décembre 1994, le Maître avait donné un enseignement au stade de Dalian. 12 000 personnes avaient assisté à la conférence, le dernier enseignement que le Maître a donné en Chine, et c'est également la conférence qui avait rassemblé le plus grand public. Le jour suivant, quelques disciples, parmi lesquels je me trouvais, sont allés à l'aéroport dire au revoir au Maître. Alors que le Maître était prêt à embarquer, une disciple est arrivée en courant avec son enfant. Ils voulaient voir le Maître. Lorsque le Maître a su cela, il est venu les rencontrer. L'enfant semblait un peu retardé. Il ne semblait pas avoir un esprit clair et normal. Sur son front, il y avait un petit point rouge. Le Maître a regardé l'enfant et a ensuite touché sa tête avec sa main. Les yeux de l'enfant sont immédiatement devenus normaux et sa bouche est aussi revenue au bon endroit. Le point rouge a également disparu. Il est devenu un enfant normal et il semblait aussi très intelligent. Ceux qui se trouvaient là ont tous reconnu que cela était tellement miraculeux !

V. Les merveilles et le mystérieux pouvoir de Dafa

Un pratiquant a rassemblé les souvenirs suivants –

1. Il pleuvait seulement derrière notre voiture

Après le premier cours à Dalian, le 4 avril 1994, nous avons conduit le Maître à Jinzhou. Le matin suivant vers 8 h, nous sommes arrivés à Yingkou. À ce moment, il a commencé à pleuvoir. Nous voulions trouver un restaurant pour prendre le petit-déjeuner, mais il pleuvait si fort que j'ai pensé qu'il serait difficile de partir à ce moment-là. Je voulais attendre jusqu'à ce que la pluie s'arrête. Le Maître a vu mon cœur et m'a demandé : « Qu'est-ce qui ne va pas ? » J'ai dit avec hésitation : « Maître, regardez ce temps. Pouvons-nous partir maintenant ? » Mais le cours de Jinzhou devait commencer le jour même. Comment l'enseignement du Fa pouvait-il être retardé par la pluie ? Le Maître y a réfléchi pendant un moment puis m'a dit : « D'accord, demandons à la pluie de s'arrêter. » J'ai été plutôt surpris alors et je ne pensais pas que ce serait possible. (À cette époque, je ne savais pas qui était réellement le Maître. Je pensais que le Maître était juste un autre professeur de qigong.) Le Maître n'a rien dit mais est resté debout à l'entrée du restaurant, semblant parler d'une façon étrange, comme s'Il parlait au ciel.

Pendant que nous prenions le petit-déjeuner avec le Maître, je lui ai demandé : « Maître, pourquoi la pluie ne s'est-elle pas arrêtée ? » Le Maître a répondu : « Hmm, elle va s'arrêter dans un moment. » Après que nous sommes montés dans la voiture, j'ai de nouveau demandé : « Maître, quand la pluie va-t-elle s'arrêter ? » Le Maître a dit : « Lorsque nous aurons roulé un kilomètre de plus. » J'ai pensé en moi-même : « Considérant comme il pleut maintenant, s'il pouvait s'arrêter de pleuvoir lorsque nous aurons roulé 30 kilomètres, ce serait bien. » Mais la réalité m'a surpris. Pour de vrai, après que nous avons roulé un kilomètre, le ciel devant nous s'est éclairci. Mais derrière notre voiture, le ciel était rempli de nuages et il pleuvait des cordes. Je suis véritablement resté sans voix. J'ai dit au Maître : « Maître, vous êtes si mystérieux. Vous avez demandé qu'il arrête de pleuvoir et la pluie s'est réellement arrêtée. » Le Maître a pointé le doigt devant et m'a dit : « Tu vois les nuages là-bas, n'est-ce pas ? Le nuage blanc est un dragon de la mer de Bohai, le jaune est un dragon de la mer de Huanghai. Ces deux dragons sont en service. Aujourd'hui, il devrait pleuvoir. S'il n'y a pas de pluie du tout, les dragons ne pourront pas expliquer pourquoi ils n'ont pas laissé la pluie tomber et ils auront fait quelque chose de mal. Alors, que devons-nous faire ? Trouvons un accord et demandons-leur de laisser tomber la pluie derrière nous. » C'était la première fois que je rencontrais un événement aussi mystérieux dans ma vie. Si je ne l'avais pas vu de mes propres yeux, je n'aurais pas cru que cela était vrai.

2. Au milieu des vagues, il y a une route droite

Pendant le deuxième cours à Jinzhou, quelques disciples et moi-même avons accompagné le Maître visiter le temple du mont Bijia. Le mont Bijia se trouve au milieu de la mer. Lorsque la marée n'est pas trop forte, il est possible de rouler jusque-là. Lorsque la marée est haute, il est seulement possible de traverser en ferry. Lorsque nous sommes arrivés là-bas, la marée était très haute, nous ne pouvions donc passer qu'en bateau. Le bateau que nous avons pris était petit et les vagues étaient immenses. J'ai pensé en moi-même : « Je sais nager, donc si quelque chose tourne mal, je peux sauver d'autres gens. » Je me suis donc assis au bord de mon siège. Le Maître connaissait mes pensées et m'a souri, comme s'Il reconnaissait mes pensées. Lorsque le bateau a démarré, le Maître a pointé le doigt vers l'avant et m'a dit : « Regarde devant. » J'ai été très surpris de ce que j'ai vu. J'ai vu apparaître, juste devant le bateau, un chemin dans la mer. De chaque côté du bateau, les vagues étaient plus hautes que le bateau lui-même, mais devant le bateau, la mer ressemblait à une route droite, aussi calme qu'un lac un jour sans vent. Notre bateau est rapidement arrivé au mont Bijia.

Le 27 mars 2006

Traduit de l'anglais en Belgique