(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour compagnons de pratique !
Lorsque j’ai vu que le 10e Fahui de Minghui.org demandait des articles, j’ai pensé à ce que je pourrais partager. À ce moment, la « responsabilité » m’est venu à l’esprit. Ici je voudrais utiliser des exemples de sauver les vies pour discuter de mes compréhensions sur la responsabilité.
Responsabilité
Nous n’avions pas de sites de documents dans notre région. J’ai encouragé les autres pratiquants à établir un site, ce qu’ils ont fait, et je suis devenu la personne responsable pour distribuer les documents aux autres pratiquants.
Pendant les quelques premières années, nous nous sommes concentrés sur la ville de Xi’an. Il y avait seulement une pratiquante qui en avait amené deux autres pour aller au village. Elle a été arrêtée en 2007. Un autre pratiquant m’a dit que nous devrions continuer de mener cette tâche, mais je ne me sentais pas à l’aise avec cela. Lorsque j’étais jeune, j’ai eu des opérations aux jambes. Je ne pouvais marcher pour monter ou descendre, mais j’ai quand même accepté la tâche.
Nous avons produit et livré les documents nous-mêmes. Parfois, nous sommes allés au village. Le Maître était toujours là dans mes rêves pour m’encourager. J’ai senti le besoin de sauver les êtres et j’ai senti que je devais le faire rapidement.
Coordonner le travail d’équipe
Il y avait plusieurs personnes dans le village qui avaient besoin d’entendre les faits sur le Falun Gong et la persécution. Il y avait aussi d’innombrables villages situés loin dans les montagnes qui n’avaient pas de pratiquants. Chaque fois que j’entendais qu’un pratiquant allait à un village, je sentais qu’il partait à l’aventure.
Un couple de pratiquants vivait près de moi et ils distribuaient toujours des documents à proximité. Je sentais comme si chacun connaissait déjà les faits et je ne voulais pas que les gens gaspillent des documents. Je voulais vraiment aider les autres pratiquants à régler ce problème. Louer une voiture pour aller dans les villages n’était pas sécuritaire. J’ai pensé que si nous avions une voiture, les choses seraient différentes.
Un pratiquant pour qui j’avais de grands espoirs vivait à une heure de chez moi et avait une voiture. J’ai tenté de communiquer avec lui. Lorsque je l’ai rencontré, il a dit que nous pourrions propager l’information par des textos ou des appels téléphoniques. J’ai dit que j’avais toujours fait cela et que ce serait mieux si nous mettions l’information sur un CD. Même s’il a été d’accord, j’ai senti qu’il l’avait fait seulement pour m’apaiser. Il les a distribués rapidement et n’a pas semblé y accorder vraiment de l’importance.
Pendant ce temps, je me suis senti si triste que je voulais pleurer. Sauver les êtres demande un travail d’équipe et nous demande d’être diligents dans les activités que nous faisons. Une fois, j’ai pensé que j’étais inutile parce que je ne comprenais pas la technologie.
Après cet incident, je ne pouvais pas le trouver. Six mois plus tard, j’ai découvert qu’il avait été arrêté. Je savais que j’étais trop possessif. Je ne pardonnais pas les tribulations des autres, et je considérais le sauvetage des êtres comme un « travail ». Je voulais que la région ait un meilleur coordinateur, un coordinateur qui amènerait tout cela ensemble.
J’ai finalement décidé d’aller aux villages avec un autre pratiquant. Si nous continuions à faire ainsi, ce serait assez.
« En réalité, le monde entier a été divisé en portions et chaque portion a été prise en charge par un disciple de Dafa. » (Enseignement de la Loi à la Conférence internationale de Loi de Washington DC 2009)
J’ai regardé sur la carte ce jour-là. Le canton avait d’innombrables villages. Peu importe que nous fassions bien, ce serait impossible de visiter chaque village !
Après quelques années, ma compagne de pratique n’était pas contente de moi. Elle a dit que j’étais autoritaire. Je voulais qu’aucun attachement n'apparaisse, alors j’ai tout lâché et je l’ai écoutée. Je savais que ses mots étaient pour m’aider à éliminer mon attachement à négliger les suggestions des autres.
Je sais que le Maître m’a donné cette tâche divine partiellement pour que je puisse l’aider. Le Maître a dit :
« Il faut que vous agissiez, cultiviez, fassiez vous-même l’expérience, ne pas épargner votre peine fait partie de votre xiulian. Vous devez réfléchir à des solutions pour trouver les personnes que vous devez sauver. Tout cela, c'est ce qu'un disciple de Dafa doit faire. Coopérez bien ensemble, lorsque vous remarquez qu'une chose n'a pas été bien faite par les autres, ou alors quand dans vos réunions vous examinez les choses et que certaines n'ont pas été bien faites, et que votre opinion n'a pas non plus été retenue, si vous pensez qu'il faut vraiment le faire de cette manière, alors bien qu'elle n'ait pas été retenue, faites-le bien vous-mêmes en silence. Ça c'est un pratiquant. » (Vingt ans d'enseignement du Fa)
Danger soudain
Deux autres pratiquants et moi sommes allés dans un endroit éloigné. Lorsque nous sommes arrivés au troisième village, un homme âgé de 30 ans conduisant une motocyclette nous a menacés, disant qu’il allait appeler la police. Il nous suivait. Dans un état de panique, nous avons fui dans un cul-de-sac. Je me suis forcé à me calmer. Je nous ai rappelés que le Maître était juste à nos côtés. Nous avons mis nos mains ensemble en heshi en demandant : « Maître, aidez-nous s'il vous plaît ! »
Soudain, il n’y avait plus de bruit. Yu et moi sommes sortis de la ruelle. Mais où était Yao ? J’étais inquiet pour sa sécurité. Nous avons tourné dans les alentours mais nous ne l’avons pas trouvée.
À ce moment, j’ai senti comme si j’étais un miroir. Je pouvais voir quels étaient mes attachements à travers le miroir.
Nous avons marché quelques heures aux alentours de minuit. Finalement, sous es conseils de Maître Li, j’ai trouvé une personne que je connaissais. J’ai appelé une autre pratiquante et elle a dit : « Je t’ai cherché. Yao va bien. Attends là-bas, je vais venir te chercher. »
J’ai soupiré et j’ai laissé aller. Après avoir rencontré de nombreux problèmes, j’ai finalement réalisé pourquoi regarder à l’intérieur est la seule façon de surmonter la tribulation. Le Maître a dit :
« Pour un pratiquant, regarder à l'intérieur est un trésor de la Loi. » (Enseignement de la Loi à la Conférence internationale de Loi de Washington DC 2009)
J’ai fait un rêve dans lequel je marchais le long d’une large route. Cependant, cette route est soudainement montée vers le ciel et c’était presque à la verticale. J’avais si peur que j’ai couru vers le sommet. Pourtant à la fin, c’était trop étroit pour que je puisse marcher. À cet instant de désespoir, je me suis souvenu que j’avais le Maître ! Lorsque cette pensée m’est venue à l’esprit, tout a disparu et je n’avais plus peur. Lorsque je me suis réveillé, j’avais encore peur et les larmes étaient encore là.
Lorsque vous cultivez, les exigences vont devenir graduellement plus compliquées tandis que vous vous élevez de niveau. Si vos pensées ne sont pas bonnes, alors vous pourrez tomber dans l’abysse. Les pratiquants qui croient au Maître peuvent surmonter les tribulations.
Lorsque j’étais en train d'écrire ce texte, une pratiquante a dit qu’elle avait le sentiment de « cultiver comme si vous veniez de commencer ». J’étais très inspiré par ce que le Maître a dit :
« en continuant à cultiver et pratiquer comme au début, on parviendra assurément au fruit juste. » (Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009)
Je dois travailler plus fort et ne pas laisser tomber le Maître !
Merci Maître ! Merci compagnons de pratique !
(Dixième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)
Traduit de l’anglais au Canada