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Le Falun Dafa m'a délivré d'une vie de maladie et d'épreuves

17 juin 2014 |   Écrit par une pratiquante de Dafa de la province du Gansu, Chine

(Minghui.org) Après avoir pratiqué le Falun Gong, je me suis remise d'une tuberculose vertébrale. Mais peu de temps après, j'ai dû traiter le problème de ma fille âgée d'un an à qui on avait diagnostiqué une paralysie cérébrale, et de mon mari qui avait une liaison et qui a quitté notre famille.

En Juin 2006, ma fille a eu un rhume et des maux de gorge. En raison d'une erreur de diagnostic de l'hôpital, elle est devenue paralysée.

Selon son médecin, ses chances de survie étaient minces, et même si elle pouvait récupérer, elle serait invalide et incapable de prendre soin d'elle-même. Après cette épreuve, les frais médicaux nous ont ruinés financièrement.

J'ai été licenciée à cette époque, et mon mari a refusé de nous donner de l'argent pour les frais de subsistance. Chaque jour, je devais amener ma fille pour la thérapie par intraveineuse à l'hôpital, puis me précipiter la maison pour lui préparer les médicaments chinois. Même après avoir reçu toutes sortes de traitements, sa situation ne s'améliorait pas. J'étais constamment au bord d'une dépression nerveuse et je pleurais souvent.

Plus tard, j'ai réalisé que le Fa devrait également être en mesure de sauver ma fille. J'ai donc décidé de lui faire écouter tous les jours les enregistrements audio des conférences de Fa.

Quand elle a commencé à apprendre à marcher, elle chutait presque tous les jours. Mais grâce à la protection du Maître, il ne lui est rien arrivé.

Peu à peu, elle a été de plus en plus forte. Et ses notes se sont améliorées de façon spectaculaire, passant de 40% à 50% alors qu'elle était en deuxième et troisième année, à plus de 80% aujourd'hui. Elle s'est transformée en une intelligente et jolie fille et reçoit beaucoup de compliments de nos parents et amis.

Les jours les plus sombres

Rétrospectivement, l'année 1995 fut la période la plus sombre de ma vie. J'ai commencé à avoir de fortes douleurs de dos qui m'empêchaient de m'asseoir ou de me tenir droite. Je ne pouvais pas dormir à cause de la douleur.

Le troisième jour, la douleur s'est étendue à mes pieds, parce que les tendons de mes jambes étaient enflés. Je pouvais à peine retenir mes larmes.

On m'a diagnostiqué un prolapsus du disque intervertébral lombaire. J'ai eu des traitements de traction, de la thérapie physique et j'ai pris des médicaments occidentaux et chinois. Mais mon état ne s'est pas amélioré. Chaque jour, je devais prendre beaucoup d'antalgiques.

Au cours de huit mois d'épreuves, j'ai dû dormir sur le côté sur un canapé parce que la douleur m'empêchait de m'allonger à plat.

Comme mon état s'est détérioré, mon médecin a effectué un autre examen, et cette fois il a été découvert que la tuberculose vertébrale s'était développée dans la première section de ma vertèbre lombaire.

À ce moment-là, nous avions déjà payé des dizaines de milliers de yuans durant l'année. Et pourtant, je pouvais à peine marcher pour aller aux toilettes.

Je devais rester au lit, immobile, parce que le moindre mouvement pouvait provoquer des crampes. Si quelqu'un me heurtait même légèrement, je pleurais de douleur.

Mon médecin a suggéré qu'on m'opère et m'a avertie que je pourrais être paralysée si l'un des nombreux nerfs répartis autour du mon bas du dos était accidentellement sectionné.

Un autre médecin a suggéré que je m'en tienne à des traitements de conservation. Un échec de l'opération me laisserait alitée pour le reste de ma vie. Âgée de 28 ans, j'étais trop jeune pour prendre ce risque. J'ai donc accepté son conseil et je suis retournée à la maison.

Mon état s'aggrave

En mars 1996, il semblait que mon état s'était un peu amélioré. Je pouvais marcher lentement avec mon corps plié à un angle de 90 degrés. Cependant, mon médecin m'a dit que ma vertèbre lombaire serait déformée si je continuais à marcher de cette façon.

Plus tard, l'état a empiré, et mon bas-ventre est devenu gonflé comme si j'étais enceinte. J'ai dû aller à l'hôpital pour un examen. Après un réexamen, j'ai été étonnée par les résultats : mon muscle psoas sur les deux côtés de mon bassin était infecté par du pus osseux. Quelques jours plus tard, une pustule de la taille d'un œuf est apparue à cet endroit. Mon médecin m'a dit que je n'avais pas le choix et que je devais subir une intervention chirurgicale.

Mon père a frénétiquement cherché des remèdes populaires pour ma maladie. Et chaque fois que je devais avaler un médicament inconnu, je devenais immédiatement malade rien qu'en les voyant.

En raison de l'utilisation excessive des médicaments, mes cheveux sont tombés par grappes et ma peau est devenue pourpre. L'infirmière n'était plus en mesure de me faire des injections, car il n'y avait plus de bons endroits pour ça.

Le Maître m'a donné une seconde vie

En désespoir de cause, j'ai décidé de mettre fin à ma vie en prenant une surdose de somnifères. Avant d'agir sur cette impulsion, j'ai décidé d'aller au parc pour prendre quelques photos à laisser après moi.

Par l'entrée du parc, j'ai vu des gens faire des exercices avec une affiche qui donnait une brève introduction du Falun Dafa. J'ai trouvé quelqu'un que je connaissais, et elle m'a demandé si je voulais me joindre à eux. Elle m'a aussi prêté le livre Zhuan Falun.

Après avoir fini de lire le livre, je me suis sentie à la fois rafraîchie et purifiée. En outre, le livre a répondu à beaucoup de questions que je me posais sur la vie et qui m'ont laissée perplexe au fil des ans. Je savais maintenant que le vrai but de la vie était de revenir au vrai moi originel. J'ai aussi compris la raison de mes maladies. C'était dû au karma que j'ai accumulé dans les vies antérieures.

Depuis lors, j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa régulièrement dans le parc. Progressivement et insensiblement, je me tenais debout, droite.

À moyen terme, je me suis totalement guérie de tous mes maux. Après avoir été témoin du miracle, ma fille aînée, ma mère et ma sœur ont également commencé à pratiquer le Falun Dafa.

Ma fille survit à un accident de voiture

Quand ma fille aînée attendait pour aller manger au restaurant avec sa grand-mère et son cousin, un taxi l'a touchée par derrière et lui a passé sur la jambe. Le conducteur a pris la fuite.

Dans une telle société égoïste, personne autour n'a même osé l'aider à se relever. Ils étaient inquiets que cela leur cause quelques problèmes inattendus, comme être accusé de lui avoir blessée et être poursuivi en justice. Au moment où sa grand-mère et son cousin sont arrivés, les pantalon de ma fille étaient imbibés de sang, et la jambe blessée était gravement enflée. Elle ne pouvait pas marcher.

Mais elle a gardé son calme avec le Fa enraciné dans son cœur. Quand elle était jeune, elle avait lu le Fa avec moi. Ma mère et ma fille croyaient fermement au Fa et au Maître et pensaient que rien de mauvais ne se produirait. Alors, quand son cousin l'a encouragée à consulter un médecin, ma fille a dit : « Prenons un taxi pour rentrer à la maison. »

Elle n'a pas touché aux médicaments que mon père et mon frère lui ont achetés et elle a seulement écouté les conférences de Fa et a récité sincèrement « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Le troisième jour, elle pouvait supporter la douleur et marcher seule, lentement. Cet après-midi-là, elle a décidé de prendre un taxi pour faire quelques courses pour son grand-père. Au moment où elle est revenue le soir, elle pouvait marcher aussi normalement qu'avant.

Un pratiquant n'a pas d'ennemi

Deux ans après que mon mari nous a quittés, nous avons déposé une demande de divorce. Selon l'accord, j'ai eu la garde de notre fille aînée, et il avait la garde de notre fille cadette. Mais il s'est vite remarié et n'a jamais pris notre fille cadette avec lui.

Depuis plus de dix ans, il ne nous donne pas un sou, et sa famille ne nous a jamais rendu visite. Mais je ne les ai pas détestés, lui et sa famille, pas même un peu. Chaque année, je vais continuer à rendre visite à sa mère et à lui apporter des cadeaux. Je serai heureuse s'ils sont heureux.

Au début, sa mère n'a pas bien accueilli mes visites. Mais maintenant elle me traite chaleureusement. Je voulais lui apporter chaque fois plusieurs centaines de yuans, et lui dire de garder à l'esprit le message de « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » pour avoir une meilleure santé et un avenir prometteur. Elle a souri et a dit : « Je me souviendrai. »

Le Maître a dit :

« Je vous ai dit depuis longtemps, j’ai dit que pour un disciple de Dafa, pour un pratiquant, j’ai dit qu’un pratiquant n’a pas d’ennemi. » (« Enseignement de la Loi à la ville de Chicago », 2005)

Ma mère, ma sœur et moi avons pratiqué le Falun Dafa depuis 1996. Et bien que mon père et mon frère ne soient pas pratiquants, ils ont aussi bénéficié de Dafa. Surtout mon père, qui a récupéré d'une maladie de l'estomac, d'une hernie discale lombaire et d'une arthrose cervicale.

Le Maître a dit :

« La lumière de Bouddha illumine tout, bienséance et loyauté rayonnent harmonieusement. » (Troisième leçon du Zhuan Falun)

J'ai commencé ma propre entreprise de vente de vêtements et cela s'est bien passé. Je traite tout le monde autour de moi avec gentillesse. Tous mes parents et amis ont été témoins des grands changements à la fois dans mon état de santé et mon comportement.

Ma vie s'est améliorée de mieux en mieux au fil des ans. Mes clients me complimentent même sur mon attitude positive envers la vie. J'attribue tout ce que j'ai au Maître et au Fa !

Traduit de l'anglais en Suisse