(Minghui.org) Bonjour Maître compatissant, bonjour compagnons de pratique !


Je viens du Canada. J’aimerais partager mon expérience au cours de l’année dernière, où j’ai eu l’opportunité de sauver des Chinois en maintenant à la fois ma cultivation et pratique et mon activité professionnelle régulière.


Après la conférence de New York de l’an dernier, j’ai commencé à participer aux exercices du groupe local. Nous avons commencé à pratiquer les exercices pendant une heure, mais maintenant, nous nous réveillons à 4 h 30 du matin pour faire les 5 exercices et émettre la pensée droite collectivement. Pendant la semaine, nous étudions une leçon du Zhuan Falun après avoir pratiqué les exercices.


Le week-end, nous lisons les autres conférences du Maître. En conséquence, sept jours sur sept, nous sommes immergés dans la compassion du Maître, et notre nature est forgée et purifiée par son immense énergie. J’ai le cœur empli d’une infinie gratitude envers le Maître, et je commence chaque journée avec un cœur comblé, paisible et bienveillant, prêt à accueillir les arrangements du Maître pour sauver les êtres ayant l’affinité prédestinée.

Persévérer dans la pratique des exercices le matin

Je pratiquais auparavant les exercices seulement occasionnellement, pensant que ce n’était pas aussi important que d’étudier le Fa. Même si je faisais les trois choses, je me sentais souvent fatiguée. En réalité, c'était l'insuffisance de ma compréhension qui m’empêchait d’être en harmonie avec l’enseignement du Maître à propos de la pratique des exercices. Le pire, c’est que je cherchais souvent des excuses pour couvrir mon attachement au confort. Dans la conférence du Maître, « Enseignement de Fa à la conférence de Fa dans la grande région de New York 2013 », il a dit une fois de plus :

« En cultivant et pratiquant comme au début, la plénitude parfaire est assurée. »


J’ai été profondément émue par la conférence et je me posais souvent la question suivante : « Est-ce-que je cultive comme au début ? » Après la conférence, je me suis promis de retrouver la détermination que j’avais au début, cet état d’esprit d'« entendre le Tao le matin et mourir le soir sans regret ». Je voulais me libérer de l'inertie de ne pas vouloir pratiquer les exercices, due au fait que je ne pratiquais pas suffisamment les exercices.


En tant que disciple de la période de la rectification de Fa, nous endossons la responsabilité de sauver les êtres ; en tant que particule du Fa, nos corps ne nous appartiennent plus. Faire les exercices n’avait plus pour but d’être en bonne santé, mais contenait des implications de la rectification de Fa : n'étions-nous pas en train de rectifier aussi l’univers qu’est notre corps ? Donc persister à pratiquer les exercices était non seulement notre devoir et responsabilité, mais c’était aussi pour nous le moyen de nier le test des forces anciennes, d’être en harmonie avec les arrangements du Maître, et une façon de garantir notre capacité à bien faire les trois choses.


Dans « La Grande Voie de l’Accomplissement », le Maître a dit :


« Les exercices font partie de l’harmonisation intégrale et permettent d’atteindre la Plénitude parfaite dans notre Dafa. Il est appelé aussi la « Grande Voie de l’Accomplissement ». il requiert à la fois la cultivation et la pratique : la cultivation d’abord, la pratique ensuite ; si vous ne faites que les exercices sans cultiver le Xinxing, votre Gong ne grandira pas ; si vous ne cultivez que le Xinxing sans pratiquer les exercices de la Grande Voie de l’Accomplissement, votre force de Gong sera bloquée et votre Benti ne pourra pas non plus se transformer. »


En tant que disciple, nous en avons tous l’expérience. Quand nous nous sentons fatigués à force d’émettre la pensée droite de manière concentrée, faire les 5 exercices peut rapidement reconstituer notre énergie ; c'est plus efficace que de dormir ou de se reposer. Inversement, si nous sommes restés longtemps sans pratiquer les exercices, l’effet de notre pensée droite sera bloqué ; donc, évoquer l’excuse « il me faut plus de temps pour faire les trois choses » pour éviter de pratiquer les exercices est en réalité devenu l’obstacle majeur pour bien faire les trois choses.


Dans « Enseignement de la Loi et explication de la Loi lors de la Conférence de Loi du New York métropolitain », le Maître a dit :

« Vous tous ici présents, écoutez. Avez-vous entendu ? Les trois choses que les disciples de Dafa doivent bien faire, il faut nécessairement bien les faire. Les exercices, vous devez les pratiquer tant que le jour de la Plénitude Parfaite n’est pas arrivé ... vous devez faire les trois choses des disciples de Dafa et vous devez bien les faire. Cela est certain. »


Une fois que j’ai eu la bonne compréhension, il me fallait concevoir comment concrétiser cette compréhension. L’année dernière, j’ai pu persister dans la pratique des exercices en dépit des rigueurs du temps. Chacun de mes progrès était le fruit de la compassion du Maître. Au début, je voulais faire un somme de 5 minutes après le déclenchement de l’alarme, juste pour éviter de faire entièrement la pratique. Je l’ai vraiment regretté après avoir été en retard plusieurs fois.


Le Maître a vu ma détermination à progresser et a conçu un arrangement pour moi. Apparemment par coïncidence, j’ai appris que deux compagnons de pratique résidant près de chez moi voulaient participer à la pratique des exercices du matin, mais ne conduisaient pas. Tout naturellement, j’ai pris la responsabilité de les véhiculer. En surface, je les aidais, mais en réalité, le Maître avait conçu cet arrangement pour m’aider à dépasser mon attachement au confort. En plein hiver, si j’avais dix minutes de retard, dix minutes pour avoir trop dormi, cela voudrait dire qu'à tous les trois, nous aurions 30 minutes de retard. Si j’avais 30 minutes de retard, nous aurions en tout 90 minutes de retard. Cette prise de conscience m’a permis d’éliminer rapidement ma paresse. Même pendant une tempête de neige exceptionnelle, je suis allée chercher mes compagnons de pratique. Quand nous sommes arrivés sur le lieu de pratique, tout était plongé dans le noir suite à une coupure d’électricité. Nous avons pratiqué les exercices dans le noir, puis nous avons trouvé un snack pour étudier le Fa ensemble. Ensuite, j’ai continué en allant vendre des billets de Shen Yun. Par la suite, se lever le matin est devenu simple comme bonjour. Il avait beau faire froid, la chaleur de mon lit n’avait pas de commune mesure avec l’émerveillement que je ressentais après avoir pratiqué les exercices.

Étudier le Fa, mémoriser le Fa

Dans le passé, je trouvais le temps d’étudier le Fa avec mes compagnons de pratique seulement quand j’avais terminé mon travail et mes tâches. Après l’étude du Fa, il me restait très peu de temps pour clarifier la vérité. En une journée, je n’accomplissais pas grand chose. Si je pouvais étudier le Fa le matin avec les pratiquants, je pourrais consacrer plus de temps aux projets de clarification dans la soirée. Le Maître a vu mon désir de sauver les gens et a conçu des arrangements pour moi. Tout d’abord, mon mari s’est porté volontaire pour emmener les enfants à l’école le matin. Puis mon patron m’a permis d’avoir un horaire de travail adapté. Si bien que tous les jours, je pouvais étudier le Fa après la pratique des exercices.


Quand je prends le métro pour aller au travail, j’ai une heure pour prendre le petit-déjeuner et pour mémoriser et réciter le Fa. Consciente du fait que chaque jour nous est donné du fait de l’immense souffrance du Maître en notre nom, pour gagner du temps, ça ne me pose pas de problème de prendre un petit-déjeuner léger dans le métro. Mon précédent attachement aux petits-déjeuners savoureux et copieux est facilement tombé dans l’oubli.


Après le petit-déjeuner, je récitais le Fa. Je ne me forçais pas à réciter beaucoup ; je voulais tout simplement avoir la certitude que chaque mot et chaque phrase entraient dans mon cœur. Tandis que je récitais le Fa, je sentais que les choses banales de la vie disparaissaient, et que la cultivation et le salut des êtres devenaient plus concrets à mes yeux. Petit à petit, j’ai remarqué que la cultivation et le salut des êtres étaient devenus l’objectif principal de ma vie, et les choses mondaines ont été miraculeusement arrangées pour s’harmoniser avec cet objectif. Comme je peux finir la pratique des exercices et l’étude du Fa avant 9 h du matin tous les jours, je sens que j’ai plus de temps pour sauver les êtres. Quand nous exigeons de nous-mêmes de « cultiver comme au début », ne sommes-nous pas en train de nous cultiver solidement et de sauver les êtres dans une dimension qui surpasse le temps ?


Dans l’article « Environnement » (dans Points essentiels pour un avancement diligent), le Maître a dit :

« La forme de xiulian que je laisse aux disciples de Dafa constitue une garantie pour leur élévation réelle, par exemple, je vous demande d’aller faire la pratique collective dans les parcs afin de former un environnement, cet environnement est le meilleur moyen pour changer l’apparence de l’homme. La conduite de haut niveau que les disciples de Dafa se forment dans cet environnement, y compris toute parole et tout acte peut faire connaître aux gens leurs propres insuffisances, découvrir leurs écarts, peut émouvoir les gens, fondre et forger la conduite des gens, et peut faire élever les gens plus rapidement. »


Faire la pratique collective à l’extérieur crée un champ empli de paix, de droiture et de compassion. Ne s’agit-il pas là d’une grande validation de Dafa ?

Clarifier la vérité au travail


Dans « 20 ans d’Enseignement du Fa », le Maître a dit :

« Je vous ai dit auparavant que les Chinois d'aujourd'hui avaient tous été dans l'histoire les rois de chaque peuple et les rois de chaque période, les rois qui sont descendus des niveaux très élevés de l'univers se sont tous réincarnés en Chine. Leur salut signifie le salut des incommensurables et incalculables êtres derrière eux qu'ils représentent. »


Clarifier la vérité aux Chinois, c’est quelque chose auquel je dois faire face quotidiennement. Sur mon lieu de travail, je sers d’interprète pour les sinophones du tribunal local. Beaucoup de personnes qui entrent en contact avec moi me disent souvent : « Il est vraiment difficile de rencontrer quelqu’un d’aussi disposé à aider les autres que vous. »


Beaucoup de nouveaux immigrants ont été affectés par la culture du parti du PCC et n’avaient aucun sens de l'État de droit. Ils sont victimes de la culture du parti pervers. Je peux comprendre leur souffrance et je veux faire de mon mieux pour leur venir en aide. Grâce à mon expérience professionnelle, eux aussi veulent communiquer avec moi. Une fois qu’ils ont expérimenté la gentillesse d’un disciple de Dafa, ils m’accordent leur confiance et leur gratitude. En retour, je chéris toute opportunité pour leur clarifier la vérité, les amener à quitter le PCC, et leur présenter le spectacle Shen Yun.


Bénédictions obtenues suite aux démissions du PCC

Une émigrante d’âge mûr s’est fait renverser par une voiture en traversant la rue. Parce qu’elle avait marché sur la chaussée, la police lui a donné une contravention en dépit du fait qu’elle a été hospitalisée. Elle a trouvé que c’était injuste et a demandé à sa fille de l’accompagner au tribunal pour faire appel de la contravention. Dès notre première rencontre, elle s’est confiée à moi. Je l’ai écoutée patiemment, puis je lui ai expliqué comment fonctionne la loi. Si bien qu’elle a pu supporter plus facilement cette situation difficile. Ensuite je leur ai clarifié la vérité à elle et à sa fille et elles ont toutes les deux accepté de démissionner du PCC. Des mois plus tard, l’appel a connu contre toute attente une bonne résolution. En sortant de la salle d’audience, toutes les deux m’ont serré la main en me disant : « Nous espérions vous rencontrer aujourd’hui. Vous nous portez toujours chance ! » Je leur ai répondu que c’est parce qu’elles avaient choisi de s’éloigner du PCC pervers que les divinités avaient pu leur accorder leurs bénédictions. Elles devraient donc remercier le Falun Dafa et le Maître. Je leur ai demandé de se rappeler que « le Falun Dafa est bon ». Quand nous nous sommes séparées, toutes les deux, mère et fille, ont répété plusieurs fois « Falun Dafa est bon ».


Il y a beaucoup d’autres exemples. J’ai parlé quelques fois avec un chef d’entreprise impliqué dans un litige fiscal. Juste avant son procès, il a finalement accepté de quitter le PCC. Le jour de l’audience, il a amené sa femme comme témoin. Le procureur du district avec des piles de dossiers remplies de preuves contre lui a annoncé contre toute attente qu’ils abandonnaient l’affaire pour des raisons techniques. À l’extérieur du tribunal, je lui ai dit que derrière ces superficielles « raisons techniques », il y avait les bénédictions des divinités parce qu’il avait pris la bonne décision de quitter le PCC. Sa femme aussi a convenu que quelque chose de surnaturel s’était produit pour leur venir en aide. Elle a dit qu’elle avait une opinion négative sur le Falun Gong. Après m’avoir rencontrée, elle sentait que les pratiquants étaient gentils contrairement à ce qu'en disait le PCC pervers. Elle a donc également quitté le PCC sur le champ.

Des Chinois venant à l’étranger pour entendre la vérité

Dans l’« Enseignement de Fa à la Conférence de Fa de l’Ouest des États-Unis 2013 », le Maître a dit :


« Alors si une personne va à l'étranger et qu’elle n'a pas pu entendre la vérité à l'intérieur de la Chine, n’est-ce pas justement pour qu'elle entende la vérité à l'extérieur du pays ? Vous ne pouvez pas abandonner ces gens-là. »


Je rencontre aussi fréquemment ces personnes au travail.

Un jour, le policier du tribunal a amené un Chinois d’âge mûr à mon bureau et m’a dit : « Je sais que vous êtes la seule à pouvoir l’aider. » Il s’est trouvé que ce monsieur était en voyage pour rendre visite à des parents. Il s’était perdu en allant au mariage de sa fille et s’était retrouvé au tribunal. La police voulait faire des vérifications de sécurité, mais il ne comprenait pas les consignes. C’est pourquoi le policier me l’a amené. J’ai réalisé que c’était un arrangement pour que je lui clarifie la vérité. Alors je l’ai conduit à l’hôtel de ville dans le bâtiment à côté. À l’aller, il m’a expliqué qu’il était professeur en Chine. Je lui ai rapidement clarifié la vérité à propos du Falun Dafa et de la persécution, et je lui ai expliqué ce que voulait dire démissionner du PCC. Sans hésitation aucune, il a démissionné sur-le-champ.


Un jour, un jeune homme m’a demandé où il devait se rendre pour payer une amende. Comme je l’emmenais sur les lieux, il m’a dit que le monsieur d’âge mûr qui se trouvait près de lui était son père, qui était dernièrement venu à Toronto et voulait voir à quoi ressemblaient les tribunaux canadiens. Son père était fonctionnaire en Chine et il méprisait l’environnement juridique chaotique du pays, si bien qu’il voulait voir comment le système juridique fonctionnait dans une société démocratique. Je lui ai recommandé de lire The Epoch Times, lui disant que ce journal s’intéressait beaucoup aux problèmes des nouveaux immigrants. Il y a une rubrique juridique qui traite d’affaires intéressantes chaque semaine. Les nouveaux immigrants peuvent obtenir beaucoup d’informations sur le système juridique canadien en lisant ces histoires et s’épargner eux-mêmes de nombreux problèmes. Le père était très intéressé. Je lui ai aussi parlé des Neuf commentaires sur le Parti communiste qui a exposé la véritable nature du PCC d’une manière inégalée. Je lui ai dit que tous ceux qui aiment la Chine devraient en prendre connaissance. Après avoir entendu ma clarification de la vérité, l’un et l’autre, père et fils ont accepté de démissionner du PCC. Le père a dit qu'il trouverait Epoch Times et l'étudierait attentivement.

Débarrasser les gens de leurs barrières mentales

Un couple a fait une demande d’asile sous l’égide du Falun Gong. Ensuite, la femme s’est mise à cultiver, cependant son mari la frappait pour l’empêcher de pratiquer. Elle a porté plainte à la police, cependant sa belle-mère elle aussi interférait. Comme elle n’était pas habituée à la législation canadienne, elle craignait que sa famille ne soit expulsée à cause de cette affaire. L'affaire me fut présentée, et son mari m’a déclaré que sa femme avait commencé à pratiquer Dafa après la demande d’asile. Quand il a appris que j’avais commencé à pratiquer Dafa en 1998, il m’a posé beaucoup de questions. Tout d’abord, il ne comprenait pas pourquoi les pratiquants ne pratiquaient pas pour eux-mêmes et pourquoi ils devaient « se mettre contre le PCC ». Ensuite, il était influencé par les amis de la religion de sa mère et n’approuvait pas la distribution de dépliants dans le quartier chinois. Quand ses amis ont vu sa femme distribuer des dépliants, ils lui ont demandé combien d’argent ils recevaient du gouvernement américain, etc. Il ne savait pas comment répondre à ces questions et se sentait embarrassé face à ses amis.


Pour répondre à sa première question, je lui ai dit que le Falun Gong n’était pas contre le PCC, mais contre la persécution que celui-ci avait lancée ; cette répression persécutait les pratiquants en diffusant des mensonges au monde, donc tout un chacun était persécuté. Qu’il s’agisse du PCC ou de toute autre organisation persécutant le Falun Gong, le Ciel ne le permettrait pas. J’ai vu ses yeux briller et il hochait la tête en signe d’approbation. Je peux dire qu’il comprenait ce que je voulais dire.


Pour la deuxième question, je lui ai raconté une histoire qui m’était arrivée personnellement. Un jour, dans le quartier chinois, un grand Chinois a hurlé dans ma direction : « Je vous ai vue rester là depuis ce matin pratiquement toute la journée. Alors combien d’argent le gouvernement américain vous donne-t-il ? Je l’ai regardé et lui ai dit : « Monsieur, je vous remercie de me poser cette question. » Voyant que plutôt que de me fâcher, je l’avais remercié, il était visiblement embarrassé. Puis je lui ai dit : « Si vous voulez la réponse à cette question, pourquoi n’essayez-vous pas ceci ? Disons que vous me donnez 500 $ en espèces pour me faire rentrer dans mon pays. Vous pouvez essayer et vous verrez si vous pouvez m’acheter de cette manière. » Il est resté là un moment et il m’a répondu : « Je n’ai jamais pris aucun de vos documents de Falun Gong. Maintenant que je vous ai entendu, il semble y avoir quelque chose de différent chez vous. Donnez–moi un exemplaire, je veux en lire un. »


L'homme s’est exclamé : « C’est vrai ! Ma femme n’a pas été payée pour aller dans le quartier chinois. Les pratiquants de Falun Gong agissent en toute liberté de conscience ; ce n’est pas du tout ce que raconte le PCC. » Il a continué : « Je n'aurais jamais pensé que le Falun gong me sauverait deux fois, une pour la demande d’asile et une fois avec les faits que vous me racontez. » Il m’a dit qu’il avait déjà démissionné dans le quartier chinois, puis il m’a demandé mon numéro de téléphone afin que sa femme puisse me contacter. Il a aussi promis d’encourager sa femme à être plus diligente dans sa cultivation.


Plus tard, la mère de cet homme m’a appelée, parce qu’ils avaient perdu les documents du tribunal. Je l’ai aidée sans aucune idée préconçue, la considérant comme un être à sauver. Après lui avoir expliqué ce que démissionner du PCC voulait dire, elle a répété solennellement les mots que je lui avais dit : « Effacez la promesse empoisonnée que j’ai faite aux Jeunes Pionniers afin de devenir une Chinoise droite et lucide. » Elle m’a aussi dit que qu’elle n’allait plus interférer dans la cultivation de sa belle-fille, et qu’elle allait même l’encourager.


La compassion infinie du Maître m’a aidée à honorer mon vœu de ne manquer aucune occasion de sauver un être ayant l’affinité. J'ai aidé cette nouvelle pratiquante à traverser cette tribulation difficile et j'ai aidé ces précieux Chinois à faire le juste choix pour lequel ils ont tout risqué en venant dans cette dimension.


À mesure que la rectification de Fa progresse, les interférences dans les autres dimensions sont éliminées. Chaque coïncidence en apparence est une opportunité de sauver les êtres. Dans le passé, je devais clarifier la vérité à une personne à la fois. De nos jours, il arrive souvent que je clarifie la vérité à un client et à toute sa famille d’un seul coup. Un homme attendait son père pour être son témoin, et sept personnes sont venues, y compris sa famille et ses amis. Après l’audience, je suis tombée sur eux quand ils attendaient leurs documents. J’ai demandé son aide au Maître et je leur ai clarifié la vérité à tous. Ils ont tous accepté de démissionner du PCC et ont reconnu la bonté de Dafa.

Conclusion

Pendant la saison de Shen Yun, j’ai utilisé mon temps libre pour la promotion de Shen Yun. J'ai aussi profité de l’occasion pour présenter Shen Yun à la communauté chinoise. J’ai rencontré une fois un médecin chinois au tribunal. Je l’ai amené à démissionner et je lui ai présenté le spectacle Shen Yun. Au cours de l’entracte d’une représentation de Shen Yun, je suis tombée sur toute sa famille. Sa femme et lui étaient si heureux d’avoir vu le spectacle, disant que celui-ci avait largement dépassé leurs espérances et ils voulaient voir le spectacle de l’année prochaine également.


Donc les êtres sont pressés de voir le spectacle Shen Yun de l’année prochaine. Qu'en est-il de nous les disciples de Dafa, pour le spectacle Shen Yun de l’année prochaine, pour ces précieux Chinois, pour ces êtres qui sont venus dans ce monde avec la conviction profonde que Dafa pourra les sauver, est-ce-que nous nous cultivons fermement ? Ne perdons aucune occasion de sauver les êtres à cause des failles de notre cultivation. Cultivons et pratiquons comme au début, et honorons notre vœu.

Merci Maître, merci à tous.

Présenté à la Conférence de partage d’expériences de cultivation du Falun Dafa de New York 2014

Traduit de l'anglais en Europe