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J’ai vu le corps de Loi du Maître avant de commencer à pratiquer le Falun Dafa

7 juillet 2014 |   Écrit par une pratiquante en Chine

(Minghui.org) J’ai 70 ans. J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa le 7 octobre 1997. En raison de la propagande du Parti communiste, j’étais athée et je ne croyais ni aux bouddhas, ni aux divinités. Un miracle a toutefois changé ma perspective.


Nous avons appris qu’un maître de qigong de Shanghaï viendrait dans notre ville en 1992. Mon mari acheta plusieurs billets, car mon beau-père avait une maladie grave et mon mari voulait bénéficier du séminaire de qigong. Il n'acheta pas de billets pour moi, car il savait que je n’étais pas intéressée et que je ne voudrais pas y aller. Le jour venu, la sœur de mon mari appela pour dire qu’elle ne pouvait pas y aller.

Un rayon de lumière jaune

Ma belle-mère et mon mari insistèrent pour que j’aille au séminaire si bien que j’y suis allée à contre-cœur. En allant au lit ce soir-là, j’ai vu une lumière jaune briller au-dessus de mon lit à travers la fenêtre. Tout mon corps baignait dans la lumière. Je me suis levée et suis allée sur le balcon, et j’ai vu un homme portant une tunique jaune assis dans les cieux et irradiant une puissante lumière. La lumière jaune venait de lui.


Surprise, j’ai réveillé mon mari et lui ai dit : « Regarde, il y a un homme dans le ciel avec une longue tunique jaune. Tout son corps émet de la lumière. Sa lumière brille sur notre lit ! » Il est sorti du lit et s’est approché du balcon. Il a observé le ciel pendant un moment, puis il est revenu et a dit : « Je ne vois rien. S’agit-il du maître de qigong que tu as vu aujourd’hui ? » Je lui ai dit : « Ce n’est pas lui. Il était petit et mince. Les gens devaient l’aider à se déplacer. Non, ce n’était pas la même personne. Cet homme était grand et fort, assis en lotus avec ses mains reposant sur ses jambes. Il était assis dans les cieux. Comment pouvait-il être assis dans les cieux ? » Mon mari n'arrivait pas à le voir et il ne m’a pas crue. Il est retourné au lit.


Je n’arrivais pas à dormir. Je suis allée me coucher tandis que la lumière jaune m’éclairait toujours. Je me sentais très bien, mais j'ai commencé à avoir peur car la lumière ne disparaissait pas. Que faire ? je me suis enfoncée sous les couvertures et j’ai fermé les yeux, mais cela n’a pas marché. Je sentais toujours la lumière jaune exactement comme si j’avais les yeux ouverts. Je suis sortie du lit et je me suis allongée sur le sol en me couvrant avec la couverture mais ça n’a pas marché non plus. J’ai enlevé tous les vêtements de la penderie et suis entrée dans la penderie, mais la lumière m’éclairait toujours. Je suis allée dans la cuisine et je me suis mis une poêle à frire en fer sur la tête et j’ai pensé que cela ferait disparaître la lumière, mais cela ne marchait toujours pas. Je suis devenue nerveuse. Où que j’aille, la lumière me suivait. Je ne savais pas quoi faire. Il était 3 h 30 du matin. Je n’avais pas d’autre alternative que de laisser la lumière m’éclairer et je suis retournée au lit.

Le lendemain, je suis allée au travail et j’ai demandé à mes collègues : « Avez-vous vu un homme assis dans les cieux et qui portait une tunique jaune irradiant de la lumière jaune vers 22 h 30 ? » Ils ont dit qu’ils ne l’avaient pas vue. Certains m’ont demandé si j'avais rêvé. Je leur ai dit : « Non, ce n’était pas un rêve. La lumière m’éclaire encore maintenant. » Ils ne m’ont pas crue. Certains m’ont dit : « Tu es athée et tu ne crois en rien. Pourquoi es-tu si superstitieuse ? » Je me suis sentie trompée et impuissante, mais je ne pouvais produire aucune preuve. Ils me regardaient de façon cynique et m’adressaient des sarcasmes.


Je ne pouvais pas leur expliquer les choses clairement. Pourquoi une telle chose m’arrivait-elle ? J’avais l’habitude de cataloguer comme « superstitieux » ceux qui croyaient en Bouddha ou au traitement par le qigong. Maintenant, j’en faisais l’expérience. Je me suis posée la question : Était-ce vrai ou faux ? Ils pensaient que c’était faux, mais je l’avais vu et l'avais vécu et à ce moment précis, la lumière continuait à m’éclairer. Je sentais que c’était réel, mais pourquoi les autres n'en avaient-ils pas fait l'expérience ? Je ne comprenais pas, si bien que j’ai arrêté d’en parler pour éviter d'être confrontée aux sarcasmes des autres. J’avais eu autrefois la même attitude qu'ils manifestaient envers moi. Mon cœur connaissait un changement fondamental. C’était si réel. Comment pouvais-je ne pas y croire ? Oui, j’y croyais.


Un jour, où j’étais à bicyclette, je me suis sentie entourée de la chaleur de la lumière qui m’éclairait, mais je ne transpirais pas. J’ai appelé : « Maître. » J’avais crié si fort que les gens se sont retournés pour regarder. Intimidée, j’ai baissé la tête. Je ne savais pas quoi leur dire. La lumière jaune a mis 18 jours avant de disparaître petit à petit. J’ai décidé de trouver ce maître.


En 1985, j’ai subi une opération pour ne plus avoir d’enfants. Le médecin a endommagé mon appendice au cours de l’opération et a dû avoir recours à la chirurgie. Par la suite, mon appendice s’est infecté. Les années suivantes, j’ai subi six ou sept opérations et j’avais beaucoup de cicatrices sur le ventre. J’ai aussi souffert des effets secondaires : Quand je me penchais, un caillot de sang affluait là où mon appendice avait été opéré et c’était très inconfortable. Je souffrais aussi d’arthrite et j'ai pris 200 doses de plantes médicinales chinoises mais sans amélioration. Je souffrais également d'atrophie cérébelleuse capillaire. J’allais constamment chez le médecin, mais ma santé se détériorait de plus en plus. Il n'y avait pas un seul jour où je me sente bien.


En octobre 1997, l’une de mes voisines m'a dit : « Tu n’as pas l’air bien. Est-ce que tu veux venir avec moi pour pratiquer des exercices ? » Je lui ai demandé quel genre d’exercices. Elle m'a dit : « Le Falun Gong. C’est très bien et c’est gratuit. Les pratiquants sont tous très gentils. » Je lui ai dit : « D’accord. Je vais venir. »


J’ai fini par trouver le Maître et le Falun Gong

Le lendemain matin, sur le site de pratique l'assistante m’a enseigné les exercices. J’avais l’impression d’avoir retrouvé un parent que je n’avais pas vu depuis longtemps. Elle a corrigé mes mouvements avec gentillesse. Cela m’a fait chaud au cœur.


Elle m’a montré une grande photo avec des illustrations et des explications des mouvements. Quand j’ai vu les illustrations et les photos du cinquième exercice, j’étais stupéfaite : N’était-ce-pas le maître que j’avais vu assis dans les cieux en 1992 ? Mon Dieu ! J’avais fini par le trouver ! Je n’ai pu retenir mes larmes. J’avais le cœur qui battait fort et je tremblais. Pendant un moment, il m’a été impossible de dire un mot.

L'assistante m'a demandé ce qui n’allait pas. Je ne lui ai pas répondu avant d’avoir retrouvé mon calme. Je lui ai dit : « C’est le Maître que je cherchais. » Je lui ai raconté l’incident survenu en 1992. Elle m’a dit : « Tu es prédestinée. » Je me suis alors décidée à suivre le Maître jusqu’à l’accomplissement sans vaciller, quelles que soient les circonstances.


Depuis lors, j’ai étudié le Fa et pratiqué les exercices chaque jour, et aidé l'assistante à disposer les panneaux illustrant les exercices. Le matin, en hiver je voyais le Maître se tenir près de nous, pieds nus. J'ai pensé que si le Maître n’avait pas peur du froid, alors je ne le craindrais pas non plus.


Pendant quelques jours, j'ai senti que j’avais une infection au niveau du nombril. Plus tard, quelque chose de rouge foncé est sortir de mon nombril. Je l’ai retiré avec une aiguille et j’ai vu que c’était une chose ressemblant à un anneau avec deux petites cornes. En regardant de plus près, j’ai vu que c’était un anneau de fil noué que j’avais dans le ventre depuis plus de dix ans. Il est sorti d’un seul coup. Depuis lors, j’ai pu me pencher normalement et n'ai plus eu de douleurs abdominales. Un mois après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong, toutes mes maladies avaient disparu. Je pouvais faire du jogging jusqu’à l'arrêt de bus pour aller étudier le Fa.


Un jour d’hiver il faisait froid et il neigeait. Après avoir fini la pratique des exercices, j’ai vu qu’il ne restait que quatre pratiquants. J’étais gelée et j’avais le nez qui coulait. Petit à petit, j’ai réussi à pousser mon vélo jusqu’à mon domicile. Je tremblais après être arrivée chez moi, mais je n’avais pas froid. Depuis lors, j’ai eu le corps léger et senti que j’avais complètement changé.


Traduit de l'anglais en Europe