(Minghui.org) J’ai obtenu le Fa en août 1997. L’année dernière, j’ai été impliquée dans un accident de voiture, et mon crâne, mon dos et plusieurs de mes organes internes ont été blessés. La blessure sur mon doigt était si profonde que mon os était visible. Cependant, sans aucun traitement médical, mon crâne a guéri en trois jours, mon doigt en sept, les gonflements internes ont diminué, et six semaines plus tard j’étais retournée au travail.
Si je partage cette expérience c’est avec l’intention d’aider les gens à vraiment réaliser les effets miraculeux du Falun Dafa, et la différence qu’il y a dans la pensée entre un pratiquant et une personne ordinaire.
Le 6 avril 2013, vers 15 h 30, il pleuvait dans la ville de Laizhou, province du Shandong, et il y avait beaucoup de vent. Pédalant sur mon vélo sur le pont de la Police Militaire qui traverse le fleuve Nanyang, j’ai été percutée depuis derrière par un camion et renversée.
Sur le moment, bien que mon esprit fût vide, j’ai senti un liquide couler de ma poitrine dans mon abdomen. Après avoir repris connaissance, je me suis redressée pour m’asseoir et j'ai fait signe pour que le camion s’arrête. Il s’est arrêté 20 mètres plus loin, à l’extrémité ouest du pont.
Le chauffeur s’est précipité vers moi et s’est excusé : « Je suis désolé, M'dame. Je vous ai heurtée parce que j’ai essayé d’éviter une autre voiture. Je ne l’ai pas fait intentionnellement. » J’ai dit : « Je sais que vous ne l’avez pas fait exprès, ne vous en faites pas. »
J’ai essayé de me mettre debout mais n’ai pas pu, j’ai alors demandé au chauffeur de me donner un coup de main. Il était hésitant, disant qu’il voulait attendre la police. Je lui ai dit : « Je suis une pratiquante de Falun Dafa, et je ne vous ferai pas chanter. S’il vous plaît, aidez-moi à remettre mon vélo sur le trottoir et à me relever, ainsi nous ne bloquerons pas la circulation. »
Un passant m’a entendue et il a ramassé mon vélo, tandis que le chauffeur m’aidait à me mettre debout. Cet homme aimable m’a alors rappelé que je devais appeler ma famille. J’ai remarqué que ma main droite était cassée, le col et les manches de mon manteau étaient déchirés, j'avais quelques coupures dans le dos, et une très large sur mon index, qui saignait et l’os était visible.
J’ai demandé au chauffeur : « Avez-vous un bout de papier ? » Il m’en a rapidement donné un. J’ai entouré mon doigt avec et pressé dessus pour arrêter le saignement. J’ai alors appelé ma sœur qui est également une pratiquante et lui ai demandé à elle et à son mari de venir prendre mon vélo.
Ce chauffeur voulait appeler sa famille pour qu’ils apportent de l’argent afin que je puisse aller à l’hôpital. Il voulait également le notifier à la police. Je lui ai dit : « S’il vous plaît, n’appelez pas la police. Vous ne m’avez pas heurtée intentionnellement, mais ils vous mettront quand même une amende. Le vélo appartient à ma sœur. Si vous pouvez vous occuper de le réparer, alors je peux simplement rentrer chez moi. » Il m’a écouté, mais il continuait à refuser de me laisser partir. Il a arrêté un taxi et a essayé de m’y faire monter pour que j’aille à l’hôpital, mais j’ai décliné.
Ma sœur, mon beau-frère et la femme du chauffeur sont arrivés. Le chauffeur et sa femme s’occupaient de trouver un taxi pour m’emmener à l’hôpital, mais je ne voulais pas y aller. La troisième fois, je n’ai pas pu leur refuser de nouveau, donc je suis montée dans le taxi et suis allée l’hôpital Boai qui n’était pas loin.
Après qu’un médecin m’ait auscultée, il a dit que je devrais subir une intervention chirurgicale. Il y avait un document qu’il voulait que je signe avec mon empreinte digitale. Alors qu’il sortait de la pièce pour aller chercher l’encrier, j’ai pensé en moi-même : « N’aura-t-il pas à me prescrire un traitement ? Je détesterais qu’il fasse ça. »
J’ai dit à la femme du chauffeur, qui était très inquiète : « Nous devons partir. Je veux que vous économisiez votre argent. » Je me suis levée et j'ai commencé à partir. Elle était abasourdie. J’ai répété : « S’il vous plaît, allons-y. » Ce n’est qu’à ce moment-là qu’elle a été claire sur ce que je voulais dire.
Alors que nous partions, nous sommes tombées nez à nez sur le médecin dans le couloir. Il a demandé : « Pourquoi partez-vous ? Vous ne voulez pas être opérée ? » J’ai dit : « Non, je ne veux pas. »
La femme du chauffeur s’est appuyée contre mon épaule et s’est mise à pleurer. Elle a dit : « Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi gentil que vous. » Je lui ai dit : « Je suis une pratiquante de Falun Dafa. Je suis depuis en très bonne santé, donc je n’ai jamais pris ni médicaments ni injections. » Je leur ai alors clarifié les faits. Après qu’ils aient compris la vérité concernant la persécution du Falun Dafa, tous deux ont accepté de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.
Alors que nous quittions l’hôpital, ils ont encore voulu me donner de l’argent. J’ai refusé, mais ils ont insisté. Ils ont dit : « Vous pourrez utiliser l’argent pour acheter quelques vêtements décents. » Ma sœur a dit : « Faisons ainsi. Ma sœur a acheté son manteau d’hiver il y a trois ans. Il lui a coûté 50 yuans. Le vélo a également besoin d’être réparé. Donc le total s’élève à 100 yuans. C’est tout ce que nous prendrons. Nous sommes des pratiquants. Nous ne prendrons pas un sou de plus. »
Les témoins étaient très surpris. Ils ont dit n’avoir jamais vu quelqu’un gérer un accident de voiture comme nous l’avons fait, parce que nous n’avons pas pris l’argent offert. Après ça, le mari et la femme ont tenté de donner de l’argent à ma belle-sœur, mais elle non plus ne l’a pas accepté. Donc ma sœur et moi avons poussé le vélo jusqu’à la maison.
Après être rentrées à la maison, ma sœur m’a demandé d’enlever mes vêtements pour voir la gravité de mes blessures. J’ai dit : « Je vais bien, merci Maître ! Autrement j’aurais perdu la vie. » Quand j’ai enlevé mes vêtements et lui ai demandé de regarder mon dos, elle a dit : « Waouh ! Ton côté droit est plus haut que le côté gauche d’environ 5 à 7 centimètres. Ton bras est également enflé. »
Quand j’ai touché ma tête, il y avait sur le côté droit une bosse aussi grosse qu’un œuf. Quand j’ai appuyé dessus, elle s’est aplatie, et je n’ai rien senti de cassé. Quand elle l’a touchée, elle a senti la même chose. Ma sœur a dit : « Ça va aller. Aussi longtemps que tu continues à pratiquer les exercices et étudies le Fa, tu iras bien. » Et j’ai eu la même pensée. Je ne savais pas quels étaient les dommages internes que je pouvais avoir. J’avais mal quand je mangeais ou quand je respirais. J’ai alors pensé : « Je dois me rétablir rapidement, ainsi je n’aurai à pas retarder le travail pour Dafa. »
La nuit venue, j’avais tellement mal que je ne pouvais pas m’endormir. Je me suis alors assise et j'ai commencé à lire le livre. Quand je ne pouvais plus rester assise, je me suis étendue. Quand je n’ai plus pu rester étendue, je me suis levée. Je pouvais sentir que le Maître ajustait mon corps. Le Falun au-dessus de ma tête tournait très rapidement. Je ressentais de moins en moins la douleur.
Trois jours plus tard, ma tête était guérie et avait retrouvé son apparence normale. En l’espace de sept jours, les gonflements au niveau de mes bras et de mon corps avaient diminué. Mon doigt avec l’os apparent a guéri sans opération. Mon corps était encore un peu faible. Environ six semaines plus tard, je suis retournée travailler.
Traduit de l'anglais en Europe