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L'histoire d'un homme obstiné et comment il est devenu bon après avoir récité Falun Gong est bon !

6 août 2014 |   Écrit par un pratiquant de Daqing dans la province du Heilongjiang, Chine

(Minghui.org) Laoxizi est connu pour son obstination. Si quelqu'un dit est, il dit ouest. Si quelqu'un dit que c'est froid, il dit que c'est chaud. Il pense aussi que les prévisions météo sont un tas de sottises.

Laoxizi a aussi ses bons points. Il est aimable et aime aider les victimes d'injustices. Nous avons travaillé ensemble pendant plus de dix ans. Nous nous comprenions bien et avions une bonne relation. Laoxizi a sa propre compréhension des choses et quand il y a une inspection au travail, ses supérieurs lui donnent sa journée de libre, de peur qu'il ne dise la vérité.

Laoxizi était trop effrayé et confus pour s'obstiner quand le Parti communiste chinois (PCC) a répandu des mensonges sur le Falun Gong et a commencé la persécution le 20 juillet 1999. Même lui n'osait pas s'exprimer.

Laoxizi effrayé lors d'une fouille corporelle au cours de ma seconde arrestation

Je me suis rendu sur la place Tiananmen avec d'autres pratiquants au cours de l'hiver 2000 pour accrocher des affiches du Falun Gong. Quand je suis arrivé, j'ai crié : « Le Falun Gong est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! Notre Maître est innocent ! » J'ai été menotté, illégalement arrêté et emmené au poste local de police par le sous-directeur de la section de la sécurité et de l'économie de mon unité de travail.

Laoxizi ne savait pas que j'avais été arrêté quand j'ai été emmené au poste de police pour la deuxième fois. Il est venu me rendre visite et a découvert que deux agents de police fouillaient mon domicile. Ils l'ont interrogé et l'ont fouillé. Laoxizi, qui n'avait peur de rien, était terriblement effrayé. Cela est resté gravé dans sa mémoire après de nombreuse années.

Le comportement de Laoxizi a progressivement changé

J'ai été pauvre et sans domicile pendant trois ans. Je suis retourné travailler au printemps 2005 et j'étais dans l'équipe de travail de Laoxizi. Je lui ai parlé du Falun Gong et de la persécution, mais il ne voulait pas écouter. Il a mis ses lunettes, lu les Œuvres choisies de Mao Zedong et m'a parlé en direction de ses supérieurs.

J'ai laissé du temps passer et lui ai dit que le Falun Gong s'était répandu dans le monde entier et que ma santé mentale et physique s'était améliorée après l'avoir pratiqué. Il savait que je respectais les principes Authenticité-Bienveillance-Tolérance, que j'étais impartial et honnête au travail, que je n'étais pas corrompu, que je ne prenais pas les choses des autres, que je continuais à progresser dans mon travail et que j'obtenais des résultats remarquables. J'étais généralement reconnue comme une bonne personne au travail. Son attitude a commencé à changer et il me recommandait souvent auprès de nos supérieurs pour remplacer les autres au travail quand il y avait besoin.

Je suis un jour allé chez lui et l'ai interrogé sur sa santé et sa famille. Il a dit que tout le monde allait bien et il a sorti des fruits et des graines de tournesol pour moi. Il a dit que la plupart des responsables de notre pays étaient corrompus, que le PCC était pourri jusqu'au noyau et qu'il n'y avait aucune façon de corriger la situation. Il parlait avec enthousiasme, facilité et confiance. J'ai écouté calmement.

J'ai dressé une comparaison pour lui entre ce que je percevais être la nature du PCC : mensonge, perversité et lutte, avec les principes Authenticité-Bienveillance-Tolérance. J'ai dit : « Si quelqu'un t'envoie un message avec les mots « mensonge, perversité et lutte », tu l'auras. Cependant, tout message texte avec les mots Authenticité-Bienveillance-Tolérance » sera bloqué. Qui est bon et qui est mauvais ? Tu le sauras une fois que tu compares ces principes. » Il n'a pas répondu et a clairement reconnu la vérité.

Laoxizi a crié : « Je ne crois pas au PCC ; je crois en Falun Gong ! »

J'ai encouragé Laoxizi à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Il a dit qu'il voulait aller chez moi. Sur le chemin, j'ai fait le commentaire : « Laoxizi, le PCC et les responsables avides ont causé des désastres naturels et humains. Ce n'est pas une bonne idée d'être parmi eux quand ils chuteront. Pourquoi n'utilises-tu pas un alias pour démissionner de leurs organisations ? » Il a tout de suite été d'accord. Et ensuite il a levé les bras et a crié : « Je ne crois pas au PCC ; je crois en Falun Gong ! »

Laoxizi a démissionné à l'automne 2012. J'ai entendu qu'il souffrait d'un cancer de l'estomac au stade terminal et que son estomac avait été enlevé. Ma femme et moi sommes allés lui rendre visite et lui avons apporté un DVD de Shen Yun Performing Arts et des documents du Falun Gong. Il était épuisé et ne pouvait pas s’asseoir pendant très longtemps. Avant, il avait un bon teint et était bien en chair. Nous lui avons dit : « Seul Maître Li peut te sauver. Récite sincèrement : « Falun Gong est bon ! » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » Ces neufs mots peuvent sauver ta vie. » Nous lui avons donné 200 yuan quand nous sommes partis pour que sa famille puisse lui acheter des fruits. Lui et sa femme étaient très touchés.

Ma femme et moi sommes souvent allés lui rendre visite après cela. Il a dit : « la chimiothérapie a aidé d'autres personnes, c'est seulement moi qui n'a pas progressé. » Nous l'avons encouragé à avoir confiance et a croire fermement que ça irait mieux. Nous lui avons rappelé de na pas oublier les neufs mots qui pourraient lui sauver la vie.

Progressivement, il a été capable de sortir et de marcher. Son appétit s'est amélioré et il a été mieux en moins d'un an. Il se promenait souvent au marché avec ses amis. Il est venu au mariage de notre fille fin 2013. Il a monté six étages sans être fatigué. Il avait complètement récupéré.

Traduit de l'anglais en Belgique