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Pendant d'importantes tribulations, croire dans le Maître et le Fa est crucial

12 janvier 2015 |   Écrit par un pratiquant de Dafa de Chine continentale

(Minghui.org) Un jour, j'avais prévu écrire mon partage et l'envoyer au site Minghui. J'ai commencé à l'écrire à 13 h, mais à 16 h je me sentais mal dans tout le corps. J'avais la sensation d'être attaché à une corde.

J'ai recommencé à écrire vers 19 h, mais une heure plus tard ma vision est devenue floue, j'avais mal aux deux côtés des côtes et mes jambes étaient gelées. Je me suis assis sur le lit et j'ai commencé à émettre la pensée droite.

Puis, ma petite fille est arrivée à la maison après sa classe de soir. Elle ne pouvait pas terminer son devoir parce qu'elle avait perdu son livre. Elle pleurait et cherchait son livre partout dans la pièce et me blâmait en même temps. Il a fallu une heure pour trouver son livre et je n'ai pas pu émettre la pensée droite. Je savais que c'était la perversité qui interférait.

À 22 h, la douleur dans mon dos s'est propagé à ma poitrine. Je ne pouvais pas soulever les bras. Après avoir émis la pensée droite pendant une demi-heure, ma recherche de confort a fait surface et je suis allé au lit. En quelques minutes, toute la partie supérieure de mon corps était douloureuse et je pouvais à peine tourner d'un côté ou de l'autre dans le lit. Il a fallu beaucoup d'effort pour m'asseoir ; mon corps était en feu. Je me suis dépêché de m'asseoir sur le côté du lit et en cherchant un oreiller, mon dos ne voulait pas plier. La douleur atroce m'a donné des nausées ; j'ai senti que j'allais vomir et avoir la diarrhée en même temps. Je me suis dirigé vers la salle de bain.

J'ai pensé que c'était une fausse impression ; c'était la persécution de la perversité et je ne devais pas être affecté par cela. Avec cette pensée, toutes les nausées, vomissements et diarrhée ont cessé, mais les autres symptômes ont persisté. Je voulais qu'un autre pratiquant, qui vivait au troisième étage, émette la pensée droite avec moi. Cependant, j'ai hésité pensant que c'était ma propre tribulation et que je devais la passer par moi-même. (J'ai réalisé plus tard, avec une compréhension plus claire que ce n'était pas une tribulation – c'était la persécution de la perversité.)

Je transpirais à cause de la douleur. Je me suis assis dans les escaliers en attendant d'émettre la pensée droite, puis j'ai levé les yeux et j'ai vu que la lumière de la chambre de mon fils était encore allumée. Je ne voulais pas qu'il interfère avec moi, donc je me suis levé et m'en suis retourné. Après seulement quelques pas, je sentais que deux gros couteaux me coupaient sur le côté de la cage thoracique. J'avais la sensation que mon corps avait été coupé en deux. La douleur extrême m'a coupé le souffle et je tremblais de partout. Mon cœur battait la chamade et mes genoux fléchissaient presque sous mon poids.

Je me suis mise en garde moi-même de ne pas tomber, mais il n'y avait rien d'autre que la douleur dans mon esprit. J'ai entendu une voix : « La perversité vient prendre ta vie. La perversité est venue pour toi. » Seulement à ce moment-là, j'ai réalisé ce qui se passait, j'ai pensé : « Ce n'est qu'une illusion ! Je ne vous donnerai pas ma vie. »

Je me suis avancé et me suis agenouillé devant le portrait du Maître et j'ai demandé au Maître de m'aider. Puis, je me suis assis et j'ai croisé mes jambes ; ma respiration n'était pas profonde et mon dos se balançait d'avant en arrière comme s'il se fusionnait à mon corps. La douleur était au-delà de tout, mais j'ai dit à la perversité : « Vous m'avez persécuté à un tel point que je ne peux pas dormir, rester debout ou assis et vous ajoutez encore de la douleur. Je vais vous éliminer aujourd'hui. Je ne vous abandonnerai pas tant que vous ne serez pas complètement éliminé. Maître veuillez me renforcer. »

Une énergie m'a poussé et a redressé mon dos pour moi. J'ai dressé la paume malgré la douleur exorbitante dans mon dos. J'ai pensé que c'était une bonne chose. Juste comme le Maître a dit :

« Nous disons que le bien ou le mal surgit d’une seule pensée... » (Quatrième leçon dans le Zhuan Falun)

À ce moment-là, ma respiration est redevenue normale. La sensation d'avoir les deux côtés du corps coupés en deux s'est retirée et la douleur a diminué à la façon d'une eau glacée qui fond dans l'eau bouillante. Elle a disparu sans laisser de trace.

En quelques minutes, la douleur qui avait saisi mon corps entier a disparu comme si elle n'était jamais apparue.

« Si les disciples sont emplis de pensées droites

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel »

(La grâce entre Maître et disciples » dans Hong Yin Vol. II)

Le Maître m'a une fois de plus sauvé. Le Maître a éliminé la perversité qui était venue prendre ma vie.

La persécution était tellement grave. Après avoir rencontré cela, j'ai commencé à chercher à l'intérieur pour trouver l'insuffisance dont on avait tiré avantage. J'ai trouvé que je manquais de patience. J'ai trouvé que j'avais une mentalité à me faire valoir ainsi qu'à la compétition, je me concentrais à faire les choses, poursuivais le confort, m'étais relâché dans l'étude du Fa et n'étais pas toujours attentif quand j'émettais la pensée droite.

J'y ai pensé pendant un moment et j'ai décidé de le partager avec les compagnons de cultivation comme un rappel. J'espère que mon histoire les aidera s'ils traversent d'importantes tribulations.

Au cours des années, nous avons lu plusieurs articles similaires dans l'hebdomadaire Minghui. Certains pratiquants sont subitement décédés du karma de maladie. Ma compréhension sur cette question inclut quelques points :

1. Ils n'étaient probablement pas au courant de leurs attachements depuis une longue période, donc ils ne les ont pas éliminés. La perversité s'est emparée de cette insuffisance et a intensifié la persécution ;

2. Ils ont déjà passé le cours prédestiné de leur vie et le temps prolongé était seulement réservé pour la cultivation. Mais ils n'ont pas chéri l'opportunité de la cultivation, ils ne cultivaient pas avec diligence et au lieu de cela ils se concentraient à profiter de leur vie de personne ordinaire ;

3. Quand une tribulation majeure les frappait, ils mélangeaient dans leur esprit la pensée droite et leur cœur humain pendant qu'ils se trouvaient sur leur lit de mort et demandaient l'aide du Maître.

Tout le monde sait que nous avons besoin de nier la persécution de la perversité. Cependant, c'est plus facile à dire qu'à faire. Croire fermement dans le Maître et le Fa est crucial quand nous traversons d'importantes tribulations. Peu importe comment la perversité est féroce, elle n'est pas en mesure de s'échapper des mains du Bouddha. Chaque amélioration et élévation des disciples de Dafa implique une énorme endurance, générosité et protection du Maître. Sans le Maître, nous n’avons rien.

Je voudrais partager le Fa du Maître pour s'encourager les uns les autres :

« Par diligent, on entend qu’il peut à tout moment faire attention à ses propos et à ses comportements, à ses pensées et qu’il peut avoir des exigences strictes envers lui-même, avoir constamment des exigences strictes envers lui-même. Voilà quelqu’un qui avance diligemment dans sa cultivation et pratique personnelle. (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi à la capitale des États-Unis » dans Enseignements de Fa dans les conférences VII)

Traduit de l'anglais au Canada