(Minghui.org) « Pourquoi venons-nous dans ce monde » ? Je me posais beaucoup cette question quand j'étais jeune. J'ai cherché la réponse dans une quantité de livres mais je ne trouvais rien. Quel était le vrai sens de la vie ?
Dès que j'ai quitté l'école secondaire, je suis allée travailler afin d'aider à soutenir ma famille. Beaucoup de mes collègues étaient de jeunes filles qui aimaient discuter des façons de trouver un travail agréable, de quel genre de petits amis elles aimaient et de quelle marque de vêtements elles aimaient, toutes des choses qui ne m'intéressaient pas du tout.
Depuis mon enfance, j'ai eu toutes sortes de problèmes de santé : une entérite, une cholécystite, une pancréatite, une maladie cardiaque et un problème à l'estomac qui me causaient beaucoup de désagrément. Je ne pouvais rien manger de froid et je devais même réchauffer les fruits avant de pouvoir les manger. J'ai failli mourir d'un empoisonnement au monoxyde de carbone en 1993, après quoi ma santé s'est encore détériorée.
Ensuite, il s'est passé quelque chose d'encore plus étrange. La couleur de ma peau est devenue plus foncée, surtout le visage. J'avais peu d'appétit, je souffrais d'insomnie et de fatigue généralisée. Personne ne savait ce que j'avais, donc mon mari m'a emmenée à Pékin.
Après avoir été hospitalisée pendant un mois et avoir dépensé 10 000 yuan, on m'a diagnostiqué la maladie d'Addison aussi connue sous le nom d'insuffisance de la glande surrénale. Un spécialiste de l'hôpital à Pékin m'a dit qu'il s'agissait d'une maladie très rare et pour laquelle il n'existait aucun remède spécifique, sauf le remplacement d'hormones.
Le médecin m'a expliqué que je devais prendre des médicaments pour le restant de mes jours, que je devais éviter de prendre froid, ne pas trop me fatiguer et ne pas trop m'emporter. Je devais d'augmenter le dosage des médicaments si j'avais des problèmes.
J'étais découragée. Quel sens y avait-il à vivre comme cela ? J'étais une grande malade ! J'étais enfermée chez moi sans rien pouvoir faire. Mon mari s'occupait des tâches ménagères et ma mère prenait soin de notre enfant. Je trouvais que j'étais comme une bougie brûlée presque jusqu'au bout, prête à s'éteindre à tout moment dans un dernier crépitement.
Mon mari a commencé à apprendre le Falun Dafa en 1995 et m'a demandé de me joindre à lui. Je lui ai dit de bien le pratiquer. Je ne croyais pas que pratiquer puisse faire une différence à ma vie.
J'ai attrapé un très mauvais rhume en février 1996. Je suis restée allongé au lit, la poitrine serrée, et je toussais et sommeillais. Mon mari m'a dit : « Laisse-moi te lire le Zhuan Falun ». J'ai accepté. Après un moment, je me sentais mieux. Plus j'écoutais plus je réalisais à quel point le livre était bon.
Le lendemain matin, j'avais la nausée et j'ai vomi du sang rouge foncé. Mon mari avait peur. Mais après, je me sentais très légère et à l'aise. Je lui ai dit : « Je me sens formidablement bien ! »
Mon mari était enchanté : « C'est le pouvoir de Dafa ! Le Maître purifie déjà ton corps. Apprends donc le Falun Dafa avec moi. »
J'étais ravie : « Oui, commençons tout de suite. »
À partir de ce moment-là, ma vie a été renouvelée. Je me suis engagée sur le chemin de la cultivation et de la pratique ».
Le Maître a purifié mon corps une étape après l'autre. Peu de temps après, tous mes problèmes de santé ont disparu. J'ai mis tous mes médicaments à la poubelle. Je me sentais si légère quand je marchais, comme si je flottais. Je n'étais plus une grande malade ! Ma famille, mes amis et mes voisins ont tous vu le changement énorme en moi, et plusieurs d'entre eux ont aussi commencé à cultiver et pratiquer.
J'ai lu le Zhuan Falun chaque jour, fait les exercices et me suis immergée dans la lumière de Bouddha. J'étais tellement heureuse. Non seulement Dafa m'avait purifié le corps, mais il avait aussi nettoyé mon esprit.
Je savais comment être une personne bonne et vertueuse et comment être attentive aux autres. Je savais maintenant que le vrai sens de la vie était de profiter de cette occasion unique pour pratiquer le Falun Dafa et retourner à mon véritable foyer, mon monde céleste.
Je suis allée dans ma ville natale au printemps de 1997. À mon arrivée, mon père était en train de nettoyer la remise. Il y avait deux sacs de riz et un sac de sable. Mon père ne pouvait pas les soulever donc je me suis approchée et sans la moindre difficulté, j'ai soulevé les sacs de riz et les ai posés sur la table et j'ai mis le sac de sable dans la cour.
Ma mère s'est exclamée : « Quand tu m'as dit que tu allais bien, je ne savais pas s'il fallait vraiment te croire. Regarde-toi maintenant, tu as une telle santé ! » À partir de ce moment elle a raconté à tout le monde que le Falun Dafa avait guéri sa fille.
J'ai beaucoup enduré après le début de la persécution en juillet 1999 mais rien ne peut me faire changer ma croyance. Le Maître et Dafa ont renouvelé ma vie. Jamais je ne pourrai rembourser la grâce du Maître. Aider le Maître dans la rectification de Fa et accomplir mes vœux historiques sont les seules choses que je peux faire.
Traduit de l'anglais en France