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Fahui de Minghui | Sauvegarder le Fa avec dignité, sauver les êtres avec compassion

20 novembre 2015

(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !

Je pratique le Falun Dafa depuis 19 ans. Les mots me manquent pour exprimer ma reconnaissance envers le Maître et Dafa. J'aimerais partager mes expériences de sauvegarder le Fa et sauver les êtres. Veuillez me corriger si quoi que ce soit est inapproprié dans mon partage.

1. Sauvegarder le Fa avec dignité et désintégrer la persécution

En l'an 2000, comme tant d'autres pratiquants, je suis allé à Pékin faire appel pour Dafa quand la persécution a commencé. Après être revenu de Pékin, j'ai été arrêté et incarcéré dans un centre de détention local. Les policiers ont exigé que j'écrive une lettre de garantie selon laquelle je renonçais à Dafa. Au lieu de cela, j'ai écrit que j'allais « cultiver éternellement et ne jamais abandonner. » Ils ont eu peur que mon esprit déterminé influence les autres pratiquants du centre de détention, ils m'ont donc transféré à un autre centre de détention et ont menacé de m'envoyer dans un camp de travail.

Quand je suis entré au centre de détention, instinctivement, j'ai saisi la main du chef. Le grand homme était stupéfait et a essayé de se libérer de ma prise. De nombreux agents de police sont venus pour l'aider. Ils m'ont tiré les bras. Je l'ai tenu fermement sans lâcher prise et personne n'était capable de me pousser de côté.

Ils ont demandé ce que je voulais. J'ai dit : « Je l'emmène avec moi en prison. Aucune bonne personne ne devrait être emprisonnée là-bas. Mais vous autres, vous piétinez les lois et la moralité. Je suis un pratiquant de Falun Dafa et je respecte le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, et maintenant, vous allez m'envoyer en prison. Euh, je pense que ce grand gaillard est un homme bon - il a l'air d'un homme bon, donc je l'emmène en prison. »

Le chef m'a demandé : « Ai-je enfreint une loi ? » J'ai répondu : « Vous avez tué des personnes et mis feu à des résidences. » Il s'est plaint à haute voix : « Non, jamais. » J'ai dit « Mon Maître nous enseigne à être de bonnes personnes, à élever nos critères moraux et être prévenant envers les autres. Je n'ai jamais enfreint de loi, mais je me trouve ici aujourd'hui. À qui dois-je réclamer la justice ? »

De nombreux policiers nous entouraient, mais personne ne pouvait me faire lâcher ma prise sur sa main. Les membres de ma famille sont arrivés. Ils ont demandé à la police quelle loi j'avais enfreint. Une douzaine d'agents de police étaient sans voix. Le directeur du Bureau 610 est venu lui aussi, mais il ne savait pas quoi faire. Finalement, ils ont dû me mettre en liberté. Je suis rentré chez moi avec ma famille.

2. Sauver les personnes qui travaillent en tant qu'autorité policière

Il y a quelques années, le Bureau 610 régional avait chargé deux agents de police de me surveiller chaque jour. J'ai décidé de leur clarifier la vérité. À ce moment-là, les compagnons de cultivation déposaient des documents de clarification de la vérité devant ma maison chaque jour, donc j'en ai donné quelques-uns aux policiers. Ils aimaient bien les lire. Après quelque temps, il semblait qu'ils ne pouvaient plus vivre sans les documents. Il me demandaient des livrets chaque jour, parce qu'ils voulaient apprendre ce qu'était réellement le Falun Gong. Ils m'ont également dit que j'allais devoir donner tous les documents que je trouvais devant ma maison aux autorités locales. Cette exigence m'a ouvert la porte pour clarifier la vérité aux autorités locales.

Un jour, j'ai reçu un dépliant qui était une lettre ouverte des pratiquants aux autorités locales. « Magnifique, c'est parfait ! » ai-je pensé. « Je dois aller leur donner le plus vite possible et leur faire connaître la vérité afin qu'ils ne suivent pas Jiang Zemin. » Je ne traitais pas les gens chargés de faire appliquer la loi comme des ennemis. Au contraire, je croyais qu'ils étaient des personnes qui avaient été trompées par les mensonges et devraient être sauvées. Le Maître veut que je les sauve.

J'ai fait de nombreuses copies du dépliant, je les ai placées avec des piles d'autres documents et j'ai rendu visite à de nombreux bureaux de fonctionnaires. J'ai donné une pile de documents à chaque bureau, y compris le bureau du maire, le département de la police, le Parquet, la Cour, les centres de détention et les bureaux de bourgs. J'ai également rendu visite à de nombreuses écoles. J'ai demandé aux fonctionnaires de lire avec attention les documents et je leur ai dit que chacun a le droit de faire un choix pour son futur.

La plupart des fontionnaires étaient contents de recevoir des documents de Falun Gong. Ils m'ont promis qu'ils allaient les lire avec attention. Parfois, les gardiens de sécurité aux portes essayaient de m'arrêter. Je leur disais toujours : « Vos chefs m'ont dit que je dois leur soumettre tous les documents de Falun Gong que j'ai. Ne m'arrêtez pas. Vous serez bénis si vous connaissez la vérité sur le Falun Gong. De plus, je n'essaie pas d'entrer en douce dans le bâtiment. Je vais accueillir vos chefs à bras ouverts. De quoi avez-vous peur ? » Ensuite, ils me laissaient entrer.

Le Maître a dit :

« En réalité la compassion est une énergie immense, l’énergie des divinités droites. Plus il y a de compassion, plus l’énergie est grande, n’importe quelle mauvaise chose peut être désintégrée. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence internationale de Loi de Washington DC 2009 »)

Quand nous essayons de sauver les gens avec compassion, ils peuvent vraiment sentir notre compassion ; les éléments pervers dans leurs notions humaines ne seront pas capables d'interférer, parce que la perversité est contrainte par les lois du Ciel.

3. La protection du Maître et les miracles

Quand je suis allé à Pékin en 2000 faire appel pour Dafa, un policier a essayé de me donner un coup de poing. À ce moment, le Maître m'a déposé sur un Falun. Quand la police a essayé de me donner un coup, mon corps s'est automatiquement retourné rapidement.

J'ai refusé de dire mon vrai nom à la police à Pékin, ils m'ont donc envoyé dans un poste de police dans la province du Liaoning. Le policier m'a frappé très fort, mais le Maître a installé un capuchon en or qui me couvrait. Ils m'ont frappé de 15 h jusqu'à minuit. Au niveau superficiel, mon corps était fortement blessé. Mais, je ne sentais pas vraiment la douleur. Les policiers qui m'avaient frappé au contraire étaient blessés aux mains et aux pieds. Certains roulaient par terre à cause de la douleur et s'écriaient : « Falun Gong, pardonnez-moi, Falun Gong, aidez-moi ! » Ensuite, je leur ai clarifié la vérité. Ils ont cessé de me torturer et ont promis de bien traiter les pratiquants de Dafa dans le futur. Ils ont promis qu'ils n'allaient pas suivre les politiques de la persécution.

À une autre occastion, j'ai été détenu dans un centre de lavage de cerveau qui était directement supervisé par les autorités centrales. J'ai émis la pensée droite directement en visant le directeur du centre. Il a crié et a dit qu'une lumière dorée lui tirait dessus et lui donnait des vertiges. Il est parti en courant et n'a plus osé venir me voir ensuite.

J'ai été arrêté et mis en prison à différents endroits de nombreuses fois depuis 1999, y compris dans des centres de détention, postes de police, camps de travail et centres de lavage de cerveau. Si ce n'était de la protection du Maître, chaque tribulation m'aurait tué. Mais aussi longtemps que les disciples de Dafa croient fermement en le Maître et le Fa, dans des conditions d'environnement aussi rudes, le Maître nous protège afin que nous puissions passer le test. En plus, j'ai nettement su distinguer que le niveau de mon xinxing s'est élevé chaque fois que j'ai passé un test. La protection du Maître me fait toujours éclater en sanglots et cela m'encourage à cultiver solidement et à bien faire les trois choses.

Être prévenant et ne pas se plaindre

Chaque fois que j'étais emprisonné, des agents de police me faisaient des louanges de « héros » et m'admiraient et me montraient du respect. Je leur ai toujours dit : « Mon Maître ne nous mène pas vers une sorte de révolution sociale ou politique. Il nous mène dans la cultivation et pratique. Notre but est d'élever notre niveau et retourner à notre origine première. Je ne suis pas un soi-disant héros. Je suis une particule de Dafa. »

Je leur ai parlé aussi de combien notre Maître est grandiose et bienveillant, et de la grandeur et du caractère indestructible de Dafa. Je leur ai dit de ne pas persécuter les pratiquants de Falun Gong, parce cela leur entraînera des problèmes. Les policiers m'ont dit qu'ils pouvaient sentir ma compassion et que nombre d'entre eux ont commencé à traiter les pratiquants avec gentillesse.

De temps à autre, je clarifiais la vérité en public en compagnie d'un autre pratiquant le matin. Quand nous rencontrions des problèmes et que les policiers essayaient de nous arrêter, ce pratiquant partait chaque fois en courant. J'ai les paroles du Maître en tête :

« J'ai dit qu'un cœur imperturbable domine dix mille agitations. »

(« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi au Canada 2005 »)

J'ai gardé de fortes pensées droites et j'ai demandé l'aide du Maître. Ensuite, j'ai clarifié la vérité aux agents de police. Avec le souhait ferme de sauver les policiers, j'ai toujours bien passé le test. Je n'ai jamais été coincé ni en réel danger.

Après ces incidents, je ne me suis jamais plaint de ce pratiquant et j'ai continué à coopérer avec lui pour clarifier la vérité. Je l'ai également remercié de m'avoir offert la possibilité d'élever mon xinxing.

Chaque fois que je clarifie la vérité en public, je crois vraiment que le Maître m'envoie vers ces personnes et qu'aucune entité perverse ne peut me toucher. Je sais que quand je parle aux gens, le Fashen du Maître est avec moi. Toutes sortes de bons êtres divins me protègent également quand je fais les trois choses dans le monde humain. Je n'ai rien à l'esprit à l'exception de suivre les enseignements du Maître et de sauver les êtres.

Pendant mes 19 ans de cultivation, le Maître m'a trop donné et il n'existe pas de langue qui sache exprimer mon appréciation. Tout ce que je peux faire est de cultiver assidûment, bien faire les trois choses et suivre le Maître jusqu'à notre origine première, car c'est ce que le Maître veut vraiment.

(Douzième conférence de partage d'expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais en Belgique