(Minghui.org) Je n'avais pas réalisé à quel point la cultivation est une affaire sérieuse. J'étais attaché à ma propre façon de faire les choses et en conséquence, j'ai dû en tirer deux leçons.
Une mauvaise phrase a déclenché des douleurs d'estomac
L'an dernier, j'ai rendu visite à mon ancien lieu de travail. Certains de mes anciens collègues ont dit : « Tu sembles si jeune ! » Plusieurs amis m'ont étreint et l'un d'eux a dit : « Quels compléments prends-tu ? Tu as une mine superbe ! »
Je leur ai parlé du Falun Dafa et de la persécution et les ai aidés à démissionner du Parti communiste chinois (PCC). J'ai pensé que j'avais suffisamment clarifié la vérité et j'ai fait une blague sarcastique : « Tout cela n'est qu'une illusion » en parlant du Falun Dafa. Dès que je me suis entendu dire cela, j'ai été choqué. Comment pouvais-je dire une chose pareille ?
Sur le chemin du retour chez moi, j'ai commencé à avoir mal au bas-ventre. Lorsque je suis arrivé à notre site de production de documents, la douleur était si intense que je ne pouvais plus redresser le dos. Mon visage était pâle et j'étais couvert de sueur.
J'ai demandé à deux compagnons de cultivation d'émettre la pensée droite pour moi. J'ai réussi à m'asseoir en une position droite pendant qu'ils émettaient la pensée droite, mais dès qu'ils ont arrêté, la douleur insupportable est revenue. Un pratiquant a suggéré que je regarde à l'intérieur pour trouver les lacunes que j'avais.
Je me suis assis pour faire la méditation et j'ai aussi regardé à l'intérieur. J'ai soudain pris conscience que lorsque j'avais dit avec désinvolture : « Tout cela n'est qu'une illusion », ce problème a commencé. Le Maître m'a tant donné et a purifié mon corps, mais j'ai fait cette blague et dit que cela n'était pas réel. J'ai réalisé que cela reflétait mon attitude envers Dafa. Je n'avais pas réalisé combien la cultivation est une affaire sérieuse !
Lorsque j'ai compris ce qui s'était passé et que j'ai véritablement regretté ce que j'avais dit, la douleur a disparu. Alors que je continuais d'émettre la pensée droite, je me suis senti entouré par un puissant champ d'énergie blanc, d'un mètre de large environ. Je n'avais jamais fait cette expérience auparavant. Je savais que le Maître avait effacé ma douleur et m'avait laissé ressentir le champ d'énergie. J'ai pleuré.
Je suis tombé deux fois
Quelques pratiquants et moi avons mis en place un grand atelier pour imprimer des livres et autres documents de Dafa. Nous avons fait de notre mieux pour produire des ouvrages de qualité.
Pour permettre à notre atelier de fonctionner régulièrement et en toute sécurité, nous nous sommes mis d'accord que nous devions tous bien faire les trois choses et que chaque personne qui n'étudiait pas bien le Fa et n'était pas dans un bon état de cultivation ne devrait pas venir à l'atelier.
Même si j'avais mémorisé le Zhuan Falun près de cent fois, je ne regardais pas à l'intérieur pour trouver mes attachements. Je pensais que tout ce que je faisais était correct.
J'utilise neuf téléphones portables pour parler du Falun Dafa aux gens et les aider à démissionner du PCC. J'avais beaucoup de succès et j'étais très satisfait de moi. J'ai amené mes téléphones à l'atelier pour pouvoir passer des appels pendant que je fabriquais des documents. Un pratiquant m'a rappelé les règles de sécurité. « Il n'y a pas d'inquiétude à avoir, nous sommes en ville et il y a beaucoup de signaux téléphoniques », ai-je dit.
Le 28 janvier, il neigeait et je rentrais chez moi en vélo. Alors que je m'apprêtais à emprunter une route principale, mon vélo a glissé et je suis tombé. Je n'ai pas regardé à l'intérieur, j'ai juste pensé que le sol était verglacé et que je ferais mieux d'être plus attentif.
Dès que je suis arrivé chez moi, j'ai réalisé que je n'avais plus mon sac. Le sac contenait de l'argent, ma carte bancaire et mes neuf téléphones. J'étais bouleversé et j'ai immédiatement appelé les pratiquants qui étaient toujours à l'atelier et leur ai demandé de m'aider à chercher le sac.
J'ai repris la route et je suis de nouveau tombé. Cette fois, je me suis blessé et je n'ai pas réussi à me relever avant un long moment. Plusieurs jeunes hommes sont venus m'aider. Je me suis relevé lentement et suis remonté sur mon vélo.
Un vieil homme fermait son magasin, qui n'était pas très loin de là où j'étais tombé la première fois. Je lui ai demandé s'il avait vu le sac, mais il a répondu que non. Mon sac était de couleur sombre et si personne ne l'avait ramassé, il devait être facile à repérer dans la neige. J'ai décidé que quelqu'un l'avait sans doute pris.
Lorsque je suis arrivé à l'atelier, les pratiquants ont dit qu'ils avaient cherché plusieurs fois mais n'avaient pas pu trouver mon sac. Un pratiquant a suggéré que je me calme et cherche l'attachement qui avait provoqué cette situation.
Je me suis assis et j'ai regardé à l'intérieur. Mes compagnons de cultivation m'avertissaient sans cesse que je ne devrais pas passer d'appels téléphoniques depuis l'atelier pour des raisons de sécurité, mais je les ignorais et continuais à faire les choses à ma façon. Pourquoi persévérais-je toujours à faire les choses à ma façon ? Cet attachement humain devait être éliminé.
Je suis rentré chez moi en marchant et en poussant mon vélo. Lorsque je suis arrivé à l'endroit où j'étais tombé, j'ai vu que mon sac était juste là dans la neige. J'étais bouleversé ! J'étais passé plusieurs fois devant cet endroit et je n'avais pas réussi à le trouver.
Des larmes de gratitude et d'étonnement m'ont coulé sur les joues devant la bienveillante miséricorde du Maître.
Traduit de l'anglais en Belgique