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Le Maître peut nous protéger si nous nous conformons aux critères du Fa

20 février 2015 |   Écrit par un pratiquant de la province du Heilongjiang, en Chine

(Minghui.org) Chaque pratiquant de Falun Dafa est familiarisé avec le terme « karma de maladie », et ce sujet est souvent abordé dans les articles de partage d'expérience. Les pratiquants sont conscients qu'ils ont traversé de nombreuses réincarnations, ce qui leur a laissé du karma à régler vie après vie.

Il est important de voir comment nous comprenons et traitons la question de l'élimination du karma.

La puissance de Dafa peut résoudre les questions d'élimination du karma, y compris la mort. La clé est de savoir si la pensée d'un pratiquant est dans le Fa ou traite de ces questions sur la base de notions humaines, principalement celles qui sont nées de l'égoïsme. Outre ce qui a été mentionné précédemment, quand il s'agit de la vie d'une personne de la naissance à la mort, il y a des facteurs qui proviennent des arrangements des forces anciennes.

C'est seulement en niant de tels arrangements que nous pouvons les rejeter et retourner vers la cultivation pendant la période de la rectification de Fa arrangée par le Maître.

Refuser de discréditer Dafa

Je travaille dans une pharmacie. Il y a quelques années, l'officine offrait des bilans médicaux gratuits. Quand de nombreux clients m'ont entouré pour une consultation, mon cœur s'est senti comme tiré par l'arrière hors de ma poitrine avec un gros crochet. Entre autres symptômes, je ne pouvais plus respirer et je me sentais pris de vertiges.

Malgré le terrible malaise, je pensais que, en tant que pratiquant, je ne pouvais pas discréditer Dafa. Mon responsable et mes collègues savaient que j'étais un pratiquant, et ils avaient tous démissionnés du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organismes affiliés. Par conséquent, j'ai supplié le Maître de m'aider, et en même temps j'ai émis la pensée : « Je suis un disciple du Maître et je ne reconnais ni n'accepte aucun autre arrangement. »

J'ai continué à répondre aux questions des clients sans laisser transparaître mon malaise. Je n'ai pas faibli ni eu peur. Au contraire, je me sentais inébranlable avec la pensée que je croyais en le Maître.

Quand j'ai fini de parler au dernier client, j'ai dû me tenir à la table pour pouvoir rester debout. J'ai éteint l'ordinateur et j'ai fait un pas. Puis j'ai fait un second pas, et un pas après l'autre je suis allé de la boutique à la pharmacie à côté, où ma tâche suivante m'attendait. C'était très difficile. J'étais au bord de la défaillance, mais j'étais très calme.

Une compagne de cultivation était à la pharmacie. Elle a remarqué que j'étais pâle et mes lèvres cyanosées. Elle m'a demandé si j'allais bien, et a renforcé ma pensée droite. À ce moment, la douleur a diminué, et après le déjeuner j'étais redevenu moi-même. J'ai appris que, tant que nous restons dans le Fa, rien n'est un problème !

Ne pas reconnaître l'inconfort

L'été dernier je me sentais pas bien et j'avais mal. Le bout de mes doigts et mon visage s'étaient engourdis. Ma première pensée a été : « Je suis un pratiquant. Rien ne va mal pour moi, et rien ne peut interférer avec moi. »

J'ai décidé que je devais continuer à agir comme si de rien n'était. J'ai attrapé un balai pour balayer le sol, et l'engourdissement s'est propagé jusqu'à mon coude. Ma langue était un peu raide quand je parlais, mais je continuais à travailler. Une compagne de cultivation m'a demandé ce qui n'allait pas, et j'ai répondu que j'allais bien. Je pensais que parler de cela à quelqu'un était, en soit, une forme d'acceptation de la situation. Si je lui avais demandé de m'aider à émettre une forte pensée droite, j'aurais nié mes propres capacités.

J'ai alors commencé à perdre le contrôle de mon pied gauche, mais j'ai continué ce que je faisais. Après une demi-heure, mon état ne s'était pas amélioré. Je pensais que rien ni personne ne pouvait me persécuter, parce que j'étais un disciple de Maître Li Hongzhi. Même si je n'avais pas bien cultivé, cela n'avait rien à voir avec cette attaque. J'ai continué à travailler et à discuter avec les pratiquants.

Tous les symptômes ont disparu vers midi.

J'ai décidé de discuter de l'incident avec les compagnons de cultivation et j'ai regardé à l'intérieur. J'ai réalisé que c'était juste un processus d'amélioration sur mon chemin de cultivation.

Le Maître a dit :

« À présent, que ce soit une élimination de karma ou une interférence de la perversité, c'est toujours l’œuvre des forces anciennes, c'est la même chose, avec différentes appellations. Tout ce que font les forces anciennes, je le nie, je ne le reconnais pas, d’autant que les disciples de Dafa ne devraient pas être amenés à endurer de telles souffrances. » (« Enseignement de Fa à la conférence de Fa dans la grande région de New York 2013 » (avec questions-réponses))

D'après le Fa, nous savons que Maître n'accepte pas la persécution, nous devons donc la nier. Ne pas la reconnaître veut dire que la question ne se pose même pas. Puisque le Maître n'a pas fait de tels arrangements pour les pratiquants de la période de la rectification de Fa, quand le soi-disant « problème » apparaît, je ne prends que les mots du Maître pour guide.

J'ai expérimenté des tribulations de vie et de mort, et elles sont toutes passées. Je suis très reconnaissant envers le Maître. Je pense que c'est seulement en se conformant aux critères du Fa que le Maître est en mesure de nous protéger.

Traduit de l'anglais en France