(Minghui.org)
Beaucoup de choses me sont arrivées alors que je pratiquais au fil des ans. Je sens vraiment que toutes les choses qui se sont passées ont été de bonnes opportunités pour que j'élève mon caractère (xinxing). Tant que je me conduisais comme une pratiquante, rien ne pouvait interférer avec moi.
J'ai appris à regarder à l'intérieur
Un jour, une autre pratiquante avait un malentendu à mon propos. Nous avons fait les exercices en groupe dans sa cour, qui était un peu petite. Notre site de pratique a ensuite été transféré à un autre endroit. Cette pratiquante était vraiment malheureuse à propos du transfert et pensait que j'avais exercé des pressions pour que cela arrive derrière son dos.
Lors d'un partage, elle s'est emportée et m'a accusée avec colère : « Donc, vous pensez que vous pratiquez bien ? Si oui, comment se fait-il qu'il y ait encore autant de taches sombres sur votre visage ! »
Tout le monde s'est tourné vers moi. Ma première pensée a été : « Je suis une pratiquante de Dafa, je dois maîtriser mon xinxing. » Je n'ai pas discuté avec elle et je suis restée calme.
Plus tard, elle est venue chez-moi et s'est excusée en pleurant. Je lui ai dit de ne pas s'inquiéter à ce sujet, car nous sommes tous des pratiquants de Dafa.
En étudiant le Fa, j'ai appris à regarder à l'intérieur et j'ai compris comment cultiver mon xinxing. Maintenant, quand des conflits surgissent, j'essaie de ne plus savoir qui a raison et qui a tort ; à la place, je regarde mon propre cœur et mes pensées et je trouve mes attachements.
J'en suis venue à comprendre que chaque fois que mon cœur est inquiet, il y a forcément des attachements au travail. Quand je découvre ces attachements et trouve qu'ils ne sont pas moi, le Maître m'aide à les éliminer. C'est la cultivation et pratique.
Résoudre une querelle avec une pratiquante
J'ai l'habitude de très bien m'entendre avec les autres pratiquants. Une fois, cependant, une autre pratiquante et moi avons eu un profond malentendu. Dans le passé, quand je voyais les pratiquants de son groupe, ils étaient très sympathiques. Mais tout à coup ils se sont montrés plutôt froids. Je ne savais pas ce qui était arrivé.
Puis, au cours d'un partage en groupe, j'ai entendu dire que je n'avais pas prêté attention à la sécurité quand j'avais affiché des informations sur la persécution de Dafa dans les bâtiments résidentiels. On a dit que certains pratiquants à qui j'avais rendu visite avaient été arrêtés à cause de moi.
À l'époque, cette sensation était très blessante. Plus tard, j'ai entendu dire que cette pratiquante se déplaçait hors de la ville. J'ai pensé que ce désaccord ne devait pas être autorisé à persister entre nous plus longtemps. Je suis allée la voir avec un autre pratiquant. J'ai partagé avec elle avec un cœur pur. La discorde s'est immédiatement dissoute et nous avons rompu l'arrangement conclu par les forces anciennes.
Une fois, un pratiquant a dit à la fin de notre étude du Fa : « J'ai besoin d'aide. Ma tante pratiquait avant, mais plus maintenant. Maintenant sa santé est terrible. Qui peut aller lui parler ? » Voyant que personne d'autre n'offrait d'aider, j'ai dit que je le ferais.
J'ai beaucoup partagé avec la tante sur la base des principes du Fa et je l'ai aidée à défaire les nœuds dans son cœur. J'ai alors suggéré : « Mettons en place un groupe d'étude du Fa chez vous. »
Elle avait un peu peur au début. Je l'ai encouragée et lui ai dit : « Maintenant, presque tous les pratiquants de Dafa rejoignent des groupes d'étude du Fa. La situation a changé. Vous ne pouvez pas continuer comme ça et vous avez besoin d'être dans un groupe d'étude du Fa. » Elle a alors accepté.
J'ai aidé à établir un groupe d'étude du Fa chez elle et j'ai étudié le Fa avec eux pendant quelques jours. Nous avons partagé nos compréhensions et sa santé s'est améliorée.
Plus tard, quand elle m'a rencontrée par hasard dans la rue, elle m'a serrée chaleureusement et ne cessait de répéter : « Je me sens si bien maintenant. Je suis aussi impliquée dans la fabrication de documents d'information. Je suis très reconnaissante envers le Maître. Merci de m'avoir aidée ! » J'ai senti la compassion sans limite de notre grand Maître dans mon cœur.
Un jour, mon fils est passé me voir au moment où un autre pratiquant me rendait visite. Dès qu'il est entré, il s'est accroupi et a dit à plusieurs reprises : « Maman, je vais mourir ! » Il se plaignait d'une douleur insupportable à la poitrine et au dos.
Voyant la souffrance dans laquelle il se trouvait, l'autre pratiquant a dit : « Peut-être que nous devrions l'amener à l'hôpital. »
J'ai dit : « Les hôpitaux ne peuvent pas traiter sa maladie. » J'ai demandé à mon fils s'il voulait aller à l'hôpital ou que je lui lise le Fa.
Mon fils est aussi un pratiquant et a opté pour que je lui fasse la lecture.
Nous l'avons aidé à se mettre au lit et j'ai commencé à lire à propos du « karma de maladie » dans le Zhuan Falun. Il a dit comprendre qu'il n'était pas malade. J'ai ensuite lu la Sixième Leçon et il s'est rapidement endormi.
Le lendemain, toute sa douleur avait disparu et il était complètement redevenu normal.
Il m'a dit plus tard : « Maman, je me sentais très bien quand tu me lisais le livre. »
Traduit de l'anglais au Canada