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Parler au Maître chaque jour

25 mai 2015 |   Écrit par un pratiquant de Falun Gong de la province du Guangdong

(Minghui.org) Je ne peux pas voir le Maître, mais je sais que le Maître est toujours à mes côtés, me protégeant. Je parle au Maître tout le temps, parce que je peux sentir que le Maître écoute.

Une voiture m’a heurté en 2010. J'ai dit au Maître que j'allais bien et que je devais sauver la conductrice.

Horrifiée par ce qu’elle avait fait, la conductrice est accourue pour m’aider.

« Ne vous inquiétez pas, je vais bien. Mon Maître me protège, parce que je suis un pratiquant de Falun Gong », ai-je dit.

Elle a ensuite pu se détendre et sourire. Elle m’a aidé à m’asseoir sur le bord de la route et elle s’est assise avec moi. Je lui ai parlé du Falun Gong, des raisons pour lesquelles le Parti communiste chinois persécute le Falun Gong et que le Falun Gong est pratiqué à travers le monde. Je lui ai parlé de la mise en scène des incidents des « auto-immolations sur la Place Tiananmen » par les autorités communistes pour attiser la haine des Chinois envers le Falun Gong.

Trois de ses collègues qui passaient par là se sont aussi arrêtés et ont écouté, quoi qu’ils n’ont pas démissionné du PCC et de ses associations de la jeunesse.

Même si mon corps souffrait d'une douleur extrême, la douleur s’est arrêtée tandis que je leur parlais. Par la suite, je me suis rendu chez moi à bicyclette en chantant des chansons de Falun Gong. Ce soir là, le Maître a corrigé tous les problèmes dans mon corps tandis que je méditais.

Je sors souvent pour parler aux gens du Falun Gong et des raisons pour lesquelles le Parti persécute le Falun Gong. Un jour, je me suis trouvé perdu sur une île, malgré que j’aie parlé aux travailleurs de la construction sur la même rue que j’emprunte depuis que la route est en construction. Il m’était très difficile de comprendre comment j’avais abouti dans un tel endroit si étrange.

J’ai parlé au Maître du fond de mon cœur. « Maître, je marche sur cette route chaque jour, mais pourquoi ai-je abouti sur cette île ? »

J’ai raconté cela à une compagne de cultivation ce soir là et elle m’a dit qu’un vol avait été commis sur cette rue le jour précédant. Plus de trente policiers en civil y patrouillaient ce jour-là. J’ai réalisé que le Maître m’avait protégé en me transportant sur cette île à travers une autre dimension.

Tandis que je parlais aux gens du Falun Gong un autre jour, j’ai vu quatre hommes passer à côté de moi. Je voulais les rattraper pour leur clarifier la vérité, mais j’ai trébuché et je suis tombé. Ensuite je suis monté sur ma bicyclette mais la chaîne est tombée. Pendant que je tentais de remettre la chaîne, j’ai demandé au Maître : « Ai-je des attachements ? »

J’ai ensuite cherché à l’intérieur et la chaîne ne restait toujours pas. J'étais vraiment désolé que les quatre hommes soient trop loin pour que je les rejoigne. À ce moment, je les ai vus entrer dans un véhicule de police. Le Maître m’avait protégé à nouveau.

Un jour, pendant que j’affichais des dépliants sur le Falun Gong avec un sac plein de documents sur moi, ma tête a commencé à me faire mal. Je me suis arrêté et j’ai demandé au Maître si c’était parce que j’avais des attachements. En cherchant en moi-même, un policier sur une motocyclette m’a regardé fixement et nous nous sommes croisés.

J’ai remercié le Maître de m’avoir protégé. En sachant que j’avais la protection du Maître, j’ai continué à afficher des dépliants. Chaque fois que ma tête me faisait mal, je voyais des véhicules de police s’approcher. Cela s’est produit deux autres fois ce jour-là.

J’ai dit au Maître un jour que j’admirais ces compagnons de cultivation qui pouvaient rester avec le Maître. Ce soir-là, j’ai fait un rêve que le Maître nous donnait un discours sur une montagne. Après cela, il m’a serré la main. Ses mains étaient chaudes et douces. Je n’ai plus jamais admiré les autres pratiquants ensuite.

Je demande au Maître de m’apporter les gens avec des relations prédestinées pour que je puisse les sauver. J’essaie de ne manquer personne que je croise, parce que je ne sais pas qui m'a été apporté par le Maître pour apprendre la vérité.

Si je fais des erreurs, que je dis quelque chose d'incorrecte ou que j’ai des mauvaises pensées, je dis au Maître que j’ai tort et je m’excuse. Le Maître ne m’a jamais blâmé pour ne pas avoir fait un bon travail ; au contraire, il m’encourage souvent.

Merci, Maître, de me protéger !

Traduit de l’anglais au Canada