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Mon directeur veut plus de pratiquants de Falun Gong à son lieu de travail

20 juillet 2015 |   Écrit par Meilian, une pratiquante de la province du Heilongjiang, Chine

(Minghui.org) J'ai trouvé un emploi dans un hôtel du centre-ville en 2002. J'étais en charge de l'entrepôt et de l'inspection des marchandises.

Comme pratiquante de Falun Gong et en tant que personne qui respecte Authenticité-Bienveillance-Tolérance, j'ai utilisé seulement ces principes pour réguler mon travail et les relations avec mes collègues de travail.

Une employée de confiance

Au travail, j'ai toujours veillé à me conduire bien. Par exemple, je faisais en sorte de venir travailler tôt et de partir tard. J'étais très responsable de mon travail et toujours aimable envers les autres. Aussi, je ne me suis jamais préoccupée des pertes personnelles. Lorsque le prix de « l'employé du mois » était sélectionné, j'ai toujours demandé à ce que d'autres profitent de cette opportunité. De cette façon, j'ai développé la confiance de mes superviseurs et des collègues de travail.

Je m'occupais seulement de l'entrepôt lorsque j'ai commencé à travailler à l'hôtel. Mon superviseur a développé davantage de confiance en moi et m'a donné plus tard la responsabilité d'inspecter les marchandises pour le restaurant et l'hôtel.

L'hôtel était une très bonne affaire, alors j'avais à faire à beaucoup de clients. Certains ont essayé de me donner des pots de vin pour que je ne sois pas tellement stricte avec leurs marchandises, mais je les ai tous refusés. Certains savaient que j'étais une pratiquante de Falun Gong et que je me comportais très bien, alors ils me respectaient beaucoup et cessaient de m'offrir des pots-de-vin.

J'ai une fois inspecté le dépôt des marchandises et trouvé que beaucoup ne respectaient pas nos normes. J'ai refusé d'accepter ces marchandises. Le fournisseur était inquiet et m'a offert 300 yuans en pot de vin, ce que j'ai refusé. Il a dit qu'il avait aussi soudoyé mes superviseurs et qu'ils avaient tous accepté. Si j'acceptais son argent, il serait chargé de la question connexe. Je lui ai dit que l’inspection de la qualité des marchandises était ma responsabilité, ainsi je ne pouvais pas prendre l'argent.

J'ai signalé cette expérience à mon superviseur. Il a décidé de rendre certaines marchandises et de garder le reste, qui était encore utilisable. Le fournisseur a accepté et m'a remerciée pour mon aide.

Tout le monde ne savait pas que j'étais une pratiquante de Falun Gong à l'époque, en raison de la persécution sévère. Cependant, j'ai toujours donné aux gens en contact avec moi des documents d'information sur le Falun Gong, ou je les aidais à comprendre le Falun Gong et la persécution.

Mon directeur financier a mentionné que l'unité de travail de l’hôtel exigeait que chacun exprime son opinion sur le Falun Gong. J'ai dit que le Falun Gong est bon, parce que j'en avais bénéficié personnellement.

Tout le monde savait que je travaillais constamment mais que je n'étais jamais fatiguée. Ils savaient que je ne demandais jamais de congés de maladie et que je n'avais jamais eu d'injections ou de médicaments — pourtant, je n'avais aucune maladie. J'avais presque 50 ans, mais comme j'avais l'air en bonne santé, je paraissais beaucoup plus jeune que les gens de mon âge.

Face aux conflits et aux intérêts, j'étais respectueuse des autres, je n'étais pas obstinée ni préoccupée par la perte de mes intérêts personnels. Je prenais soin de mes dossiers financiers clairement et de manière ordonnée. Ma directrice a dit qu'elle me faisait confiance et elle ne me mettait pas la pression. Je savais que tout cela provenait de ma pratique du Falun Gong.

Aider les gens à comprendre le Falun Gong

Ma famille gérait un hôtel et avait besoin de mon aide. Je pouvais travailler une demi-journée et je réfléchissais aussi à comment passer plus de temps à répandre les faits au sujet de la pratique. J'ai demandé à quitter mon travail et plusieurs superviseurs se sont entretenus avec moi en tête à tête. Ils savaient que j'étais une pratiquante de Falun Gong, alors ils ne voulaient pas que je parte. Ils ont dit qu'ils pouvaient aider à résoudre mon problème et ont offert de me donner un salaire plus élevé.

Cependant, ils ont compris que je devais partir et que ce n'était pas à cause de l'argent. « Il est très difficile de trouver quelqu'un prêt à assumer les responsabilités comme vous », ont-ils dit. « Vous pourrez revenir à tout moment. Et si vous connaissez quelqu'un comme vous qui pratique le Falun Gong, s'il vous plaît, recommandez-le nous. »

Je suis retournée plusieurs fois pour les informer davantage sur le Falun Gong, leur donner des documents et les aider à démissionner du Parti communiste chinois (PCC). Ils ont tous accepté les informations chaque fois. L'un d'eux a non seulement démissionné du PCC, mais a aussi aidé toute sa famille à démissionner. Il a également récité : « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Trois de mes anciens collègues de travail ont même lu le Zhuan Falun, le livre principal du Falun Gong, et ils ont fait l'expérience d'avoir l'esprit plus clair et une bonne santé.

Je me sens très fière et heureuse d'être une pratiquante de Falun Gong.

Traduit de l’anglais au Canada