(Minghui.org) Le 12 juillet 2015, les dirigeants de 28 pays européens se sont réunis à Bruxelles pour discuter de la crise financière grecque. Les pratiquants de Falun Gong de Belgique et d’Allemagne ont saisi cette occasion pour informer délégués et citoyens du mouvement en Chine exhortant à poursuivre en justice l'ancien dictateur Jiang Zemin.
On pouvait voir à de nombreux endroits dans la rue des bannières avec des messages tels que « Soutien aux 60 000 plaintes criminelles contre Jiang Zemin », « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Jiang Zemin a lancé la répression violente du Falun Gong en Chine en juillet 1999, répression qui continue à ce jour.
Les pratiquants déploient des bannières lors du Sommet européen du 12 juillet 2015 à Bruxelles, et informent le public à propos de la persécution du Falun Gong en Chine.
Une jeune femme prénommée Anne n'arrivait pas à comprendre pourquoi un système de méditation aussi pacifique pouvait être interdit en Chine. Après qu'une pratiquante lui ait expliqué la campagne de persécution, elle a dit : « Mes parents sont des immigrants d'Ukraine, un ancien pays communiste. Il n'est pas étonnant qu'une telle tragédie se produise avec un régime communiste à la tête d'une nation. »
Anne a été choquée d'apprendre que le régime chinois prélève les organes de pratiquants emprisonnés pour leur croyance, de leur vivant, et a dit qu'elle allait en informer davantage de gens.
Une pratiquante explique à Anne (au milieu) la répression du Falun Gong en Chine.
Un passant, Philippe Flemal, a dit qu'il avait vécu à Taïwan pendant un an. « J'ai étudié le chinois là-bas, donc je sais ce qui se passe », a-t-il dit, ajoutant « une persécution brutale comme celle-ci ne peut se produire qu'en Chine. »
Meredith du Minnesota et Diana du Mexique sont toutes deux diplômées en relations internationales. Elles étaient là pour un projet de l'Union européenne impliquant les personnes handicapées. Impressionnées par la méditation tranquille que les pratiquants présentaient, elles ont appris les exercices le matin et voulaient en savoir plus sur la persécution qui sévit en Chine.
« Cela n'aurait jamais dû arriver », a dit Meredith.
Après que Meredith (au milieu) et Diana (à droite) ont appris les exercices de Falun Gong, elles sont revenues pour en savoir plus sur l'actuelle persécution en Chine.
Peter, un employé du Service européen d'action extérieure, a écouté attentivement les pratiquants et a dit : « Cette situation [la persécution] ne durera plus longtemps. Cela va certainement changer. »
Curieux de savoir ce que les pratiquants faisaient, plusieurs agents de sécurité ont demandé à lire leurs brochures. L'un d'eux a dit : « Votre groupe est un bon groupe. Ça été un plaisir de travailler avec vous. »
Des passants s'arrêtent pour s'informer à propos du Falun Gong.
Le 12 décembre 2013, le Parlement européen a adopté une résolution condamnant les prélèvements forcés d'organes par le régime chinois sur des prisonniers et des pratiquants de Falun Gong détenus, et a appelé à une investigation de l'UE sur les transplantations illégales.
La répression du Falun Gong en Chine est toujours d'actualité : au cours du premier semestre 2015, les décès de 61 pratiquants en détention suite à la torture ont été confirmés, 2 539 ont été arrêtés et 430 emprisonnés.
Traduit de l'anglais en Europe