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Après avoir parlé à une pratiquante, un policier veut que son grand-père pratique le Falun Gong

19 septembre 2015 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Depuis mai, des centaines de pratiquants de Falun Gong dans ma région ont intenté des actions en justice contre Jiang Zemin, l'ancien dictateur qui a initié la persécution du Falun Gong en 1999. Peu de temps après, les agents du Bureau 610 ont commencé à travailler avec la police locale pour menacer ces pratiquants qui avaient envoyé ces plaintes.

Les pratiquants locaux ont parlé aux officiers de police de la pratique et de la persécution. Beaucoup d'officiers ont découvert ce qui était vraiment arrivé aux pratiquants au cours de ces 16 années passées.

L'histoire

Deux jeunes officiers sont allés chez une pratiquante en août pour demander si elle avait poursuivi Jiang en justice. La pratiquante a reconnu que oui et a invité les deux officiers chez elle. Elle leur a préparé un bon thé, et les officiers ont été étonnés de son accueil.

La pratiquante leur a répondu simplement qu'ils étaient ses invités, et que c'était quelque chose qu'elle faisait pour quiconque venait par une chaude journée d'été.

Quand l'officier lui a demandé pourquoi elle avait poursuivi Jiang Zemin, elle a dit que Jiang avait de lui-même initié la persécution et diffamé cruellement la pratique et son fondateur.

« Maître Li nous dit d'être de bonnes personnes et il n'y a rien de mal à cela. Toutes mes maladies ont disparu après avoir commencé la pratique. Le gouvernement doit réhabiliter la pratique et nous donner le droit de pratiquer, » a dit la pratiquante.

L'officier lui a demandé si elle avait une assurance médicale et si elle voyait tout de même un docteur quand elle était malade. La pratiquante lui a dit qu'elle n'avait jamais eu d'assurance maladie.

« Avant d'être une pratiquante, je n'avais pas de travail pour payer une caisse d'assurance, j'avais de sévères douleurs d'estomac et des érythèmes cutanés fréquents, mais je ne pouvais rien faire parce que les traitements étaient trop chers et moi j'étais trop pauvre. Cela a commencé à devenir un cercle vicieux où je ne pouvais pas travailler à cause de ma santé, et je ne pouvais pas me permettre de consulter un docteur à moins de travailler. La vie était un enfer pour moi. Après avoir commencé la pratique du Falun Gong, tous mes maux ont disparu, et maintenant je n'ai plus besoin d'assurance maladie », a-t-elle dit.

L'officier a écouté attentivement et lui a demandé si elle avait continué à pratiquer le Falun Gong pendant toute la durée de la persécution.

La pratiquante a admis franchement, « Pourquoi pas ? C'est une pratique tellement merveilleuse que je n'abandonnerai pas une chose si précieuse. »

L'officier a regardé la pratiquante et a dit, « Mon grand-père a des problèmes aux jambes et ne peux pas bien marcher. L'hôpital n'a pas vraiment réussi à l'aider. Le Falun Gong est une pratique tellement merveilleuse. Quand je vais rentrer chez moi, je vais persuader mon grand-père de pratiquer le Falun Gong. Merci beaucoup de m'avoir raconté cela. »

Historique

En 1999, Jiang Zemin, en tant que chef du Parti communiste chinois, a fait fi des membres du politburo et a lancé la répression violente du Falun Gong.

La persécution a mené à la mort de nombreux pratiquants de Falun Gong au cours de ces 16 dernières années. Encore plus ont été torturés pour leur croyance et même tués pour leurs organes. Jiang Zemin est directement responsable de la mise en place et de la continuation de cette persécution brutale.

Sous sa direction personnelle, le Parti communiste chinois a établi un organe de sécurité extra-légal, le « Bureau 610 », le 10 juin 1999. L'organisation outrepasse les forces de police et le système judiciaire pour exécuter les directives de Jiang face au Falun Gong : ruiner leur réputation, leur couper leurs ressources financières, et les détruire physiquement.

La loi chinoise autorise les citoyens à porter plainte dans les cas criminels, et de nombreux pratiquants exercent désormais ce droit pour lancer des actions en justice contre l'ancien dictateur.

Traduit de l'anglais en Belgique.