(Minghui.org) Je ne pratique pas le Falun Dafa, mais mon épouse pratique depuis 1996.
Avant cela, son corps était criblé de toutes sortes de maladies. Après, sa santé s'est améliorée chaque jour et elle est devenue de plus en plus optimiste.
Depuis juillet 1999, depuis que Jiang Zemin, dans un accès de rage, a poussé le Parti communiste chinois (PCC) à persécuter le Falun Dafa, mon épouse a été illégalement détenue et envoyée plusieurs fois dans des centres de lavage de cerveau et maltraitée dans des camps de travaux forcés pour un total de deux ans.
Mais elle continue d'être fidèle, elle poursuit son chemin vertueux, n'entretient aucun désir personnel et traite toujours les gens avec bienveillance.
En elle, dans la façon dont elle agit et parle, je vois la puissance du Falun Dafa, je vois la lumière et l'avenir. Je ne pratique pas le Falun Dafa, mais grâce à elle, je souhaite suivre son exemple pour être une bonne personne et faire ce qui est juste.
Souvent, je l'accompagne et l'aide lorsqu'elle sort distribuer des dépliants de Dafa, accrocher des banderoles clarifiant la vérité et parler aux gens pour les encourager à démissionner du PCC.
Mon épouse me rappelle souvent de réciter les mots précieux « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », parce qu'ils me récompenseront de nombreuses bénédictions.
Ici, je voudrais expliquer comment mon fils et moi-même avons bénéficié de la pratique du Falun Dafa de mon épouse.
Dafa a béni mon fils
De l'école primaire jusqu'au collège, mon fils a pratiqué le Falun Dafa avec mon épouse. Il était toujours parmi les trois meilleurs élèves de sa classe. En 2003, il a été admis dans une université prestigieuse grâce à ses notes excellentes.
À cette époque, la situation financière de ma famille était pauvre. C'est grâce aux pratiquants de Falun Dafa qui ont généreusement participé que mon fils a pu aller à l'université.
Mon fils a continué à avoir de bons résultats à l'université. Année après année, il a décroché les plus hautes bourses d'étude du pays. Il est aussi devenu conseiller pour les étudiants et président de l'association des étudiants.
Une fois diplômé, il a entamé un troisième cycle d'études et a plus tard été embauché par une grande entreprise.
Quand mon fils est entré à l'université, il a été invité à adhérer au PCC. On lui a présenté un formulaire. Tout ce qu'il avait à faire était de remplir son nom ; il devenait ainsi automatiquement membre du Parti.
Mon fils a décliné l'invitation en disant : « J'ai déjà ma propre conviction. Je crois au Falun Dafa. »
Tout ce que mon fils accomplissait était un don du Falun Dafa. Je remercie Dafa pour toutes ces grandes bénédictions pour mon fils.
Le Maître de Dafa m'a sauvé la vie
En 2000, lors de l'anniversaire de mon frère, j'avais bu quelques verres. Soudain, j'ai ressenti une tension dans la poitrine et une sensation de gonflement dans la tête.
Je suis sorti en espérant que l'air frais me réveillerait. Mais je suis devenu plus confus. Alors que j'avais encore un peu de clarté d'esprit, je me suis rappelé de réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! »
Un miracle s'est produit. J'ai retrouvé la clarté d'esprit. Je me suis réveillé de ma torpeur.
Mais alors que je rentrais doucement, je me suis soudain écroulé et j'ai complètement perdu connaissance. Cela a effrayé toutes les personnes présentes.
Mon épouse me criait à l'oreille : « Tu ne peux pas encore mourir. N'as-tu pas dit que tu voulais apprendre le Falun Dafa ? Tu n'as même pas encore commencé. Comment peux-tu partir ? Tu dois te rappeler des paroles du Maître. Tu dois te rappeler que Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »
Étrangement, en entendant ces mots précieux, je me suis réveillé. J'ai regardé autour de moi et me suis trouvé entouré d'un grand nombre de personnes disant : « Tu es finalement revenu », « Nous étions terrifiés », « Tu nous as tous fait peur. »
Mon épouse a dit : « C'est le Maître qui t'a sauvé ! »
Le Maître de Dafa m'a sauvé la vie une seconde fois
En 2008, je travaillais dans un champ de céréales. Mon patron a dit : « Nous avons besoin de main-d'oeuvre pour le transport. Pourquoi ne viendrais-tu pas donner un coup de main ? »
Notre camion gravissait une colline abrupte lorsqu'un immense autocar est arrivé à toute vitesse face à nous. L'accident semblait inévitable.
Notre conducteur a vivement tourné le volant, envoyant momentanément notre camion en l'air.
J'ai impulsivement crié : « Maître, sauvez-moi ! »
Notre camion s'est redressé, les quatre roues fermement sur la route. Notre conducteur a réussi à arrêter le camion en toute sécurité.
Nous sommes tous sortis pour regarder. Le pneu avant droit était revenu sur la route, mais les pneus arrières avaient laissé des traces profondes dans le fossé où elles étaient passées.
Le conducteur a dit : « Comment le camion est-il revenu sur la route ? Nous l'avons échappé belle aujourd'hui ! »
Nous avons tous poussé un grand soupir de soulagement.
Le conducteur s'est repris et a recommencé à conduire.
« C'était vraiment étrange... » a-t-il murmuré pour lui-même, puis soudain, il s'est tourné vers moi et m'a demandé : « Tu as crié « Maître » pour qu'il te sauve. Qui est ce 'Maître' ? »
J'ai répondu : « As-tu entendu parler de M. Li Hongzhi et du Falun Dafa ? »
Il a dit : « Non, j'ai entendu parler du Falun Dafa mais pas de M. Li Hongzhi. »
J'ai poursuivi : « Le Falun Dafa a été créé par Maître Li Hongzhi. Aujourd'hui, il est répandu dans plus de cent pays du monde entier. »
J'ai continué en lui expliquant combien le Falun Dafa est bon avant de lui demander : « Y es-tu opposé ? »
Il a dit : « Non, je n'ai aucune objection. Pas mal de gens pratiquent le Falun Dafa dans ma région et ce sont tous de bonnes personnes. »
J'ai dit : « Nous devons traiter ces gens du Falun Dafa avec bonté. Nous devons essayer de les protéger. »
« Souviens-toi : Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », ai-je dit en l'encourageant à réciter souvent ces paroles.
Il a dit : « Je m'en souviendrai assurément. »
En 2012, j'ai de nouveau rencontré ce conducteur et il m'a dit : « Depuis cet incident, je récite souvent ces neuf mots précieux. »
J'ai demandé : « As-tu déjà démissionné du Parti ? Tu dois démissionner de toutes ses organisations affiliées pour assurer ta sécurité. »
Il a accepté et a rapidement démissionné.
Dafa a fait disparaître mon cancer
En 2013, mon fils a voulu acheter une voiture et m'a demandé si je pouvais l'aider. Lorsqu'il est venu me chercher à la gare, il a dit : « N'allons pas regarder les voitures aujourd'hui. Nous irons demain. »
Il m'a conduit chez lui, à proximité de l'Hôpital de l'amitié sino-japonaise de Changchun.
Il a dit : « Aujourd'hui, j'ai un peu de temps. Je veux t'emmener à l'hôpital pour un examen de contrôle, d'accord ? »
À cette époque, mon teint était sombre et j'étais très mince. Tout le monde pensait que je souffrais d'une maladie grave.
C'était un samedi. Il n'y avait pas trop de patients, l'attente n'était donc pas trop longue.
Le médecin a écouté ma poitrine avec un stéthoscope pendant un long moment et a ensuite dit : « Vous avez un petit problème de poumon. Nous allons faire quelques radios. »
Le médecin a aussi regardé mes radios pendant un long moment, puis a dit : « Les images ne sont pas très claires. Je voudrais que vous fassiez un scanner. »
Le médecin a examiné attentivement les résultats du scanner. Il a regardé dans tous les sens, puis a dit : « Il y a des taches dans vos poumons, cela peut être un cancer, ou pas. »
Puis il s'est tourné directement vers mon fils et a dit : « Je ne suggère pas de chimiothérapie ou d'opération chirurgicale. Emmenez votre père à la maison et laissez-le se reposer et récupérer ! »
Le visage de mon fils est devenu pâle et il n'a pas prononcé un mot.
J'ai dit très calmement à mon fils : « N'aie pas peur. Je suis en excellente santé. Je me sens bien. Rentrons seulement à la maison. »
Ma belle-fille a écouté ce qui s'était passé, a souri et m'a dit : « Papa, tout va bien. Demain, nous irons à l'Hôpital de l'Université de Jilin où se trouvent les grands spécialistes. Maintenant, allons dans le meilleur restaurant grill de la ville et faisons un bon festin. »
Je pouvais voir clairement qu'ils n'avaient aucun appétit. Pour essayer d'apaiser leurs inquiétudes, j'ai fait de mon mieux pour manger avec appétit, mais cela n'a pas réussi à effacer la tristesse sur le visage de mon fils.
Le jour suivant, nous sommes allés à l'hôpital. Là, le médecin a aussi plusieurs fois écouté attentivement ma poitrine avec un stéthoscope avant de me demander : « Ressentez-vous une gêne quelque part dans le corps ? Une douleur ? Quels problèmes médicaux avez-vous eu auparavant ? »
Je lui ai dit : « Je n'ai jamais vraiment eu de problèmes de santé, je n'ai jamais reçu aucune injection et j'ai rarement pris des médicaments. Mon cœur a juste eu une réaction un peu étrange. »
Le médecin a hoché la tête et a dit : « Nous allons vous garder la nuit en observation. Demain, nous entamerons une procédure interne. Après cela, nous tirerons un diagnostic final. »
La procédure interne n'est pas gaie. Lorsque c'est terminé, les patients saignent généralement du nez ou des oreilles, certains doivent même être transportés hors de la pièce. C'est souvent assez horrible.
Mon fils ne pouvait pas supporter de penser aux possibilités, alors c'est ma belle-fille qui est restée avec moi.
Pendant l'attente, elle a essayé de me réconforter, mais je l'ai rassurée : « Je vais bien. Je peux y arriver. »
Lorsque cela a été mon tour, je suis entré rempli de confiance.
Le médecin et ses assistants étaient tous armés jusqu'aux dents, seuls leurs yeux étaient visibles. Le médecin tenait un outil médical qui brillait comme les yeux verts d'un loup. C'était vraiment terrifiant.
J'ai moi-même grimpé sur la table et me suis couché. Ils ont couvert mon corps d'un drap.
Le médecin m'a averti : « Attention, je vais commencer. »
Il a poussé son appareil dans mon nez. Mon corps a involontairement tremblé et j'ai eu envie de vomir. L'appareil s'est ensuite dirigé vers mon estomac. Je pouvais le sentir se tordre à l'intérieur et c'était extrêmement désagréable.
J'ai gardé l'esprit clair tout le temps. Comme l'appareil continuait de se tordre à l'intérieur, j'ai récité « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » encore et encore.
J'ai alors ressenti une soudaine chaleur dans mon estomac, comme si deux mains étaient en train de piquer quelque chose d'avant en arrière, d'avant en arrière.
Je me suis senti de plus en plus détendu. Il n'y avait aucune douleur.
Ensuite, j'ai entendu le médecin se dire à lui-même : « C'est étrange, il y avait cette immense tache indiquant un cancer. Où a-t-elle disparu ? Il n'y en a même pas une seule trace ! »
Au bout de vingt minutes, le drap sur mon corps a été enlevé et je me suis assis.
Le médecin m'a dit : « C'est vraiment étrange ! Je ne sais pas pourquoi, soudainement, toute trace de cancer a disparu ! Cela ne m'était jamais arrivé auparavant. »
Je suis sorti de la pièce d'examen, puis je me suis retourné.
« Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » lui ai-je dit. « Souvenez-vous simplement de ces mots et les bénédictions viendront à vous. »
Ma belle-fille a regardé mes résultats : mes poumons étaient normaux. Les examens d'urine et de sang, l'électrocardiogramme et tout le reste était normal. Ma maladie de cœur était également partie.
Lorsque je suis revenu dans le service, les autres patients ont souri et m'ont dit : « Nous avons entendu le médecin dire que vous aviez le cancer mais que l'examen n'a rien montré de tel... »
Je savais que le médecin leur avait dit ce qui s'était passé. Comme c'étaient tous des patients atteints du cancer, on comprend qu'ils étaient extrêmement inquiets.
J'ai répondu à leur sourire et demandé : « Connaissez-vous tous le Falun Dafa ? »
Certains ont acquiescé, mais les autres ne connaissaient pas.
Je leur ai expliqué : « Le Falun Dafa s'est répandu dans plus de cent pays du monde entier. Je n'en sais pas suffisamment pour partager avec vous ses principes élevés, mais si vous faites comme je fais et récitez souvent les neuf mots précieux, vous serez bénis tout comme moi. »
Je leur ai tous enseigné à dire « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » jusqu'à ce qu'ils aient retenu parfaitement ces mots.
Juste à ce moment, le médecin est entré pour me dire que je pourrais sortir le lendemain.
Lorsque je suis rentré à la maison, j'ai expliqué à mon épouse tout ce qui s'était passé. Elle a dit avec joie « Dafa t'a sauvé une nouvelle fois. »
J'ai acquiescé : « Oui, le Maître m'a de nouveau sauvé la vie. Le Maître m'a donné une nouvelle vie ! »
J'ai ajouté avec regret : « Même si je ne peux pas pratiquer le Falun Dafa comme toi. »
Traduit de l'anglais en Belgique