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Sortir du poste de police la tête haute

11 avril 2016 |   Écrit par un pratiquant de Dafa en Chine

(Minghui.org) En 2007, j'ai déménagé dans une autre ville, où je suis sorti avec une nouvelle jeune pratiquante pour clarifier la vérité à propos du Falun Dafa et pour aider les gens à démissionner du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées.

Alors que je parlais aux gens, elle distribuait des documents d'information sur la pratique. Nous avons également distribué séparément des documents de Dafa dans la ville. La journée, elle allait dans les rues locales et le soir, j'allais dans une communauté voisine. Nous complétions nos efforts mutuels.

La jeune pratiquante a été arrêtée en mars 2012 pour avoir distribué les documents. En tant que nouvelle pratiquante, elle ne pouvait pas résister à la pression et a donné mon nom à la police. Je n'ai eu aucune rancune. J'ai regardé à l'intérieur et j'étais plein de remords, parce que j'avais manqué à ma responsabilité envers une nouvelle pratiquante. Je n'aurais pas dû la laisser sortir seule.

Plusieurs policiers en civil sont venus chez moi et m'ont ordonné d'aller avec eux. Mon cœur n'a pas été ébranlé. J'ai émis la pensée droite pour éliminer tous les facteurs pervers dans les autres dimensions, sans avoir une seule pensée pour moi-même. Après trois heures et demie, ils sont partis, mais ils avaient confisqué mon ordinateur et mon imprimante.

Après que les officiers soient partis, j'ai émis la pensée que je voulais aller au poste de police et émettre la pensée droite. La police est revenue trois jours plus tard et m'a emmené au poste.

Je leur ai parlé de Dafa et leur ai demandé de libérer la jeune pratiquante. Je leur ai dit qu'elle était une enfant qui avait mené une vie misérable et était généralement en mauvaise santé. Après avoir pratiqué Dafa, elle a guéri et voulait clarifier la vérité aux gens dans sa ville natale pour qu'eux aussi puissent bénéficier de Dafa. La police a écouté sans dire un mot.

À l'intérieur du poste de police, j’ai émis la pensée droite et je n'ai pas coopéré. En fin de compte, ils ont clos le dossier.

Un membre du Bureau 610 a dit : « Vous avez été très rationnel. Vous avez dit ce que vous deviez dire et vous n'avez rien dit que vous n'auriez pas dû. Je suis un homme de parole. Vous pouvez rentrer à la maison. »

Il m'a dit qu'il aimerait me voir dans le futur pour avoir une conversation en privé. En fin de compte, je suis sorti du poste de police la tête haute.

Traduit de l'anglais au Canada