(Minghui.org) Dès ma plus tendre enfance, on m'a appelée « Flacon à médicaments » parce que j'ai grandi en ayant de nombreuses maladies et je devais prendre tout le temps des médicaments. Ma mère mettait toujours une serviette près de mon oreiller au cas où j'allais vomir au milieu de la nuit. Des douleurs au ventre et aux dents rendaient l'endormissement difficile. Avoir des piqûres et avaler des cachets faisaient partie de ma vie quotidienne. J'étais faible et je n'avais même pas la force de grimper la petite colline devant notre maison.
Devenue adulte, d'autres maladies m'ont tourmentée, dont une inflammation du canal biliaire, des calculs biliaires, des calculs rénaux, la maladie de Menière etc. Au printemps et à l'automne, j'avais des rhumes qui duraient pendant des mois.
J'ai dit un jour à mon médecin : « Le seul organe en bon état, c'est mon cœur. Tout le reste est en mauvais état.» Il a répondu avec un sourire : « Même votre cœur est plus petit et plus faible que chez la plupart des gens. » Il a conseillé l'ablation immédiate de la vésicule biliaire parce que la garder présentait des dangers pour ma santé. Mais finalement j'ai remis cette opération à plus tard.
Boire m'a détruit la santé
Au travail, on m'a promue à une place de direction et j'ai commencé à avoir beaucoup de repas d'affaires. La forte tendance à cette époque était que tout le monde boive. Je n’appréciais pas beaucoup la boisson mais j'ai quand même beaucoup bu au nom de mon image en société. On a fini par m'appeler la « Bouteille d'alcool ».
Ma santé était totalement détruite et j'ai été hospitalisée plusieurs fois entre 2000 et 2003. Je me faisais aussi du souci pour mon travail, et j'ai commencé à souffrir de stress et d'anxiété. J'ai essayé tout ce que je pouvais, mais aucun médicament ni aucun conseil psychologique ne m'a aidée.
J'éclatais souvent en sanglots sans pouvoir me retenir, et j'étais en souci par rapport à ce que deviendraient mes enfants et mes parents si je mourrais. Ma famille aussi souffrait de cette pression mais ne pouvait rien faire pour moi.
On me présente le Falun Gong
C'est en 2004 que tout a basculé. Il y avait un pratiquant de Falun Gong travaillant dans la maintenance des ordinateurs sur mon lieu de travail. Il était toujours patient avec nous et faisait de son mieux pour entretenir nos ordinateurs. Il m'a même accompagnée dans un voyage hors de notre ville pour faire réparer mon ordinateur. J'appréciais la sincérité de son aide. Il m'a parlé encore et encore des bienfaits du Falun Gong pour la santé et, guidée par ses patients conseils, j'ai commencé à pratiquer.
Le pratiquant m'a apporté le livre Zhuan Falun à lire. L'ayant lu, je me suis rendu compte à quel point le livre était précieux et ensuite je me suis dépêchée de lire tous les autres livres du Falun Gong.
Il m'a appris également comment accéder au site web Minghui en utilisant un logiciel anti censure. J'ai pu lire en ligne des partages écrits par des pratiquants et je savais que j'avais mis le pied dans un monde nouveau merveilleux. Il semblait que la porte du ciel s'ouvrait pour moi.
Je me suis dit : « Je suis pratiquante de Falun Gong. Je dois me soumettre à l'exigence de l'abstention d'alcool. »
Au travail j'avais encore beaucoup de dîners d'affaires. Tout le monde savait que je buvais beaucoup, mais j'étais décidée à m'arrêter. Comment allais-je pouvoir m'y prendre pour leur expliquer ?
Comme je continuais à étudier le Fa et vivais selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance dans ma vie de tous les jours, j'ai acquis petit à petit une compréhension claire. Il n'était pas nécessaire de boire en société afin de maintenir de bonnes relations de travail.
Bien que j'ai arrêté de boire avec les clients, ma sincérité, ma bienveillance et ma patience ont gagné leur confiance. Un des supérieurs hiérarchiques m'a dit devant d'autres personnes : « C'est à vous que je fais le plus confiance. Je crois tout ce que vous me dîtes. » Un autre directeur hiérarchique a dit à un nouveau client : « À elle, vous pouvez faire confiance. C'est elle la plus honnête. » Je sais que ma transformation est le résultat de m'être laissée guider par notre bienveillant Maître et les principes du Falun Gong.
L'attitude de mon mari a changé quand mon attitude s'est améliorée
Avant, je prêtais peu d'attention à mon mari à cause de mon travail accaparant. Il n'était pas heureux. Il sortait boire et jouer et il rentrait très tard à la maison. Je me disputais beaucoup avec lui et nous avons même parlé de divorce.
Après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong, je me suis rendu compte que je n'étais pas une bonne épouse. Je devais suivre les principes du Falun Gong et prendre soin de mon mari. Quand il rentrait tard, je m'assurais qu'il y avait de la lumière à la porte d'entrée et dans la maison, pour qu'il ne se prenne pas les pieds dans quelque chose, et je lui mettais un verre d'eau dans la salle à manger. J'ai amélioré chaque détail de ma conduite. Le résultat a été que mon mari a changé aussi du fond du cœur. Aujourd'hui, il a même l'air plus bienveillant.
Merci Maître d'avoir apporté le bienfait du Falun Gong à ma famille !
La pratique du Falun Gong m'a apporté une immense transformation psychologique. Je ne suis plus le « Flacon à médicaments » ni la « Bouteille d'alcool ». Mes maladies diverses ont disparu ! Je ne m'enrhume même plus et je n'ai pas eu besoin de prendre de cachets depuis bien longtemps !
Traduit de l'anglais en France