(Minghui.org) J'ai connu la chance d'obtenir le livre Zhuan Falun à la fin de l'année 1999.
Quand je suis arrivé chez nous, ma belle-mère se faisait un peu de souci. « Le chef de notre village ne nous autorise pas à cultiver et pratiquer le Falun Gong », a-t-elle dit. « Tout le monde brûle et vend ses livres de Falun Gong, mais toi, tu viens d'en ramener un. » Je lui ai dit : « Du moment que c'est un bon livre, quoi qu'ils disent, cela ne compte pas. »
Depuis ce moment-là, j'ai mis mon livre de façon bien visible sur la table. Beaucoup de gens qui sont venus chez moi l'ont pris dans leurs mains pour lire quelques pages. Et aujourd'hui encore, mon livre est posé sur la table de façon bien visible pour tout le monde.
Ébouillantée par de l'eau bouillante, mais sans douleur
Pendant le printemps de 2006, j'ai déménagé vers la ville avec mes deux enfants. Pendant que les enfants étaient à l'école, je travaillais dans une verrerie. Quand l'été est arrivé, ma fille de 15 ans a quitté l'école pour de multiples raisons et elle aussi est venue travailler dans la verrerie. Nous travaillions toutes les deux dans le même atelier où il faisait très chaud.
Il faisait tellement chaud dans l'atelier que personne ne voulait faire bouillir l'eau, j'ai donc fait bouillir l'eau pour les ouvriers dès que j'en avais le temps.
Un jour, je travaillais dans l'équipe de nuit. Au moment où je portais une casserole lourde avec de l'eau bouillante, un travailleur fâché a couru vers moi et m'a heurtée. Le couvercle de la casserole est tombé et toute cette eau bouillante a coulé sur mes fesses. Mon pantalon et ma chair semblaient ne faire plus qu'un.
Les ouvriers sur place étaient tellement terrifiés qu'un d'eux a coupé mon pantalon avec une paire de ciseaux, mais je ne pouvais pas enlever mes chaussures. L'ouvrier qui avait couru vers moi avait très peur. « Ma sœur », a-t-il dit, « je n'ai pas voulu faire ça. » Je l'ai consolé. « Ne t'en fais pas », ai-je dit. « Je vais bien, car j'ai Maître Li Hongzhi (le fondateur du Falun Gong) à mes côtés. »
Je suis restée là pendant un moment et ensuite j'ai continué à travailler. Le lendemain matin, le directeur de l'atelier est venu me voir et a dit au chef d'équipe : « Avec une brûlure aussi grave, elle ne pourra plus travailler. Je ne pense pas qu'on la verra de retour avant trois mois. »
J'ai répondu : « Je peux travailler. Je vais bien parce que j'ai mon Maître. »
J'ai continué à travailler chaque jour, mais mes jambes avaient l'air affreusement bizarre avec toute cette chair brûlée. Pourtant, je ne sentais pas la douleur pendant que je travaillais. Mes jambes et mes pieds ont guéri en moins de vingt jours et il n'y avait même pas de cicatrices. Je n'ai pris aucun médicament, ni d'injections et je n'ai rien demandé au collègue qui m'avait blessée.
Le Maître a enseigné :
« Nous disons que le bien ou le mal surgit d’une seule pensée, une différence dans la pensée provoque un résultat différent. » (Zhuan Falun, Quatrième leçon, L’élévation du xinxing)
Heurtée par un camion
Je dis souvent : « Le Maître m'a aidée à échapper à la mort et il m'a donné la vie. » Un soir en 2010, alors qu'il n'y avait personne dans la rue, je roulais en direction de la gare sur mon tricycle. Au moment où je tournais à la hauteur d'un carrefour, un grand camion est passé et en l'espace d'une seconde, je me suis retrouvée sous le camion, je ne savais pas du tout ce qui s'était passé.
Mais je n'avais pas peur du tout. En voyant les roues du camion rouler vers moi, j'ai crié : « Maître, s'il vous plaît, sauvez-moi ! »
Alors j'ai vu que les roues du camion étaient soulevées de mes pieds et volaient au-dessus de mon corps petit à petit et que le camion atterrissait à trois mètres de ma tête. Quand il a atterri, on a entendu un énorme craquement.
À ce moment-là, un autre véhicule avançait vers moi à toute allure. Mais pendant que j'étais couchée sur la route, je ne pouvais pas bouger mon corps et cette fois-ci, j'ai eu vraiment peur. En moi-même je disais : « Maître, ça y est, c'est fini cette fois. »
Juste à ce moment-là, j'ai eu l'impression que deux mains énormes me soulevaient le corps et qu'instantanément, j'étais en haut du virage, à un mètre de la route. L'autre véhicule est passé à côté de moi.
J'ai vite téléphoné à mon fils, qui est venu tout de suite. Il m'a aidée à me lever et m'a ramenée à la maison. Mon tricycle était écrasé et il avait été expulsé à une distance de plus de dix mètres.
La perversité n'ose plus me toucher
J'ai trouvé les pratiquants et le groupe d'étude du Fa dans la ville le 13 mai 2011. Les pratiquants m'ont montré les exercices et j'ai lu les enseignements de Fa du Maître qu'il avait enseigné dans d'autres pays. Avec l'aide d'autres pratiquants, j'ai appris un nouveau vocabulaire à partir des enseignements du Maître. Depuis ce moment-là, je suis devenu une véritable pratiquante de Dafa de la période de rectification de Fa.
Avec la coordination et la coopération entre pratiquants, nous avons été capables de nous débarrasser de bannières et d'innombrables affiches calomniant Dafa. Certains parmi nous ont émis la pensée droite et certains les ont enlevés sous les yeux des gardes de sécurité. Tout cela s'est passé dans la sérénité. Nous avons également aidé nos compagnons de cultivation d'autres cantons à se débarrasser de ces affiches calomnieuses.
Pendant la première moitié de l'année dernière, des affiches calomnieuses sont apparues partout dans les quartiers résidentiels. Une nuit, j'ai pensé : « Nous ne pouvons pas accepter que ces affiches empoisonnent les êtres. » Ensuite, je suis allée voir les autres pratiquants, mais ils étaient tous si fort occupés que je ne leur ai pas raconté la raison pour laquelle j'étais venue.
Quand je suis rentrée chez moi, je me demandais ce qu'il fallait que je fasse. Je voulais agir moi-même, mais je manquais de confiance. Alors j'ai brûlé de l'encens devant la photo du Maître en disant : « Maître, voulez-vous m'accompagner comme un compagnon de cultivation ? »
Je suis donc partie avec le matériel nécessaire pour les cinq quartiers résidentiels, où j'ai enlevé cinq affiches avant de retourner sain et sauf chez moi.
Quelques jours plus tard, un compagnon de cultivation m'a demandé : « As-tu enlevé les affiches dans ce quartier résidentiel ? »
Après que je lui ai dit que c'était moi, le pratiquant a dit : « Et qui t'a accompagnée ? » J'ai répondu : Le Maître. »
Parfois, je sors la nuit et je roule assez loin sur mon vélo électrique. Je pose des centaines d'affiches et je rentre chez moi tôt le matin. C'est le Maître qui me protège et je n'ai pas peur du tout. Comme le Maître m'accompagne, la perversité n'ose pas me toucher.
Parfois, j'entends quelqu'un s'exclamer : « Falun Dafa est bon. » Et parfois, je peux entendre quelqu'un qui rit. Je sais que c'est le Maître qui m'encourage.
Traduit de l'anglais en Belgique