(Minghui.org) Pratiquer le Falun Dafa a été pour moi un tournant décisif entre la personne que j'étais avant de commencer à pratiquer et la personne que je suis devenue après. C'est ma grande chance d'être devenue une pratiquante de Falun Dafa.
Toute ma famille est devenue forte et joyeuse depuis que je pratique le Falun Dafa
J'étais étroite d'esprit et avais mauvais caractère avant de commencer à pratiquer le Falun Dafa et je me mettais facilement en colère. Lorsque j'étais dans mon état de colère, on ne pouvait pas me faire entendre raison. Au cours des disputes avec mon mari, j'allais jusqu'à prendre un couteau.
Ma relation avec mes beaux-parents était également distante. Un jour, j'avais eu cette pensée : « Ne vous attendez pas à vivre avec moi quand vous deviendrez vieux. »
Je manquais complètement de la vertu et du charme féminins traditionnels. Sans en avoir conscience, j'avais accumulé beaucoup de karma, tant et si bien que j'étais criblée de toutes sortes de maladies alors que j'étais dans la trentaine.
Ma grande chance a été de rencontrer le Falun Dafa en 1997. J'ai senti profondément dans mon cœur que c'était l'authentique Fa de Bouddha et que je ne devais pas manquer cette occasion. Je devais cultiver et pratiquer jusqu'au bout.
Cela m'a pris une demi-année pour mémoriser les plus de 300 pages du Zhuan Falun, le texte principal du Falun Dafa. De là, je me suis éveillée à de nombreux principes du Fa. J'ai compris que nous n'avons pas qu'une seule vie, qu'il y a de bonnes et de mauvaises rétributions et que nos infortunes et nos souffrances remboursent toutes nos dettes passées.
J'ai appris que l'Univers contient le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance qui détermine si une personne est bonne ou mauvaise. Si nous suivons ce principe, nous sommes de bonnes personnes, si non, nous sommes vraiment mauvais.
Ma vision du monde a changé et la portée de mon cœur s'est étendue. Le Maître a purifié mon corps.
Toute ma famille, mes beaux-parents, mon mari, mon fils, mon petit-enfant, tous ont commencé à pratiquer. Nous sommes tous reconnaissants envers la grâce de Dafa. Je remercie le Maître du plus profond de mon cœur et de mon âme.
Une de mes proches m'a un jour demandé : « Pourquoi perds-tu ton temps et ton énergie dans la pratique du Falun Dafa ? »
Je lui ai répondu avec le plus grand sérieux : « Tu fais des remarques désinvoltes sur des choses que tu ne comprends pas vraiment. Connais-tu la moindre des choses sur le Falun Dafa ?
« Ce que nous faisons est le plus droit. Tu as vu ce que j'étais autrefois. Tu as aussi vu combien j'ai changé.
« J'ai bénéficié d'une bonne santé en pratiquant le Falun Dafa. Qu'importe combien je fais et combien je suis fatiguée, j'ai seulement le sentiment qu'il n'y a pas assez de temps pour faire tout ce que je veux et dois faire. Je ne ressens jamais que je ne peux pas supporter quelque chose physiquement.
« Il y a quelques années, j'ai ouvert une boutique de vêtements et j'ai dû faire des heures supplémentaires pendant cinq jours et cinq nuits. Je n'avais qu'une heure de sommeil chaque nuit mais je me sentais remplie d'énergie. Une personne non-pratiquante peut-elle faire cela ?
« Les pratiquants de Dafa démontrent une énergie droite. Que ce soit en privé ou dans la société, les pratiquants ne créent ni n'intensifient des contradictions, car nous comprenons les conséquences et nous comprenons ce principe.
« Dans ma famille, il y a des personnes appartenant aux générations plus jeunes et plus anciennes. Je m'occupe de tout dans la maison. Je ne me plains jamais ni ne ressens d'amertume.
« Nous essayons également de penser d'abord aux autres. Nous essayons d'éviter les contradictions entre nous. Si cela nous arrive, nous nous rectifions directement avec les principes du Falun Dafa et les choses passent rapidement.
« Grâce à la miséricorde de Dafa, notre vie de famille est remplie de joie, de bonheur et d'accomplissement.
« Aujourd'hui, je me fiche de savoir combien d'argent tu as, tu ne trouveras pas vraiment de foyer qui vive réellement en paix et en harmonie. J'ose dire que notre famille est d'une qualité élevée. C'est le pouvoir de Dafa.
« Si le Parti communiste ne persécutait pas le Falun Dafa, combien de gens en plus le pratiqueraient ? Notre société ne serait-elle pas paisible ? Aurions-nous besoin de tant de lois ? Aurions-nous besoin de dépenser tant pour combattre la corruption ?
« Le seul facteur qui cause tant de chaos dans la société, c'est le Parti communiste. »
Cette personne n'a pu s'empêcher de remarquer : « C'est vraiment ainsi. Tu as absolument raison. »
La famille étendue est un excellent environnement de cultivation
Mes beau-parents vivaient autrefois chez le frère de mon mari. Mais comme mon beau-frère a trouvé un emploi hors de la ville et ne pouvait plus s'occuper de ses parents, mon mari et moi avons décidé d'inviter le couple âgé à vivre avec nous.
Au début, comme je n'avais jamais vécu avec mes beaux-parents, les choses ne se passaient pas facilement. Il y avait des divergences entre nos idées, nos personnalités, nos habitudes, ce que nous aimions et n'aimions pas, de sorte qu'il y avait beaucoup d'ajustements à faire.
Heureusement, nous sommes tous des disciples de Dafa. Nous étions capables de tout mesurer dans le Fa lorsque des contradictions se présentaient. Nous avons appris à nous tolérer les uns les autres. Lorsque nous rencontrions des conflits occasionnels, nous nous efforcions de faire un pas en arrière, de regarder les choses en accord avec le Fa et résoudre les choses.
Le Maître dit :
« Au milieu de ce conflit, si vous pouvez chercher à l’intérieur, vous pourrez découvrir votre propre insuffisance. Si le conflit n’est pas exposé au grand jour, s’il n’apparaît pas, vous n’arriverez pas à découvrir votre attachement et à le voir. Si tout est calme et paisible, peut-on cultiver ? » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi à la capitale des Etats-Unis », Enseignement de Fa dans les conférences VII)
Tout de suite, j'ai compris la véritable source des conflits. Je n'avais pas véritablement éliminé mes attachements persistants à la combativité, à ne jamais vouloir prendre du recul, à toujours vouloir gagner, ainsi qu'à la mesquinerie et la méchanceté.
Ce n'est pas par hasard que j'ai dû vivre avec mes beaux-parents. C'était un environnement arrangé par le Maître pour révéler mes attachements afin que je puisse travailler dessus.
Je remercie le Maître de m'avoir donné cette grande occasion.
Tout résoudre dans la bienveillance
Vers la fin 2015, mon fils m'a informé que son épouse voulait divorcer.
Il m'a dit : « J'ai fait de mon mieux pour l'en dissuader, mais elle a déjà trouvé quelqu'un d'autre. Je n'ai pas le choix. Donc j'ai accepté. »
Mon cerveau était en ébullition. J'ai pensé : « Nous avons toujours été bons envers elle. Comment peut-elle être aussi cruelle et égoïste au point de quitter son mari et leur enfant ? »
Mon fils a vu mon expression et m'a dit : « Maman, ne t'énerve pas. C'est comme ça. »
Ses mots m'ont rappelée à l'ordre. J'ai pensé : « Pourquoi cela nous arrive-t-il ? Nous sommes une famille de pratiquants. Tout ce à quoi je viens de penser, me plaindre, accuser, tout cela, c'est chercher des causes externes. Cela ne devrait pas être ainsi. Le Maître nous apprend à regarder à l'intérieur, à réfléchir du point de vue de l'autre. »
J'ai donc commencé à regarder à l'intérieur.
Ma belle-fille voulait divorcer, quitter sa famille. Je devais porter une certaine part de responsabilité. Lorsqu'elle s'est mariée dans notre famille et a donné naissance à un fils, elle a trouvé un emploi loin de la maison et avait laissé son fils à nos soins.
Chaque fois qu'elle venait à la maison nous rendre visite, notre fils la traitait toujours bien, mais comme ils vivaient séparés, ils n'avaient pas vraiment bien ni fréquemment communiqué.
Nous pensions tous que tout allait bien, mais nous ne savions vraiment pas comment elle vivait, si elle avait jamais rencontré de douleur ou de souffrance. Le monde extérieur était si mauvais, comment avait-elle vécu toutes ces années toute seule ? Personnellement, je ne m'en étais jamais inquiétée.
Aurais-je fait cela avec ma propre fille ? Je n'avais véritablement pas bien pris ma responsabilité de belle-mère.
Ainsi, je suis allée lui rendre une petite visite. Je lui ai dit : « Peux-tu me dire pourquoi tu veux divorcer ? Si c'est de ma faute, si c'est la faute de l'un d'entre nous, nous nous amenderons. Nous ne voulons pas que tu quittes cette famille. »
Elle a pleuré : « Ce n'est pas de votre faute. Vous m'avez toujours traitée mieux que mes propres parents. »
« Alors pourquoi ? »
Mais elle ne pouvait pas répondre. Plus tard, elle a mentionné que notre fils ne gagnait pas suffisamment d'argent pour soutenir sa famille.
J'ai dit : « C'est vrai qu'il ne gagne pas beaucoup d'argent, mais il fait de son mieux. Tu dois regarder son caractère moral. Depuis qu'il a commencé à cultiver et pratiquer Dafa, il a corrigé toutes ses mauvaises habitudes. Tu sais qu'il a à cœur de servir tes meilleurs intérêts. Ce n'est pas une chose que tout le monde peut faire.
« Le mariage est prédestiné. Nous devons chérir une telle relation. De plus, vous avez un enfant ensemble. Il a déjà dix ans. Quel que soit l'amour qu'une grand-mère peut donner, cela ne remplace pas l'amour d'une mère. S'occuper des enfants, c'est aussi la responsabilité d'une mère.
« Je comprends que le divorce est devenu une chose normale aujourd'hui et c'est une chose à la mode, mais cela va à l'encontre du dessein divin et de la nature humaine. »
Nous avons beaucoup parlé mais elle était décidée. Il est possible que leur relation prédestinée était arrivée à sa fin.
Mon fils m'a dit : « Sa mère est malade. On approche déjà du Nouvel An. Elle ne veut pas que sa mère soit informée de ceci, alors elle ne rentrera pas chez elle pour le Nouvel An mais passera la journée seule. Lorsque le Nouvel An sera passé, nous irons voir l'administration pour déposer une demande de divorce. »
J'ai tenu les mains de ma belle-fille et ai dit : « Même si vous divorcez, alors que nous avons passé toutes ces années ensemble, comment puis-je supporter de te laisser passer le Nouvel An seule. Je t'invite sincèrement à passer la journée avec nous. »
Ma belle-fille m'a enlacée et a sangloté. Nous avons bien pleuré ensemble.
Mon fils et moi sommes allés ensemble préparer le repas du Nouvel An. Nous avons acheté tout ce que ma belle-fille aime.
Comme c'est notre habitude le jour du réveillon, mon fils est allé souhaiter à sa belle-mère et aux membres de sa famille un heureux Nouvel An et ma belle-fille est allée avec son fils le lendemain rendre visite à sa mère.
Mon petit-fils est venu à la maison le jour suivant, mais sa mère est restée chez sa mère pendant une semaine.
Lorsque ma belle-fille est rentrée, ils ont déposé la demande de divorce.
Les adultes ont réussi à rester calme en surface, mais le garçon de dix ans avait un pressentiment sur ce qui allait se passer.
Sa grand-tante lui a dit la vérité. Mais il avait aussi entendu une conversation entre sa mère et son nouvel ami et avait compris. Ainsi, lorsque ses parents sont partis ensemble signer l'acte de divorce, il a pleuré et a piqué une crise sans pouvoir se calmer ni être consolé.
Cela a duré plusieurs jours. À un moment, il voulait sa mère, l'instant d'après il la haïssait. Il ne lui parlait pas quand elle appelait. Il est devenu très agité.
J'ai finalement eu une discussion sérieuse avec le jeune garçon. Je lui ai dit : « Oui, ton père et ta mère ont divorcé. »
Je lui ai dit ce que le Maître a enseigné :
« Mais le savez-vous, qu'est-ce qu'une mauvaise personne ? Et qu'est-ce qu'une bonne personne ? Si ton cœur contient de la haine, de la méchanceté, réfléchis, quel genre d'être es-tu ? Cela peut se manifester dans ton comportement, même sur ton visage, on peut voir que tu as l'air méchant. » (« Enseignement de Fa à la Conférence de Fa de San Francisco 2014 »)
Je lui ai dit : « Ta mère t'a laissé, mais c'est elle qui t'a donné la vie. Parce que tu as une vie humaine et un corps physique, c'est ce qui te permets d'obtenir Dafa. Pour cela, tu devrais lui être reconnaissante et ne pas la haïr. Le Maître nous dit d'être bon envers chacun. Bien sûr, cela inclut ta mère. »
Mon petit-fils s'est finalement calmé.
Un jour, il a fini par répondre à l'appel de sa mère, mais il lui a demandé : « Pourquoi as-tu divorcé de mon père ? »
Sa mère a essayé de lui mentir et lui a dit : « Je n'ai pas divorcé de ton père. N'écoute pas ce que les gens disent. »
L'enfant ne l'a pas crue. Il a simplement continué de pleurer toutes les larmes de son corps.
En écoutant la conversation de mon petit-fils avec sa mère, je n'ai pas pu me retenir. Sa peine me touchait profondément. J'ai laissé mon cœur être touché.
J'ai pris le téléphone et ai dit à ma belle-fille : « N'appelle plus ton fils. Arrête de lui faire du mal. Il ne peut plus le supporter... »
D'un côté, étant grand-mère, je me sentais forcée de défendre mon petit-fils. D'un autre côté, j'ai réalisé que je suis une pratiquante de Dafa et que je devrais être détachée de ce genre de choses des gens ordinaires. J'ai compris que c'était une tribulation que je devais traverser.
Je balançais d'un côté puis de l'autre, trouvant difficile de suivre le principe de Fa du Maître demandant d'abandonner mon attachement à la sentimentalité.
Ce n'est que plus tard que j'ai découvert ce que mon fils a fait.
Abandonner
Lorsqu'il a compris qu'il ne pouvait pas dissuader son épouse de son intransigeance envers le divorce, il a décidé qu'il devait abandonner.
Il a commencé à ne penser qu'au bien-être de son épouse. Il a enregistré des cassettes d'histoires de la culture traditionnelle chinoise sur les vertus féminines pour qu'elle les écoute. Il lui a demandé de ne pas suivre le courant actuel et de pas se laisser emporter par les mauvaises influences. Il lui a rappelé que les personnes à la moralité décadente sont celles qui seront éliminées.
Mon fils m'a dit : « Je me sens désolé pour elle. Je plains cette vie. Nous avons le Maître et Dafa. Nous nous en sortirons, mais elle les laisse derrière elle. Elle veut se retirer de notre environnement et se perdre dans la grande cuve de teinture de la société ordinaire. C'est extrêmement dangereux. Parce que le Maître dit :
« Cédant à la nature démoniaque, loin du divin Une fois entré en Enfer, aucune chance d’en ressortir »
(« Sans aucune retenue », Hong Yin III)
En entendant ce que mon fils disait, je me suis sentie vraiment honteuse. Mon fils était celui qui avait été le plus blessé, mais il arrivait à penser à une autre vie. Comme son cœur était grand ! Il a véritablement manifesté ce qu'un disciple de Dafa devrait penser et montrer.
Face à cela, j'ai vu mes failles dans la cultivation. Lors de ma conversation suivante avec ma belle-fille, je lui ai présenté mes excuses : « J'ai eu tort. Ce que je t'ai dit n'était pas approprié. Je suis désolée. Nous respecterons ton choix et ta décision. Je prendrai bien soin de ton fils. »
Ma belle-fille s'est mise à pleurer à l'autre bout du fil, elle m'a dit : « C'est moi qui ai tort. »
Au début, mon mari a plutôt bien fait et a réussi à rester calme. Mais lorsqu'il a vu l'accord de divorce, qui déclarait qu'après le divorce, la mère n'aurait plus rien à voir avec l'éducation de son fils, mon mari a senti qu'elle nous avait causé une grande injustice.
Durant toutes ces années, notre belle-fille avait travaillé loin du domicile mais ne nous avait offert aucun soutien financier malgré le fait que nous prenions soin de son fils. Maintenant, elle s'en lavait complètement les mains sans se soucier du bien-être financier de son fils.
Après que nous nous sommes concentrés sur l'étude du Fa, il a réalisé que tout a une cause et un effet et il a pu progressivement laisser tomber.
Mes beaux-parents âgés ont vu comment leur petit-fils souffrait chaque jour, ont trouvé cela difficile à supporter et ont fini par rencontrer de graves problèmes physiques.
Mon beau-père ne pouvait pas s'asseoir, ouvrir les yeux et a perdu le contrôle de sa vessie et de ses intestins.
Ma belle-mère n'a pas pu sortir du lit pendant quatre jour, avec une forte fièvre et une toux constante et a perdu l'appétit.
Nous savions tous que c'étaient des illusions que seul Dafa pouvait percer parce que Dafa est tout puissant. Nous avons donc étudié le Fa diligemment et fréquemment.
Le Maître enseigne :
« […] vous n’êtes pas en mesure d’intervenir dans la vie des autres, ni de dicter leur destin, qu’il s’agisse de votre femme, de vos enfants, de vos parents, de vos frères– est-ce à vous de décider ces choses-là ? » (Zhuan Falun)
Des compagnons de cultivation sont venus partager des expériences avec nous. Ils nous ont aidés à nous élever dans le Fa. Très vite, mes beaux-parents se sont entièrement rétablis.
Sans la cultivation et pratique de Dafa, je peux imaginer qu'en raison de leur grand âge et des graves manifestations physiques adverses, mes beaux-parents auraient dû subir un traitement médical. Leur état aurait même pu leur coûter la vie.
Je n'ai pas pu m'empêcher de m'écrier du plus profond de mon cœur : « Falun Dafa est grand ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est grand ! »
Chaque jour, lorsque je sors pour parler aux gens du Falun Dafa, mon intention est de leur permettre de connaître la beauté et la bonté de Dafa, de leur parler de mon expérience personnelle et la façon dont moi et ma famille en avons bénéficié, pour briser les mensonges empoisonnés et les tromperies dont le régime communiste a enveloppé les gens du monde entier et que les gens comprennent le Falun Dafa et bénéficient d'un bon avenir.
Traduit de l'anglais en Belgique