(Minghui.org) Vers la fin de la première année de lycée de mon fils, en 2015, il est rentré de l'école et rayonnant de fierté, m'a remis un certificat.
Il avait été élu « étudiant modèle » par 31 de ses 36 camarades de classe.
En regardant le visage brillant et innocent de mon fils, j'étais remplie d'émotion. Ma mémoire revenait à toute allure vers le passé et une scène apparaissait comme sur un écran de cinéma devant mon esprit. C'est quand je lui ai présenté le Falun Dafa pour la première fois.
Quand mon fils avait deux ans, il a subi une crise d'asthme, accompagnée d'une forte fièvre. Sa gorge émettait un fort sifflement quand il inspirait et expirait.
Il était trop faible pour marcher, alors il pleurait pour être serré dans nos bras toute la journée. Il n'avait pas d'appétit. Il ne prenait que quelques bouchées de tout ce que nous avions pour le nourrir et ne voulait pas en manger plus.
Il ne pouvait pas dormir la nuit parce qu'il ne pouvait pas respirer, alors il finissait par s'agiter et pleurer.
Nous l'avons emmené à l'hôpital local pour mères et enfants. Nous avons trouvé le meilleur pédiatre pour l'examiner.
Le médecin a dit : « Il a de l'asthme infantile, provoqué par un rhume qu'il a contracté pendant son premier mois de vie. Ça lui passera quand il aura dix ans. L'asthme infantile n'a pas de remède permanent. Le mieux que je peux faire est de lui prescrire le meilleur anti-inflammatoire. »
Il n'y avait aucun signe d'amélioration après avoir pris le médicament pendant deux semaines, de sorte que le médecin a augmenté la dose. Un autre mois a passé, mais il n'y avait toujours pas d'amélioration.
La grand-mère de mon fils était inquiète : « Mon petit-fils est si jeune. Continuer d'augmenter le dosage est une mauvaise idée ! »
Mon cœur était attristé de voir mon fils souffrir.
Quand j'étais au point le plus bas, me sentant impuissante et sans espoir, le Falun Dafa m'est venu à l'esprit.
Je me suis rappelé la façon dont j'étais venue à Dafa quand je ne savais plus quoi faire avec mon corps criblé de maladies incurables, à quel point Dafa avait rétabli ma santé, et à la façon dont j'ai quitté Dafa après avoir été persécutée et soumise à la rééducation dans le camp de travaux forcés,et à quel point j'avais regretté d'avoir renoncé à la pratique du Falun Dafa par peur et par instinct de survie.
Maintenant, en regardant la souffrance de mon fils, j'ai franchi mes barrières psychologiques et pris furtivement les conférences de Maître Li Hongzhi sur une cassette vidéo et je les ai passées pour mon fils.
Mon fils a écouté les conférences et a commencé à s'améliorer. Sa respiration sifflante s'est arrêtée et il a pu dormir paisiblement et profondément.
Après que mon fils a écouté les conférences de Maître Li pour la troisième fois, les symptômes de son asthme ont disparu et peu après il a été complètement guéri.
Aucun mot ne pouvait exprimer ma gratitude. Je ne pouvais que laisser mes larmes couler en silence.
J'ai commencé à reprendre ouvertement ma pratique du Falun Dafa à la maison.
Mon mari s'est opposé avec véhémence et m'a menacée de divorcer. À maintes reprises, il allait jusqu'à me pousser sur le lit, mettait ses mains autour de mon cou pour m'étouffer et me battait sévèrement.
La famille de mon mari craignait que ma pratique du Falun Dafa ne nuise à l'avenir de la carrière de mon beau-père qui était le gérant d'une entreprise d'État. Ils m'ont signalée à la police.
Je savais bien que ma sécurité était en jeu, mais je devais choisir la droiture et la conscience. J'ai utilisé la violence conjugale comme motif pour obtenir le divorce et la garde de mon fils.
Sorti de l'eau
De bébé à la petite enfance, mon fils était plein d'énergie et de malice. Il n'avait aucun sens du danger. Il rampait et grimpait toute la journée.
Pendant les vacances d'hiver quand il était en deuxième année, il est allé jouer dehors et est revenu complètement trempé de son bonnet de laine jusqu'à ses chaussures.
J'ai été surprise, car il ne pleuvait pas dehors. Il m'a dit timidement : « Maman, je suis tombé dans l'eau. »
Il a dit : « Je jouais près de l'étang dans le petit jardin de notre district. Quelqu'un a jeté une bombe incendiaire dans l'eau. Le bruit m'a bouleversé et je suis tombé dans l'étang. L'eau était au-dessus de mes épaules. J'avais tellement peur que je ne pouvais même pas demander de l'aide. Soudain, j'ai senti une paire de grandes mains me tenir debout et j'ai réussi à sortir de l'étang. »
Je lui ai dit : « L'année dernière, un jeune enfant s'est noyé dans le même étang. C'est arrivé au milieu de la journée où personne n'était là pour le secourir. Pour cela, l'étang était fermé depuis un an. Si le Maître n'avait pas été là pour toi, tu ne serais plus vivant. Donc, sois prudent. »
Il a hoché la tête et a dit : « Je n'oublierai pas ! »
Il a mis des vêtements secs et est sorti pour jouer de nouveau avec un sourire sur son visage comme si rien ne s'était passé.
La croyance pure de mon fils l'a à nouveau sauvé
Un soir, pendant les vacances d'été, quand mon fils était en troisième année, il jouait avec ses amis à un « bluff aveugle » quand quelqu'un a suggéré : « Grimpons sur le toit pour que personne ne puisse nous atteindre. »
Mon fils a grimpé sur le toit avec les autres, mais il est tombé. Dans sa chute, son aisselle est entrée en contact direct avec la pointe acérée d'un des poteaux de fer qui soutenaient les cordes à linge. Le sang a immédiatement jailli.
Mon fils a eu la présence d'esprit de rester calme. Il a crié dans son cœur : « Maître ! Sauve-moi ! »
Un miracle s'est produit. Le sang a presque complètement cessé de couler.
Les camarades de jeu de mon fils ont commencé à crier et à m'appeler : « À l'aide ! Quelque chose de terrible s'est passé ! À l'aide ! »
J'ai couru en bas. J'étais en état de choc quand j'ai vu mon fils. J'ai couru à l'étage pour prendre 1000 yuans et j'ai appelé un taxi pour nous emmener à l'hôpital.
Quand nous y sommes arrivés, mon fils a dit : « Maman, je suis un pratiquant de Dafa. Ai-je besoin de voir un médecin ? »
Les paroles de mon fils m'ont réveillée.
Mon fils a continué : « Je sais que c'est ma faute. Je passe trop de temps à jouer et à m'amuser. Mais je fais confiance au Maître. J'ai confiance en Dafa. Je vais bien. »
J'ai été émue par la croyance ferme de mon fils et j'ai interrompu le trajet vers l'hôpital.
Ce soir-là, j'ai changé les bandages ensanglantés de mon fils huit ou neuf fois.
Mon fils est resté couché au lit pendant une semaine. Puis il s'est remis sur pied. En un peu plus d'un mois, il était complètement rétabli.
Sain et sauf après avoir été heurté par une voiture
Mon fils était au collège. Un après-midi, il était presque 13 heures, mais il n'était pas rentré à la maison. Je suis allée le chercher, mais il n'y avait aucune trace de lui. Je suis rentrée à la maison abattue.
Quand j'approchais de mon immeuble, il était là et sur le point de gravir les escaliers jusqu'à notre maison.
Il n'avait pas l'air bien du tout. Il était couvert de poussière et de saleté. Son visage était tout souillé. Même ses narines étaient pleines de boue.
Quand il m'a vue, il a pleuré. Je me suis dépêchée de le réconforter et je lui ai demandé s'il était blessé.
Il m'a dit : « Maman, je vais bien. »
Je me suis dépêchée de le ramener à la maison.
Toujours en pleurant, il a expliqué : « J'étais en vélo sur mon chemin vers la maison pendant la pause déjeuner de l'après-midi. Une motocyclette qui allait à toute allure m'a heurté et a envoyé mon vélo voler. J'ai été jeté sur l'herbe sur le côté de la route. Le conducteur ne s'est pas arrêté. Il a accéléré. J'étais blessé partout et je ne pouvais pas me lever. Je suis resté là longtemps. Finalement, je me suis levé et j'ai boité jusqu'à la maison. »
J'ai fait un calcul. Tout cela avait dû avoir eu lieu il y avait environ 40 minutes.
J'ai examiné le corps de mon fils et je n'ai trouvé aucune blessure, juste une petite égratignure et une petite meurtrissure sur un bras.
J'ai dit à mon fils : « Si tu n'avais pas le Maître pour te protéger, je parie que tu aurais au moins des os cassés. »
Nous étions tous les deux remplis de gratitude. Mon fils a fait une petite sieste et est retourné à l'école.
Être un modèle de classe pour avoir retourné de l'argent trouvé
Depuis qu'il était très jeune, mon fils n'a jamais regardé droit devant en marchant. Il regardait toujours ici et là et partout. Ainsi, il a constamment apporté à la maison des clous et des bouchons et toutes sortes de petites choses. Je l'appelle en plaisantant « Mon petit collectionneur de ferraille. »
En raison de cette habitude, il pouvait toujours trouver un yuan ici et cinq yuans là à son école élémentaire.
Bien sûr, il n'y avait aucun moyen de savoir qui avait laissé tomber l'argent. Donc mon fils a toujours retourné sa trouvaille à son professeur de classe pour les dépenses de classe.
Au cours d'une des réunions de classe, l'enseignant a dit à toute la classe : « Il y a un élève parmi vous qui me retourne toujours l'argent qu'il trouve pour l'utilisation en classe tandis que d'autres garderont l'argent pour leur propre usage... »
Dès lors, beaucoup de ses camarades ont suivi son exemple et ont donné leurs trouvailles pour la classe.
Quand mon fils était au collège, il a trouvé 10 yuans et 20 yuans et a remis l'argent aux professeurs de la classe.
Cette année, mon fils est au lycée. Un jour, il a trouvé 50 yuans sur le terrain d'athlétisme de l'école. Il a retourné l'argent au bureau de l'école.
Il m'a raconté l'histoire quand il est rentré à la maison, et que, peu après que le bureau a diffusé la découverte, plusieurs étudiants sont allés pour réclamer l'argent.
Nous avons partagé notre stupeur et notre amusement.
J'ai dit à mon fils : « Je suis certaine qu'il y a un de ces étudiants qui a honnêtement perdu l'argent. Je suis également certaine que l'école va comprendre qui dit la vérité. Tu n'as pas à t'inquiéter. Continue de faire ce que tu fais. Reste fidèle à Dafa et suis le principe de Dafa Authenticité, Bienveillance et Tolérance, et tu iras tout simplement bien. »
Un cœur compatissant
Mon fils est une bonne personne, chaleureuse, gentille et empathique.
Un soir, il était à la maison une heure après la fin de la salle d'étude. Je n'étais pas contente.
Il a expliqué : « Quand nous avons quitté la salle d'étude, un camarade de classe s'est tordu la cheville et avait de la difficulté à monter sur son vélo. J'étais inquiet pour sa sécurité. Alors, je suis allé avec lui pour m'assurer qu'il rentrerait bien chez lui avant que je rentre à la maison. »
Il y a eu aussi plusieurs fois où mon fils non seulement est rentré tard à la maison, mais aussi avec les mains toutes sales et grasses.
Il a expliqué : « La chaîne du vélo de mon camarade de classe est tombée et je l'ai aidé à la remettre en place. »
Mon fils doit être à l'école à 6 h 30 tous les matins. Afin qu'il puisse dormir un peu plus longtemps, je prépare habituellement son petit déjeuner avant de le réveiller et il se lève généralement avec un peu d'incitation.
Un matin, il s'est levé tôt et s'est rendu directement à la cuisine pour faire bouillir de l'eau.
Je me demandais pour quelle raison l'eau bouillait, parce que nous buvons seulement de l'eau minérale en bouteille, alors nous ne faisons jamais bouillir l'eau pour la boire.
Mon fils a expliqué : « Un camarade de classe a un rhume et a besoin d'eau chaude. L'école ne fournit pas d'eau chaude. Alors je veux m'assurer qu'il aura de l'eau chaude à boire. »
Ce genre de choses se produisent beaucoup. J'ai cessé d'être surprise ou inquiète.
J'ai acheté une montre à mon fils. Peu de temps après, mon fils est rentré un jour et m'a dit : « Maman, mon camarade de classe a demandé de regarder ma montre. Je la lui ai remise. Il l'a laissée tomber par terre et elle s'est cassée. Dois-je lui demander de payer ? »
Je lui ai demandé : « Où est la montre cassée ? »
Mon fils a dit : « Je l'ai jetée à la poubelle. »
Je lui ai demandé : « Qu'est-ce que tu as dit à ton camarade de classe ? »
Il a dit : « Je n'ai rien dit. Rien du tout. »
Entendant la détresse dans sa voix, j'ai dit : « C'est bon. Ne t'en fais pas. C'est ton camarade de classe et c'était un accident. Je vais t'acheter une autre montre. »
Alors je lui ai acheté une autre montre. Il était heureux.
Le professeur de langue étrangère de mon fils partait et a donné à mon fils son ballon de basket personnel. Mon fils a apporté le ballon à la maison pour me le montrer. Je peux dire qu'il était de bonne qualité. Je peux aussi dire que mon fils aimait le ballon, mais il ne l'a pas traité comme sa propriété personnelle. Il l'a emmené à l'école et l'a partagé avec ses camarades de classe.
Un jour après l'école, mon fils m'a dit que son professeur lui avait donné de l'argent mis de côté pour l'utilisation en classe afin qu'il puisse acheter un ballon de basket.
J'étais curieuse : « Qu'est-il arrivé au ballon de basket que tu avais eu de ton professeur de langue étrangère ? »
Mon fils m'a dit sans rancune : « Une autre classe a demandé à l'emprunter et l'a en quelque sorte perdu. »
J'ai un fils merveilleux qui grandit avec la protection et l'orientation du Falun Dafa. Je me sens très chanceuse.
Traduit de l'anglais au Canada