(Minghui.org) Je suis une femme médecin qui a été élevée dans une société athée. Avant de commencer à pratiquer le Falun Dafa, je ne croyais rien que je ne pouvais voir de mes propres yeux.
Une preuve évidente change mon esprit
Quand mon mari a eu le diagnostic d’une maladie terminale en 1995, une de mes collègues retraitée nous a présenté le Falun Dafa, suggérant que la pratique avait des pouvoirs extraordinaires. Je ne l’ai pas crue et lui ai demandé pourquoi nous avions besoin des hôpitaux si le Falun Dafa avait ces pouvoirs. Elle m’a parlé de la mère d’une collègue qui avait guéri d’une grave arthrite en pratiquant le Falun Dafa. J’ai tout de même refusé de la croire.
Un jour, j’ai croisé la collègue dont elle m’avait parlé et je l’ai questionnée sur l’arthrite de sa mère.
« Ma mère a pu tendre ses doigts déformés », a-t-elle dit, « après avoir participé quelques jours à la session de lecture et avant de commencer les exercices. »
J’avais vu les doigts très déformés de sa mère quand elle était venue pour le traitement à notre hôpital. Mais je n’étais toujours pas convaincue du pouvoir du Falun Dafa.
Quand j’ai croisé sa mère un jour, je lui ai demandé de me montrer ses mains. Elle les a tendues avec un sourire. Ouah ! Elles étaient tout à fait normales ! Je ne pouvais tout simplement pas comprendre ce qui s’était passé.
J’en ai parlé à mon mari et il a dit : « Faisons un essai, d’accord ? »
Ainsi, j’ai demandé à ma collègue retraitée de venir nous enseigner les exercices du Falun Dafa. Quelques jours plus tard, elle nous a aussi apporté le livre principal, le Zhuan Falun.
Le livre parle de l’élévation du xinxing (nature de l’esprit) en suivant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.
Nous avons décidé de pratiquer le Falun Dafa et avons fait l’expérience du pouvoir de cette cultivation et pratique, quelque chose que je ne peux pas expliquer avec les théories de la science empirique.
Le pouvoir extraordinaire du Falun Dafa
Quelques mois plus tard, un pratiquant a organisé une session de neuf jours au cours de laquelle nous pouvions regarder les vidéos de Maître Li qui enseignait Dafa. Le chef du département des forces armées de la région avait la maladie de Parkinson et il voulait apprendre le Falun Dafa. Il a aidé à avoir une grande salle de réunion où pouvaient s’asseoir 240 personnes. Mon mari et moi avons assisté à la session de neuf jours en mai 1995.
Quelques jours après, mon mari a commencé à vomir et il a arrêté de suivre la session. Quand des pratiquants expérimentés ont appris cela, ils lui ont dit que le Maître nettoyait son corps et qu’il devait continuer à venir. Alors mon mari et une autre personne qui faisait la même expérience sont retournés dans la salle.
Sitôt qu’ils entraient dans la salle de réunion, les symptômes de leurs maladies disparaissaient, mais dès qu’ils franchissaient le seuil de la salle, ils recommençaient à vomir. Trois jours plus tard, mon mari était remis. Il a commencé à prendre du poids et avait l’air en très bonne santé. De plus, un gros lipome qu’il avait sur le dos depuis plus de 20 ans a disparu sans aucune trace.
Quand nous sommes allés nous balader ce mois d’août, nous nous sommes arrêtés chez la personne qui avait la maladie de Parkinson. Il nous a montré ses mains : elle étaient normales, stables et ne tremblaient plus involontairement. Cela nous a donné davantage confiance de pratiquer le Falun Dafa.
Les pensées d'une personne décident des conséquences
À la fin de 1997, j’ai glissé en descendant les escaliers et me suis blessée les chevilles. C’était très douloureux. J’ai appelé intérieurement le Maître pour demander de l’aide et me suis dit en moi-même : « C’e n’est rien ! Le Maître a dit que le bien et le mal viennent de la pensée spontanée. » Cette unique pensée est très importante. Je me suis relevée lentement et suis descendue les escaliers.
J’ai rejoint le site du groupe de pratique et j’ai fait les exercices. Quand je suis revenue chez moi et que j’ai enlevé mes chaussettes, j’ai vu que mon pied était enflé et était devenu bleu et violet.
Mes collègues au travail étaient choqués de voir l’état de mon pied, mais je leur ai dit que ce n’était rien et que j’irais bien dans quelques jours. En effet, le troisième jour, la douleur avait disparu et je n’avais aucun problème pour monter et descendre les escaliers ou m’asseoir dans la position du lotus complet.
C’était près du Jour du Nouvel An et je suis allée faire des courses à la pause de midi
J’ai rencontré la femme du collègue de mon deuxième fils. Elle m’a dit : « Il fait si froid . Pourquoi ne demandes-tu pas à ton fils de faire les courses ? » Par elle, j’ai appris que mon deuxième fils avait deux jours de congé et qu’il jouait aux cartes avec quelques amis !
Lors du réveillon, mes deux fils sont venus dîner, comme leurs femmes étaient retournées toutes deux chez leurs parents. Je me suis plainte envers mon fils aîné que son frère ne m’avait pas aidée à faire les courses alors qu’il avait deux jours de congé et que j’avais dû aller faire les courses avec un pied blessé.
Quand il a vu mon pied enflé, il a attrapé son frère par l’oreille et l’a traîné pour le lui montrer. En fait, je n’avais pas mal. Après qu’ils furent partis, mon pied a commencé à me faire très mal. Je savais que je m’étais trompée en me plaignant et je me suis dit : « Maître, je me suis trompée ! » Cependant, la douleur continuait et le lendemain, je pouvais à peine marcher. Cela m’a pris plus d’un mois pour récupérer. J’ai compris que je devais porter la tribulation moi-même à cause d’une seule mauvaise pensée.
Plus tard, j’ai eu une violente douleur dans la région abdominale et j’étais ballonnée dans mon lit. J’ai commencé à vomir vers minuit et j’ai aussi eu la diarrhée. Mon deuxième fils est venu vers moi et a appelé son frère aîné qui est venu avec sa femme. Ils ont demandé si j’avais de la fièvre et ont dit que si c’était le cas, je devais aller à l’hôpital parce que ces sortes de maladies se développent rapidement. Je leur ai dit que j’allais bien et qu’il n’y avait pas de quoi se faire du souci. Je me suis sentie parfaitement bien quelques jours plus tard.
C’était vraiment comme le Maître a dit :
« Le bien ou le mal surgisse d’une seule pensée. » (Zhuan Falun)
Élever fermement son xinxing
Quand j’ai été assignée à travailler dans l’entrepôt d’un hôpital, un vendeur est venu chez moi un dimanche et m’a apporté quelques produits. Je trouvais cela vraiment bizarre. Puis il a essayé de me donner une enveloppe. J’ai réalisé qu’il essayait de me corrompre.
« Je gagne mon salaire pour ce que je fais. Je suis pratiquante de Falun Dafa et n’accepterai ni argent ni rien d’autre. » Je lui ai expliqué le principe de « pas de perte pas de gain » et lui ai prêté le livre Zhuan Falun à lire.
Il était très touché et a dit : « Je suis dans la vente depuis plusieurs années et généralement les gens demandent de l’argent et ils ne sont pas contents si nous ne leur en avons pas assez donné. Mais, vous, les gens du Falun Dafa, vous refusez d’accepter de l’argent même quand je vous en donne. »
Abandonner ma mentalité de compétition
J’étais connue pour avoir un fort tempérament. Comme pratiquante de Falun Dafa, je savais que je devais changer et m’améliorer. J’ai travaillé avec une personne que me créait toujours des ennuis. Parfois c’était arrangé pour que j’élève mon xinxing.
Un fois, quelqu’un a livré des médicaments anesthésiques et j’ai pris les produits, car j’étais responsable du dépôt. J’ai vu que ma collègue n’était pas contente, alors je lui ai demandé de traiter les produits spéciaux et lui ai donné la clé de l’armoire. Cependant, quand les produits ont été livrés, elle avait disparu sans m’avertir et j’ai dû attendre des heures jusqu’à ce qu’elle revienne pour lui passer les produits.
Une autre fois, nous avons reçu une cargaison de produits de l’extérieur. Il y avait plusieurs centaines de cartons. Elle a dit aux livreurs qu’ils pouvaient partir parce qu’il faisait trop chaud et que nous les rangerions plus tard. Une fois que les hommes ont déchargé le camion, ils sont partis. Elle a fait de même.
Il faisait chaud et nous ne devions pas laisser les médicaments au soleil si longtemps. J’ai dû déplacer tous ces cartons au troisième étage du dépôt.
Le bâtiment du dépôt était un ancien immeuble que notre hôpital venait juste d’acheter d’une entreprise en faillite. Il n’avait pas d’ascenseur, juste un élévateur sur le côté opposé du dépôt qui ne pouvait prendre que dix cartons à la fois.
Après que j’aie chargé et enclenché l’élévateur, je devais monter les escaliers de l’autre côté du bâtiment pour décharger les cartons, puis redescendre pour recommencer le processus encore et encore. Il faisait de plus en plus chaud et j’étais vraiment en souci pour les médicaments sous ce soleil de plomb. J’ai fait aussi vite que j’ai pu. Quand mon mari est venu me chercher vers midi, je lui ai demandé de m’aider car il y avait encore à peu près 100 cartons à déplacer. Avec son aide, nous avons rapidement amené tous les cartons dans le dépôt.
Quand je lui ai raconté ce qui s’était passé, il était très fâché et m’a demandé pourquoi je n’avais pas appelé le responsable et dénoncé la collègue pour manquement à son devoir. J’ai souri et dit : « N’oublie pas, nous sommes des pratiquants ! »
Les gens autour de moi disent tous que mon caractère a changé et que je ne me mets plus en colère. Je leur ai dit que c’est parce que je pratique le Falun Dafa.
Les pratiquants de Dafa sont de bonnes personnes
Lors d’une réunion des infirmières en chef et des chefs de section, le président de l’hôpital a dit ouvertement : « Vous, pratiquants de Falun Dafa, êtes vraiment bien. C’est pourquoi j’aimerais pouvoir encourager toute l’équipe de l’hôpital à apprendre d’eux. »
Le Parti communiste chinois a commencé sa persécution du Falun Dafa en 1999. Quand j’ai été mise en détention pour ma croyance, l’agent de police qui traitait mon cas a dit pendant la session d’interrogatoire : « Je me sens vraiment mal de voir une si bonne et gentille personne comme vous être enfermée derrière des barreaux. Aucun d’entre vous n’a fait quelque chose de mal ou a agi pour son propre intérêt. »
Il y a une infirmière dans notre hôpital qui est toujours contente et ne perd jamais son calme, peu importe combien elle est fatiguée. Un ancien combattant lui a dit : « Je suis venu plusieurs fois dans cet hôpital, vous ne perdez jamais votre sang-froid et vous souriez toujours. Comment pouvez-vous être si gentille ? »
Elle a répondu en souriant : « Les patients souffrent toujours à cause de leur maladie. Comment pourrais-je argumenter avec eux ? D’un autre côté, je pratique le Falun Dafa et notre Maître nous a dit de toujours considérer les autres d’abord. »
« C’est vrai. Vous êtes tous si gentils. Alors, pourquoi les médias disent-ils d'aussi mauvaises choses sur vous ? » L’ancien combattant est même allé voir le président de l’hôpital pour faire l’éloge de l’infirmière. Le président a mentionné cela plus tard lors d’une assemblée générale, ainsi tout l’hôpital sait que les pratiquants de Falun Dafa sont bons.
Traduit de l'anglais en Suisse