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Fahui de Minghui | Traverser de très grandes difficultés avec une croyance ferme dans le Maître et le Fa

17 novembre 2017 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa dans la province du Liaoning, Chine

(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !

En deux ans, j'ai subi deux traumatismes physiques majeurs. En août 2016, mes deux jambes ont développé des plaies avec beaucoup de pus, dégageant une odeur nauséabonde. Petit à petit, un grand trou est apparu sur ma jambe gauche et je ne pouvais plus marcher. J'ai commencé à réfléchir à ce que j'avais fait de mal pour donner aux forces anciennes l'occasion d'exploiter ma lacune.

1. Regarder à l'intérieur et corriger mes erreurs

Un pratiquant et moi dirigions une entreprise de fournitures matérielles. Nous n'avons jamais trompé personne et nos affaires étaient florissantes. Cela a entraîné la nécessité d'assister à un plus grand nombre d'activités sociales. Par conséquent, je n'avais pas assez de temps pour étudier le Fa et mes attachements se sont graduellement renforcés. J'ai pris une mauvaise décision en vendant du matériel de mauvaise qualité à un client, sachant qu'il allait le vendre comme matériel de haute qualité pour arnaquer ses clients. Même si je n'ai pas vendu de faux matériel moi-même, je l'ai permis. Je n'ai pas fait ce que le Maître recommande :

« Qui intercepte et empêche la chute vertigineuse de la société. » (« Illumination universelle », Hong Yin II)

Le Maître nous a enseigné :

« Pour ceux qui cultivent et pratiquent parmi les gens ordinaires, peu importe votre richesse ou votre position hiérarchique, peu importe que vous soyez à votre compte, que vous ayez une entreprise, ou que vous meniez n’importe quelle affaire, tout cela est sans importance: ayez toujours des échanges équitables et gardez un esprit droit. Chaque métier dans la société humaine a sa raison d’être ; le problème est que l’esprit des gens est sans droiture, cela n’a rien à voir avec le métier qu’on fait. Autrefois, on avait coutume de dire : "Sur dix marchands, neuf sont des filous." Ce n’est qu’un adage des gens ordinaires, pour moi il s’agit du problème du cœur de l’homme. Du moment que vous gardez l’esprit droit et que vos affaires sont équitables, si vous faites plus d’efforts, il est naturel de gagner plus d’argent; vous obtenez cela par les efforts que vous avez faits parmi les gens ordinaires – sans perte, pas de gain – c’est la récompense des efforts. » (« Quatrième conférence », Zhuan Falun).

En tant que pratiquant de Dafa, je dois être juste quand je dirige une entreprise. J'ai avoué au pratiquant ce que j'avais fait et j'ai cessé de faire affaire avec ce client.

Un jour, le pratiquant C m'a mentionné le passage suivant au sujet des enseignements du Maître :

« Auparavant, il emportait chez lui des coupons de tissu, tout le monde le faisait. Dès qu’il a appris notre méthode, non seulement il a cessé d’en prendre, mais en plus il a rapporté à l’usine tout ce qu’il avait emporté chez lui » (« Quatrième conférence », Zhuan Falun)

Je me suis éveillé au fait qu'il ne suffisait pas simplement de cesser d'être impliqué dans une escroquerie, je n'aurais pas dû garder l'argent que j'en avais tiré. Cela représentait une grande partie de mes actifs et je me suis demandé si je pouvais y renoncer en partie. En fin de compte, je savais que je ne devais pas entretenir de telles pensées et que je ne devais pas non plus garder cet argent. J'ai donné tout l'argent à un projet de Dafa.

J'estime que c'est une des principales raisons pour lesquelles j'ai beaucoup souffert. L'exigence pour les pratiquants pendant la période de la rectification de Fa est très élevée et le chemin pour nous est très étroit.

2. La guerre entre les conceptions humaines et les pensées droites

Quand mes jambes ont commencé à développer des plaies, je me demandais toujours quand cela allait finir et pourquoi cela pouvait être si douloureux. J'étais très négatif et déprimé. J'étais au bord de la dépression physique et mentale. Je cherchais à soulager la douleur par des moyens humains. Les pratiquants qui m'entouraient essayaient aussi de m'aider avec des méthodes ordinaires. On m'a acheté un désinfectant. Un autre m'a suggéré d'aller à l'hôpital. J'étais entouré d'émotions humaines et de pensées passives pour endurer la tribulation.

Un pratiquant a amené un médecin chez moi. Le docteur a enlevé la chair de ma jambe sans anesthésie. J'ai eu des spasmes musculaires et j'ai hurlé de douleur. Le médecin m'a suggéré d'aller à l'hôpital pour faire de plus amples tests et a laissé entendre que je pourrais avoir besoin d'une amputation. J'ai refusé.

Ma jambe gauche devenait de plus en plus enflée et la pourriture s'aggravait rapidement. Il y avait beaucoup de pus accumulé dans les tissus. Une pratiquante, qui était aussi infirmière, venait deux fois par jour pour m'aider à enlever le pus. Le processus était extrêmement douloureux et n'a fait qu'amplifier le pus. Finalement, mon épouse a dû le faire elle-même sur une base régulière. Toutes ces méthodes n'ont pas soulagé ma douleur, mais elles l'ont aggravée.

Peu importe à quel point la douleur était intolérable, j'insistais pour beaucoup étudier le Fa, émettre la pensée droite et faire les exercice tous les jours. Peu à peu, mes pensées ont changé : « Je suis un pratiquant et je devrais me comporter d'après les principes du Fa plutôt que selon des conceptions humaines. »

Le Maître a dit :

« Ceux qui cultivent véritablement n'ont pas de maladie, mes Fashen ont déjà tout éliminé pour eux. » (« Enseignement du Fa pour les assistants de Falun Dafa à Changchun », Expliquer le contenu du Falun Dafa)

L'intensification de la maladie n'était qu'illusion, mais cela me permettait de me rendre compte que je ne croyais pas pleinement dans le Maître et le Fa. Je me traitais comme une personne ordinaire et je me sentais désespéré. Comment Dafa pouvait-il dévoiler sa puissance supranormale alors que tout ce que je faisais, c'était de me tourner vers des gens ordinaires pour obtenir de l'aide ?

Le Maître a expliqué :

« C’est le xiulian, alors vous ne devez pas être impressionné par les difficultés. Peu importe, aussi difficile que ce soit, le chemin donné par le Maître est assuré pour que vous puissiez le traverser (Applaudissements) À condition que votre Xinxing s’élève, vous pourrez le traverser. » (« Enseignement de la Loi et explication de la Loi lors de la Conférence de Loi du New York Métropolitain », Enseignement du Fa dans les conférences (III))

Mon esprit est devenu clair. Vouloir soulager les symptômes et la douleur par des moyens ordinaires était comme essayer de résoudre les problèmes divins avec des méthodes humaines. Le lendemain, j'ai dit à l'infirmière pratiquante qu'elle n'avait plus besoin de venir. Quand elle m'a demandé ce qu'il en était du pus dans mes jambes, je lui ai répondu que je n'y pensais plus. Dès lors, la quantité de pus a diminué chaque jour.

Bien que la douleur et la pourriture étaient toujours là, maintenant, il y avait le Fa dans mon esprit. Je n'avais plus peur ni doute. Je n'avais plus besoin de supporter la douleur comme une personne ordinaire. Chaque jour, j'étudiais le Fa, je faisais les exercices et j'émettais la pensée droite avec un esprit calme. J'avais une nouvelle compréhension des paroles du Maître :

« En particulier durant ces années de persécution, peu importe ce à quoi vous avez fait face tandis que vous validiez la Loi, je vous l’ai déjà dit, tout cela est une bonne chose, car ces choses sont survenues spécifiquement parce que vous cultivez. Ces épreuves dues au démon et la souffrance – aussi grandes ou brutales qu’elles vous paraissent - sont de bonnes choses car elles surviennent seulement du fait de votre cultivation et pratique. On peut éliminer le karma et rejeter les attachements humains en traversant des épreuves dues au démon, et à travers ces épreuves vous pouvez vous élever. (« Enseignement de la Loi à la conférence de New York, 2008 », Enseignement du Fa dans les conférence VIII)

Je restais à la maison à cause de la maladie. Un jour, un pratiquant m'a dit que parmi les trois choses que les pratiquants doivent faire, je ne clarifiais pas la vérité. Je me suis rendu compte que j'avais trop mis l'accent sur la maladie et oublié mon devoir de pratiquant. Je devais aller aider à clarifier la vérité.

Le premier problème que j'ai eu, était de pouvoir descendre l'escalier. Chaque pas était extrêmement difficile et douloureux pour moi. Après avoir eu du mal à descendre les marches jusqu'en bas, j'ai essayé de conduire ma voiture et j'ai roulé 700 mètres jusqu'à l'endroit où je devais aller. Le lendemain, j'ai marché deux kilomètres. Selon ma compréhension, je devais faire ce que fait un pratiquant de Dafa et c'est ainsi que je nie les arrangements des forces anciennes par mon comportement.

4. Ne plus avoir peur de clarifier la vérité face à face

Deux pratiquantes de la localité roulaient souvent en trottinette pour clarifier la vérité. Quand il neigeait, je les emmenais à divers endroits dans ma voiture. Cependant, je ne sortais jamais de ma voiture pour parler à qui que ce soit. Un jour, une des pratiquantes m'a dit qu'autrefois, elle avait peur de clarifier la vérité en face à face. « Finalement, nous devons tous abandonner notre attachement à la peur », a-t-elle dit. Le lendemain, je suis sorti de ma voiture et je suis entré dans un magasin pour aider six personnes à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. J'étais très enthousiasmé, sachant que le Maître m'aidait.

Lorsque nous avons distribué des calendriers, la pratiquante m'a laissé passer devant et m'a dit d'aller là où les gens se trouvaient. Peu à peu, ma peur s'est atténuée et je me suis senti plus à l'aise. Le gonflement de mes jambes s'est résorbé, la quantité de pus a diminué et la plaie s'est refermée.

Le Maître a dit :

« Abandonnez tous les attachements, ne pensez à rien, faites seulement tout ce que doit faire un disciple de Dafa, tout sera contenu dedans. » (« Enseignement de la Loi lors de la Conférence de Loi internationale à Washington, D.C », Guider le voyage)

Il y a environ deux semaines, j'ai réalisé que j'avais d'une certaine façon accepté le fait que les forces anciennes existaient, c'est-à-dire, que je les avais permises d'exister en moi. Dès que j'ai eu cette pensée, les blessures sur mes jambes se sont refermées.

Un jour, alors que je faisais des appels pour clarifier la vérité, quelque chose que le Maître a dit m'est venu à l'esprit :

« Pendant le Xiulian, au lieu de vous élever véritablement et réellement pour subir un grand changement intrinsèque, vous comptez sur ma force, profitez des puissants facteurs externes, ce qui ne pourra jamais transformer votre nature humaine en nature de Bouddha. Si vous pouviez tous connaître la Loi au fond de votre cœur, ce serait la manifestation de la Loi à la puissance sans limites la réapparition de la puissante Loi de Bouddha dans le monde humain ! (« Mots avertisseurs », Points essentiels pour avancer avec diligence)

Quelques jours plus tard, j'ai fait un rêve très frappant dans lequel beaucoup de gens réparaient l'extérieur d'une usine. Le lendemain, j'ai décrit cela à un pratiquant et il m'a dit que je cultivais à l'extérieur, alors que mon cœur n'avait jamais changé.

J'ai compris que le Maître se servait des forces anciennes pour exposer mon problème. Ce faisant, je suis passé de la cultivation en surface à la vraie cultivation. Je suis passé de la connaissance conceptuelle des enseignements du Fa à une compréhension rationnelle des principes. Au début, j'ai eu du mal à réussir cette épreuve car je réfléchissais toujours avec des conceptions humaines.

Au cours des trois premiers mois de la tribulation, bien que j'aie constamment étudié le Fa, regardé à l'intérieur et émis la pensée droite, la douleur et la suppuration s'aggravaient toujours de jour en jour. Je me sentais désespéré. À ce moment-là, si un pratiquant perd sa croyance juste dans le Maître et le Fa, il lui sera très facile de se retourner contre la pratique. L'arrangement des forces anciennes était d'aller au-delà de la limite du pratiquant, de briser sa volonté et de le détruire. Ce sont les principes du Fa du Maître qui m'ont permis de rester inébranlable et m'ont aidé à surmonter les épreuves.

5. Protégé dans un accident de voiture

Un jour de juin 2017, un pratiquant et moi étions sur une mobylette en rentrant chez nous. On a eu un accident et sommes rentrés de plein fouet dans une voiture. Quand j'ai repris conscience, la mobylette était en partie détruite et reposait sur mes jambes. J'ai vomi du sang quand j'ai été frappé, il y avait une grosse bosse sur mon front, mon nez saignait et mes dents étaient branlantes. Le pratiquant s'est approché de moi et m'a demandé si j'allais bien. Nous avons tous deux remercié le Maître de nous avoir sauvé la vie.

L'autre voiture était à moitié démolie. Le propriétaire a appelé l'ambulance, mais j'ai refusé d'y monter. L'ambulancier paramédical m'a dit que j'étais dans un état critique et que je devais signer une décharge si je refusais d'aller à l'hôpital. Je l'ai fait et l'ambulance est partie. Les passants ont commencé à bavarder et j'ai entendu l'un d'eux dire : « J'ai entendu dire que les pratiquants de Falun Gong s'en sortent bien dans des situations comme celle-ci. »

J'ai dit aux témoins que j'étais un pratiquant de Falun Gong et qu'avec la protection du Maître, j'allais bien aller. L'un des spectateurs est vite allé vers le propriétaire de l'autre voiture : « Il pratique le Falun Gong et ne tirera pas profit de vous pour les dommages. » Le propriétaire de la voiture a insisté pour attendre l'arrivée de la police.

Quand le policier est arrivé, il a été surpris que je sois resté là malgré mon état. Je lui ai dit que j'étais un pratiquant et que je n'avais pas besoin d'aller à l'hôpital. Comme je n'essayais pas d'accuser l'autre conducteur malgré mes blessures, le policier a levé le pouce en guise d'approbation. Il a dit au propriétaire de la voiture : « Vous êtes en partie responsable de cet accident. Avec ses blessures, vous auriez dû dépenser beaucoup d'argent s'il avait choisi d'aller à l'hôpital. » Au bout du compte, le propriétaire de la voiture a décidé que nous nous occuperions chacun nos propres pertes.

Un autre pratiquant est venu me chercher avec une mobylette. Dès que je suis monté sur la mobylette et que je me suis détendu, je n'ai pas cessé de vomir du sang. Je me sentais proche de la mort à ce moment-là, mais je n'avais pas peur. J'étais déterminé à marcher sur le chemin que le Maître avait prévu pour moi jusqu'à la fin et je voulais rentrer chez moi avec le Maître.

Le pratiquant a réussi à me ramener chez moi. J'ai continué à vomir du sang et mon nez saignait toujours. Mon haleine et mon corps étaient froids. Mon épouse a appelé plusieurs pratiquants pour qu'ils viennent nous aider à émettre la pensée droite. J'ai réussi à croiser les jambes sous une douleur extrême et j'ai émis la pensée droite pour éliminer l'interférence des forces anciennes. Dans mon esprit, je savais que malgré ce que je pouvais faire d'incorrect, le Fa me rectifierait et personne des forces anciennes n'était digne de me faire subir des épreuves, moi, un pratiquant de Dafa.

Une heure plus tard, j'ai vu que les pratiquants semblaient détendus. Ils m'ont dit que la couleur était revenue sur mon visage et que je devrais bien aller. J'avais très soif à ce moment-là et j'ai saisi une bouteille d'eau froide. Soudainement, je n'étais pas sûr si je devais boire ou manger quoi que ce soit car je venais de vomir du sang. Je me suis rendu compte que je ne devais pas me limiter à la conception humaine. J'ai bu l'eau et je me suis senti bien. J'avais faim et j'ai commencé à manger autant que je le pouvais, sans m'inquiéter des saignements de nez ou de quoi que ce soit.

Le lendemain, j'ai commencé à faire les exercices. J'ai fait de mon mieux pour me tenir les bras levés. J'ai demandé l'aide du Maître et j'ai pu croiser les jambes malgré la douleur. Mes genoux, mes jambes et mes pieds sont devenus très enflés, mais je refusais de reconnaître l'apparition de la maladie. J'ai fait ce que je devais faire en tant que pratiquant. Bientôt, je me suis complètement rétabli.

L'année dernière, quand mes jambes suppuraient, j'ai beaucoup étudié le Fa et émis la pensée droite. J'ai pu vraiment clarifier la vérité pour les gens et nier l'arrangement des forces anciennes. Ce processus m'a permis de jeter des bases solides et d'élever mon niveau de xinxing.

Cette année, après un accident de voiture, je n'avais presque aucune notion humaine dans le processus de rétablissement. Je croyais dans le Maître et le Fa et je niais complètement les forces anciennes. Avec l'aide du Maître, j'ai passé ce test rapidement. Le Maître a dit :

« On ne parle pas de sentiment entre Maître et disciples

La grâce du Bouddha transforme le Ciel et la Terre

Si les disciples sont emplis de pensées droites

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel »

(« La grâce entre Maître et disciple », Hong Yin Vol. II)

Je suis reconnaissant pour le salut compatissant du Maître et pour les pratiquants qui ont pris soin de moi et qui m'ont aidé à m'élever dans ma cultivation.

(Quatorzième conférence de partage d'expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada