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Clarifier la vérité dans ma clinique

22 mars 2017 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa de la province du Shandong, Chine

(Minghui.org) Je suis un pratiquant de Falun Dafa et je dirige ma propre clinique.

Ma clinique est devenue un site pour clarifier la vérité et sauver les êtres. Lors de son ouverture en 2006, je ne clarifiais la vérité au sujet du Falun Gong (aussi appelé Falun Dafa) qu'à une partie de mes patients, selon la personne et mon état de cultivation. Mais au fur et à mesure que ma compréhension du Fa s'approfondissait, j'ai pris conscience que le Maître avait arrangé cette occasion pour moi. En tant que pratiquant de la période de la rectification de Fa, j'ai le devoir de sauver chaque personne prédestinée qui franchit la porte de ma clinique.

Voici mes expériences de cultivation et de clarification de la vérité. J'aimerais les partager avec les autres pratiquants. Veuillez signaler toute erreur.

Équilibrer la cultivation et le travail

Lorsque j'ai ouvert la clinique, je n'avais pas beaucoup de patients. J'étais impatient de gagner ma vie et je n'équilibrais pas bien les exigences de la cultivation et le travail. Je plaçais l'argent au-dessus de tout et cela a eu l'effet opposé. Non seulement je gagnais très peu d'argent, mais mes relations avec les patients en ont également pâti.

Plus tard, je me suis examiné en regard du Fa du Maître :

« Même si vous êtes un disciple de Dafa, votre travail dans la société n'est pas la cultivation et pratique, mais votre cultivation et pratique va se refléter dans votre travail dans la société. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi à San Francisco en 2005 »)

J'ai commencé à réfléchir à mon comportement et ai utilisé le Fa pour corriger mes pensées. Lorsque je rencontrais des problèmes, je considérais les autres en premier et j'abandonnais mes attachements aux gains matériels. J’examinais constamment mes pensées et je les réalignais... Je suis d'abord et avant tout un pratiquant avant d'être un professionnel du domaine médical. Cela m'a permis de résoudre plus facilement les problèmes que je rencontrais.

Un exemple : un garçon d'un an est venu dans ma clinique pour une injection intraveineuse d'antibiotiques. La mère de l'enfant disait qu'il avait encore de la fièvre, mais il avait refusé de coopérer pendant les injections à l'hôpital. Il avait crié et s'était débattu jusqu'à ce que le tube soit enlevé, ce qui avait grandement ébranlé toute la famille.

Lorsque j'ai regardé la prescription, j'ai remarqué que la dose d'antibiotique était très élevée pour un jeune enfant. J'ai pensé à diminuer la dose de moitié, mais lorsque j'ai vu comment le garçon était énervé et ne voulait pas coopérer, j'ai pensé : « Je devrai faire tant d'efforts pour mettre la perfusion et je ne gagnerai que la moitié [de l'argent de la prescription]. »

Mais j'ai ensuite raisonné : « Je suis un pratiquant. Si ce garçon reçoit une si grande dose d'antibiotiques, cela pourrait causer des torts irréparables à sa santé. Il est trop jeune pour dire combien il se sent mal et ses parents n'en sont pas conscients. Je ne peux pas faire cela. Cela ne serait pas digne d'un pratiquant. »

J'ai donc diminué de moitié la dose et facturé aux parents la moitié du coût de la prescription. Comme par miracle, après que j'ai placé la perfusion, l'enfant s'est détendu et a commencé à jouer avec ravissement. Le lendemain, l'enfant a de lui-même tendu le bras pour qu'on y insère la perfusion et il n'a pas pleuré une seule fois durant tout le processus. Sa mère a dit avec joie : « C'est étrange, il ne pleure pas quand il vient ici pour une perfusion. À partir de maintenant, nous viendrons toujours vous voir lorsque nous aurons besoin d'un traitement. »

Je savais que j'agissais en accord avec le Fa et que le Maître m'encourageait. J'ai eu de nombreuses expériences similaires durant lesquelles tant que je suivais les exigences pour un pratiquant, mes actions avaient toujours des résultats positifs. Tandis que le Fa continuait de purifier mon esprit, ma clinique a progressivement commencé à générer des profits. La confiance des patients s'est renforcée et ils ont commencé à parler de ma clinique à leurs familles et amis.

Je chéris chaque personne qui vient dans ma clinique. Même s'ils ne demandent qu'une information ou des renseignements, je les salue toujours d'un sourire. Parfois, mon état de cultivation n'est pas aussi bon qu'il devrait. Je consacre alors plus de temps à l'étude du Fa et à me rectifier sur la base du Fa.

Obtenir la sagesse pour sauver les êtres en abandonnant l'égoïsme

J'ai commencé à clarifier la vérité en personne au travail en 2006. Au début, j'étais gêné par toutes sortes d'attachements et il m'était très difficile de parler. Mais je savais en me basant sur le Fa que je devais aider à sauver les gens. Comparativement aux autres pratiquants qui bravaient les conditions météorologiques les plus rudes pour aller clarifier la vérité de porte en porte, c'était beaucoup plus facile pour moi.

Le Maître a arrangé que tous ces êtres prédestinés viennent dans ma clinique et si je ne les sauvais pas, je ne pouvais pas me considérer comme un disciple de Dafa de la période de la rectification de Fa. J'ai donc passé plus de temps à étudier et mémoriser le Fa, et à accroître mes pensées droites et mon courage.

Lorsque je parlais de la persécution, mes mains étaient souvent moites et tremblantes et la peur faisait battre mon cœur très fort. Mais avec le soutien bienveillant du Maître, dès que je disais quelque chose, la plupart des gens comprenaient et démissionnaient du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées.

En clarifiant la vérité, j'ai aussi pris conscience que plus j'avais de conceptions humaines, plus j'étais attaché à moi-même. Par exemple, la pensée que je ne pouvais pas bien parler ou que les gens ne comprendraient pas était des manifestations de l'attachement à moi-même. Au contraire, lorsque je mettais de côté toutes mes conceptions humaines et clarifiais la vérité avec un cœur désintéressé, la personne était plus réceptive aux faits. Une simple phrase était suffisamment puissante pour désintégrer les éléments qui les empêchaient d'accepter la vérité. De plus, j'ai découvert que je présentais mes idées de façon plus cohérente et que j'obtenais un effet plus positif.

Une dame était très satisfaite de mes soins et a plus tard amené son mari pour un examen. Cette femme avait appris la vérité et démissionné du PCC et de ses organisations affiliées. À ce moment, j'ai pensé : « Elle comprend déjà la vérité. Ce serait super si elle pouvait me laisser du temps seul avec son mari. » Suite à cela, la dame lui a dit : « Je dois y aller. Tu restes ici pour t'occuper de ta santé. »

Lorsqu'elle est partie, j'ai saisi l'occasion pour demander à son mari s'il avait déjà été membre du PCC ou de ses organisations affiliées. Il a dit qu'il n'avait jamais adhéré au PCC, mais qu'il avait été membre de la Ligue de la jeunesse et des Jeunes Pionniers. Il s'est ensuite lancé dans une tirade sur la façon dont il aurait dû devenir un membre du PCC et comment cela aurait rendu son travail et sa vie meilleurs. Il n'a pas réussi à m'émouvoir et j'ai tranquillement émis la pensée droite, en pensant : « Je ne vais pas me quereller avec ton côté confus, je veux parler à ton côté conscient. »

Profitant d'une brève pause dans sa tirade, j'ai souri avec bonté et ai dit : « Aujourd'hui, personne ne veut adhérer au Parti ; en réalité, ils essaient tous de démissionner. C'est même mieux pour vous que vous n'y ayez jamais adhéré, vous ne devez donc pas vous inquiéter de démissionner du Parti ! Laissez-moi vous aider à démissionner aussi de la Ligue de la jeunesse et des Jeunes Pionniers. Et si vous utilisiez un pseudonyme pour démissionner de ces organisations ? »

À ma grande surprise, il a accepté facilement : « Oui, oui, merci ! » C'était une personne complètement différente de celle d'avant. Je savais que c'était son côté conscient qui répondait.

Je sens véritablement que le Maître a arrangé tout pour nous et attend simplement que nous le réalisions avec notre pensée droite. Notre pensée droite vient du Fa et d'une base solide dans la cultivation et pratique. Ce n'est qu'en bien étudiant le Fa que nous pouvons obtenir la sagesse pour faire face à l'esprit complexe des gens ordinaires. Alors seulement, nous pourrons défaire les nœuds dans leur cœur et les sauver véritablement.

Un homme octogénaire est venu dans ma clinique pour une perfusion. Alors que nous discutions, j'ai appris qu'il était membre du Parti. Nous avons parlé de la façon dont les critères moraux de la société déclinent et comment le cœur des gens n'est plus pur, déclenchant de nombreuses catastrophes naturelles ou provoquées par l'homme. Il a reconnu que tout cela était vrai. Mais lorsque j'ai parlé du mouvement des démissions du PCC, il n'a cessé de dire : « Non, non, je suis déjà si âgé, je ne m'en soucie plus. » Chaque fois que j'abordais le sujet, soit il faisait semblant de ne pas m'entendre ou il changeait de sujet.

Ce soir-là en étudiant le Fa, j'ai lu ce passage dans une conférence du Maître :

« Si vos paroles sont très pures et très droites, elles vont vraiment aller directement dans la partie la plus intérieure des pensées des gens et immédiatement faire que les gens de ce monde vont comprendre. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi à Atlanta 2003 »)

J'ai compris pourquoi mes paroles n'avaient pas d'effet sur l'homme âgé. C'était sans doute parce que je n'avais pas atteint le niveau de pureté et de droiture dont le Maître a parlé. Cet homme n'a-t-il pas atteint un âge aussi mûr parce qu'il attendait que Dafa soit répandu et qu'un pratiquant le sauve ? J'ai émis la pensée droite pour éliminer toutes les conceptions, les matières et les éléments erronés dans ma dimension qui interféraient avec ma clarification de la vérité. J'ai aussi émis la pensée droite pour éliminer les éléments du Parti pervers qui l'empêchaient d'être sauvé.

Le jour suivant, il est venu pour une autre perfusion. Il semblait très faible et fragile, et il n'ouvrait pas les yeux ni ne parlait à qui que ce soit. Je n'ai pas trouvé l'occasion de lui parler. Allais-je rater l'occasion de le sauver ? Mais étant donné son grand âge, il était probable que je ne le revois jamais. Je n'ai donc pas osé abandonner !

J'ai dit doucement : « Grand-père. » Il a ouvert les yeux tandis que je poursuivais : « Puis-je vous déranger une minute ? Démissionner du PCC est un choix que chaque Chinois doit faire. Vous ne pouvez pas éviter de faire ce choix. Ce n'est pas un hasard que nos chemins se soient croisés aujourd'hui. Puis-je vous aider à démissionner du PCC ? »

À ce moment, mon cœur était libre de toute pensée humaine et tout ce que je voulais était qu'il soit sauvé. J'avais la sensation que tout s'était arrêté. L'homme a dit d'une voix claire : « Oui ! Oui ! Merci ! » J'ai poursuivi : « Grand-père, le Falun Gong est bon, c'est la vraie voie de cultivation de la Loi de Bouddha ! » Il a dit à plusieurs reprises : « Je sais ! Je sais ! C'est une bonne chose ! » Mes yeux se sont remplis de larmes : « Je vous laisse vous reposer maintenant ! » Il a hoché la tête et fermé les yeux.

Les gens sont bénis après avoir compris la vérité

Au cours des années de clarification de la vérité, j'ai remarqué que les patients qui étaient très réceptifs à la vérité et démissionnaient avec joie du PCC et de ses organisations affiliées se rétablissaient plus rapidement. Au contraire, ceux qui avaient refusé la vérité et n'avaient pas démissionné du Parti se remettaient difficilement et parfois leur maladie empirait au bout d'un temps.

Un hiver, pendant une vague de grippe, ma clinique a connu une recrudescence de patients venus chercher des perfusions. La plupart des patients présentant des symptômes graves guérissaient de leur maladie après un jour ou deux de soins. Mais une jeune femme de plus de 20 ans souffrait toujours de la grippe après avoir reçu des perfusions pendant cinq jours. Je lui avais clarifié la vérité à de nombreuses reprises dans le passé, mais elle avait chaque fois refusé d'y croire. À la fin, elle avait dû être transférée à l'hôpital pour y être soignée.

Ce ne sont que quelques exemples de la façon dont mes patients guérissaient souvent plus rapidement s'ils écoutaient et comprenaient la vérité. Quelques mois plus tard, ils me rendaient visite en déclarant : « Votre traitement la dernière fois a été fantastique. Ce médicament marche vraiment ! » Je savais alors que le patient avait compris les faits et avait été béni. Mes patients amenaient aussi leur conjoint, leurs enfants et leurs proches pour que je les soigne, créant des occasions prédestinées pour que toute la famille soit sauvée.

La population flottante de notre quartier résidentiel est très élevée, ce qui signifie que les locataires changent souvent. Beaucoup de nouveaux patients ont dit que le précédent locataire leur avait recommandé ma clinique. Chaque fois que j'entendais cela, je savais que les patients précédents transmettaient l'occasion d'être sauvé ! Le Maître bienveillant a arrangé que chaque vie reçoive l'occasion d'être sauvée !

Je clarifie la vérité sur mon lieu de travail depuis maintenant dix ans. Avec les conseils bienveillants du Maître, j'ai réussi à parcourir ce chemin sans encombre. Le Maître a enseigné :

« C'est pourquoi je dis souvent, pendant la validation de la Loi, faites bien les trois choses qu’un disciple de Dafa doit faire, tout est inclus là-dedans. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi à Atlanta 2003 »)

En tant que petite particule de Dafa, j'ai grandi et mûri en accomplissant les trois choses. Ma compréhension est qu'elles se complètent. Ce n'est qu'en étudiant bien le Fa et en émettant bien la pensée droite que nous pouvons être plus efficaces dans la clarification de la vérité et le salut des êtres.

Je remercie le Maître de m'avoir procuré un si bon environnement de cultivation ! La seule façon dont je peux vous remercier est d'être diligent dans ma cultivation !

Traduit de l'anglais en Belgique